Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. La jeune fille de la fac (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. La jeune fille de la fac (3/3)
J’ai fini par la baiser sans qu’elle remarque que je suis l’un des étudiants de la fac de Nanterre où nous faisons nos études afin de devenir avocat dès la fin de cette année grâce à un déguisement.
Il nous restera deux ans dans un bureau d’avocat pour avoir le droit de porter la robe si chère à ma grand-mère qui m’a laissé me laissant un petit pécule.
J’ai su par un vieil ami que dans sa jeunesse, elle avait été amoureuse d’un avocat venu à Rennes défendre un truand, elle avait fauté comme il se disait en ce temps-là et maman était née neuf mois plus tard.
Il était reparti à Paris retrouver sa femme, à part à la télé où quelquefois elle le voyait, elle avait eu beau pleurer toutes les larmes de son corps, maman est venue au monde, elle a eu droit au déshonneur et a élevé maman seule.
Sans le savoir, elle m’enlève mon pucelage, je devrais être fière d’avoir réussi à faire jouir une pute ayant eu un grand nombre de bites reçu par tous ses trous, en premier satisfait de l’avoir sodomisé, dans une position qu’elle semble ignorer.
Au matin, après avoir enfilé mes vêtements, je suis anxieux, j’ai vu le prix de la bouteille de champagne qu’elle m’a fait ouvrir, buvant la moitié de sa coupe.
Elle doit avoir un arrangement avec le réceptionniste et doit récupérer un petit pécule sur chaque bouteille, en faisant ça, elle montre qu’elle est pute jusqu’au bout de ses ongles peint en bleu.
Lorsque je quitte la chambre, la porte de celle d’en face est ouverte, un panier à linge sale la bloque, j’entends chanter dans la salle de bains, j’entre en catimini et je vais jusqu’au minibar.
Une fiole de whisky est ouverte, j’ouvre le frigo, une bouteille non entamée est là avec ses deux coupes, je m’en saisis et prestement je retourne dans ma chambre, je remets tous en place et je ressors, les coupes et la bouteille entamée en main.
Pas de chance, la femme de ménage est revenue faire le lit, elle me voit et je la salue, elle me tourne le dos, je soulève des draps et y dépose le tout, avant que l’on découvre la supercherie et serait loin.
J’ai la preuve de la connivence entre Jennifer et le réceptionniste.
• Vous avez bu des consommations dans le bar.
• Rien, vous pouvez contrôler.
• Attendez, je me renseigne.
J’attends, il sait que nous avons ouvert le champagne et est étonné que je dise qu’ils vont s’asseoir sur les 90 € qu’elle coûte, ils sont bien de mèche, je suis bien décidé à faire payer cher à cette petite pute toutes ces petites trahisons.
Le coup de fil qu’il a passé s’éternise, je pense voir arriver à tout instant le directeur me traitant de voleur, il écoute et raccroche.
• Excusez d’avoir demandé à la responsable de l’étage de vérifier, si vous saviez le déficit de ces minibars, les clients embarquant le tout dans leurs bagages.
Voici votre note.
Heureusement que j’ai réussi le coup du champagne, quand je règle la note, avec les divers frais engagés pour perdre mon pucelage avec la petite pute de la fac, il m’aurait manqué quelques euros sur les 3 000 pris sur mes réserves.
Par chance, les jours suivants ce sont les congés, je trouve un job jusqu’à 14 heures non loin de la gare de Lyon dans un restaurant à bouffe rapide.
En sortant, je vais au bar où j’ai surveillé la sortie de Jennifer, je la vois sortir sa valise à roulette à différentes heures se rendant à l’hôtel, il semble que ce soit une petite escorte très demandée, je vois même une fois l’homme qui avait donné un billet au réceptionniste revenir la baiser.
Je le hais avoir son cul grâce à son fric, j’ai un sentiment de jalousie.
Au bout des vacances, le grand nombre de fois où après mon travail, je l’ai vu aller faire des passes me donnent le cafard quand je reçois ce que j’ai gagné à retourner des centaines de steaks congelés.
Si je déduis les cafés que je prends chaque fois que je suis assis à l’une des tables, je suis loin d’avoir repris l’argent qu’elle m’a coûté, même si le souvenir de son petit cul nue avec sa guêpière me permet de me taper des rassis le soir dans mon lit.
Mes cheveux sont presque revenus normaux, le gris est entièrement parti, je retourne chez le coiffeur qui me les coupe assez ras, encore une dépense, mais qui aura le mérite des frais jusqu’à l’obtention de mon diplôme.
• C’est drôle, j’ai une impression de déjà-vu, se connaît-on ?
• Hors d’ici, non, je te vois souvent dans l’amphithéâtre où tu sembles trop seule, j’ai souvent voulu venir te parler, mais j’ai beau avoir 23 ans, je suis un indécrottable timide.
• Tu as tort, tu es joli garçon, mais tu sais, ma mère m’a élevé seule et il est impossible que je loupe l’examen final, j’ai une place dans la ville où nous vivons qui m’attend dans une étude, je travaille toute la journée et toutes mes soirées.
Ici toute la journée, oui, mais chez elle, j’en doute un peu sachant ce que je sais.
Elle m’apprend que sa maman habite Orléans, je lui dis que je suis de Rennes, nous entrons ensemble et pour la première fois, je m’assois à ses côtés.
Je passe, les jours suivants à lui faire du rentre-dedans sans grand succès, je veux la reconduire, mais elle me ferme la porte à toute venue près du lieu où elle habite et surtout tapine.
Pour éviter mes soupçons, elle trouve comme excuse, une petite mémé qui lui loue une chambre, mais ses enfants lui ont interdit de faire venir des garçons dans sa chambre.
• Viens travailler dans ma chambre, c’est petit, mais sympa, nous passerons des soirées ensemble.
• Je te vois venir, je dois t’avouer que je suis vierge et que seul mon mari la nuit de nos noces me verra nue, avec maman, nous sommes très croyantes, à Paris avec mes études, j’oublie d’aller à la messe, mais tous les soirs je pris avant de me coucher.
Une nouvelle fois, j’ai envie de lui dire qu’elle prie que de beaux billets entre 100 et 200 € entrent dans son escarcelle et que la vierge qu’elle prétend être, reçoit de nombreuses verges dans son anus.
Bien sûr, j’ai le droit à ses soirées quand son portable reste muet, il lui arrive fréquemment de répondre à ses clients à la fac, chaque fois elle s’isole, elle a des clients en moyenne cinq jours sur sept et jamais les dimanches que nous passons ensemble.
Les semaines passantes, j’arrive à lui prendre la main et un jour dans ma chambre, nous avons notre premier baisé.
Deuxième si je compte le baiser volé à la pute sur le lit dans l’hôtel.
Comment dire, les sentiments qui montent en nous, elle avait parlé de son fiancé qui aurait sa fausse virginité, j’ai en mémoire les moments chauds qu’elle ignore que j’ai eu avec elle.
Mais comment va-t-elle me faire croire qu’elle est une jeune vierge quand la veille de notre examen final, je m’agenouille pour lui offrir la bague que ma grand-mère m’a donnée pour ma promise.
Maman est là à Orléans lorsque nous nous disons « oui », ainsi que ma belle-mère qui m’a adopté, j’ai rencontré l’avocat qui doit nous céder son cabinet pour partir à la retraite, j’ai investi les euros restants de ma propre grand-mère, nous serons associés à 70 contre 30.
C’est ce que j’ai signé sur le contrat de mariage que ma belle-mère m’a fait signer sans se préoccuper comment sa chaste fille à gagner son compte épargne.
C’est ma belle-mère qui me conduit dans la chambre où nous allons passer la nuit avec celle qui sera devenue ma femme.
Je sais, je vais épouser une pute, mais de ce que je sais de ces filles, elles sont fidèles quand elle quitte le métier, Jennifer Durand, car c’est son vrai nom, ayant payé ses études et l’achat du cabinet qu’elle convoitait devrait être fidèle à la règle.
Certains disent pute un jour, pute toujours, oui, mais je l’espère dans mon lit surtout que j’ai tout préparé pour la recevoir comme elle le mérite.
Elle est belle à l’entrée de la mairie puis de l’église où le curé nous attend, je passe le repas pour arriver à ma nuit de noces.
• Mon amour, enlève-moi ma robe immaculée, tu as été patient et prévenant attendant le moment de m’avoir nue dans tes bras.
Je la déshabille et là au lieu de la coucher tendrement sur son lit qu’elle veut me faire croire virginal, je la balance dessus et je viens m’asseoir sur ses seins.
J’ai sorti ma queue que je présente à sa bouche, elle se débat, la ferme hermétiquement, je lui pince le nez et quand elle cherche son air, je me mets à uriner dans sa cavité, elle déglutit, je passe ma main sous mon oreiller.
• Bois tout salope, tient ça, c’est pour toi, je me souviens que pour que tu acceptes de boire l’urine de tes clients, c’était 500 €, les voilà, ce sera la dernière fois que tu seras rémunéré comme pute.
Ma vessie vidée, je m’écarte.
• Fais-moi voir ce que tu as dans ta main et que tu as saisie dans ton sac une fois nue.
Elle ouvre sa main, une seringue pleine de sang.
• Arrête de pleurer, tu voulais ma faire croire à ta virginité en mettant dans le lit du sang que tu as dû soutirer dans ton bras, regarde, on voit encore l’endroit où tu as piqué.
• Qui es-tu, j’avais un moment l’impression de te connaître !
• Comme ça, me remets-tu ?
Je passe ma main sous l’oreiller et je sors la moustache, il reste un brin de colle, je la place sur ma lèvre.
• Je te reconnais, tu étais le client qui m’a fait jouir, ne dit rien à maman, ça la tuerait.
• Je m’en garderais bien, tu as vu comme moi comme nos mères ont passé la soirée à danser les yeux dans les yeux, ma mère aime les amours féminines depuis que mon père l’a abandonnée enceinte, il se peut que nous allions à leurs noces dans les mois prochains.
• Je sais que la mienne est restée chaste depuis qu’elle aussi on l’a abandonné.
• Je ne dis rien à une condition, nous retournons chez le notaire et dans le cabinet où nous investissons, ce sera 50/50.
• Aucun problème, nous irons rectifier le contrat, ça veut dire que nous allons rester mariés, pourquoi as-tu été jusqu’au mariage puisque tu savais ?
• Regarde le dernier indice que j’ai caché sous mon oreiller !
• Une fiole identique à celle que je me servais pour me préparer l’anus avant que l’on m’encule.
• C’est cette femme-là que je veux avoir comme femme, une pucelle peu pour moi, prépare-toi la rosette en levant tes jambes.
Elle se repositionne comme dans la salle de bains où elle tapinait, s’introduisant deux doigts dans l’anus.
• Après les nombreux sexes qui t’ont défoncé, tu dois faire mieux que ça mets en trois, mieux quatre.
Je te promets la réussite dans notre couple, si tu reste ma petite chienne et dans notre travail quand nous prendrons définitivement notre affaire en main.
• En attendant laisse-moi prendre ta verge en main.
Elle la saisit et se l’introduit dans l’anus, j’ai bien réussi, nous allons avoir une vie sexuelle très intense.
Il nous restera deux ans dans un bureau d’avocat pour avoir le droit de porter la robe si chère à ma grand-mère qui m’a laissé me laissant un petit pécule.
J’ai su par un vieil ami que dans sa jeunesse, elle avait été amoureuse d’un avocat venu à Rennes défendre un truand, elle avait fauté comme il se disait en ce temps-là et maman était née neuf mois plus tard.
Il était reparti à Paris retrouver sa femme, à part à la télé où quelquefois elle le voyait, elle avait eu beau pleurer toutes les larmes de son corps, maman est venue au monde, elle a eu droit au déshonneur et a élevé maman seule.
Sans le savoir, elle m’enlève mon pucelage, je devrais être fière d’avoir réussi à faire jouir une pute ayant eu un grand nombre de bites reçu par tous ses trous, en premier satisfait de l’avoir sodomisé, dans une position qu’elle semble ignorer.
Au matin, après avoir enfilé mes vêtements, je suis anxieux, j’ai vu le prix de la bouteille de champagne qu’elle m’a fait ouvrir, buvant la moitié de sa coupe.
Elle doit avoir un arrangement avec le réceptionniste et doit récupérer un petit pécule sur chaque bouteille, en faisant ça, elle montre qu’elle est pute jusqu’au bout de ses ongles peint en bleu.
Lorsque je quitte la chambre, la porte de celle d’en face est ouverte, un panier à linge sale la bloque, j’entends chanter dans la salle de bains, j’entre en catimini et je vais jusqu’au minibar.
Une fiole de whisky est ouverte, j’ouvre le frigo, une bouteille non entamée est là avec ses deux coupes, je m’en saisis et prestement je retourne dans ma chambre, je remets tous en place et je ressors, les coupes et la bouteille entamée en main.
Pas de chance, la femme de ménage est revenue faire le lit, elle me voit et je la salue, elle me tourne le dos, je soulève des draps et y dépose le tout, avant que l’on découvre la supercherie et serait loin.
J’ai la preuve de la connivence entre Jennifer et le réceptionniste.
• Vous avez bu des consommations dans le bar.
• Rien, vous pouvez contrôler.
• Attendez, je me renseigne.
J’attends, il sait que nous avons ouvert le champagne et est étonné que je dise qu’ils vont s’asseoir sur les 90 € qu’elle coûte, ils sont bien de mèche, je suis bien décidé à faire payer cher à cette petite pute toutes ces petites trahisons.
Le coup de fil qu’il a passé s’éternise, je pense voir arriver à tout instant le directeur me traitant de voleur, il écoute et raccroche.
• Excusez d’avoir demandé à la responsable de l’étage de vérifier, si vous saviez le déficit de ces minibars, les clients embarquant le tout dans leurs bagages.
Voici votre note.
Heureusement que j’ai réussi le coup du champagne, quand je règle la note, avec les divers frais engagés pour perdre mon pucelage avec la petite pute de la fac, il m’aurait manqué quelques euros sur les 3 000 pris sur mes réserves.
Par chance, les jours suivants ce sont les congés, je trouve un job jusqu’à 14 heures non loin de la gare de Lyon dans un restaurant à bouffe rapide.
En sortant, je vais au bar où j’ai surveillé la sortie de Jennifer, je la vois sortir sa valise à roulette à différentes heures se rendant à l’hôtel, il semble que ce soit une petite escorte très demandée, je vois même une fois l’homme qui avait donné un billet au réceptionniste revenir la baiser.
Je le hais avoir son cul grâce à son fric, j’ai un sentiment de jalousie.
Au bout des vacances, le grand nombre de fois où après mon travail, je l’ai vu aller faire des passes me donnent le cafard quand je reçois ce que j’ai gagné à retourner des centaines de steaks congelés.
Si je déduis les cafés que je prends chaque fois que je suis assis à l’une des tables, je suis loin d’avoir repris l’argent qu’elle m’a coûté, même si le souvenir de son petit cul nue avec sa guêpière me permet de me taper des rassis le soir dans mon lit.
Mes cheveux sont presque revenus normaux, le gris est entièrement parti, je retourne chez le coiffeur qui me les coupe assez ras, encore une dépense, mais qui aura le mérite des frais jusqu’à l’obtention de mon diplôme.
• C’est drôle, j’ai une impression de déjà-vu, se connaît-on ?
• Hors d’ici, non, je te vois souvent dans l’amphithéâtre où tu sembles trop seule, j’ai souvent voulu venir te parler, mais j’ai beau avoir 23 ans, je suis un indécrottable timide.
• Tu as tort, tu es joli garçon, mais tu sais, ma mère m’a élevé seule et il est impossible que je loupe l’examen final, j’ai une place dans la ville où nous vivons qui m’attend dans une étude, je travaille toute la journée et toutes mes soirées.
Ici toute la journée, oui, mais chez elle, j’en doute un peu sachant ce que je sais.
Elle m’apprend que sa maman habite Orléans, je lui dis que je suis de Rennes, nous entrons ensemble et pour la première fois, je m’assois à ses côtés.
Je passe, les jours suivants à lui faire du rentre-dedans sans grand succès, je veux la reconduire, mais elle me ferme la porte à toute venue près du lieu où elle habite et surtout tapine.
Pour éviter mes soupçons, elle trouve comme excuse, une petite mémé qui lui loue une chambre, mais ses enfants lui ont interdit de faire venir des garçons dans sa chambre.
• Viens travailler dans ma chambre, c’est petit, mais sympa, nous passerons des soirées ensemble.
• Je te vois venir, je dois t’avouer que je suis vierge et que seul mon mari la nuit de nos noces me verra nue, avec maman, nous sommes très croyantes, à Paris avec mes études, j’oublie d’aller à la messe, mais tous les soirs je pris avant de me coucher.
Une nouvelle fois, j’ai envie de lui dire qu’elle prie que de beaux billets entre 100 et 200 € entrent dans son escarcelle et que la vierge qu’elle prétend être, reçoit de nombreuses verges dans son anus.
Bien sûr, j’ai le droit à ses soirées quand son portable reste muet, il lui arrive fréquemment de répondre à ses clients à la fac, chaque fois elle s’isole, elle a des clients en moyenne cinq jours sur sept et jamais les dimanches que nous passons ensemble.
Les semaines passantes, j’arrive à lui prendre la main et un jour dans ma chambre, nous avons notre premier baisé.
Deuxième si je compte le baiser volé à la pute sur le lit dans l’hôtel.
Comment dire, les sentiments qui montent en nous, elle avait parlé de son fiancé qui aurait sa fausse virginité, j’ai en mémoire les moments chauds qu’elle ignore que j’ai eu avec elle.
Mais comment va-t-elle me faire croire qu’elle est une jeune vierge quand la veille de notre examen final, je m’agenouille pour lui offrir la bague que ma grand-mère m’a donnée pour ma promise.
Maman est là à Orléans lorsque nous nous disons « oui », ainsi que ma belle-mère qui m’a adopté, j’ai rencontré l’avocat qui doit nous céder son cabinet pour partir à la retraite, j’ai investi les euros restants de ma propre grand-mère, nous serons associés à 70 contre 30.
C’est ce que j’ai signé sur le contrat de mariage que ma belle-mère m’a fait signer sans se préoccuper comment sa chaste fille à gagner son compte épargne.
C’est ma belle-mère qui me conduit dans la chambre où nous allons passer la nuit avec celle qui sera devenue ma femme.
Je sais, je vais épouser une pute, mais de ce que je sais de ces filles, elles sont fidèles quand elle quitte le métier, Jennifer Durand, car c’est son vrai nom, ayant payé ses études et l’achat du cabinet qu’elle convoitait devrait être fidèle à la règle.
Certains disent pute un jour, pute toujours, oui, mais je l’espère dans mon lit surtout que j’ai tout préparé pour la recevoir comme elle le mérite.
Elle est belle à l’entrée de la mairie puis de l’église où le curé nous attend, je passe le repas pour arriver à ma nuit de noces.
• Mon amour, enlève-moi ma robe immaculée, tu as été patient et prévenant attendant le moment de m’avoir nue dans tes bras.
Je la déshabille et là au lieu de la coucher tendrement sur son lit qu’elle veut me faire croire virginal, je la balance dessus et je viens m’asseoir sur ses seins.
J’ai sorti ma queue que je présente à sa bouche, elle se débat, la ferme hermétiquement, je lui pince le nez et quand elle cherche son air, je me mets à uriner dans sa cavité, elle déglutit, je passe ma main sous mon oreiller.
• Bois tout salope, tient ça, c’est pour toi, je me souviens que pour que tu acceptes de boire l’urine de tes clients, c’était 500 €, les voilà, ce sera la dernière fois que tu seras rémunéré comme pute.
Ma vessie vidée, je m’écarte.
• Fais-moi voir ce que tu as dans ta main et que tu as saisie dans ton sac une fois nue.
Elle ouvre sa main, une seringue pleine de sang.
• Arrête de pleurer, tu voulais ma faire croire à ta virginité en mettant dans le lit du sang que tu as dû soutirer dans ton bras, regarde, on voit encore l’endroit où tu as piqué.
• Qui es-tu, j’avais un moment l’impression de te connaître !
• Comme ça, me remets-tu ?
Je passe ma main sous l’oreiller et je sors la moustache, il reste un brin de colle, je la place sur ma lèvre.
• Je te reconnais, tu étais le client qui m’a fait jouir, ne dit rien à maman, ça la tuerait.
• Je m’en garderais bien, tu as vu comme moi comme nos mères ont passé la soirée à danser les yeux dans les yeux, ma mère aime les amours féminines depuis que mon père l’a abandonnée enceinte, il se peut que nous allions à leurs noces dans les mois prochains.
• Je sais que la mienne est restée chaste depuis qu’elle aussi on l’a abandonné.
• Je ne dis rien à une condition, nous retournons chez le notaire et dans le cabinet où nous investissons, ce sera 50/50.
• Aucun problème, nous irons rectifier le contrat, ça veut dire que nous allons rester mariés, pourquoi as-tu été jusqu’au mariage puisque tu savais ?
• Regarde le dernier indice que j’ai caché sous mon oreiller !
• Une fiole identique à celle que je me servais pour me préparer l’anus avant que l’on m’encule.
• C’est cette femme-là que je veux avoir comme femme, une pucelle peu pour moi, prépare-toi la rosette en levant tes jambes.
Elle se repositionne comme dans la salle de bains où elle tapinait, s’introduisant deux doigts dans l’anus.
• Après les nombreux sexes qui t’ont défoncé, tu dois faire mieux que ça mets en trois, mieux quatre.
Je te promets la réussite dans notre couple, si tu reste ma petite chienne et dans notre travail quand nous prendrons définitivement notre affaire en main.
• En attendant laisse-moi prendre ta verge en main.
Elle la saisit et se l’introduit dans l’anus, j’ai bien réussi, nous allons avoir une vie sexuelle très intense.
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Les avis des lecteurs
Nov. 7, 2017. Tout est bien qui finit bien, et même John La Semelle en a eu une super pour terminer.
merci pour mon fan... ou ma fane...