Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HOMME FEMME. Conte de Noël (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HOMME FEMME. Conte de Noël (2/4)
Mon histoire a eu lieu à quelques jours de Noël.
J’habite dans le XVIe arrondissement de Paris, un appartement coquet au dernier étage d’un immeuble, qui possède jardin d’hiver et jardin d’été, ce qui est très rare à Paris.
J’habite au-dessus de la station de métro « porte de Saint-Cloud », je vois à la télé un reportage sur le froid qui sévit à Paris et les SDF qui y sont confrontés.
Je reconnais mon immeuble, ainsi que l’un d’eux couchant sur la bouche de métro et comme ils demandent de les aider, je descends de la soupe de pois cassés avec un morceau de saucisse de Montbéliard, le lendemain, je vais récupérer ma gamelle quoique hier l’homme m’ait traité de tous les noms.
Il s’excuse et je finis par lui proposer de monter pour reprendre une assiette chaude.
Dans l’état où il est, je lui propose un bain, il m’appelle, je vois qu’il possède une verge hors du commun bien que je n’en aie jamais vu du moins en réelle.
M’approchant à sa demande, je le rince et je la touche du bout des doigts, je file de la pièce et je vais vérifier que la soupe n’attache pas.
L’horloge tourne, que peut-il bien faire, zut mes bijoux, ainsi que ceux de Joy, ma compagne jusqu’à il y a peu où elle est morte d’un cancer du sein alors que pendant des années, j’avais le plaisir de les caresser et même de les prendre dans ma bouche.
• Ça fait du bien, je ne vous remercierais jamais assez, je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps, je me suis servi du rasoir qui doit être à votre mari et je me suis rasé, je suis plus présentable.
• J’ai une chambre d’amie, si vous voulez rester jusqu’à Noël, je suis seule.
Viole-moi, puisque je suis seule, c’est ce que, d’un coup, je pense, je suis de plus en plus une imbécile, on va retrouver mon cadavre dans quelques jours, la plupart de mes voisins étant partis dans leurs familles pour les fêtes.
Il semble plus jeune sans sa barbe, je dirais même qu’il est beau, il a noué sa serviette autour de sa taille.
• Suivez-moi, la soupe est chaude asseyez-vous dans ce canapé, vous aurez la vue sur la place.
• Merde, on m’a piqué ma grille, je suis obligé d’accepter votre proposition.
Je m’avance vers la vitre à quelques centimètres de cet homme que je ne connaissais pas, il y a moins de deux heures, sur la bouche de ventilation un autre SDF s’installe.
• C’est Polo, hé ! Polo, tire-toi, je suis là.
Je le prends par le bras pour le faire reculer.
• Polo, il ne peut pas vous entendre, nous sommes trop hauts et les vitres sécurité empêchent les bruits de passer.
Son bras est très musculeux, je le lâche d’un coup comme si j’avais été mordu par ce putain de serpent qui me hante depuis tout à l’heure.
Il s’assoit et je vais chercher l’assiette de soupe que j’ai préparée, j’apporte un couteau et une fourchette ainsi qu’une cuillère, il restait de la Montbéliard.
Quand je reviens avec ces objets, sa serviette s’est détachée, il la replace, mais pour la tendre, il l’ouvre me montrant insidieusement son bâton de chaire.
• Il me semble que j’ai fait un imper tout à l’heure en parlant de votre mari, c’est une amie qui vous a larguée, vous avec du mal à l’oublier quand on voit sa photo à plusieurs endroits.
Je me demandais qui étais cette jolie femme qui est sur votre mur dans votre chambre, attention, je ne suis pas rentré, votre porte était ouverte et je l’ai vu sur votre mur face à votre lit, incroyable cette photo en pied.
Sans m’en rendre compte, à l’évocation de la photo de Joy nue que nous avions prise au temps où elle était en pleine forme et sous le coup de l’émotion, je me suis assise à ses côtés sans penser à mal, je tombe en sanglots.
• Ne pleure pas, si j’avais su, je n’aurais pas parlé d’elle, elle s’appelait comment et depuis combien de temps t’a-t-elle larguée.
Il me prend par l’épaule et m’attire à lui.
• Elle s’appelait Joy, mais elle ne m’a pas réellement quittée, elle est morte suite à un cancer du sein, pourtant ils étaient si beaux.
Je suis complètement déjantée, parlée d'une telle chose à un homme qui plus est un SDF, mais c’est drôle, c’est la première fois depuis qu’elle m’a quitté, je suis bien au creux de cette épaule qui semble me protéger.
• Essuie ces larmes, tu vas me faire chialer, moi aussi.
En disant cela, il se soulève pour défaire sa serviette et m’essuyer les yeux, a-t-il prémédité son geste, je n'ai pas l’impression, ce que je sais, c’est que mes yeux, quand ils la voient de nouveau, ne voient qu’elle.
Je vais même jusqu’à y poser ma main.
• Que fais-tu bébé, c’est dangereux ?
J’ai promis que tu n’avais rien à craindre, mais si tu es partante, depuis que ma copine m’a viré faisant de moi un SDF, elle n’a pas vu de petite chatte.
Qu’à cela ne tienne, je l’ai en main et je ne la lâche pas, depuis que je vous dis que je suis folle, d’autant plus qu’il me regarde et m’embrasse comme Joy.
Pardon, pensons à autre chose que ma petite maîtresse, je vais recommencer à fondre en larmes.
Comme on le sait maintenant, cette langue qui tournoie dans ma bouche m’apporte cette sensation au bas de mon ventre, je connais trop bien mon envie de baiser que la main de mon amie savait éteindre.
• Dis-moi, es-tu vierge !
• Oui, tu es le premier garçon.
Il enlève sa main précipitamment, qu’il venait de poser sur mon chemisier commençant à le déboutonner.
• Non, continu, je suis vierge de verge, mais mon sexe est capable de te recevoir, même si je vois la taille qu’elle a, Joy mon amie, m’avait enlevé mon hymen et allait même jusqu’à me fister.
• Elle te mettait sa main entièrement dans ton vagin, je le faisais avec Noémi.
Qui est Noémi, pour le moment je ne le saurais pas surtout que me reprenant les lèvres, sa main vient passer sous ma jupe.
• Tu es une salope, tu as enlevé ta petite culotte.
• Non, ne te méprend pas, j’étais en peignoir avant de descendre récupérer ma gamelle, je suis toujours en peignoir ici depuis la mort de mon amie, je n’ai aucun courage de m’habiller, alors j’ai juste passé une robe et mis mon manteau à cause du froid.
• Lève-toi, que je te déshabille, mets-toi à l’aise comme je le suis, la chaleur est si douce dans ton appartement.
Et si nous demandions à Polo de monter !
• Tu es fou, déjà-toi, je m’aperçois que c’était une erreur.
• Tout doux ma belle, je rigolais surtout qu’il aurait besoin d’un bon bain, il doit puer ce mec.
En me disant ces mots, je me suis levée et il défait lentement un à un les boutons de mon chemisier, une pensée me vient, dis-moi qu’ils sont très beaux comme devaient l’être ceux de Joy, cela me réveillera et je le mettrais dehors.
Mince ces vrais, j’ai mis une par une, ses affaires dans le vide-ordure.
• Ils sont très beaux, tu permets que je les caresses.
Non, pas cette phrase-là, celle qui parle de mon amie et me fera reprendre pied.
• Sans problème, ils sont à toi.
Une malade, je suis une malade et dire que je suis vierge avec les hommes, je serais une habituée de ce type de relation avec des mecs ramassés dans la rue, je ne me serais pas plus mal prise.
Il avance carrément sa bouche, celle qui m’a déjà embrassé et qui se pose sur la pointe de mon sein droit, il la fait tourner et je m’embrase surtout que je sens sa verge bandée s’appuyant sur mon sexe, je dois être dégoulinante.
Ses mains ne restent pas inactives, elle dégrafe ma jupe tombant au sol, son sexe est maintenant en contact avec le mien, c’est chaud et ça bouge, c’est là que je prends une initiative.
Incroyable, je le repousse, au mon pas pour me dégager, mais pour mieux le voir tomber sur le canapé et l’enfourcher pour qu’il me baise.
Souplement ma jambe droite passe dessus sa verge, il est en ligne, je m’abaisse, je sens sa main qui tient son bâton bien droit et c’est moi qui m’empale.
Ouaouh, quelle sensation, bien différente des doigts et de la main de Joy, là revoilà, je t’aime toujours Joy, mais la vie continue, cette verge qui m’était proposée a dû arriver au bon moment, juste avant Noël.
Mieux même, laisse-toi prendre, c’est elle qui a voulu que tu arrêtes de te morfondre suite à son décès et de l’infini a-t-elle tout prémédité, alors je me lâche, j’entoure le cou de mon amant et c’est moi qui me lève et me laisse retomber des dizaines de fois.
…….
Excusez, j’ai coupé la ligne entre vous et moi, je viens de jouir, m’empêchant de pouvoir donner mes impressions, maintenant, je peux dire que c’est bon, surtout quant à son tour, il jouit me remplissant le vagin à grandes giclées de sperme.
Joy, si elle est présente dans les cadres photos, doit me prendre pour une lâcheuse, je n’aurais jamais eu l’idée de la tromper pendant nos années de relations, pourtant j’apprécie cette verge qui vient de me donner mon premier plaisir de femme hétérosexuelle.
Nous tombons sur le canapé pour reprendre notre souffle.
Le temps passe, la nuit est tombée, je suis allongé à son côté lui caressant le visage et l’embrassant par des petits baisés.
• Dis-moi, je me rends compte que nous sommes amant sans connaître nos noms, moi c’est Jennifer et toi.
• Renaud comme le chanteur.
• Dis, je t’ai entendu parler d’une certaine Noémi, tu t’es arrêté après avoir dit que tu la fistais, qui était-elle ?
• Une pute, une grande pute, c’est à cause d’elle que je me suis retrouvé à la rue, c’était un mannequin bien connu dans les défilés de mode, c’est là que je l’ai rencontré, j’étais jockey et même deuxième au classement français.
Je courais sous les couleurs des plus grands propriétaires du monde entier, je gagnais un fric fou, mais j’adorais flamber dans divers casinos des alentours de Paris.
Avant elle, j’avais eu de merveilleuses maîtresses que je couvrais de bijoux et à qui je faisais l’amour à les faire hurler de plaisir, tu as vu que malgré ma taille de jockey, je suis bien pourvu, ces salopes se le disaient et j’avais souvent des aventures.
J’avais un défaut, je me faisais inviter, un jour je suis tombé en course, balancé par le numéro un français, il se disait que j’allais lui prendre sa place en fin de saison.
Les commissaires de courses n’ont rien vu et j’ai été obligé d’arrêter de monter, le pognon ne rentrait plus et Noémi m’a mise à la porte.
J’ai vécu dans un hôtel, mais je me suis retrouvé à la rue quand le fric m’a manqué.
• Sais-tu que je possède des chevaux en Normandie…
J’habite dans le XVIe arrondissement de Paris, un appartement coquet au dernier étage d’un immeuble, qui possède jardin d’hiver et jardin d’été, ce qui est très rare à Paris.
J’habite au-dessus de la station de métro « porte de Saint-Cloud », je vois à la télé un reportage sur le froid qui sévit à Paris et les SDF qui y sont confrontés.
Je reconnais mon immeuble, ainsi que l’un d’eux couchant sur la bouche de métro et comme ils demandent de les aider, je descends de la soupe de pois cassés avec un morceau de saucisse de Montbéliard, le lendemain, je vais récupérer ma gamelle quoique hier l’homme m’ait traité de tous les noms.
Il s’excuse et je finis par lui proposer de monter pour reprendre une assiette chaude.
Dans l’état où il est, je lui propose un bain, il m’appelle, je vois qu’il possède une verge hors du commun bien que je n’en aie jamais vu du moins en réelle.
M’approchant à sa demande, je le rince et je la touche du bout des doigts, je file de la pièce et je vais vérifier que la soupe n’attache pas.
L’horloge tourne, que peut-il bien faire, zut mes bijoux, ainsi que ceux de Joy, ma compagne jusqu’à il y a peu où elle est morte d’un cancer du sein alors que pendant des années, j’avais le plaisir de les caresser et même de les prendre dans ma bouche.
• Ça fait du bien, je ne vous remercierais jamais assez, je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps, je me suis servi du rasoir qui doit être à votre mari et je me suis rasé, je suis plus présentable.
• J’ai une chambre d’amie, si vous voulez rester jusqu’à Noël, je suis seule.
Viole-moi, puisque je suis seule, c’est ce que, d’un coup, je pense, je suis de plus en plus une imbécile, on va retrouver mon cadavre dans quelques jours, la plupart de mes voisins étant partis dans leurs familles pour les fêtes.
Il semble plus jeune sans sa barbe, je dirais même qu’il est beau, il a noué sa serviette autour de sa taille.
• Suivez-moi, la soupe est chaude asseyez-vous dans ce canapé, vous aurez la vue sur la place.
• Merde, on m’a piqué ma grille, je suis obligé d’accepter votre proposition.
Je m’avance vers la vitre à quelques centimètres de cet homme que je ne connaissais pas, il y a moins de deux heures, sur la bouche de ventilation un autre SDF s’installe.
• C’est Polo, hé ! Polo, tire-toi, je suis là.
Je le prends par le bras pour le faire reculer.
• Polo, il ne peut pas vous entendre, nous sommes trop hauts et les vitres sécurité empêchent les bruits de passer.
Son bras est très musculeux, je le lâche d’un coup comme si j’avais été mordu par ce putain de serpent qui me hante depuis tout à l’heure.
Il s’assoit et je vais chercher l’assiette de soupe que j’ai préparée, j’apporte un couteau et une fourchette ainsi qu’une cuillère, il restait de la Montbéliard.
Quand je reviens avec ces objets, sa serviette s’est détachée, il la replace, mais pour la tendre, il l’ouvre me montrant insidieusement son bâton de chaire.
• Il me semble que j’ai fait un imper tout à l’heure en parlant de votre mari, c’est une amie qui vous a larguée, vous avec du mal à l’oublier quand on voit sa photo à plusieurs endroits.
Je me demandais qui étais cette jolie femme qui est sur votre mur dans votre chambre, attention, je ne suis pas rentré, votre porte était ouverte et je l’ai vu sur votre mur face à votre lit, incroyable cette photo en pied.
Sans m’en rendre compte, à l’évocation de la photo de Joy nue que nous avions prise au temps où elle était en pleine forme et sous le coup de l’émotion, je me suis assise à ses côtés sans penser à mal, je tombe en sanglots.
• Ne pleure pas, si j’avais su, je n’aurais pas parlé d’elle, elle s’appelait comment et depuis combien de temps t’a-t-elle larguée.
Il me prend par l’épaule et m’attire à lui.
• Elle s’appelait Joy, mais elle ne m’a pas réellement quittée, elle est morte suite à un cancer du sein, pourtant ils étaient si beaux.
Je suis complètement déjantée, parlée d'une telle chose à un homme qui plus est un SDF, mais c’est drôle, c’est la première fois depuis qu’elle m’a quitté, je suis bien au creux de cette épaule qui semble me protéger.
• Essuie ces larmes, tu vas me faire chialer, moi aussi.
En disant cela, il se soulève pour défaire sa serviette et m’essuyer les yeux, a-t-il prémédité son geste, je n'ai pas l’impression, ce que je sais, c’est que mes yeux, quand ils la voient de nouveau, ne voient qu’elle.
Je vais même jusqu’à y poser ma main.
• Que fais-tu bébé, c’est dangereux ?
J’ai promis que tu n’avais rien à craindre, mais si tu es partante, depuis que ma copine m’a viré faisant de moi un SDF, elle n’a pas vu de petite chatte.
Qu’à cela ne tienne, je l’ai en main et je ne la lâche pas, depuis que je vous dis que je suis folle, d’autant plus qu’il me regarde et m’embrasse comme Joy.
Pardon, pensons à autre chose que ma petite maîtresse, je vais recommencer à fondre en larmes.
Comme on le sait maintenant, cette langue qui tournoie dans ma bouche m’apporte cette sensation au bas de mon ventre, je connais trop bien mon envie de baiser que la main de mon amie savait éteindre.
• Dis-moi, es-tu vierge !
• Oui, tu es le premier garçon.
Il enlève sa main précipitamment, qu’il venait de poser sur mon chemisier commençant à le déboutonner.
• Non, continu, je suis vierge de verge, mais mon sexe est capable de te recevoir, même si je vois la taille qu’elle a, Joy mon amie, m’avait enlevé mon hymen et allait même jusqu’à me fister.
• Elle te mettait sa main entièrement dans ton vagin, je le faisais avec Noémi.
Qui est Noémi, pour le moment je ne le saurais pas surtout que me reprenant les lèvres, sa main vient passer sous ma jupe.
• Tu es une salope, tu as enlevé ta petite culotte.
• Non, ne te méprend pas, j’étais en peignoir avant de descendre récupérer ma gamelle, je suis toujours en peignoir ici depuis la mort de mon amie, je n’ai aucun courage de m’habiller, alors j’ai juste passé une robe et mis mon manteau à cause du froid.
• Lève-toi, que je te déshabille, mets-toi à l’aise comme je le suis, la chaleur est si douce dans ton appartement.
Et si nous demandions à Polo de monter !
• Tu es fou, déjà-toi, je m’aperçois que c’était une erreur.
• Tout doux ma belle, je rigolais surtout qu’il aurait besoin d’un bon bain, il doit puer ce mec.
En me disant ces mots, je me suis levée et il défait lentement un à un les boutons de mon chemisier, une pensée me vient, dis-moi qu’ils sont très beaux comme devaient l’être ceux de Joy, cela me réveillera et je le mettrais dehors.
Mince ces vrais, j’ai mis une par une, ses affaires dans le vide-ordure.
• Ils sont très beaux, tu permets que je les caresses.
Non, pas cette phrase-là, celle qui parle de mon amie et me fera reprendre pied.
• Sans problème, ils sont à toi.
Une malade, je suis une malade et dire que je suis vierge avec les hommes, je serais une habituée de ce type de relation avec des mecs ramassés dans la rue, je ne me serais pas plus mal prise.
Il avance carrément sa bouche, celle qui m’a déjà embrassé et qui se pose sur la pointe de mon sein droit, il la fait tourner et je m’embrase surtout que je sens sa verge bandée s’appuyant sur mon sexe, je dois être dégoulinante.
Ses mains ne restent pas inactives, elle dégrafe ma jupe tombant au sol, son sexe est maintenant en contact avec le mien, c’est chaud et ça bouge, c’est là que je prends une initiative.
Incroyable, je le repousse, au mon pas pour me dégager, mais pour mieux le voir tomber sur le canapé et l’enfourcher pour qu’il me baise.
Souplement ma jambe droite passe dessus sa verge, il est en ligne, je m’abaisse, je sens sa main qui tient son bâton bien droit et c’est moi qui m’empale.
Ouaouh, quelle sensation, bien différente des doigts et de la main de Joy, là revoilà, je t’aime toujours Joy, mais la vie continue, cette verge qui m’était proposée a dû arriver au bon moment, juste avant Noël.
Mieux même, laisse-toi prendre, c’est elle qui a voulu que tu arrêtes de te morfondre suite à son décès et de l’infini a-t-elle tout prémédité, alors je me lâche, j’entoure le cou de mon amant et c’est moi qui me lève et me laisse retomber des dizaines de fois.
…….
Excusez, j’ai coupé la ligne entre vous et moi, je viens de jouir, m’empêchant de pouvoir donner mes impressions, maintenant, je peux dire que c’est bon, surtout quant à son tour, il jouit me remplissant le vagin à grandes giclées de sperme.
Joy, si elle est présente dans les cadres photos, doit me prendre pour une lâcheuse, je n’aurais jamais eu l’idée de la tromper pendant nos années de relations, pourtant j’apprécie cette verge qui vient de me donner mon premier plaisir de femme hétérosexuelle.
Nous tombons sur le canapé pour reprendre notre souffle.
Le temps passe, la nuit est tombée, je suis allongé à son côté lui caressant le visage et l’embrassant par des petits baisés.
• Dis-moi, je me rends compte que nous sommes amant sans connaître nos noms, moi c’est Jennifer et toi.
• Renaud comme le chanteur.
• Dis, je t’ai entendu parler d’une certaine Noémi, tu t’es arrêté après avoir dit que tu la fistais, qui était-elle ?
• Une pute, une grande pute, c’est à cause d’elle que je me suis retrouvé à la rue, c’était un mannequin bien connu dans les défilés de mode, c’est là que je l’ai rencontré, j’étais jockey et même deuxième au classement français.
Je courais sous les couleurs des plus grands propriétaires du monde entier, je gagnais un fric fou, mais j’adorais flamber dans divers casinos des alentours de Paris.
Avant elle, j’avais eu de merveilleuses maîtresses que je couvrais de bijoux et à qui je faisais l’amour à les faire hurler de plaisir, tu as vu que malgré ma taille de jockey, je suis bien pourvu, ces salopes se le disaient et j’avais souvent des aventures.
J’avais un défaut, je me faisais inviter, un jour je suis tombé en course, balancé par le numéro un français, il se disait que j’allais lui prendre sa place en fin de saison.
Les commissaires de courses n’ont rien vu et j’ai été obligé d’arrêter de monter, le pognon ne rentrait plus et Noémi m’a mise à la porte.
J’ai vécu dans un hôtel, mais je me suis retrouvé à la rue quand le fric m’a manqué.
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