Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. Tantine. (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. Tantine. (1/2)
• Viviane peux-tu recevoir ta filleule chez toi pendant ses cinq années d’études à la fac de Nanterre pour qu’elle fasse son droit ?
Au moment ou maman fait cette demande à sa sœur je sais qu’une grande partie de mon avenir se joue car je sais que si elle refuse je serais obligée de rentrer à Tour faire un simple BTS me permettant de devenir au plus greffière dans un tribunal alors que je rêve d’être juge.
• Tu sais Virginie comme je tiens à ma filleule, moi qui suis sans enfant quand elle est née et que tu m’as demandé d’être sa marraine mais !
J’ai peur de la fin de sa phrase, s’est foutu le BTS est proche.
• Mais elle peut compter sur moi, à une condition.
• Je l’accepte d’avance marraine.
• Attends, tu es grande Lolo j’ai une vie très indépendante et il m’arrive de recevoir des hommes chez moi car je suis très gourmand côté sexe.
• Marraine, je suis encore vierge, j’ai du mal à parler de cela devant maman mais je te promets il te suffira de me dire que tu reçois, je comprends que tu aies des besoins alors je resterais dans ma chambre à faire mes devoirs.
Je suis déjà venue chez toi pendant les vacances, je sais que dans la chambre ou je vais coucher j’aurais mes propres toilettes avec douche cela me suffit.
• Alors j’accepte mais nous verrons les détails à la rentrée quand tu arriveras, viens quelques jours avant que nous marquions nos territoires.
Les vacances me paraissent longues jusqu’au jour où papa et maman apporte mes affaires avec notre voiture.
Ils restent jusqu’au lendemain ou auprès de grosses bises ils rentrent chez nous.
• Lolo, assieds-toi nous avions prévu de discuter, veux-tu un verre ?
• Sans alcool oui.
• Non, nouvelle vie, nouvelles habitudes, chaque soir où je serais là je prends l’apéro, un verre de whisky nous fera du bien.
• Je veux bien goûter.
Je bois mon premier verre ce qui me fait tourner un peu la tête et me permet de délier ma langue.
• Laure, quand ma sœur m’a demandé d’accepter que tu viennes, tu as dit que tu étais vierge, c’était vrai.
• Oui enfin presque depuis la situation a évolué.
• L’as-tu perdu ?
• Oui deux fois pendant les vacances.
• Deux fois ?
• Oui, je suis bête, j’ai fait l’amour deux fois avec deux garçons différents.
• Le même jour ?
• A non, la première fois c’était le soir du 14 juillet au bal où j’étais allée avec la ferme intention de finir la nuit en ayant perdu cette putain de membrane, nous sommes trois copines et les autres l’avaient déjà perdu.
• Et cela s’est bien passé.
• Oui le garçon que j’avais choisi pour qu’il me l’ôte avait une chambre non loin de là, je me suis déshabillé je l’ai masturbé et après lui avoir enfilé une capote il est entré en moi, j’ai senti la capote réagir quand il a éjaculé et c’était fini.
Je me suis levée mais j’avais mal à la chatte, une douleur sourde, il a voulu recommencer mais j’ai dit non.
• Beaucoup de filles ont mal la première fois, ce qui est très bien c’est que tu l’aies fait avec protection, ce soir j’ai un copain qui vient me voir et même après des années nous employons toujours des capotes.
• Ce soir il faut que je reste dans ma chambre.
• Tu as tout compris, si un soir tu amènes un copain tu pourras, je vais te mettre une pancarte sur ta porte, avec « Yes », « No » si tu mets « Yes » tu es avec quelqu’un, idem pour ma chambre se sera plus simple.
Je t’ai interrompu et la deuxième fois.
• Cinq jours plus tard, un garçon que j’ai rencontré à la piscine, un garçon je devrais dire un adulte, il avait la quarantaine et quand il a souhaité m’emmener dans son lit la différence d’âge m’a paru futile surtout quand il s’est occupé de moi, ma chatte a été rapidement en feu.
• As-tu joui ?
• Comment te dire, as-tu déjà eu l’impression que ton corps est rempli et qu’une plénitude s’installe en toi jusqu’à ce qu’une boule monte le long de ton corps.
C’était comme cela, avec lui et pendant les deux jours où nous avons été ensemble chaque fois qu’il me remplissait le vagin j’avais l’impression de flotter dans l’air.
J’attends le suivant pour voir si je retrouverais ses bons moments.
• Il t’a quitté.
• J’aurais bien continué jusqu’au moment de venir ici mais il m’a téléphoné qu’il était marié et que sa femme avait émis des doutes sur sa fidélité et que nous deux c’était terminé et me voilà.
• C’est bien ma grande, je crois que si tu respect notre accord nous nous entendrons très bien.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre, tantine me quitte toujours aussi sexy dans ses tenues affriolantes.
Fidèle à ma parole je me couche et je regarde la télé que marraine m’a fait installer avant que j’arrive.
J’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir et environ une heure après la porte claque le copain de marraine semble être parti.
• Laure, ce week-end je pars deux jours en Italie, j’ai une cliente à voir elle souhaite renouveler sa gamme de rouges à lèvres pour son institut, je la connais je vais remplir mon carnet de commandes.
• Pourquoi y vas-tu le week-end ?
• Je fais mon meilleur chiffre à ces moments-là les clients ont plus de temps et sont plus décontracts.
C’est vraie tantine représente une marque de produits de beauté c’est du moins ce que j’ai toujours entendu dire dans la famille.
Comme elle me l’a dit, elle m’embrasse et me quitte, je sors sur le balcon et je la vois sortir du parking souterrain au volant de sa voiture de sport rouge, j’aimerais gagner autant d’argent qu’elle pour m’en acheter une identique mais avant il va falloir que je passe mon permis.
Le week-end se passe sans encombre et je commence mes premiers cours, il est fréquent que le panneau « Yes » soit retourné quand je rentre mais au bout d’un mois que je suis là elle reçoit beaucoup mais elle reste très discrète car aucun de ses copains ne m’est présenté.
La seule chose que je remarque ou plutôt que j’entends sait l’eau du bain qu’elle fait couler et souvent elle me rejoint dans la cuisine ou le salon dans des déshabillés vaporeux de diverses couleurs.
Tantine part un week-end, au bout d’un moment j’ai du vague à l’âme et il me vient l’idée d’aller voir l’un de ses déshabillés, je constate que sa porte est fermée à clef, j’ai quelquefois rencontré sa femme de ménage une petite vieille qui habite une maison délabrée à deux pas de chez nous et je l’ai vu prendre quelque chose sur l’étagère de l’entrée, c’est la clef.
J’entre, ce matin elle est venue et tout est en ordre, une vraie bonbonnière, j’ai conscience de mal faire mais c’est plus fort que moi, je sens que des choses étranges se passent en ce lieu.
J’ouvre une armoire, des vêtements, encore des vêtements tous plus sexy voire osés que ceux qu’elle porte comme encore cette fois-ci, elle part à l’extérieur, je trouve des guêpières que je n’oserais mettre.
Les sous-vêtements sont rares mais de bon goût et doivent surtout coûter les yeux de la tête sans compter les chaussures qui sont innombrables.
Je trouve les déshabillés dont certains jamais vu sur elle, je mets des chaussures à hauts talons et semelles rouges avec un déshabillé de même couleur sur mon corps nu, j’ai la même pointure et je suis aussi grande.
Je continue à explorer et de l’autre côté du lit, j’ouvre la dernière armoire, des objets tous plus étranges les uns que les autres sont rangés par taille pour les godes longueur et nombre de lanières pour les fouets, boule à bouche du moins je le pense car l’une est dans sa boîte et le dessin me montre clairement un bas de visage avec l’objet bien placé.
Bref du matériel bien étrange pour une représentante de commerce surtout qu’à certains endroits il y a des vides montrant que des objets sont absents.
Je revois marraine partir en m’embrassant et tirant derrière elle sa valise, il m’est facile de penser où ils se trouvent.
Je veux faire une visite complète car je pense de plus en plus que la sœur de maman ma marraine me cache sa vraie activité, la salle de bain est aussi propre que le reste de la chambre et les parfums de grandes marques sont pléthores.
Je vais pour aller boire un café quand je regarde dans la première table de nuit, ma tante est prévoyante, elle a des dizaines de préservatifs.
Dans l’autre un carnet bien étrange avec un crayon pour écrire, chaque ligne une date, je regarde les dernières alors qu’il y en a des dizaines voire nettement plus, plusieurs centaines dont les premières remontent à 15 ans soient environ quand elle avait un peu plus de vingt ans, époque ou papa et maman m’ont eu.
Tout est écrit dans des colonnes la dernière date correspond à la dernière fois que sur sa porte la plaque était sur « Yes » et que son copain est resté environ 1 heure.
Date 1 H et 500.
La fois d’avant 2000 N + Sodo.
J’épluche tout et sur la première page je vois des numéros bien plus gros 3 000, 8 000, 10 000, 12 000 et en janvier 2002 les sommes sont facile à voir à quoi elles correspondent elles passent à une valeur en euro.
500, 1 H - 2 000, 1 nuit - si sodomie 3 000, Viviane ma marraine est une pute depuis des années et a gagné tous son argent avec son cul sans que dans la famille ne le sache.
Presque tous les soirs elle reçoit et se fait 500 €, sauf le jeudi ou celui que je sais maintenant être son client la paye pour la nuit, je l’entends partir vers 6 heures, tantine lui demandant de parler moins fort étant un peu bruyant.
Cette nuit-là je suis venue derrière sa porte et j’ai clairement entendu son client crier à travers une boule à bouche chaque fois que les lanières s’abattaient sur lui, le lendemain c’est elle qui s’est fait flageller, j’ai failli me faire prendre car je manque de renverser le vase sur le guéridon à côté de sa porte.
Au matin j’ai très nettement vu qu’elle restait debout pour boire son café et manger sa tartine, je me suis bien gardée de lui proposer de m’asseoir, ses fesses devaient être rubicondes.
Le samedi elle part de nouveau, des clients doivent l’emmener en week-end même à l’étranger car elle me dit partir de nouveau en Italie et revenir le mardi quand je serais parti à mes cours.
Je vais dans sa chambre, je récupère des chaussures et un déshabille et c’est quand je suis sur le lit que je remarque que les armoires sont toutes recouvertes de glaces et que je me vois sur tous les angles, il manque la glace au plafond comme dans les bordels d’antan que j’ai vus dans certains films anciens.
Je joue avec un gode que j’ai pris dans l’armoire commençant à sentir un début de plaisir monter en moi quand on sonne à la porte…
Au moment ou maman fait cette demande à sa sœur je sais qu’une grande partie de mon avenir se joue car je sais que si elle refuse je serais obligée de rentrer à Tour faire un simple BTS me permettant de devenir au plus greffière dans un tribunal alors que je rêve d’être juge.
• Tu sais Virginie comme je tiens à ma filleule, moi qui suis sans enfant quand elle est née et que tu m’as demandé d’être sa marraine mais !
J’ai peur de la fin de sa phrase, s’est foutu le BTS est proche.
• Mais elle peut compter sur moi, à une condition.
• Je l’accepte d’avance marraine.
• Attends, tu es grande Lolo j’ai une vie très indépendante et il m’arrive de recevoir des hommes chez moi car je suis très gourmand côté sexe.
• Marraine, je suis encore vierge, j’ai du mal à parler de cela devant maman mais je te promets il te suffira de me dire que tu reçois, je comprends que tu aies des besoins alors je resterais dans ma chambre à faire mes devoirs.
Je suis déjà venue chez toi pendant les vacances, je sais que dans la chambre ou je vais coucher j’aurais mes propres toilettes avec douche cela me suffit.
• Alors j’accepte mais nous verrons les détails à la rentrée quand tu arriveras, viens quelques jours avant que nous marquions nos territoires.
Les vacances me paraissent longues jusqu’au jour où papa et maman apporte mes affaires avec notre voiture.
Ils restent jusqu’au lendemain ou auprès de grosses bises ils rentrent chez nous.
• Lolo, assieds-toi nous avions prévu de discuter, veux-tu un verre ?
• Sans alcool oui.
• Non, nouvelle vie, nouvelles habitudes, chaque soir où je serais là je prends l’apéro, un verre de whisky nous fera du bien.
• Je veux bien goûter.
Je bois mon premier verre ce qui me fait tourner un peu la tête et me permet de délier ma langue.
• Laure, quand ma sœur m’a demandé d’accepter que tu viennes, tu as dit que tu étais vierge, c’était vrai.
• Oui enfin presque depuis la situation a évolué.
• L’as-tu perdu ?
• Oui deux fois pendant les vacances.
• Deux fois ?
• Oui, je suis bête, j’ai fait l’amour deux fois avec deux garçons différents.
• Le même jour ?
• A non, la première fois c’était le soir du 14 juillet au bal où j’étais allée avec la ferme intention de finir la nuit en ayant perdu cette putain de membrane, nous sommes trois copines et les autres l’avaient déjà perdu.
• Et cela s’est bien passé.
• Oui le garçon que j’avais choisi pour qu’il me l’ôte avait une chambre non loin de là, je me suis déshabillé je l’ai masturbé et après lui avoir enfilé une capote il est entré en moi, j’ai senti la capote réagir quand il a éjaculé et c’était fini.
Je me suis levée mais j’avais mal à la chatte, une douleur sourde, il a voulu recommencer mais j’ai dit non.
• Beaucoup de filles ont mal la première fois, ce qui est très bien c’est que tu l’aies fait avec protection, ce soir j’ai un copain qui vient me voir et même après des années nous employons toujours des capotes.
• Ce soir il faut que je reste dans ma chambre.
• Tu as tout compris, si un soir tu amènes un copain tu pourras, je vais te mettre une pancarte sur ta porte, avec « Yes », « No » si tu mets « Yes » tu es avec quelqu’un, idem pour ma chambre se sera plus simple.
Je t’ai interrompu et la deuxième fois.
• Cinq jours plus tard, un garçon que j’ai rencontré à la piscine, un garçon je devrais dire un adulte, il avait la quarantaine et quand il a souhaité m’emmener dans son lit la différence d’âge m’a paru futile surtout quand il s’est occupé de moi, ma chatte a été rapidement en feu.
• As-tu joui ?
• Comment te dire, as-tu déjà eu l’impression que ton corps est rempli et qu’une plénitude s’installe en toi jusqu’à ce qu’une boule monte le long de ton corps.
C’était comme cela, avec lui et pendant les deux jours où nous avons été ensemble chaque fois qu’il me remplissait le vagin j’avais l’impression de flotter dans l’air.
J’attends le suivant pour voir si je retrouverais ses bons moments.
• Il t’a quitté.
• J’aurais bien continué jusqu’au moment de venir ici mais il m’a téléphoné qu’il était marié et que sa femme avait émis des doutes sur sa fidélité et que nous deux c’était terminé et me voilà.
• C’est bien ma grande, je crois que si tu respect notre accord nous nous entendrons très bien.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre, tantine me quitte toujours aussi sexy dans ses tenues affriolantes.
Fidèle à ma parole je me couche et je regarde la télé que marraine m’a fait installer avant que j’arrive.
J’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir et environ une heure après la porte claque le copain de marraine semble être parti.
• Laure, ce week-end je pars deux jours en Italie, j’ai une cliente à voir elle souhaite renouveler sa gamme de rouges à lèvres pour son institut, je la connais je vais remplir mon carnet de commandes.
• Pourquoi y vas-tu le week-end ?
• Je fais mon meilleur chiffre à ces moments-là les clients ont plus de temps et sont plus décontracts.
C’est vraie tantine représente une marque de produits de beauté c’est du moins ce que j’ai toujours entendu dire dans la famille.
Comme elle me l’a dit, elle m’embrasse et me quitte, je sors sur le balcon et je la vois sortir du parking souterrain au volant de sa voiture de sport rouge, j’aimerais gagner autant d’argent qu’elle pour m’en acheter une identique mais avant il va falloir que je passe mon permis.
Le week-end se passe sans encombre et je commence mes premiers cours, il est fréquent que le panneau « Yes » soit retourné quand je rentre mais au bout d’un mois que je suis là elle reçoit beaucoup mais elle reste très discrète car aucun de ses copains ne m’est présenté.
La seule chose que je remarque ou plutôt que j’entends sait l’eau du bain qu’elle fait couler et souvent elle me rejoint dans la cuisine ou le salon dans des déshabillés vaporeux de diverses couleurs.
Tantine part un week-end, au bout d’un moment j’ai du vague à l’âme et il me vient l’idée d’aller voir l’un de ses déshabillés, je constate que sa porte est fermée à clef, j’ai quelquefois rencontré sa femme de ménage une petite vieille qui habite une maison délabrée à deux pas de chez nous et je l’ai vu prendre quelque chose sur l’étagère de l’entrée, c’est la clef.
J’entre, ce matin elle est venue et tout est en ordre, une vraie bonbonnière, j’ai conscience de mal faire mais c’est plus fort que moi, je sens que des choses étranges se passent en ce lieu.
J’ouvre une armoire, des vêtements, encore des vêtements tous plus sexy voire osés que ceux qu’elle porte comme encore cette fois-ci, elle part à l’extérieur, je trouve des guêpières que je n’oserais mettre.
Les sous-vêtements sont rares mais de bon goût et doivent surtout coûter les yeux de la tête sans compter les chaussures qui sont innombrables.
Je trouve les déshabillés dont certains jamais vu sur elle, je mets des chaussures à hauts talons et semelles rouges avec un déshabillé de même couleur sur mon corps nu, j’ai la même pointure et je suis aussi grande.
Je continue à explorer et de l’autre côté du lit, j’ouvre la dernière armoire, des objets tous plus étranges les uns que les autres sont rangés par taille pour les godes longueur et nombre de lanières pour les fouets, boule à bouche du moins je le pense car l’une est dans sa boîte et le dessin me montre clairement un bas de visage avec l’objet bien placé.
Bref du matériel bien étrange pour une représentante de commerce surtout qu’à certains endroits il y a des vides montrant que des objets sont absents.
Je revois marraine partir en m’embrassant et tirant derrière elle sa valise, il m’est facile de penser où ils se trouvent.
Je veux faire une visite complète car je pense de plus en plus que la sœur de maman ma marraine me cache sa vraie activité, la salle de bain est aussi propre que le reste de la chambre et les parfums de grandes marques sont pléthores.
Je vais pour aller boire un café quand je regarde dans la première table de nuit, ma tante est prévoyante, elle a des dizaines de préservatifs.
Dans l’autre un carnet bien étrange avec un crayon pour écrire, chaque ligne une date, je regarde les dernières alors qu’il y en a des dizaines voire nettement plus, plusieurs centaines dont les premières remontent à 15 ans soient environ quand elle avait un peu plus de vingt ans, époque ou papa et maman m’ont eu.
Tout est écrit dans des colonnes la dernière date correspond à la dernière fois que sur sa porte la plaque était sur « Yes » et que son copain est resté environ 1 heure.
Date 1 H et 500.
La fois d’avant 2000 N + Sodo.
J’épluche tout et sur la première page je vois des numéros bien plus gros 3 000, 8 000, 10 000, 12 000 et en janvier 2002 les sommes sont facile à voir à quoi elles correspondent elles passent à une valeur en euro.
500, 1 H - 2 000, 1 nuit - si sodomie 3 000, Viviane ma marraine est une pute depuis des années et a gagné tous son argent avec son cul sans que dans la famille ne le sache.
Presque tous les soirs elle reçoit et se fait 500 €, sauf le jeudi ou celui que je sais maintenant être son client la paye pour la nuit, je l’entends partir vers 6 heures, tantine lui demandant de parler moins fort étant un peu bruyant.
Cette nuit-là je suis venue derrière sa porte et j’ai clairement entendu son client crier à travers une boule à bouche chaque fois que les lanières s’abattaient sur lui, le lendemain c’est elle qui s’est fait flageller, j’ai failli me faire prendre car je manque de renverser le vase sur le guéridon à côté de sa porte.
Au matin j’ai très nettement vu qu’elle restait debout pour boire son café et manger sa tartine, je me suis bien gardée de lui proposer de m’asseoir, ses fesses devaient être rubicondes.
Le samedi elle part de nouveau, des clients doivent l’emmener en week-end même à l’étranger car elle me dit partir de nouveau en Italie et revenir le mardi quand je serais parti à mes cours.
Je vais dans sa chambre, je récupère des chaussures et un déshabille et c’est quand je suis sur le lit que je remarque que les armoires sont toutes recouvertes de glaces et que je me vois sur tous les angles, il manque la glace au plafond comme dans les bordels d’antan que j’ai vus dans certains films anciens.
Je joue avec un gode que j’ai pris dans l’armoire commençant à sentir un début de plaisir monter en moi quand on sonne à la porte…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bravo Chris 71? ce début de récit est très excitant !
Je ne vous dit pas : "continuez !" car j'ai vu que vous aviez beaucoup écrit et que je suis très en retard pour vous donner quelque conseil qui soit !
Didier
Je ne vous dit pas : "continuez !" car j'ai vu que vous aviez beaucoup écrit et que je suis très en retard pour vous donner quelque conseil qui soit !
Didier