Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’éloge de la fessée (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’éloge de la fessée (1/1)
Quand j’entends à la radio que certains pensent interdire la fessée, ils ignorent qu’ils risquent de m’enlever la source du plaisir de ma vie.
Au plus loin où je remonte dans ma mémoire, je vois régulièrement la main de mon père me frapper le postérieur, j’ignore si au début je l’avais mérité, mais par la suite je faisais tout pour l’exaspérer.
J’y arrivais sans mal surtout les jours ou travaillant en poste il finissait à 5 heures et reprenait à 14 heures, il appelait faire la culbute.
Cet horaire où il ne dormait pas se produisait une fois par mois, hélas.
Je dis bien hélas, car comme il se plaignait que je faisais du bruit juste ce qu’il faut pour le réveiller quand il se levait, il m’attrapait et il me fessait.
Cela a duré jusqu’au moment où mon frère s’en est mêlé, je venais de me faire tabasser, j’étais recroquevillée sous la table de la salle à manger et je jouais à le provoquer, a-t-il compris ce qu’il faisait quand il a senti la main le saisir et une magnifique baffe lui caresser le museau.
• Que tu nous touches encore une fois, je te coupe les couilles, idem pour maman, crois-tu que j’ignore ce que tu lui fais subir.
• Laisse Vivian, avec ton père, c’est mon affaire, s’il vous touche encore, c’est moi qui l’émasculerais.
Il a pris cette menace très au sérieux et à partir de ce jour, j’avais beau tout faire, il faisait mine de me choper pour me mettre sur ses genoux et de me fesser, mais chaque fois il reculait.
J’étais frustrée et au fil du temps je me suis rendu compte que sa main s’abattant par-dessus ma robe et ma culotte, mon père pour moi n’était pas pervers, mais simplement un homme ayant été élevé avec rudesse.
J’ai rapidement compris qu’il compensait son humeur avec ma mère, quand elle a dit que c’était son affaire, j’en ai eu confirmation un soir où je décidais de sortir avec mon frère me ravisant au dernier moment.
Je venais de m’allonger sur mon lit, comme je le faisais fréquemment depuis que j’avais fêté mes dix-huit ans et que je sentais une impunité à jouer avec mon sexe, j’étais vierge, mais j’aimais caresser mon clitoris avec mon doigt jusqu’à avoir des frissons dans le dos.
Ça a commencé par ce qu’il semblait être une engueulade, mais c’était si fréquent chez nous qu’au début je n’y aie pas pris garde puis une cavalcade avec des mots venus de la bouche de mon père.
• Salope, tu vas ramasser, tu veux profiter de l’absence des enfants.
• Oui, tu ne m’auras pas.
• Tu vas voir, ton cul va rougir.
• Je te tiens.
• Ouille, ouille, ouille.
J’ouvre ma porte discrètement, grâce à un jeu de glace, je vois le salon où ils sont, maman est nue, le peignoir que je lui avais vu au moment où Vivian est parti, claquant la porte leur faisant penser que nous étions sorties tous les deux, est au sol.
• Tu la sens celle-là.
• Oui, continue, tu sens comme je mouille.
• Va chercher le battoir, je veux éviter de me faire mal à la main comme la dernière fois, ton cul est de plus en plus résistant à la fessée.
Je vois, maman, se redresser, me faisant voir la verge d’où je suis sortie tendue à mort.
J’entends ma mère farfouiller dans le tiroir et revenir avec le battoir à viande d’une vingtaine de centimètres.
• Laisse-moi te sucer, je veux profiter de ta verge.
• Taratata, couche-toi sur mes genoux, tu veux retarder le moment où je vais te faire rougir les fesses.
Maman lui tend la planche de bois et se couche, le ventre comprimant la verge paternelle.
Combien de fois lève-t-il le bras, je ne saurais dire, ce que je sais, c’est que ma mère se mord le poing pour éviter de hurler, chaque fois sa cible est atteinte.
Je me souviens d’un jour où nous étions rentrés d’un goutter Vivian et moi où notre mère nous a servi debout, déjà ce jour-là avait-elle ramassé, nous verrons bien ce soir.
J’étais loin d’être ignorante des choses du sexe, mais voir ces deux adultes qui plus est mes parents, avoir de telles, dérivent sexuelles eus fait que pour la première fois, je me suis caressée manquant de hurler et ainsi de montrer ma présence.
Mon père certainement a le bras qui lui chauffe, car il laisse tomber le battoir, comme si le scénario était écrit, mère se laisse tomber au sol à genoux, elle prend la verge, la place dans sa bouche et je vois nettement le phallus descendre au plus profond de sa gorge.
• C’est bien ma salope, j’adore que tu me fasses une gorge profonde, oui, monte et descends lentement.
Toujours caché, un moment je touche la porte qui grince, je me jette en arrière quelques secondes, quand je repasse un œil, je vois qu’ils n’ont rien entendu sauf que la situation a évolué.
Ma mère s’est positionnée à quatre pattes, mon père à genoux derrière elle doit la pénétrer, je vois qu’elle aime se faire prendre comme une petite chienne, il la pilonne à grands coups ses bourses devant taper là où elle doit avoir mal.
C’est un tout autre chant qui sort de sa bouche au point que j’aurais aimé ressentir ce qu’elle ressent surtout que pour faire bonne mesure, il lui claque les fesses de nouveau à grands coups de sa main.
Ils jouissent et il la quitte pour partir dans leur chambre, elle le suit, je quitte ma cachette et j’ouvre la porte palière.
• Salut, les anciens, je suis de retour, je vais dans ma chambre.
Le soir comme je le supputais, après le retour de mon frère, notre mère nous sert, mais est incapable de poser ses fesses sur la moindre chaise, tout juste peut-elle s’asseoir sur les coussins du canapé pour regarder la télé.
• Je suis fatigué, demain j’ai mon examen de fin d’année de coiffure, je vais pouvoir trouver du boulot et gagner ma vie.
Surtout ce que je veux, c’est gagner mon indépendance, aussi quand Alban mon aîné de dix ans me propose de me passer la bague au doigt, je m’empresse de dire oui et de m’installer avec lui.
Que dire de mon dépucelage faisant de moi une femme pleine et entière, pas grand-chose, tout juste une petite douleur, mais surtout un manque de connaissances de la fessée ?
Il faut dire que, rapidement, j’ai compris que j’avais épousé un ivrogne qui rapidement s’est avéré incapable de me baiser, sous couvert de chercher du travail, il partait le matin chercher du boulot et rentrait complètement fait le soir.
Mon diplôme ne me permettait pas de trouver un emploi stable, tout juste des remplacements ou des coupes à domicile grâce à une concierge qui m’avait prise en amitié.
Un jour, devant un restaurant-bar, je vois qu’ils cherchaient une serveuse, je me présente, je suis engagée, rapidement j’ai compris que l’endroit rapportait de sérieux pour boire à Adèle ma collègue.
Dès le premier service, les mains aux fesses par ces ouvriers de chantiers étaient habituelles, ses mains sur mon postérieur m’ont rappelé le plaisir qu’il me manquait de me faire fesser.
Ici, c’était autrement que ma copine se faisait de gros pourboires, je la voyais suivre des clients sans que le patron semble s’offusquer, le lendemain je l’ai suivi, elle les suçait et empochait l’argent.
J’arrivais à huit heures, un jour où son cuistot était encore au marché et Adèle en retard, il m’a reproché de lui avoir volé une sucette lui en déclarant trois alors qu’il est vrai que j’avais avalé quatre fois du sperme.
Il est sorti de derrière le bar avec en main, ce qui s’est avéré être un nerf de bœuf, m’a attrapé par le bras et s’assaillant sur une chaise, il m’a remonté ma jupette que nous devions mettre pour faire venir les clients et m’a fouetté.
C’était la première fois que l’on me fessait le cul à l’air et malgré la douleur, j’ai compris le plaisir que maman avait pris avec mon père lors de la séance avec le battoir.
Mon cul bien fessé et certainement bien rouge, il m’a redressé, posé les fesses qui me brûlaient sur une table où je venais de mettre le couvert et il a fait sortir sa queue avant de me prendre, j’étais trempé et comme il y avait plusieurs semaines qu’Alban était incapable de me baiser, j’ai joui aussi fort que ma génitrice.
• Tiens, salope, j’ai récupéré les cinq euros que tu m’avais piqué.
L’argent que je me faisais me permettait de nous faire vivre, mon mari était cocu, mais comme fréquemment je faisais ce qu’il fallait pour retrouver le nerf de bœuf et la verge de mon amant, je trouvais un certain équilibre.
Ce que j’ignorais, c’est que le bar était frappé de démolition et je me suis retrouvée à rechercher du boulot.
J’ai bien retrouvé des clients du bar qui m’ont baisé dans leur voiture ou camion de service, ma logeuse a recommencé à me trouver du travail, j’allais chaque mois chez un veuf pour lui rafraîchir sa nuque.
Dès la première fois, sur le côté d’un meuble, j’ai remarqué un martinet, il avait dû servir, car il y avait deux lanières qui étaient coupées.
La troisième fois, il est allé chercher une serviette qu’il avait oubliée, je me suis saisi du martinet et j’ai essayé de me fesser avec du mal et sans me faire mal.
• Aimes-tu la fessée ?
J’ai reposé rapidement le martinet.
• N’aie pas peur, il servait à ma femme qui adorait la fessée, depuis qu’elle est partie, ça me manque, j’adorais lui en faire jusqu’au jour où pour son anniversaire, elle m’a offert ce martinet.
• Vous me faite envie.
Il a quarante-quatre ans, j'en ai bientôt vingt, malgré l’écart d’âge, il me fesse autant que je le veux, le martinet, j’aime bien quand il claque sur mes fesses.
Je finis par quitter Alban le laissant aller vers son destin, j’ai appris qu’il était mort un soir d’hiver comme SDF derrière la gare, sa mort a été son seul fait d’armes dans sa vie d’ivrogne, il a fait la première page du journal.
Je reçois volontiers la main de mon nouveau mari sans oublier le martinet, vous comprenez le début de mon histoire concernant l’éloge de la fessée contre les pisses froides qui veulent l’interdire.
Comme maman après qu’il m’est fessé suivant mon envie, nous baisons comme des malades, il m’a appris la sodomie, il me pénètre bien entendu après que j’ai fortement mal aux fesses.
Ma chatte lui va aussi, je viens de voir échographie de ma fille, mais sa future naissance ne nous arrête pas coter fessée, je viens de lui offrir une cravache bien souple pour Noël, le martinet ayant perdu encore trois lanières.
Je vous laisse, j’entends qu’il rentre, je suis prête à essayer la cravache pour la première fois et vivre ma vie de femme fessée par plaisir.
Au plus loin où je remonte dans ma mémoire, je vois régulièrement la main de mon père me frapper le postérieur, j’ignore si au début je l’avais mérité, mais par la suite je faisais tout pour l’exaspérer.
J’y arrivais sans mal surtout les jours ou travaillant en poste il finissait à 5 heures et reprenait à 14 heures, il appelait faire la culbute.
Cet horaire où il ne dormait pas se produisait une fois par mois, hélas.
Je dis bien hélas, car comme il se plaignait que je faisais du bruit juste ce qu’il faut pour le réveiller quand il se levait, il m’attrapait et il me fessait.
Cela a duré jusqu’au moment où mon frère s’en est mêlé, je venais de me faire tabasser, j’étais recroquevillée sous la table de la salle à manger et je jouais à le provoquer, a-t-il compris ce qu’il faisait quand il a senti la main le saisir et une magnifique baffe lui caresser le museau.
• Que tu nous touches encore une fois, je te coupe les couilles, idem pour maman, crois-tu que j’ignore ce que tu lui fais subir.
• Laisse Vivian, avec ton père, c’est mon affaire, s’il vous touche encore, c’est moi qui l’émasculerais.
Il a pris cette menace très au sérieux et à partir de ce jour, j’avais beau tout faire, il faisait mine de me choper pour me mettre sur ses genoux et de me fesser, mais chaque fois il reculait.
J’étais frustrée et au fil du temps je me suis rendu compte que sa main s’abattant par-dessus ma robe et ma culotte, mon père pour moi n’était pas pervers, mais simplement un homme ayant été élevé avec rudesse.
J’ai rapidement compris qu’il compensait son humeur avec ma mère, quand elle a dit que c’était son affaire, j’en ai eu confirmation un soir où je décidais de sortir avec mon frère me ravisant au dernier moment.
Je venais de m’allonger sur mon lit, comme je le faisais fréquemment depuis que j’avais fêté mes dix-huit ans et que je sentais une impunité à jouer avec mon sexe, j’étais vierge, mais j’aimais caresser mon clitoris avec mon doigt jusqu’à avoir des frissons dans le dos.
Ça a commencé par ce qu’il semblait être une engueulade, mais c’était si fréquent chez nous qu’au début je n’y aie pas pris garde puis une cavalcade avec des mots venus de la bouche de mon père.
• Salope, tu vas ramasser, tu veux profiter de l’absence des enfants.
• Oui, tu ne m’auras pas.
• Tu vas voir, ton cul va rougir.
• Je te tiens.
• Ouille, ouille, ouille.
J’ouvre ma porte discrètement, grâce à un jeu de glace, je vois le salon où ils sont, maman est nue, le peignoir que je lui avais vu au moment où Vivian est parti, claquant la porte leur faisant penser que nous étions sorties tous les deux, est au sol.
• Tu la sens celle-là.
• Oui, continue, tu sens comme je mouille.
• Va chercher le battoir, je veux éviter de me faire mal à la main comme la dernière fois, ton cul est de plus en plus résistant à la fessée.
Je vois, maman, se redresser, me faisant voir la verge d’où je suis sortie tendue à mort.
J’entends ma mère farfouiller dans le tiroir et revenir avec le battoir à viande d’une vingtaine de centimètres.
• Laisse-moi te sucer, je veux profiter de ta verge.
• Taratata, couche-toi sur mes genoux, tu veux retarder le moment où je vais te faire rougir les fesses.
Maman lui tend la planche de bois et se couche, le ventre comprimant la verge paternelle.
Combien de fois lève-t-il le bras, je ne saurais dire, ce que je sais, c’est que ma mère se mord le poing pour éviter de hurler, chaque fois sa cible est atteinte.
Je me souviens d’un jour où nous étions rentrés d’un goutter Vivian et moi où notre mère nous a servi debout, déjà ce jour-là avait-elle ramassé, nous verrons bien ce soir.
J’étais loin d’être ignorante des choses du sexe, mais voir ces deux adultes qui plus est mes parents, avoir de telles, dérivent sexuelles eus fait que pour la première fois, je me suis caressée manquant de hurler et ainsi de montrer ma présence.
Mon père certainement a le bras qui lui chauffe, car il laisse tomber le battoir, comme si le scénario était écrit, mère se laisse tomber au sol à genoux, elle prend la verge, la place dans sa bouche et je vois nettement le phallus descendre au plus profond de sa gorge.
• C’est bien ma salope, j’adore que tu me fasses une gorge profonde, oui, monte et descends lentement.
Toujours caché, un moment je touche la porte qui grince, je me jette en arrière quelques secondes, quand je repasse un œil, je vois qu’ils n’ont rien entendu sauf que la situation a évolué.
Ma mère s’est positionnée à quatre pattes, mon père à genoux derrière elle doit la pénétrer, je vois qu’elle aime se faire prendre comme une petite chienne, il la pilonne à grands coups ses bourses devant taper là où elle doit avoir mal.
C’est un tout autre chant qui sort de sa bouche au point que j’aurais aimé ressentir ce qu’elle ressent surtout que pour faire bonne mesure, il lui claque les fesses de nouveau à grands coups de sa main.
Ils jouissent et il la quitte pour partir dans leur chambre, elle le suit, je quitte ma cachette et j’ouvre la porte palière.
• Salut, les anciens, je suis de retour, je vais dans ma chambre.
Le soir comme je le supputais, après le retour de mon frère, notre mère nous sert, mais est incapable de poser ses fesses sur la moindre chaise, tout juste peut-elle s’asseoir sur les coussins du canapé pour regarder la télé.
• Je suis fatigué, demain j’ai mon examen de fin d’année de coiffure, je vais pouvoir trouver du boulot et gagner ma vie.
Surtout ce que je veux, c’est gagner mon indépendance, aussi quand Alban mon aîné de dix ans me propose de me passer la bague au doigt, je m’empresse de dire oui et de m’installer avec lui.
Que dire de mon dépucelage faisant de moi une femme pleine et entière, pas grand-chose, tout juste une petite douleur, mais surtout un manque de connaissances de la fessée ?
Il faut dire que, rapidement, j’ai compris que j’avais épousé un ivrogne qui rapidement s’est avéré incapable de me baiser, sous couvert de chercher du travail, il partait le matin chercher du boulot et rentrait complètement fait le soir.
Mon diplôme ne me permettait pas de trouver un emploi stable, tout juste des remplacements ou des coupes à domicile grâce à une concierge qui m’avait prise en amitié.
Un jour, devant un restaurant-bar, je vois qu’ils cherchaient une serveuse, je me présente, je suis engagée, rapidement j’ai compris que l’endroit rapportait de sérieux pour boire à Adèle ma collègue.
Dès le premier service, les mains aux fesses par ces ouvriers de chantiers étaient habituelles, ses mains sur mon postérieur m’ont rappelé le plaisir qu’il me manquait de me faire fesser.
Ici, c’était autrement que ma copine se faisait de gros pourboires, je la voyais suivre des clients sans que le patron semble s’offusquer, le lendemain je l’ai suivi, elle les suçait et empochait l’argent.
J’arrivais à huit heures, un jour où son cuistot était encore au marché et Adèle en retard, il m’a reproché de lui avoir volé une sucette lui en déclarant trois alors qu’il est vrai que j’avais avalé quatre fois du sperme.
Il est sorti de derrière le bar avec en main, ce qui s’est avéré être un nerf de bœuf, m’a attrapé par le bras et s’assaillant sur une chaise, il m’a remonté ma jupette que nous devions mettre pour faire venir les clients et m’a fouetté.
C’était la première fois que l’on me fessait le cul à l’air et malgré la douleur, j’ai compris le plaisir que maman avait pris avec mon père lors de la séance avec le battoir.
Mon cul bien fessé et certainement bien rouge, il m’a redressé, posé les fesses qui me brûlaient sur une table où je venais de mettre le couvert et il a fait sortir sa queue avant de me prendre, j’étais trempé et comme il y avait plusieurs semaines qu’Alban était incapable de me baiser, j’ai joui aussi fort que ma génitrice.
• Tiens, salope, j’ai récupéré les cinq euros que tu m’avais piqué.
L’argent que je me faisais me permettait de nous faire vivre, mon mari était cocu, mais comme fréquemment je faisais ce qu’il fallait pour retrouver le nerf de bœuf et la verge de mon amant, je trouvais un certain équilibre.
Ce que j’ignorais, c’est que le bar était frappé de démolition et je me suis retrouvée à rechercher du boulot.
J’ai bien retrouvé des clients du bar qui m’ont baisé dans leur voiture ou camion de service, ma logeuse a recommencé à me trouver du travail, j’allais chaque mois chez un veuf pour lui rafraîchir sa nuque.
Dès la première fois, sur le côté d’un meuble, j’ai remarqué un martinet, il avait dû servir, car il y avait deux lanières qui étaient coupées.
La troisième fois, il est allé chercher une serviette qu’il avait oubliée, je me suis saisi du martinet et j’ai essayé de me fesser avec du mal et sans me faire mal.
• Aimes-tu la fessée ?
J’ai reposé rapidement le martinet.
• N’aie pas peur, il servait à ma femme qui adorait la fessée, depuis qu’elle est partie, ça me manque, j’adorais lui en faire jusqu’au jour où pour son anniversaire, elle m’a offert ce martinet.
• Vous me faite envie.
Il a quarante-quatre ans, j'en ai bientôt vingt, malgré l’écart d’âge, il me fesse autant que je le veux, le martinet, j’aime bien quand il claque sur mes fesses.
Je finis par quitter Alban le laissant aller vers son destin, j’ai appris qu’il était mort un soir d’hiver comme SDF derrière la gare, sa mort a été son seul fait d’armes dans sa vie d’ivrogne, il a fait la première page du journal.
Je reçois volontiers la main de mon nouveau mari sans oublier le martinet, vous comprenez le début de mon histoire concernant l’éloge de la fessée contre les pisses froides qui veulent l’interdire.
Comme maman après qu’il m’est fessé suivant mon envie, nous baisons comme des malades, il m’a appris la sodomie, il me pénètre bien entendu après que j’ai fortement mal aux fesses.
Ma chatte lui va aussi, je viens de voir échographie de ma fille, mais sa future naissance ne nous arrête pas coter fessée, je viens de lui offrir une cravache bien souple pour Noël, le martinet ayant perdu encore trois lanières.
Je vous laisse, j’entends qu’il rentre, je suis prête à essayer la cravache pour la première fois et vivre ma vie de femme fessée par plaisir.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de vos commentaires...
Nouvelle histoire en deux chapitres demain matin 5 heures...
Nouvelle histoire en deux chapitres demain matin 5 heures...
Excellente histoire. J'ai appris à ma maitresse à aimer la fessée qui et devenu un préliminaire incontournable à la sodomie ou au sexe d'anulingus en cunnilingus et sexe débridé. Merci de cette jolie nouvelle.
J'adore les lectrices qui aiment...
Prochaine histoire à 20 heures...
Prochaine histoire à 20 heures...
Magnifique comme toujours, merci
Merci pour les cœurs, ils me vont droit au cœur...