Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. Tantine. (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2411 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 039 028 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 6 880 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. Tantine. (2/2)
Je suis venue vivre chez ma marraine la sœur aînée de maman de onze mois leurs parents ayant fait l’amour dès son retour de couche.
Je viens d’emménager, commencer mes premiers cours quand un jour ou elle est partie je me permets d’aller dans sa chambre, je découvre que l’activité qu’elle a toujours dit exercée est une couverture car c’est une pute qui rencontre des clients chez elle ou à l’extérieur voire souvent à l’étranger.
Elle gagne beaucoup cela se remarque à son train de vie, aujourd’hui je l’ai vu partir avec sa voiture rouge de sport sans compter ses armoires remplies de vêtements chics en tous genres.
Je suis dans sa chambre sur son lit, le décor est entièrement blanc quand on sonne à la porte.
• Bonjour, Annabelle est absente ou pouvez-vous me l’appeler.
• Non ici la propriétaire s’appelle Viviane.
• Oui sur sa porte c’est Viviane mais dans son milieu c’est Anabelle, vous la remplacez, qu’elle est votre nom, vous êtes magnifique.
Je suis dépassée par ce qui arrive, cet homme croyant trouver marraine me prend pour sa remplaçante, quelques fois dans la vie les choses vous échappent, c’est ce qui m’arrive.
• Manon.
• C’est joli, je peux entrer, il est difficile de parler d’argent avec vous sur le palier.
Je m’écarte pour que la porte s’ouvre pour le laisser passer.
• J’ai peu de temps je dois prendre un train, je voudrais avoir 1 heure avec vous Manon, vous prenez les mêmes tarifs qu’Annabelle, 500 plus 1 000 pour finir en sodo.
• Non, si bien sûr, comme vous dites.
J’ai la gorge sèche, vais-je franchir le pas, cet homme me propose de me payer 1 500 € avec une sodomie à la clef, je revois marraine les jours ou elle reste debout, est-ce le fouet ou la bite qui lui prend l’anus, j’ai un moment d’hésitation très court car je la revois partir dans sa belle voiture rouge.
• Alors on va dans la chambre, vous travaillez dans sa chambre ou bien ailleurs.
• Dans sa chambre.
• Tu es nouvelle dans le métier, tu as l’air tout intimidé, je vois que tu aimes le sexe, tu te pénétrais avec ce gode quand j’ai sonné.
Au milieu du lit le gode à lumière tournante que j’étais en train d’essayer continue de tourner sur le lit, je me précipite et je l’arrête le mettant sous l’oreillé.
• Vous avez raison, il sera à portée de votre main si vous avez encore des envies après mon passage.
Il ouvre son portefeuille et sort 7 billets de 200 et un de 100.
• Le compte est bon.
Il commence à se déshabiller alors que je reste prostrer ces maudits billets dans ma main.
• Allez vite fillette je suis pressé, viens me sucer.
Il me suffit de lui rendre ses billets mais je vais dans la table de nuit et je les glisse à côté du petit carnet.
Je fais tomber mon déshabillé pour la première fois devant un homme qui me paye avec l’envie de pénétrer mon corps, je veux volontairement éviter de penser qu’il m’a payé pour pénétrer ma rosette qui est vierge.
Mon cerveau accepte cette intrusion qui va arriver plus vite que je croie car quand ma bouche et ma main sont à quelques centimètres de la verge déjà tendue je vois le réveil poser sur la table en face de moi que les minutes défilent.
Sucer je l’ai déjà fait avec mon deuxième amant mais la sodomie il avait essayé mais je m’étais rebiffé.
Je pompe le gland que je fais monter et descendre dans ma bouche sans pouvoir perdre l’idée de cet instant qui va m’arriver pour la première fois de ma vie.
Je suis une pute comme tantine depuis quelques minutes puisqu’en le prenant en bouche j’ai enclenché le processus argent baise sans savoir s’il y en aura d’autres car ce client m’est tombé du ciel.
Heureusement que j’ai compris quelques heures plus tôt que depuis des années marraine se vendait pour avoir la vie riche qu’elle a car sinon je me demande qu’elle aurait été ma réaction, j’aurais été dans une incompréhension totale.
• Viens t’allonger je vais te prendre la chatte si tu te places en levrette j’aurais du mal à retarder le moment de défoncer ton anus, j’ai toujours été attiré par ces petits trous sombres.
• Tu feras attention, tu iras doucement, oui, tu entres dans ma chatte tu m’échauffes le sang je vais jouir.
• Tu es comme Annabel, elle jouit souvent avec ses clients, nous sommes plusieurs copains à venir la voir car c’est une vraie professionnelle, certains d’entre nous ont été dépucelés par elle, j’ai un fils qui va avoir dix-huit ans le jour de son anniversaire je vais lui payer sa première pute je te l’amènerais pour que tu lui ôtes son pucelage.
• Ah ! Ah, je jouis.
S’il savait que c'est lui qui va me dépuceler en me sodomisant, il serait étonné car je pense qu’il est impossible pour un habitué des professionnelles du sexe que l’une d’elles soit vierge et qu’elle accepte de l’argent pour se faire défoncer.
S’il savait que quand il me fait mettre à quatre pattes le moment fatidique étant arrivé je me force à penser aux beaux billets qui sont dans le tiroir qui pourrait être les premiers d’une longue liste si je sais manœuvrer avec tantine.
Quand je le sens cracher dans sa main et la passer entre mes rondeurs pour humidifier l’endroit de son désir j’ai un moment de recul.
• Suce-moi l’anus, met y ta langue mon petit trou est propre, j’aime beaucoup que mes clients commencent comme cela.
• Tu as raison, je vais te faire une feuille de rose j’ai encore le temps.
C’est incroyable cette langue qui vient taroter mon anus me donne du plaisir, il la fait tourbillonner et va de ma chatte qui ruisselle pour retourner au centre de mon angoisse.
• Tu es serré, pratiques-tu souvent la sodomie avec tes clients ?
La question qui tue alors je joue l’agressivité.
• Enfilez-moi au lieu de parler, si je suis serrée vous en tirerez plus de plaisir.
Il se positionne, je tourne la tête pour me souvenir jusqu’à la fin de ma vie de celui qui m’aura défloré.
Contrairement à ma chatte il glisse facilement sur deux centimètres puis dans un dernier élan ses couilles viennent battre ma chatte.
• Tu manques à être connu, j’aimais Annabelle mais je crois que quand je reviendrais c’est toi que je demanderais à ce que tu me satisfasses.
Tu m’excuses je viens de dépasser ma limite de temps, la gare m’appelle, ce soir dans notre lit avec madame je rêverais à ton petit cul, tiens, tu les as bien gagnés, j’ai enculé beaucoup de femmes dans ma vie tu es la championne de la sodomie.
Il ouvre son portefeuille, en sort deux billets, je les garde dans ma main le temps qu’il sorte de la chambre et d’entendre la porte palière claquer.
Je viens de tout gagner, une sucette, une pénétration facile, une sodo et pour finir des giclés de sperme au fond de ma gorge pour 1 900 €, je m’étire comme une chatte satisfaite de ma nouvelle vie bien que j’ignore si elle aura une suite.
Une suite elle en a une quand un soir j’entends sonner pensant que marraine qui est rentrée et c’est fait quelques clients depuis son retour sans que je m’initie dans ses affaires frappe à ma porte.
• Laure, tu connais une Manon, il y a un homme qui la demande, il me certifie que c’est bien ici qu’un copain l’a rencontré, il m’a même décrit ma chambre entièrement blanche avec des glaces qui lui ont permis d'admirer sa plastique, elle portait des chaussures à hauts talons et un déshabillé rouge.
• C’est bien moi, marraine.
• Qu’est-ce que je fais, je le fiche dehors ?
• Non je vais le recevoir.
• D’accord, on s’expliquera après, regarde dans quelle situation tu m’as mise envers ma sœur.
• Ce sera notre secret, inutile de lui en parler, qu’as-tu fait depuis que tu as franchi le pas, à ce que je sache pour la famille tu as un travail qui t’a permis de leur cacher l’indépendance sexuelle qui est la tienne et dont je souhaite faire mienne, tu étais majeure, je suis majeure.
• Je te comprends et j’aurais mauvaise conscience à t’interdire ton choix de vie grâce à ton corps mais il y a un homme qui attend retourne de nouveau dans ma chambre je vais dormir dans la tienne et quand il sera parti nous continuerons cette conversation dans notre intérêt de l’une et de l’autre.
Je rejoins l’homme de l’âge de celui qui m'a fait gagner mon premier cachet et que j’ai encore caché dans mes affaires.
• Tu es Manon, Ruger t’a décrite et je vois que c’est bien toi, tu l’as impressionné malgré ton jeune âge, ce qui pour moi est un avantage, combien pour la nuit avec liberté pour moi sur l’intégralité de ton corps.
Il est 5 heures du matin après m’être servi des godes de tantine, après avoir été fouetté par les lanières du chat à cinq queues, d’avoir été sodomisé bref d’avoir sexuellement satisfait mon client je pense avoir gagné le droit de dormir.
Je me sens porté et je sens la tiédeur de l'eau nettoyée et détendre mon corps qui a été rudoyé mais souvent pour mon plaisir car si comme l’ont dit, j’ai ramassé gagnant fièrement de quoi passer mon permis de conduire si primordiale pour trouver du travail pour une jeune femme qui veut être indépendante.
• J’ai suivi ton travail au travers de la porte de ma chambre Laure, je constate que tu as tout fait pour satisfaire pleinement l’homme que tu as reçu ce soir, veux-tu continuer dans les jours prochains de les recevoir ?
J’ai du mal à parler, j’ai mal à mes mâchoires quand j’ai serré la boule à bouche qu’il a attachée sur mon visage pendant qu’il me sodomisait de façon hard, mais c’est de mon avenir qu’elle veut me parler alors je fais un effort pour l’écouter surtout que rapidement je m’aperçois qu’elle me donne les moyens de mon choix.
• Laure, je vais te laisser retourner dans ta chambre pour dormir quelques heures, mais avant je vais te donner mon avis sur la route que tu sembles avoir envie de suivre, j’ai suivi la même il y a plusieurs années j’aurais mauvaise grâce à te mettre un interdit.
Je te propose de continuer ton aventure engagée le jour où j’étais absente en t’aidant pour trouver tes clients sans risque, j’accepte que ceux que je ne peux satisfaire car souvent je reçois deux propositions pour la même heure, ces clients te reviendront.
C’est rendez-vous tu les recevras dans ta chambre que je vais refaire à l’identique de la mienne.
• Je la veux sûr dès ton bleu, pas blanc comme toi.
• Bonne idée, c’est surtout les glaces qui sont intéressantes, ces messieurs adorent se regarder nous baiser.
• Tantine, une glace je voudrais en mettre une au plafond j’ai vu cela dans un film les clients aimeront.
• Tu as raison j’en ferais mettre une aussi dans la mienne, mais le deuxième point qui est primordial pour moi et irrévocable tu les recevras seulement le week-end, le reste de la semaine étant réservé à tes études car j’ai fait l’erreur d’arrêter les miennes et si tu savais comme je le regrette.
Tu seras gagnante car si tu savais le nombre d’hommes que je reçois ces deux jours-là qui arrivent en tenue de joggeur pour faire croire à leurs femmes qu’ils font du sport mais qui préfère le faire en chambre.
• Je serais toujours la première de la classe, en fac et ici.
• A oui, bien sûr inutile d’en parler à ta maman.
Cette phrase de tantine fait écho à la mienne sauf dans l’avant-dernier mot, elle dit « ta » maman, je dis « ma » maman.
Je viens d’emménager, commencer mes premiers cours quand un jour ou elle est partie je me permets d’aller dans sa chambre, je découvre que l’activité qu’elle a toujours dit exercée est une couverture car c’est une pute qui rencontre des clients chez elle ou à l’extérieur voire souvent à l’étranger.
Elle gagne beaucoup cela se remarque à son train de vie, aujourd’hui je l’ai vu partir avec sa voiture rouge de sport sans compter ses armoires remplies de vêtements chics en tous genres.
Je suis dans sa chambre sur son lit, le décor est entièrement blanc quand on sonne à la porte.
• Bonjour, Annabelle est absente ou pouvez-vous me l’appeler.
• Non ici la propriétaire s’appelle Viviane.
• Oui sur sa porte c’est Viviane mais dans son milieu c’est Anabelle, vous la remplacez, qu’elle est votre nom, vous êtes magnifique.
Je suis dépassée par ce qui arrive, cet homme croyant trouver marraine me prend pour sa remplaçante, quelques fois dans la vie les choses vous échappent, c’est ce qui m’arrive.
• Manon.
• C’est joli, je peux entrer, il est difficile de parler d’argent avec vous sur le palier.
Je m’écarte pour que la porte s’ouvre pour le laisser passer.
• J’ai peu de temps je dois prendre un train, je voudrais avoir 1 heure avec vous Manon, vous prenez les mêmes tarifs qu’Annabelle, 500 plus 1 000 pour finir en sodo.
• Non, si bien sûr, comme vous dites.
J’ai la gorge sèche, vais-je franchir le pas, cet homme me propose de me payer 1 500 € avec une sodomie à la clef, je revois marraine les jours ou elle reste debout, est-ce le fouet ou la bite qui lui prend l’anus, j’ai un moment d’hésitation très court car je la revois partir dans sa belle voiture rouge.
• Alors on va dans la chambre, vous travaillez dans sa chambre ou bien ailleurs.
• Dans sa chambre.
• Tu es nouvelle dans le métier, tu as l’air tout intimidé, je vois que tu aimes le sexe, tu te pénétrais avec ce gode quand j’ai sonné.
Au milieu du lit le gode à lumière tournante que j’étais en train d’essayer continue de tourner sur le lit, je me précipite et je l’arrête le mettant sous l’oreillé.
• Vous avez raison, il sera à portée de votre main si vous avez encore des envies après mon passage.
Il ouvre son portefeuille et sort 7 billets de 200 et un de 100.
• Le compte est bon.
Il commence à se déshabiller alors que je reste prostrer ces maudits billets dans ma main.
• Allez vite fillette je suis pressé, viens me sucer.
Il me suffit de lui rendre ses billets mais je vais dans la table de nuit et je les glisse à côté du petit carnet.
Je fais tomber mon déshabillé pour la première fois devant un homme qui me paye avec l’envie de pénétrer mon corps, je veux volontairement éviter de penser qu’il m’a payé pour pénétrer ma rosette qui est vierge.
Mon cerveau accepte cette intrusion qui va arriver plus vite que je croie car quand ma bouche et ma main sont à quelques centimètres de la verge déjà tendue je vois le réveil poser sur la table en face de moi que les minutes défilent.
Sucer je l’ai déjà fait avec mon deuxième amant mais la sodomie il avait essayé mais je m’étais rebiffé.
Je pompe le gland que je fais monter et descendre dans ma bouche sans pouvoir perdre l’idée de cet instant qui va m’arriver pour la première fois de ma vie.
Je suis une pute comme tantine depuis quelques minutes puisqu’en le prenant en bouche j’ai enclenché le processus argent baise sans savoir s’il y en aura d’autres car ce client m’est tombé du ciel.
Heureusement que j’ai compris quelques heures plus tôt que depuis des années marraine se vendait pour avoir la vie riche qu’elle a car sinon je me demande qu’elle aurait été ma réaction, j’aurais été dans une incompréhension totale.
• Viens t’allonger je vais te prendre la chatte si tu te places en levrette j’aurais du mal à retarder le moment de défoncer ton anus, j’ai toujours été attiré par ces petits trous sombres.
• Tu feras attention, tu iras doucement, oui, tu entres dans ma chatte tu m’échauffes le sang je vais jouir.
• Tu es comme Annabel, elle jouit souvent avec ses clients, nous sommes plusieurs copains à venir la voir car c’est une vraie professionnelle, certains d’entre nous ont été dépucelés par elle, j’ai un fils qui va avoir dix-huit ans le jour de son anniversaire je vais lui payer sa première pute je te l’amènerais pour que tu lui ôtes son pucelage.
• Ah ! Ah, je jouis.
S’il savait que c'est lui qui va me dépuceler en me sodomisant, il serait étonné car je pense qu’il est impossible pour un habitué des professionnelles du sexe que l’une d’elles soit vierge et qu’elle accepte de l’argent pour se faire défoncer.
S’il savait que quand il me fait mettre à quatre pattes le moment fatidique étant arrivé je me force à penser aux beaux billets qui sont dans le tiroir qui pourrait être les premiers d’une longue liste si je sais manœuvrer avec tantine.
Quand je le sens cracher dans sa main et la passer entre mes rondeurs pour humidifier l’endroit de son désir j’ai un moment de recul.
• Suce-moi l’anus, met y ta langue mon petit trou est propre, j’aime beaucoup que mes clients commencent comme cela.
• Tu as raison, je vais te faire une feuille de rose j’ai encore le temps.
C’est incroyable cette langue qui vient taroter mon anus me donne du plaisir, il la fait tourbillonner et va de ma chatte qui ruisselle pour retourner au centre de mon angoisse.
• Tu es serré, pratiques-tu souvent la sodomie avec tes clients ?
La question qui tue alors je joue l’agressivité.
• Enfilez-moi au lieu de parler, si je suis serrée vous en tirerez plus de plaisir.
Il se positionne, je tourne la tête pour me souvenir jusqu’à la fin de ma vie de celui qui m’aura défloré.
Contrairement à ma chatte il glisse facilement sur deux centimètres puis dans un dernier élan ses couilles viennent battre ma chatte.
• Tu manques à être connu, j’aimais Annabelle mais je crois que quand je reviendrais c’est toi que je demanderais à ce que tu me satisfasses.
Tu m’excuses je viens de dépasser ma limite de temps, la gare m’appelle, ce soir dans notre lit avec madame je rêverais à ton petit cul, tiens, tu les as bien gagnés, j’ai enculé beaucoup de femmes dans ma vie tu es la championne de la sodomie.
Il ouvre son portefeuille, en sort deux billets, je les garde dans ma main le temps qu’il sorte de la chambre et d’entendre la porte palière claquer.
Je viens de tout gagner, une sucette, une pénétration facile, une sodo et pour finir des giclés de sperme au fond de ma gorge pour 1 900 €, je m’étire comme une chatte satisfaite de ma nouvelle vie bien que j’ignore si elle aura une suite.
Une suite elle en a une quand un soir j’entends sonner pensant que marraine qui est rentrée et c’est fait quelques clients depuis son retour sans que je m’initie dans ses affaires frappe à ma porte.
• Laure, tu connais une Manon, il y a un homme qui la demande, il me certifie que c’est bien ici qu’un copain l’a rencontré, il m’a même décrit ma chambre entièrement blanche avec des glaces qui lui ont permis d'admirer sa plastique, elle portait des chaussures à hauts talons et un déshabillé rouge.
• C’est bien moi, marraine.
• Qu’est-ce que je fais, je le fiche dehors ?
• Non je vais le recevoir.
• D’accord, on s’expliquera après, regarde dans quelle situation tu m’as mise envers ma sœur.
• Ce sera notre secret, inutile de lui en parler, qu’as-tu fait depuis que tu as franchi le pas, à ce que je sache pour la famille tu as un travail qui t’a permis de leur cacher l’indépendance sexuelle qui est la tienne et dont je souhaite faire mienne, tu étais majeure, je suis majeure.
• Je te comprends et j’aurais mauvaise conscience à t’interdire ton choix de vie grâce à ton corps mais il y a un homme qui attend retourne de nouveau dans ma chambre je vais dormir dans la tienne et quand il sera parti nous continuerons cette conversation dans notre intérêt de l’une et de l’autre.
Je rejoins l’homme de l’âge de celui qui m'a fait gagner mon premier cachet et que j’ai encore caché dans mes affaires.
• Tu es Manon, Ruger t’a décrite et je vois que c’est bien toi, tu l’as impressionné malgré ton jeune âge, ce qui pour moi est un avantage, combien pour la nuit avec liberté pour moi sur l’intégralité de ton corps.
Il est 5 heures du matin après m’être servi des godes de tantine, après avoir été fouetté par les lanières du chat à cinq queues, d’avoir été sodomisé bref d’avoir sexuellement satisfait mon client je pense avoir gagné le droit de dormir.
Je me sens porté et je sens la tiédeur de l'eau nettoyée et détendre mon corps qui a été rudoyé mais souvent pour mon plaisir car si comme l’ont dit, j’ai ramassé gagnant fièrement de quoi passer mon permis de conduire si primordiale pour trouver du travail pour une jeune femme qui veut être indépendante.
• J’ai suivi ton travail au travers de la porte de ma chambre Laure, je constate que tu as tout fait pour satisfaire pleinement l’homme que tu as reçu ce soir, veux-tu continuer dans les jours prochains de les recevoir ?
J’ai du mal à parler, j’ai mal à mes mâchoires quand j’ai serré la boule à bouche qu’il a attachée sur mon visage pendant qu’il me sodomisait de façon hard, mais c’est de mon avenir qu’elle veut me parler alors je fais un effort pour l’écouter surtout que rapidement je m’aperçois qu’elle me donne les moyens de mon choix.
• Laure, je vais te laisser retourner dans ta chambre pour dormir quelques heures, mais avant je vais te donner mon avis sur la route que tu sembles avoir envie de suivre, j’ai suivi la même il y a plusieurs années j’aurais mauvaise grâce à te mettre un interdit.
Je te propose de continuer ton aventure engagée le jour où j’étais absente en t’aidant pour trouver tes clients sans risque, j’accepte que ceux que je ne peux satisfaire car souvent je reçois deux propositions pour la même heure, ces clients te reviendront.
C’est rendez-vous tu les recevras dans ta chambre que je vais refaire à l’identique de la mienne.
• Je la veux sûr dès ton bleu, pas blanc comme toi.
• Bonne idée, c’est surtout les glaces qui sont intéressantes, ces messieurs adorent se regarder nous baiser.
• Tantine, une glace je voudrais en mettre une au plafond j’ai vu cela dans un film les clients aimeront.
• Tu as raison j’en ferais mettre une aussi dans la mienne, mais le deuxième point qui est primordial pour moi et irrévocable tu les recevras seulement le week-end, le reste de la semaine étant réservé à tes études car j’ai fait l’erreur d’arrêter les miennes et si tu savais comme je le regrette.
Tu seras gagnante car si tu savais le nombre d’hommes que je reçois ces deux jours-là qui arrivent en tenue de joggeur pour faire croire à leurs femmes qu’ils font du sport mais qui préfère le faire en chambre.
• Je serais toujours la première de la classe, en fac et ici.
• A oui, bien sûr inutile d’en parler à ta maman.
Cette phrase de tantine fait écho à la mienne sauf dans l’avant-dernier mot, elle dit « ta » maman, je dis « ma » maman.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En fait, si on réfléchit, c'est pas top d'initier sa nièceàla prostitution, qunad on'est soi meme tombée dedans...
C'est assez pervers ...
C'est assez pervers ...
Cette suite, Chris 71 est superbe et fort excitante ! Je vous en remercie de tout coeur !
Didier
Didier