Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. J’ai fait la pute. (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION COCU. J’ai fait la pute. (3/4)
Jupe, corsage, bas sur porte-jarretelles mon employeur m’a donné des moyens en me proposant une carte Gold d’un montant de 10 000 €, chaussures talons 14 centimètres à éviter les 16 comme je l’ai fait une fois ce qui m’a value une belle entorse et la perte de trois rendez-vous, valise pour mettre les fouets, godes et surtout préservatifs.
Je suis tête en l’air, j’oublie l’objet indispensable pour faire de vous une pute qui va faire sauter la banque, le petit sac baise en ville qui va vous servir à ranger l’enveloppe après vérification comme je l’ai fait avec Henri avant d’accepter de le sucer, je le vois dans une boutique et je complète ma panoplie.
Après être revenu dans l’hôtel ou la porte de communication avec la chambre de mon beau-père, amant voire souteneur est ouvert me montrant qu’il est absent alors je me pomponne me maquille sans outrance et à l’heure dite le taxi me dépose sur le lieu de mon rendez-vous.
J’ai autant le tract que pour ma première passe malgré mon expérience entrant dans le bar d’un seul regard je sais qui m’attend pour me baiser.
Les hommes qui vous donnent rendez-vous au bar son pressé de vous faire monter, neuf fois sur dix ils sont mariés craignant que des gens qu’ils connaissent ne les voient avec vous.
• Natacha ?
Non Cunégonde espèce de gros con, avec ma tenue de pute et ma valise je suis une bourgeoise qui vient jouer au rami avec un monsieur d’un certain âge pour éviter de dire d’un âge certain.
J’espère que le photographe va débarquer rapidement, avec mon expérience c’est le genre de client qui met un temps infini avant de bander.
Je vois un jeune mec beau gosse avec qui j’aurais préféré me faire tringler mais un contrat est un contrat et je suis ma barrique vers l’ascenseur.
J’ai le temps de voir mon beau gosse porter sa main au revert de sa veste et les portes de l’ascenseur se referment.
C’est bien ce que je pensais, il sent la sueur et l’eau de toilette bon marché et a la délicatesse de me passer la main aux fesses, heureusement sa chambre est au premier et c’est avec une carte informatique qu’il ouvre la porte.
Ignorant comment le photographe va entrer mais je fais confiance à Henri pour avoir pensé à ce détail j’espère de plus en plus que le photographe va abréger mon calvaire c’est pour cela que dès la porte franchie il me faut encaisser les biffetons le plus tôt possible, me dévêtir en même temps que je vais faire sauter les boutons de la grosse vache.
• As-tu mon fric ?
• T’es pressé, j'ai payé pour la nuit devant moi.
• Une fois que tu m’auras payé et que j’aurais vérifié la somme, nous aurons tout notre temps mon gros nounours, un jour un de mes clients à refuser de me payer à la fin de ma prestation cela m'a servi de leçon, en plus j’ai perdu du temps et une paire de bas, alors si tu rechignes à me donner mon pognon je me tire.
• T’as un joli petit cul bien ferme, voilà l’enveloppe.
Ouf le coup est beau, en m’allongeant rapidement il aurait pu avoir des doutes sur ma participation à l’arnaque qu’il va subir.
500, 1 000, 1 500, 2 000, 2 500 et 3 000 en billets de 500 rares en France et plus fréquent en Allemagne ou nous sommes allés avec Guy l’an dernier à la fête de la bière à Munich.
En temps normal je demande de me rafraîchir à la salle de bain pour déposer mes affaires et ma valise mais là le temps presse aussi je fais tomber mes vêtements et quand je suis nu je le déshabille comme je l’ai expliqué précédemment.
Combien de passes faites à Orléans y compris mon beau-père, je l’ignore mais ce soir j’ai le même tract que la première fois, la différence est que je me souviens que c’était chez un vieux monsieur qui a été très tendre avec moi.
Tout le temps ou j’ai tapiné je venais chez lui jusqu’au jour où une voisine m’ayant vu sonner est venue me dire qu’il était décédé d’une crise cardiaque trois heures avant mon arrivée, c’est à peu près l’heure où je l’avais eu au téléphone et j’ai dû être la dernière personne à qui il a parlé.
Avec de la malchance il pouvait mourir dans mes bras, après coup j’ai presque regretté que cela n’a pas été le cas, il avait été tellement gentille me donnant toujours un petit supplément pour m’aider dans mes études car au fil du temps même si j’évitais les confidences sur l’oreiller il avait fini par savoir que je me prostituais pour ces études.
Mon client, comme je le supputais a des difficultés pour bander, je lui demande de s’allonger, je cherche son petit sexe dans ses bourrelets, je lui caresse les couilles qui ont bon volume, il réagit quand j’arrive à les mettre dans ma bouche une après l’autre tout en lui mettant un doigt dans le cul.
Il a l’air étonné car il essaye de se redresser et c’est à ce moment que la porte s’ouvre.
• Coucou souriez pour la photo Albert, le petit oiseau est sorti.
Il entre et il sort alors que je ne vois qu’un flash, claquant la porte derrière lui.
• Salope, tu m’as piégé.
Je relève la tête et prenant mon air le plus idiot.
• Que s'est-il passé, qui vous a demandé de sourire pour la photo ?
• Un salopard qui vient de me piéger, j’allais gagner un gros paquet d’oseille et je viens de tout perdre, mais dis-moi comment ta carte c’est retrouver dans mes mains.
• Je l’ignore, il y a quinze jours que je tapine sur Bordeaux je viens de Sancerre et j’en ai mis dans plusieurs bars et boîtes de nuit de la ville, grâce à elle j’ai fait cinq clients depuis, pour un investissement minimum, j’ai profité d’une offre sur internet proposant des cartes de visite à tout petit prix.
J’avais fait faire des calendriers pour mon jeune frère malade qu’ils ont vendu à son club de foot et j’ai profité de la remise qu’ils me faisaient pour les faire imprimer, si je me prostitue c’est pour le soigner.
Si je comprends bien, tu es marié et ils vont te faire un chantage, je serais toi je partirais de suite car après ce qui vient de t’arriver je pense qu’il est inutile d’essayer de te faire bander.
Ouf il se lève et je me laisse tomber sur le lit.
• Je peux rester là cette nuit j’ignore où aller dormir, comme j’avais rendez-vous avec vous, ma chambre dans l’hôtel minable où je suis descendu se trouve à l’autre bout de la ville et j’ai sommeil.
• Bien sûr elle est payée avec le petit déjeuner je vais chercher un bar encore ouvert pour noyer la perte des millions que ma connerie pour des putes comme toi va me faire perdre.
• Pourquoi vous me traitez comme cela, vous oubliez que je fais cela pour sauver mon petit frère malade, encore trois clients et j’aurais eu assez d’argent pour l’amener en Amérique pour lui faire subir l’intervention qui va le sauver et qu’ils sont seuls à faire dans le monde ?
Le pigeon est de nouveau habillé et moi jouant à merveille mon rôle étant à la limite de pleurer de rire, que dirait-il s'il savait que je suis fille unique, je le vois sortir son portefeuille.
• Tiens si cela peut t’aider à gagner la somme plus vite, j’ai perdu du fric ce soir un peu plus un peu moins mais je peux faire ce petit geste pour t’aider.
• Merci.
Je lui saute au cou par instinct risquant de réveiller sa libido mais en le poussant gentiment vers la sortie.
• Bonne chance.
Je ferme la porte et je vais me faire couler un bain, pendant ce temps je retourne sur le lit ce con m’a laissé 1 000 € supplémentaires, au lieu de devenir avocate j’aurais dû entrer à la comédie Française quoi que lorsque l’on plaide devant un Président et un jury de cour d’assises je joue aussi la comédie.
Je viens de sortir du bain quand on frappe à la porte de la chambre, je passe un peignoir et je m’approche me voyant déjà avec les menottes emmenées au poste de police mon client ayant été porté plainte.
• C’est moi le photographe, laisse-moi entrer tu n’as rien à craindre.
J’ouvre la porte à moitié rassuré.
• J’aurais pu entrer avec la carte comme la première fois mais j’ai eu peur de te faire peur.
C’est bien le beau gosse que j’ai vu au bar qui a fait la photo souhaitée par mon beau-père pour faire gagner pour notre client ce qui est loin de me déplaire surtout que quand il me la montrera c’est mon cul que je vais voir protégeant mon identité.
• Pourquoi es-tu là ?
• Pour commencer je sais que tu t’appelles Natacha, j’ai entendu le porc donner ton nom quand tu es arrivée, moi c’est Alexandre.
Mes commanditaires ont tous calculé, ils avaient peur que ton client ne devienne violent envers toi, mon contact dans l’hôtel m’a fourni le passe général des chambres et l’un d’eux a réservé la chambre voisine grâce à un réceptionniste quand ton client à réservé, en sortant je m’y suis caché et j’ai entendu qu’il parte sans te poser de problèmes.
Quand j’ai fait des photos au bar lorsque tu es arrivé et que tu as abordé le gros, je t’ai trouvé très jolie, j’avais l’impression que nous avions livré une poupée à un cochon, alors que j’aurais aimé te prendre dans mes bras.
Ce que fait mon beau gosse c’est ce que l’on appelle du rentre dedans, mon beau-père a réveillé Natacha en faisant cocu son fils alors je décide qu’Adeline fera cocu son beau-père.
Je défais la ceinture de mon vêtement de bain et une nouvelle fois je suis nue, il me prend dans ses bras et me porte sur le lit, il est encore habillé et la carrure qu’il me montre me fait baver d’envie.
Quand j’ai épousé Guy j’étais sincère quand je lui ai dit que c’était pour la vie pensant enterré les frasques des années précédentes mais quand je vois mon futur amant je sais que je vais mettre un autre coup de canif à ce contrat si je considère qu’hier c’était la pute qui est en moi que mon beau-père sautait.
Il enlève sa veste en faisant attention car il y a un système qui fait fonctionner l’appareil photo sans que quiconque ne le voie et rapidement il est à poil sa verge sans que je la touche étant déjà flamboyante.
J’étais arrivé dans cette chambre en Natacha mais maintenant que j’ai ce garçon viril devant moi et que je me suis effeuillé de ma tenue de pute, j’ai envie d’un moment de quiétude et redeviens la petite Adeline qui avait des rêves de princesse quelques mois avant de franchir le pas qui a orienté sa vie vers ce monde du sexe pour gagner de l’argent.
Je sais que dès que j’aurais quitté cette chambre les erreurs que j’ai commises vont de nouveau me rattraper à cause ou grâce à mon beau-père et vont m’entraîner dans un tourbillon m’obligeant à une fuite en avant.
J’écarte mes jambes et comme il avance la tête vers mon sexe je l’attrape par les oreilles et je le plaque sur mon clito qui semble n’attendre que cela…
Je suis tête en l’air, j’oublie l’objet indispensable pour faire de vous une pute qui va faire sauter la banque, le petit sac baise en ville qui va vous servir à ranger l’enveloppe après vérification comme je l’ai fait avec Henri avant d’accepter de le sucer, je le vois dans une boutique et je complète ma panoplie.
Après être revenu dans l’hôtel ou la porte de communication avec la chambre de mon beau-père, amant voire souteneur est ouvert me montrant qu’il est absent alors je me pomponne me maquille sans outrance et à l’heure dite le taxi me dépose sur le lieu de mon rendez-vous.
J’ai autant le tract que pour ma première passe malgré mon expérience entrant dans le bar d’un seul regard je sais qui m’attend pour me baiser.
Les hommes qui vous donnent rendez-vous au bar son pressé de vous faire monter, neuf fois sur dix ils sont mariés craignant que des gens qu’ils connaissent ne les voient avec vous.
• Natacha ?
Non Cunégonde espèce de gros con, avec ma tenue de pute et ma valise je suis une bourgeoise qui vient jouer au rami avec un monsieur d’un certain âge pour éviter de dire d’un âge certain.
J’espère que le photographe va débarquer rapidement, avec mon expérience c’est le genre de client qui met un temps infini avant de bander.
Je vois un jeune mec beau gosse avec qui j’aurais préféré me faire tringler mais un contrat est un contrat et je suis ma barrique vers l’ascenseur.
J’ai le temps de voir mon beau gosse porter sa main au revert de sa veste et les portes de l’ascenseur se referment.
C’est bien ce que je pensais, il sent la sueur et l’eau de toilette bon marché et a la délicatesse de me passer la main aux fesses, heureusement sa chambre est au premier et c’est avec une carte informatique qu’il ouvre la porte.
Ignorant comment le photographe va entrer mais je fais confiance à Henri pour avoir pensé à ce détail j’espère de plus en plus que le photographe va abréger mon calvaire c’est pour cela que dès la porte franchie il me faut encaisser les biffetons le plus tôt possible, me dévêtir en même temps que je vais faire sauter les boutons de la grosse vache.
• As-tu mon fric ?
• T’es pressé, j'ai payé pour la nuit devant moi.
• Une fois que tu m’auras payé et que j’aurais vérifié la somme, nous aurons tout notre temps mon gros nounours, un jour un de mes clients à refuser de me payer à la fin de ma prestation cela m'a servi de leçon, en plus j’ai perdu du temps et une paire de bas, alors si tu rechignes à me donner mon pognon je me tire.
• T’as un joli petit cul bien ferme, voilà l’enveloppe.
Ouf le coup est beau, en m’allongeant rapidement il aurait pu avoir des doutes sur ma participation à l’arnaque qu’il va subir.
500, 1 000, 1 500, 2 000, 2 500 et 3 000 en billets de 500 rares en France et plus fréquent en Allemagne ou nous sommes allés avec Guy l’an dernier à la fête de la bière à Munich.
En temps normal je demande de me rafraîchir à la salle de bain pour déposer mes affaires et ma valise mais là le temps presse aussi je fais tomber mes vêtements et quand je suis nu je le déshabille comme je l’ai expliqué précédemment.
Combien de passes faites à Orléans y compris mon beau-père, je l’ignore mais ce soir j’ai le même tract que la première fois, la différence est que je me souviens que c’était chez un vieux monsieur qui a été très tendre avec moi.
Tout le temps ou j’ai tapiné je venais chez lui jusqu’au jour où une voisine m’ayant vu sonner est venue me dire qu’il était décédé d’une crise cardiaque trois heures avant mon arrivée, c’est à peu près l’heure où je l’avais eu au téléphone et j’ai dû être la dernière personne à qui il a parlé.
Avec de la malchance il pouvait mourir dans mes bras, après coup j’ai presque regretté que cela n’a pas été le cas, il avait été tellement gentille me donnant toujours un petit supplément pour m’aider dans mes études car au fil du temps même si j’évitais les confidences sur l’oreiller il avait fini par savoir que je me prostituais pour ces études.
Mon client, comme je le supputais a des difficultés pour bander, je lui demande de s’allonger, je cherche son petit sexe dans ses bourrelets, je lui caresse les couilles qui ont bon volume, il réagit quand j’arrive à les mettre dans ma bouche une après l’autre tout en lui mettant un doigt dans le cul.
Il a l’air étonné car il essaye de se redresser et c’est à ce moment que la porte s’ouvre.
• Coucou souriez pour la photo Albert, le petit oiseau est sorti.
Il entre et il sort alors que je ne vois qu’un flash, claquant la porte derrière lui.
• Salope, tu m’as piégé.
Je relève la tête et prenant mon air le plus idiot.
• Que s'est-il passé, qui vous a demandé de sourire pour la photo ?
• Un salopard qui vient de me piéger, j’allais gagner un gros paquet d’oseille et je viens de tout perdre, mais dis-moi comment ta carte c’est retrouver dans mes mains.
• Je l’ignore, il y a quinze jours que je tapine sur Bordeaux je viens de Sancerre et j’en ai mis dans plusieurs bars et boîtes de nuit de la ville, grâce à elle j’ai fait cinq clients depuis, pour un investissement minimum, j’ai profité d’une offre sur internet proposant des cartes de visite à tout petit prix.
J’avais fait faire des calendriers pour mon jeune frère malade qu’ils ont vendu à son club de foot et j’ai profité de la remise qu’ils me faisaient pour les faire imprimer, si je me prostitue c’est pour le soigner.
Si je comprends bien, tu es marié et ils vont te faire un chantage, je serais toi je partirais de suite car après ce qui vient de t’arriver je pense qu’il est inutile d’essayer de te faire bander.
Ouf il se lève et je me laisse tomber sur le lit.
• Je peux rester là cette nuit j’ignore où aller dormir, comme j’avais rendez-vous avec vous, ma chambre dans l’hôtel minable où je suis descendu se trouve à l’autre bout de la ville et j’ai sommeil.
• Bien sûr elle est payée avec le petit déjeuner je vais chercher un bar encore ouvert pour noyer la perte des millions que ma connerie pour des putes comme toi va me faire perdre.
• Pourquoi vous me traitez comme cela, vous oubliez que je fais cela pour sauver mon petit frère malade, encore trois clients et j’aurais eu assez d’argent pour l’amener en Amérique pour lui faire subir l’intervention qui va le sauver et qu’ils sont seuls à faire dans le monde ?
Le pigeon est de nouveau habillé et moi jouant à merveille mon rôle étant à la limite de pleurer de rire, que dirait-il s'il savait que je suis fille unique, je le vois sortir son portefeuille.
• Tiens si cela peut t’aider à gagner la somme plus vite, j’ai perdu du fric ce soir un peu plus un peu moins mais je peux faire ce petit geste pour t’aider.
• Merci.
Je lui saute au cou par instinct risquant de réveiller sa libido mais en le poussant gentiment vers la sortie.
• Bonne chance.
Je ferme la porte et je vais me faire couler un bain, pendant ce temps je retourne sur le lit ce con m’a laissé 1 000 € supplémentaires, au lieu de devenir avocate j’aurais dû entrer à la comédie Française quoi que lorsque l’on plaide devant un Président et un jury de cour d’assises je joue aussi la comédie.
Je viens de sortir du bain quand on frappe à la porte de la chambre, je passe un peignoir et je m’approche me voyant déjà avec les menottes emmenées au poste de police mon client ayant été porté plainte.
• C’est moi le photographe, laisse-moi entrer tu n’as rien à craindre.
J’ouvre la porte à moitié rassuré.
• J’aurais pu entrer avec la carte comme la première fois mais j’ai eu peur de te faire peur.
C’est bien le beau gosse que j’ai vu au bar qui a fait la photo souhaitée par mon beau-père pour faire gagner pour notre client ce qui est loin de me déplaire surtout que quand il me la montrera c’est mon cul que je vais voir protégeant mon identité.
• Pourquoi es-tu là ?
• Pour commencer je sais que tu t’appelles Natacha, j’ai entendu le porc donner ton nom quand tu es arrivée, moi c’est Alexandre.
Mes commanditaires ont tous calculé, ils avaient peur que ton client ne devienne violent envers toi, mon contact dans l’hôtel m’a fourni le passe général des chambres et l’un d’eux a réservé la chambre voisine grâce à un réceptionniste quand ton client à réservé, en sortant je m’y suis caché et j’ai entendu qu’il parte sans te poser de problèmes.
Quand j’ai fait des photos au bar lorsque tu es arrivé et que tu as abordé le gros, je t’ai trouvé très jolie, j’avais l’impression que nous avions livré une poupée à un cochon, alors que j’aurais aimé te prendre dans mes bras.
Ce que fait mon beau gosse c’est ce que l’on appelle du rentre dedans, mon beau-père a réveillé Natacha en faisant cocu son fils alors je décide qu’Adeline fera cocu son beau-père.
Je défais la ceinture de mon vêtement de bain et une nouvelle fois je suis nue, il me prend dans ses bras et me porte sur le lit, il est encore habillé et la carrure qu’il me montre me fait baver d’envie.
Quand j’ai épousé Guy j’étais sincère quand je lui ai dit que c’était pour la vie pensant enterré les frasques des années précédentes mais quand je vois mon futur amant je sais que je vais mettre un autre coup de canif à ce contrat si je considère qu’hier c’était la pute qui est en moi que mon beau-père sautait.
Il enlève sa veste en faisant attention car il y a un système qui fait fonctionner l’appareil photo sans que quiconque ne le voie et rapidement il est à poil sa verge sans que je la touche étant déjà flamboyante.
J’étais arrivé dans cette chambre en Natacha mais maintenant que j’ai ce garçon viril devant moi et que je me suis effeuillé de ma tenue de pute, j’ai envie d’un moment de quiétude et redeviens la petite Adeline qui avait des rêves de princesse quelques mois avant de franchir le pas qui a orienté sa vie vers ce monde du sexe pour gagner de l’argent.
Je sais que dès que j’aurais quitté cette chambre les erreurs que j’ai commises vont de nouveau me rattraper à cause ou grâce à mon beau-père et vont m’entraîner dans un tourbillon m’obligeant à une fuite en avant.
J’écarte mes jambes et comme il avance la tête vers mon sexe je l’attrape par les oreilles et je le plaque sur mon clito qui semble n’attendre que cela…
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