Titre de l'histoire érotique : COLLECTION FANTASME. Le psy. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION FANTASME. Le psy. (1/1)
• Au revoir monsieur Bichot, vous avez bien noté vendredi 5 à 15 Heures.
• Bonjour, madame Bruel à vous.
Je rentre dans le cabinet d’un psy pour la première fois, j’ai des moments dans ma vie surtout en me réveillant ou j’ai l’impression d’avoir vécu des choses qui dépassent ma morale, dois-je répondre à mes fantasmes.
• Je suis venu vous voir pour savoir comment je dois prendre ce qui m’arrive et trouver une solution à mon problème, j’ai l’impression d’avoir un dédoublement de ma personnalité.
• Comment cela se traduit-il ?
• Chaque fois que je dors, je me réveille et je me souviens que j’ai fait des choses réprouvées par la morale.
• Qu’entendez-vous par là ?
• Je n’ose à peine vous en parler.
• Bien allongez-vous, on va essayer de savoir qu’elles sont ces choses épouvantables réprouvées par la morale.
Décontractez-vous fixer ce tableau devant vous.
Le psy s’assoit sur à mon côté et comme il me l’a demandé, je regarde le tableau qui est sur le mur en face de moi.
C’est bizarre ces cercles qui rapidement me donnent l’impression de tourner, je regarde bien, cela ressemble à un labyrinthe, par où passer pour aller au centre.
• Ou êtes-vous?
• À la terrasse d’un bar, il fait très chaud, chose rare j’ai mis une robe qui dénude mes épaules et qui montre le début de ma poitrine, j’ai toujours eu des cols officiers étant d’un naturel pudique.
• Que se passe-t-il ?
• Un homme vient s’asseoir à mes côtés, pour la première fois depuis mon mariage je regarde cet homme avec l’envie qu’il me parle, il se tait, mais me regarde, moi qui en tellement normale à du mal à m’exciter, je mouille.
Je sens que ma liqueur coule entre mes lèvres intimes, je sers les cuisses et je vais même jusqu’à les frotter l’une contre l’autre.
Je suis en sueur, ce que voit l’homme, il sort de sa poche un mouchoir encore plié et propre, dessus j’ai le temps de voir des armoiries avec les lettres G.B finement brodés.
Le mouchoir est bleu clair avec des lettres bleu marine, je le prends et regardant l’homme intensément je suce le mouchoir surtout les lettres comme je le ferais avec une glace au chocolat très noir mon parfum préféré.
• Parfum chocolat noir très foncé intéressant, continuez.
• L’homme se lève, passe devant moi me prends par la main et m’entraîne dans une petite impasse, il s’arrête entre deux voitures et sors son sexe, tient très drôle, l’homme est blanc et son sexe est intégralement noir.
Quel délice de le sucer et de le faire entrer dans la bouche, j’ai honte, mais je suis en joie, surtout quand ce grand bâton crache son sperme que j’ai délice à avaler.
L’éjaculation terminée, la verge sort de ma bouche j’ignore comment cela se produit une nouvelle la remplace.
Il y en a une que je peux masturber avec ma main gauche, je lève la tête, mais ces deux hommes sont immatériels, ils sont là, mais sans visage, les deux queues comme celle qui a déchargé dans ma bouche, semble black bien que le haut des corps soit flou.
La verge dans ma bouche décharge au fond de ma gorge et c’est avec plaisir que je bois ce sperme, celle que je masturbe crache, elle aussi et bizarrement le sperme qui arrive sur ma robe et surtout sur ma poitrine est noir.
Vu la couleur, j’espère que l’homme que j’ai masturbé est sain, mais cela coule divinement au fond de ma gorge.
• Top, cela suffit pour une première fois réveillez-vous.
Le psy passe sa main entre mes yeux et le tableau et je me réveille, je me souviens que j’ai sucé des bites, mais sans me souvenir de plus de détails.
• Pouvez-vous me dire ou vous êtes née ?
• En Afrique à Dakar plus spécifiquement.
• Vous avez perdu votre virginité là-bas.
J’éclate de rire.
• Mon père nous a ramenés en France, j’avais douze ans et je me suis mariée vierge.
• Avez-vous vu des verges noires avant votre retour ?
• Mon père tenait un hôtel sur la côte, des verges j’en ai vu des dizaines.
• Noires ?
• Noires, blanches, jaunes, métissées.
• Toujours au repos ?
• Deux trois fois, dès bien bandées, toutes blanches.
• Vous a-t-elle effrayé ?
• Pas le moindre du monde mais la seule que j’ai eu en main, c’est celle de mon mari.
• Où l’avez-vous connu ?
• En Guadeloupe papa était venu avec maman tenir un hôtel de la même chaîne, j’avais vingt ans.
• En Guadeloupe, je croyais que votre père vous avait ramenée en France.
• La Guadeloupe est un département français avec tout le respect que j’ai pour vous.
• Tiens, c’est vrai, j’y pense, il est noir lui aussi.
Croyez-vous que je fais une fixation sur les noires ?
• Comment cela se passe-t-il avec votre mari, il vous fait souvent l’amour ?
• De temps en temps mais chaque fois au matin la sensation d'avoir fauté est plus grande.
• Essayez de le faire plus souvent, vos dédoublements vont peut-être disparaître.
Si vous êtes d’accord, je vous revois dans un mois jour pour jour le 5 à 16 heures.
• Au revoir.
Il me serre la main, à l’heure et à la date prévue je succède à monsieur Bichot dans le cabinet.
• Madame Bruel, à nous, à oui dédoublement de la personnalité, vous faisiez des fellations à des verges noires, il y a un mois, je vous avais prescrit de faire l’amour plus souvent avec votre mari, cela a-t-il eu de l’effet ?
• Non, pire même, chaque matin alors que mon mari m’a honoré j’ai la nette impression que cela s’aggrave.
• On va voir cela, fixez le tableau.
Il fait toujours chaud, c’est drôle, mon dédoublement est plus fort plus, il fait chaud cet été, je me réveille et il est au-dessus de moi, il me regarde et m’essuie avec son mouchoir bleu brodé des lettres G.B, que fait-il dans mon lit à me mettre sous les yeux sa verge éléphantesque d’un blanc immaculé, ont dirait qu’elle est translucide mais gigantesque.
Un regard vers George, il dort comme un bébé, je prends cette verge en main avec du mal tellement elle est grosse, c’est incroyable à peine entré, je coule, des torrents de cyprine sortent de ma chatte, le lit est mouillé, mais George est calme.
Un flot remplace un flot et c’est en moi que j’ai l’impression que le court de la rivière s’est inversé, c’est lui qui coule dans mon vagin, et je l’entends hurler son plaisir.
Il se relève, une deuxième verge est là, bien plus petite, mais elle glisse en moi et m’apporte deux fois plus de plaisir et m’inonde comme notre couche qui ressemble à une piscine où George flotte comme je le fais quand je fais la planche.
• Réveillez-vous madame Bruel, j’en ai assez entendu pour aujourd’hui, a dans un mois, allez voir ma femme, elle va vous donner votre rendez-vous.
• Ou allez-vous vous pourriez me raccompagner.
• Excusez, il faut que je m’isole, un besoin pressant.
C’est vrai, son pantalon semble bien tendu, serait-il possible comme j’en ai la sensation que ce que je lui ai racontée l’ait fait bander et va-t-il aux toilettes se masturber.
• Bonjour, mes fantasmes sont toujours là, vous êtes parti si précipitamment le mois dernier que j’ai continué à suivre vos conseils précédents, nous faisons l’amour très souvent avec mon mari.
• J’ai noté qu’il s’appelait George, je vais vous poser une question indiscrète en a-t-il une gigantesque, pardon éléphantesque.
• Normal, pourquoi, normal du moins pour moi dans la moyenne de ce que j’en ai vu en Afrique et en Guadeloupe à la piscine de l’hôtel de papa, c'étaient des hôtels naturistes.
Pourquoi me demandez-vous ça ?
• Quand vous êtes parti et que j’ai repris mes notes, je vois que j’ai noté le mot gigantesque.
Troisième séance, je pense que ce sera la dernière, je commence à voir le contour de votre double personnalité.
• Je peux savoir.
• À la fin de la séance, fixée le tableau.
Comme les deux premières fois, je cherche à sortir du labyrinthe, mais mes pensées se brouillent, enfin je sors du tunnel ou je semble être rentré.
La chaleur, toujours la chaleur, ma chatte me brûle, l’homme à la pochette avec les armoiries et les lettres brodées G.B. est à mon côté, je suis sur mon canapé, George brille par son absence, tient ou est-il ?
Je m’en contre-fiche, la verge de la pochette s’approche et comme la cochonne que j’aime être, je me retourne et j’appuie mes seins sur le dossier, je prends mes mains et j’écarte mes fesses, j’espère qu’aujourd’hui je vais avoir une grosse verge vanille ou chocolat qui va me sodomiser ce qu’elle refuse de faire depuis que je l’ai créé.
Chouette, elle s’approche, oui, c’est fait, elle rentre, je sens mon anus se déchirer, mais je me recule puissamment pour qu’elle m’éclate bien plus, je hurle.
• Chérie, que s'est-il passé, que t’est-il arrivé, dit moi, je t’avais dit que de jouer avec mon tableau dans mon cabinet pouvais t’apporter soit des plaisirs soit des désagréments, j’allais te réveiller, car regarde l’état dans lequel tu m’as mis.
Je tourne la tête, George mon mari est assis dans son fauteuil se levant pour s’approcher de moi, il a sa chemise avec nœud papillon bleu clair et de sa poche je vois nettement sa pochette avec nos armoiries nous sommes Comte et comtesses avec ses initiales brodées G.B, George B, je garde pour nous notre nom de famille.
Il a sa grosse verge en main qui cette nuit m’a pour la première sodomisée.
• Salope, ouvre ta bouche et suce.
• Bonjour, madame Bruel à vous.
Je rentre dans le cabinet d’un psy pour la première fois, j’ai des moments dans ma vie surtout en me réveillant ou j’ai l’impression d’avoir vécu des choses qui dépassent ma morale, dois-je répondre à mes fantasmes.
• Je suis venu vous voir pour savoir comment je dois prendre ce qui m’arrive et trouver une solution à mon problème, j’ai l’impression d’avoir un dédoublement de ma personnalité.
• Comment cela se traduit-il ?
• Chaque fois que je dors, je me réveille et je me souviens que j’ai fait des choses réprouvées par la morale.
• Qu’entendez-vous par là ?
• Je n’ose à peine vous en parler.
• Bien allongez-vous, on va essayer de savoir qu’elles sont ces choses épouvantables réprouvées par la morale.
Décontractez-vous fixer ce tableau devant vous.
Le psy s’assoit sur à mon côté et comme il me l’a demandé, je regarde le tableau qui est sur le mur en face de moi.
C’est bizarre ces cercles qui rapidement me donnent l’impression de tourner, je regarde bien, cela ressemble à un labyrinthe, par où passer pour aller au centre.
• Ou êtes-vous?
• À la terrasse d’un bar, il fait très chaud, chose rare j’ai mis une robe qui dénude mes épaules et qui montre le début de ma poitrine, j’ai toujours eu des cols officiers étant d’un naturel pudique.
• Que se passe-t-il ?
• Un homme vient s’asseoir à mes côtés, pour la première fois depuis mon mariage je regarde cet homme avec l’envie qu’il me parle, il se tait, mais me regarde, moi qui en tellement normale à du mal à m’exciter, je mouille.
Je sens que ma liqueur coule entre mes lèvres intimes, je sers les cuisses et je vais même jusqu’à les frotter l’une contre l’autre.
Je suis en sueur, ce que voit l’homme, il sort de sa poche un mouchoir encore plié et propre, dessus j’ai le temps de voir des armoiries avec les lettres G.B finement brodés.
Le mouchoir est bleu clair avec des lettres bleu marine, je le prends et regardant l’homme intensément je suce le mouchoir surtout les lettres comme je le ferais avec une glace au chocolat très noir mon parfum préféré.
• Parfum chocolat noir très foncé intéressant, continuez.
• L’homme se lève, passe devant moi me prends par la main et m’entraîne dans une petite impasse, il s’arrête entre deux voitures et sors son sexe, tient très drôle, l’homme est blanc et son sexe est intégralement noir.
Quel délice de le sucer et de le faire entrer dans la bouche, j’ai honte, mais je suis en joie, surtout quand ce grand bâton crache son sperme que j’ai délice à avaler.
L’éjaculation terminée, la verge sort de ma bouche j’ignore comment cela se produit une nouvelle la remplace.
Il y en a une que je peux masturber avec ma main gauche, je lève la tête, mais ces deux hommes sont immatériels, ils sont là, mais sans visage, les deux queues comme celle qui a déchargé dans ma bouche, semble black bien que le haut des corps soit flou.
La verge dans ma bouche décharge au fond de ma gorge et c’est avec plaisir que je bois ce sperme, celle que je masturbe crache, elle aussi et bizarrement le sperme qui arrive sur ma robe et surtout sur ma poitrine est noir.
Vu la couleur, j’espère que l’homme que j’ai masturbé est sain, mais cela coule divinement au fond de ma gorge.
• Top, cela suffit pour une première fois réveillez-vous.
Le psy passe sa main entre mes yeux et le tableau et je me réveille, je me souviens que j’ai sucé des bites, mais sans me souvenir de plus de détails.
• Pouvez-vous me dire ou vous êtes née ?
• En Afrique à Dakar plus spécifiquement.
• Vous avez perdu votre virginité là-bas.
J’éclate de rire.
• Mon père nous a ramenés en France, j’avais douze ans et je me suis mariée vierge.
• Avez-vous vu des verges noires avant votre retour ?
• Mon père tenait un hôtel sur la côte, des verges j’en ai vu des dizaines.
• Noires ?
• Noires, blanches, jaunes, métissées.
• Toujours au repos ?
• Deux trois fois, dès bien bandées, toutes blanches.
• Vous a-t-elle effrayé ?
• Pas le moindre du monde mais la seule que j’ai eu en main, c’est celle de mon mari.
• Où l’avez-vous connu ?
• En Guadeloupe papa était venu avec maman tenir un hôtel de la même chaîne, j’avais vingt ans.
• En Guadeloupe, je croyais que votre père vous avait ramenée en France.
• La Guadeloupe est un département français avec tout le respect que j’ai pour vous.
• Tiens, c’est vrai, j’y pense, il est noir lui aussi.
Croyez-vous que je fais une fixation sur les noires ?
• Comment cela se passe-t-il avec votre mari, il vous fait souvent l’amour ?
• De temps en temps mais chaque fois au matin la sensation d'avoir fauté est plus grande.
• Essayez de le faire plus souvent, vos dédoublements vont peut-être disparaître.
Si vous êtes d’accord, je vous revois dans un mois jour pour jour le 5 à 16 heures.
• Au revoir.
Il me serre la main, à l’heure et à la date prévue je succède à monsieur Bichot dans le cabinet.
• Madame Bruel, à nous, à oui dédoublement de la personnalité, vous faisiez des fellations à des verges noires, il y a un mois, je vous avais prescrit de faire l’amour plus souvent avec votre mari, cela a-t-il eu de l’effet ?
• Non, pire même, chaque matin alors que mon mari m’a honoré j’ai la nette impression que cela s’aggrave.
• On va voir cela, fixez le tableau.
Il fait toujours chaud, c’est drôle, mon dédoublement est plus fort plus, il fait chaud cet été, je me réveille et il est au-dessus de moi, il me regarde et m’essuie avec son mouchoir bleu brodé des lettres G.B, que fait-il dans mon lit à me mettre sous les yeux sa verge éléphantesque d’un blanc immaculé, ont dirait qu’elle est translucide mais gigantesque.
Un regard vers George, il dort comme un bébé, je prends cette verge en main avec du mal tellement elle est grosse, c’est incroyable à peine entré, je coule, des torrents de cyprine sortent de ma chatte, le lit est mouillé, mais George est calme.
Un flot remplace un flot et c’est en moi que j’ai l’impression que le court de la rivière s’est inversé, c’est lui qui coule dans mon vagin, et je l’entends hurler son plaisir.
Il se relève, une deuxième verge est là, bien plus petite, mais elle glisse en moi et m’apporte deux fois plus de plaisir et m’inonde comme notre couche qui ressemble à une piscine où George flotte comme je le fais quand je fais la planche.
• Réveillez-vous madame Bruel, j’en ai assez entendu pour aujourd’hui, a dans un mois, allez voir ma femme, elle va vous donner votre rendez-vous.
• Ou allez-vous vous pourriez me raccompagner.
• Excusez, il faut que je m’isole, un besoin pressant.
C’est vrai, son pantalon semble bien tendu, serait-il possible comme j’en ai la sensation que ce que je lui ai racontée l’ait fait bander et va-t-il aux toilettes se masturber.
• Bonjour, mes fantasmes sont toujours là, vous êtes parti si précipitamment le mois dernier que j’ai continué à suivre vos conseils précédents, nous faisons l’amour très souvent avec mon mari.
• J’ai noté qu’il s’appelait George, je vais vous poser une question indiscrète en a-t-il une gigantesque, pardon éléphantesque.
• Normal, pourquoi, normal du moins pour moi dans la moyenne de ce que j’en ai vu en Afrique et en Guadeloupe à la piscine de l’hôtel de papa, c'étaient des hôtels naturistes.
Pourquoi me demandez-vous ça ?
• Quand vous êtes parti et que j’ai repris mes notes, je vois que j’ai noté le mot gigantesque.
Troisième séance, je pense que ce sera la dernière, je commence à voir le contour de votre double personnalité.
• Je peux savoir.
• À la fin de la séance, fixée le tableau.
Comme les deux premières fois, je cherche à sortir du labyrinthe, mais mes pensées se brouillent, enfin je sors du tunnel ou je semble être rentré.
La chaleur, toujours la chaleur, ma chatte me brûle, l’homme à la pochette avec les armoiries et les lettres brodées G.B. est à mon côté, je suis sur mon canapé, George brille par son absence, tient ou est-il ?
Je m’en contre-fiche, la verge de la pochette s’approche et comme la cochonne que j’aime être, je me retourne et j’appuie mes seins sur le dossier, je prends mes mains et j’écarte mes fesses, j’espère qu’aujourd’hui je vais avoir une grosse verge vanille ou chocolat qui va me sodomiser ce qu’elle refuse de faire depuis que je l’ai créé.
Chouette, elle s’approche, oui, c’est fait, elle rentre, je sens mon anus se déchirer, mais je me recule puissamment pour qu’elle m’éclate bien plus, je hurle.
• Chérie, que s'est-il passé, que t’est-il arrivé, dit moi, je t’avais dit que de jouer avec mon tableau dans mon cabinet pouvais t’apporter soit des plaisirs soit des désagréments, j’allais te réveiller, car regarde l’état dans lequel tu m’as mis.
Je tourne la tête, George mon mari est assis dans son fauteuil se levant pour s’approcher de moi, il a sa chemise avec nœud papillon bleu clair et de sa poche je vois nettement sa pochette avec nos armoiries nous sommes Comte et comtesses avec ses initiales brodées G.B, George B, je garde pour nous notre nom de famille.
Il a sa grosse verge en main qui cette nuit m’a pour la première sodomisée.
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