Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT - DOMINÉ. Burn-out. (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT - DOMINÉ. Burn-out. (1/2)
30 ans, secrétaire de mon mari, donc, mariée et 4 enfants depuis l’âge de mes 20 ans tous les deux ans en moyenne.
3 ans notre garçon, 4, 9 et 10 ans nos filles, mes enfants, debout 5 heures, Email sur Internet qui va conditionner une grande partie du travail de ma journée.
Douche, un bain, je suis trop longue, préparation du petit déjeuner pour chacun ou chacune, repas personnalisé, aucun ne prenant la même chose, même si j’ai la chance d’avoir un mari et des enfants en bonne santé.
6 heures, petit bisou à Charles, mon mari pour le réveiller.
Surtout éviter de lui toucher la bite, pourtant il adore les petits coups du matin, pardon, je suis grivoise surtout que dans notre couple à part baiser, erreur encore, faire l’amour pour avoir nos enfants, lui toucher le sexe risquerait de me retarder dans ce plan matinal.
6 heures 30, levées des enfants afin de les préparer au départ à l’école et le métro pour moi car Charles part dès qu’il est debout ayant un travail important dans notre entreprise qui balbutie encore à trouver l’équilibre.
Mince Julie se met à pleurer.
• Maman, j’ai fait pipi au lit.
4 ans, que lui dire, c’est la première fois depuis presque 6 mois qu’elle couche sans les couches de nuit alors il me faut démarrer une machine pour laver le drap le temps de le faire hors du plan général du matin avant boulot.
• Jessy, nous avons fini tes devoirs hier au soir assez tard, dit moi ta récitation, je vais voir si la nuit t’a aidé à la mémoriser.
Jessy est notre aînée, elle la récite sans erreur un petit quart d’heure de gagné.
• Mon bébé debout, c’est bien ta couche est sèche, viens que je te mette sur le pot.
Remise en état des lits en rangeant tous les jouets qui sont sortis hier au soir avant que je les couche à 20 h 30, c’est le moment de repasser le linge lavé hier.
Bref, il est 7 heures 30 quand nous prenons le chemin de la maternel où je laisse mes deux plus jeunes et quelques mètres plus loin pour les plus grands alors que l’an prochain Magalie, ma grande sera au collège dans un autre quartier de notre commune, je me connais à cet âge-là pas question pour moi de la laisser y aller toute seule, il faudra que je me lève plus tôt.
Bus, métro descente à la gare de Lyon ou dans les tours Charles a implanté ses bureaux et où je dois le rejoindre car depuis un an, j’ai repris mon rôle de secrétaire pour gagner un salaire et d’autres petites économies qui vont nous permettre de passer le cap final pour pérenniser notre société.
Depuis trois jours j’ai dans mon sac les 5 000 € en liquide gagné à un jeu de grattage que j’aurais dû remettre à Charles, ce qui aurait soulagé quelques factures.
Je passe devant l’entrée de nos bureaux qui sont au 5ème étage, mais au lieu d’entrer, je continue jusqu’à la salle des pas perdus de la gare où j’entre dans la brasserie pour prendre un café afin de me galvaniser pour retrouver mes dossiers au bureau.
« Le TGV en partance pour Marseille départ quai N°3 partira dans 5 minutes ».
J’ignore si ce texte est l’intégralité de ce que j’ai entendu, mais départ pour Marseille, le soleil en ce mois de novembre cela je l’ai retenu et comme un vrai zombie je me lève laisse quelques pièces et sans réfléchir j’entre dans le dernier wagon la porte se refermant derrière moi.
• Madame, votre billet.
• Combien je vous dois, je paye avec le supplément.
Aucun remords, je sais que je viens d’abandonner mon mari et surtout mes enfants, mais j’ai agi comme il est souvent dit à la radio lorsque j’ai le temps de la mettre en marche en état de burn-out.
« Mesdames messieurs, nous arrivons dans quelques minutes à Marseille, j’espère que vous avez fait bon voyage. »
Je me retrouve sur le quai avec à mon bras mon simple sac, j’ai faim, car ce matin, le temps m’a manqué pour avaler un petit déjeuner.
Je quitte la gare, me retrouvant sur le vieux port où je m’installe à une table au soleil et où je commande une bouillabaisse, je suis à Marseille.
Le petit rosé de Provence bien frais me fait un bien fou et c’est sans aucun remords que je me dirige vers la canebière, dans une petite rue, je vois un hôtel ou je prends une chambre la payant pour deux nuits.
Cela fait plusieurs fois que mon portable sonne, je refuse de voir qui m’appelle voulant profiter de ma nouvelle liberté quelques heures encore, je le sors de mon sac et je le fais tomber dans la première poubelle que je croise.
La chambre est glauque moi qui suis de bonne famille et qui habite malgré toutes les difficultés évoquées plus haut un joli appartement dans une cité pavillonnaire.
Je sors et je vais dans une boutique où j’achète le nécessaire pour mes deux jours d’évasion.
Il est 21 heures quand l’envie de sortir me prend, je m’habile, je vais à quelques mètres de l’hôtel, il y a un bar où je franchis la porte sans penser ce que ce geste va entraîner pour moi.
Je m’assieds au bar, ma jupe remonte montrant le haut de mes bas, il y a 10 ans à la naissance de ma fille que j’ai arrêtée de fumer, le barman sort un paquet de cigarettes pour un client, j’en commande un sans penser aux allumettes, j’en sors une que je tiens dans ma main.
• Puis-je, vous donnez du feu.
• Merci.
Je mets la cigarette à ma bouche et je tire dessus.
• Je vous offre un verre.
• Merci, vous êtes bien aimable.
Je regarde plus précisément l’homme qui me parait un homme bien, son costume est irréprochable, j’ai l’impression de voir mon mari, mais en plus jeune, car il doit au maximum avoir vingt-cinq ans.
Pourquoi je le compare avec celui qui doit se demander où je suis passée depuis ce matin, mais l'ambiance feutrée du bar et la musique douce balaye mes scrupules et j’accepte, la conversation sans pouvoir dire de quoi nous parlons ?
• Cinq cents euros pour aller dans ta chambre, qu’en penses-tu ?
Tutoiement, argent, je prends conscience de ce que cet homme me propose, je suis dans un bar et il me prend pour une pute, il est vrai que je suis habillé assez sexy, ce qui est la seule concession que je fais à ma condition de femme mariée et comme je vais souvent avec Charles dans des réunions de travail, j’aime être habillé jeunes.
• Pardon.
• Je vois, tu es une belle femme et je suis en dessous de tes tarifs, 1 000 € pour une heure, tu es bandante, j’ai envie de toi.
Il doit croire que j’hésite.
• Soit sympa, j’ai cette somme en liquide sur moi et je peux te les donner dès que nous serons dans ta chambre d’hôtel.
La proposition d’aller dans ma chambre d’hôtel aurait dû m’alerter, mais je suis comme ce matin quand j’ai hésité à entrer dans les bureaux de mon mari et le train que j’ai fini par prendre.
Mon cerveau dysfonctionne, je me lève du bar pensant sortir pour partir, je passe la porte.
• Tiens voilà l’argent, conduit moi, tu me fais déjà bander.
Il est vrai que malgré mes quatre enfants, je suis bandante ayant la chance d’avoir une constitution familiale de bonne facture et les moments de vélo d’appartement que je m’impose une heure tous les soirs m’aident à rester svelte.
• Merci, tu vas apprécier, je suis un bon coup.
Pourquoi me, dit-il cela, à oui, j’ai les billets dans ma main et je suis en train de le suivre vers ma chambre ?
Je récupère ma clef, le gardien me la passe sans sourciller, même si je suis suivi d'un jeune homme.
Dès que nous avons franchi la porte, je sais que je suis piégée et qu’il va falloir que l’honnête femme que je suis encore pour quelques minutes devienne une pute qui se fait sauter pour l’argent que j’ai dans mon sac que je pose sur la table de nuit.
• Fais voir, comment tu suces ?
Sucer, jamais de la vie, mais je me baisse défaisant sa ceinture, première fois de ma vie que je le fais et je sors une queue fort intéressante, à la maison je n’ai à ma disposition que celle de Charles qui est inférieure et de beaucoup à celle qui vient naturellement dans ma cavité buccale et que je me mets à pomper.
• Salope-je savais que tu étais douée, la manière que tu as eu de tirer sur ta cigarette m’a fait comprendre que tu es la reine de l’aspiration fumée ou bite, continue, masturbe-moi, mais fait gaffe, je veux te sauter pour en avoir pour mes 1 000 €.
Je pompe, je masturbe, je pompe, je masturbe, d’un seul coup, je me retrouve sur le lit à quatre pattes, je le vois sortir une capote de la table de nuit objet insolite dans une chambre louée à une honnête femme.
Il est en moi, je mouille comme aucune fois, je n’ai mouillée, je mets moins de deux minutes à crier, non, gueuler mon plaisir, je me fais prendre et je conforte mon bas de laine gagné à la F.D.J., je viens de basculer dans le monde de la prostitution moi qui souhaitait simplement faire une pause pour fuir le burn-out qui m’était promis.
Il se sert de moi comme s’il avait dans les mains une poupée gonflable et chose étrange, j’aime cela moi qui suis toujours resté sur la réserve au sujet du sexe.
• Fais-moi boire ton sperme, j’adore.
Une fois de plus quelle mouche me pique, je connais la texture du sperme quand je me lave après que mon mari a fait son devoir conjugal, mais de là à avaler le sperme de cet inconnu, il y a un monde que je franchis allégrement quand il me quitte ôte sa capote et qu’il gicle au fond de ma bouche.
Une salope, alors que sort un jet sur les bords de ma bouche ainsi que le nez, je les récupère avec mon doigt que je suce pour éviter d’en perdre.
Je m’écroule d’épuisement malgré la sieste dans le train.
J’ouvre un œil, je suis seule repue de sexe, mais étrangement satisfaite de ma soirée et début de nuit, la première chose que je fais, c’est de regarder mon sac pour voir si mon client a laissé l’argent.
Je vous dis que je suis folle, je parle de mon client, mais comment dire autrement, je me lave et je me couche me réveillant à 13 heures.
Je me douche dans la baignoire à peine propre sortant pour aller manger.
Je mange de nouveau sur le port et je retourne à ma chambre pour me reposer, le bar est allumé et comme un automate, j’entre.
Même tabouret même place, même cigarette que j’ai mise dans mon sac et même briquet que l’on me tend.
• Mille cela te va.
Je suis vraiment devenue une pute, moi la mère de famille cela doit se voir dans mon comportement, il est vrai que les quelques filles qui sont là sentent la pute de plein nez aussi, je prends les billets carrément à la vue de certains clients avant de me lever et de le suivre.
Nous montons chez moi et la porte refermée, je vais pour m’agenouiller pour sentir de nouveau la texture d’une bite dans la bouche, je veux me délecter de celle-là persuadé que ce sera la dernière, car j’ai vu qu’il y avait un train demain matin à 8 h 30 et je suis bien décidé à le prendre…
3 ans notre garçon, 4, 9 et 10 ans nos filles, mes enfants, debout 5 heures, Email sur Internet qui va conditionner une grande partie du travail de ma journée.
Douche, un bain, je suis trop longue, préparation du petit déjeuner pour chacun ou chacune, repas personnalisé, aucun ne prenant la même chose, même si j’ai la chance d’avoir un mari et des enfants en bonne santé.
6 heures, petit bisou à Charles, mon mari pour le réveiller.
Surtout éviter de lui toucher la bite, pourtant il adore les petits coups du matin, pardon, je suis grivoise surtout que dans notre couple à part baiser, erreur encore, faire l’amour pour avoir nos enfants, lui toucher le sexe risquerait de me retarder dans ce plan matinal.
6 heures 30, levées des enfants afin de les préparer au départ à l’école et le métro pour moi car Charles part dès qu’il est debout ayant un travail important dans notre entreprise qui balbutie encore à trouver l’équilibre.
Mince Julie se met à pleurer.
• Maman, j’ai fait pipi au lit.
4 ans, que lui dire, c’est la première fois depuis presque 6 mois qu’elle couche sans les couches de nuit alors il me faut démarrer une machine pour laver le drap le temps de le faire hors du plan général du matin avant boulot.
• Jessy, nous avons fini tes devoirs hier au soir assez tard, dit moi ta récitation, je vais voir si la nuit t’a aidé à la mémoriser.
Jessy est notre aînée, elle la récite sans erreur un petit quart d’heure de gagné.
• Mon bébé debout, c’est bien ta couche est sèche, viens que je te mette sur le pot.
Remise en état des lits en rangeant tous les jouets qui sont sortis hier au soir avant que je les couche à 20 h 30, c’est le moment de repasser le linge lavé hier.
Bref, il est 7 heures 30 quand nous prenons le chemin de la maternel où je laisse mes deux plus jeunes et quelques mètres plus loin pour les plus grands alors que l’an prochain Magalie, ma grande sera au collège dans un autre quartier de notre commune, je me connais à cet âge-là pas question pour moi de la laisser y aller toute seule, il faudra que je me lève plus tôt.
Bus, métro descente à la gare de Lyon ou dans les tours Charles a implanté ses bureaux et où je dois le rejoindre car depuis un an, j’ai repris mon rôle de secrétaire pour gagner un salaire et d’autres petites économies qui vont nous permettre de passer le cap final pour pérenniser notre société.
Depuis trois jours j’ai dans mon sac les 5 000 € en liquide gagné à un jeu de grattage que j’aurais dû remettre à Charles, ce qui aurait soulagé quelques factures.
Je passe devant l’entrée de nos bureaux qui sont au 5ème étage, mais au lieu d’entrer, je continue jusqu’à la salle des pas perdus de la gare où j’entre dans la brasserie pour prendre un café afin de me galvaniser pour retrouver mes dossiers au bureau.
« Le TGV en partance pour Marseille départ quai N°3 partira dans 5 minutes ».
J’ignore si ce texte est l’intégralité de ce que j’ai entendu, mais départ pour Marseille, le soleil en ce mois de novembre cela je l’ai retenu et comme un vrai zombie je me lève laisse quelques pièces et sans réfléchir j’entre dans le dernier wagon la porte se refermant derrière moi.
• Madame, votre billet.
• Combien je vous dois, je paye avec le supplément.
Aucun remords, je sais que je viens d’abandonner mon mari et surtout mes enfants, mais j’ai agi comme il est souvent dit à la radio lorsque j’ai le temps de la mettre en marche en état de burn-out.
« Mesdames messieurs, nous arrivons dans quelques minutes à Marseille, j’espère que vous avez fait bon voyage. »
Je me retrouve sur le quai avec à mon bras mon simple sac, j’ai faim, car ce matin, le temps m’a manqué pour avaler un petit déjeuner.
Je quitte la gare, me retrouvant sur le vieux port où je m’installe à une table au soleil et où je commande une bouillabaisse, je suis à Marseille.
Le petit rosé de Provence bien frais me fait un bien fou et c’est sans aucun remords que je me dirige vers la canebière, dans une petite rue, je vois un hôtel ou je prends une chambre la payant pour deux nuits.
Cela fait plusieurs fois que mon portable sonne, je refuse de voir qui m’appelle voulant profiter de ma nouvelle liberté quelques heures encore, je le sors de mon sac et je le fais tomber dans la première poubelle que je croise.
La chambre est glauque moi qui suis de bonne famille et qui habite malgré toutes les difficultés évoquées plus haut un joli appartement dans une cité pavillonnaire.
Je sors et je vais dans une boutique où j’achète le nécessaire pour mes deux jours d’évasion.
Il est 21 heures quand l’envie de sortir me prend, je m’habile, je vais à quelques mètres de l’hôtel, il y a un bar où je franchis la porte sans penser ce que ce geste va entraîner pour moi.
Je m’assieds au bar, ma jupe remonte montrant le haut de mes bas, il y a 10 ans à la naissance de ma fille que j’ai arrêtée de fumer, le barman sort un paquet de cigarettes pour un client, j’en commande un sans penser aux allumettes, j’en sors une que je tiens dans ma main.
• Puis-je, vous donnez du feu.
• Merci.
Je mets la cigarette à ma bouche et je tire dessus.
• Je vous offre un verre.
• Merci, vous êtes bien aimable.
Je regarde plus précisément l’homme qui me parait un homme bien, son costume est irréprochable, j’ai l’impression de voir mon mari, mais en plus jeune, car il doit au maximum avoir vingt-cinq ans.
Pourquoi je le compare avec celui qui doit se demander où je suis passée depuis ce matin, mais l'ambiance feutrée du bar et la musique douce balaye mes scrupules et j’accepte, la conversation sans pouvoir dire de quoi nous parlons ?
• Cinq cents euros pour aller dans ta chambre, qu’en penses-tu ?
Tutoiement, argent, je prends conscience de ce que cet homme me propose, je suis dans un bar et il me prend pour une pute, il est vrai que je suis habillé assez sexy, ce qui est la seule concession que je fais à ma condition de femme mariée et comme je vais souvent avec Charles dans des réunions de travail, j’aime être habillé jeunes.
• Pardon.
• Je vois, tu es une belle femme et je suis en dessous de tes tarifs, 1 000 € pour une heure, tu es bandante, j’ai envie de toi.
Il doit croire que j’hésite.
• Soit sympa, j’ai cette somme en liquide sur moi et je peux te les donner dès que nous serons dans ta chambre d’hôtel.
La proposition d’aller dans ma chambre d’hôtel aurait dû m’alerter, mais je suis comme ce matin quand j’ai hésité à entrer dans les bureaux de mon mari et le train que j’ai fini par prendre.
Mon cerveau dysfonctionne, je me lève du bar pensant sortir pour partir, je passe la porte.
• Tiens voilà l’argent, conduit moi, tu me fais déjà bander.
Il est vrai que malgré mes quatre enfants, je suis bandante ayant la chance d’avoir une constitution familiale de bonne facture et les moments de vélo d’appartement que je m’impose une heure tous les soirs m’aident à rester svelte.
• Merci, tu vas apprécier, je suis un bon coup.
Pourquoi me, dit-il cela, à oui, j’ai les billets dans ma main et je suis en train de le suivre vers ma chambre ?
Je récupère ma clef, le gardien me la passe sans sourciller, même si je suis suivi d'un jeune homme.
Dès que nous avons franchi la porte, je sais que je suis piégée et qu’il va falloir que l’honnête femme que je suis encore pour quelques minutes devienne une pute qui se fait sauter pour l’argent que j’ai dans mon sac que je pose sur la table de nuit.
• Fais voir, comment tu suces ?
Sucer, jamais de la vie, mais je me baisse défaisant sa ceinture, première fois de ma vie que je le fais et je sors une queue fort intéressante, à la maison je n’ai à ma disposition que celle de Charles qui est inférieure et de beaucoup à celle qui vient naturellement dans ma cavité buccale et que je me mets à pomper.
• Salope-je savais que tu étais douée, la manière que tu as eu de tirer sur ta cigarette m’a fait comprendre que tu es la reine de l’aspiration fumée ou bite, continue, masturbe-moi, mais fait gaffe, je veux te sauter pour en avoir pour mes 1 000 €.
Je pompe, je masturbe, je pompe, je masturbe, d’un seul coup, je me retrouve sur le lit à quatre pattes, je le vois sortir une capote de la table de nuit objet insolite dans une chambre louée à une honnête femme.
Il est en moi, je mouille comme aucune fois, je n’ai mouillée, je mets moins de deux minutes à crier, non, gueuler mon plaisir, je me fais prendre et je conforte mon bas de laine gagné à la F.D.J., je viens de basculer dans le monde de la prostitution moi qui souhaitait simplement faire une pause pour fuir le burn-out qui m’était promis.
Il se sert de moi comme s’il avait dans les mains une poupée gonflable et chose étrange, j’aime cela moi qui suis toujours resté sur la réserve au sujet du sexe.
• Fais-moi boire ton sperme, j’adore.
Une fois de plus quelle mouche me pique, je connais la texture du sperme quand je me lave après que mon mari a fait son devoir conjugal, mais de là à avaler le sperme de cet inconnu, il y a un monde que je franchis allégrement quand il me quitte ôte sa capote et qu’il gicle au fond de ma bouche.
Une salope, alors que sort un jet sur les bords de ma bouche ainsi que le nez, je les récupère avec mon doigt que je suce pour éviter d’en perdre.
Je m’écroule d’épuisement malgré la sieste dans le train.
J’ouvre un œil, je suis seule repue de sexe, mais étrangement satisfaite de ma soirée et début de nuit, la première chose que je fais, c’est de regarder mon sac pour voir si mon client a laissé l’argent.
Je vous dis que je suis folle, je parle de mon client, mais comment dire autrement, je me lave et je me couche me réveillant à 13 heures.
Je me douche dans la baignoire à peine propre sortant pour aller manger.
Je mange de nouveau sur le port et je retourne à ma chambre pour me reposer, le bar est allumé et comme un automate, j’entre.
Même tabouret même place, même cigarette que j’ai mise dans mon sac et même briquet que l’on me tend.
• Mille cela te va.
Je suis vraiment devenue une pute, moi la mère de famille cela doit se voir dans mon comportement, il est vrai que les quelques filles qui sont là sentent la pute de plein nez aussi, je prends les billets carrément à la vue de certains clients avant de me lever et de le suivre.
Nous montons chez moi et la porte refermée, je vais pour m’agenouiller pour sentir de nouveau la texture d’une bite dans la bouche, je veux me délecter de celle-là persuadé que ce sera la dernière, car j’ai vu qu’il y avait un train demain matin à 8 h 30 et je suis bien décidé à le prendre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci, au fil des mois, je pense que je m'améliore sur l'écriture de mes textes, mais là ou je travail beaucoup les scénarios, prenez Marie Antoinette, j'ai travaillé sur internet exemple il est reconnu qu'après la mort du roi 5 mois avant que je l'ai amené dans notre temps, ses cheveux sont devenues tout blanc...
très belle histoire surtout bien raconté!
Fantasme ou réalité, cela n'a pas d'importance quand c'est si bien écrit
Fantasme ou réalité, cela n'a pas d'importance quand c'est si bien écrit