Titre de l'histoire érotique : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les crêpes. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les crêpes. (1/1)
• Gabrielle, es-tu là, je t’apporte ton repas.
• Mamy, je descends, je révise mes leçons, j’ai un examen blanc pour le bac demain.
C’est en criant que je réponds à mamy notre voisine que je connais depuis huit ans quand mes parents ont acheté la maison mitoyenne à la sienne.
Mamy est veuve depuis qu’elle a quarante ans, son mari étant mort au volant de son camion sur une autoroute au petit matin où il s'est endormi.
Depuis elle lui est restée fidèle, j’ignore si elle a encore un sexe qui fonctionne ce qui est sûr, c’est que la fenêtre de ma chambre donne sur son jardin me permettant de dire qu’à part la factrice qui remonte l’allée quand elle a un colis ou une lettre recommandée, la seule personne que je vois aller jusqu’à sa porte, c’est maman.
Mamy affiche une cinquantaine flamboyante et il lui suffirait de se remettre sur les rangs pour qu’il y ait la queue pour remonter de sa porte de jardin à la porte de son pavillon.
De mon côté mamy, c’est comme maman, quel garçon la regarde avec les yeux de l’amour, sauf des malades du cerveau, ce qui est loin d’être mon cas.
• Que m’as-tu fait à manger ?
• De l’osso-buco de veau avec des légumes de mon jardin, tomates, oignons, carottes et de l’ail que je rapporte de vacances de Lautrec où j’ai une maison familiale.
• C’est vrai, tu m’as toujours dit que tu me ferais découvrir ton merveilleux village, mais chaque année, je te vois partir et je reste en Bourgogne.
• Oui, mais il y a le vin, je peux te le faire découvrir.
• Te souviens-tu, les mercredis quand mes parents partaient, tu me faisais des crêpes ?
Nous rigolions bien, tu te souviens de la fois où tu m’as appris à les faire sauter avec un louis d'or dans la main.
• Je trichais un peu, c'était un faux Louis en métal doré que j’ai toujours dans un tiroir.
• C’est pour cela que j’ai de la chance, malgré le nombre de crêpes qui se sont retrouvés au sol.
• Il y avait tellement de beurre qu’il fallait que je lave la cuisine après tes exploits.
• Et celle qui a fini sur l’armoire où tu ranges les verres au-dessus du plan de travail.
• Oui, j’avais oublié, j’ai été obligé d’aller chercher un escabeau pour aller la récupérer.
• Elle était couverte de poussière.
• Dit que mon ménage était mal fait.
• Tu veux que je te dise la vérité, la vraie pas un fantasme inventé.
• J’aimerais.
• La crêpe, la première, c’était un accident, les deux suivantes, je l’ai fait intentionnellement.
• Exprès ?
• La première fois quand tu es monté, j’ai vu sous ta jupe et le soir dans mon lit, j’ai envoyé ma première carte postale.
• Tu t’es masturbé en pensant à mon dessous de jupe.
• Non, j’ai rêvé et mon sperme est sorti de moi sans que je touche ma verge.
• Arrête de parler de tes fantasmes.
Je vois bien que mamy est toute chose et c’est certainement pour éviter que je n’aie des gestes déplacés qu’elle me fait une proposition.
• Demain mardi, tu as ton bac blanc, je te fais confiance, si tu penses avoir bien réussi mercredi matin, je prépare de la pâte et à 10 heures, tu viens, nous les ferons sauter.
J’ai failli lui dire que c’est elle que je voulais sauter, mais un reste de pudeur a permis que je reste soft, d'autant plus que je suis si proche d’elle que le fait de la baiser est loin de m’arriver jusqu’au cerveau.
Attention, je suis loin d’être puceau, j’ai tiré une copine dans les toilettes du lycée et j’ai aussi fait l’amour chez elle avec ma professeure de français à qui j’avais promis d’apporter un devoir que j’avais fait, mais qui était resté sur mon bureau dans ma chambre.
La copine, nous étions puceaux tous les deux, j’ai eu à peine le temps de mettre une capote, de lui déchirer l’hymen et de gicler dans ce bout de plastique.
Ma prof, quand je suis arrivé, sortait de sa douche, je devais apprendre dans les jours suivant que c’était la première chose qu’elle faisait en rentrant de ses cours, elle m’a offert un café et s’est brûlé, je lui ai pris la main pour enlever le café chaud.
J’ai pris ses doigts, les ait mis dans ma bouche, elle m’a avoué que je l’avais troublée et de sa main à sa chatte, il y a eu une barrière qui a sauté surtout que son mari la négligeait.
Elle m’a tout appris, baiser sur une chaise dans la cuisine, se faire prendre en levrette sur le canapé, j’ai même sans le vouloir réussi à la sodomiser, je l’avais placé les jambes écartées les seins reposant sur le plateau en marqueterie de la table de salle à manger.
J’ai visé la chatte que j’ai transpercée pendant trois ou quatre coups quand sans le vouloir j’ai déchaussé et que le coup suivant j’étais dans son petit trou, elle a fait un « Ô » vite transformée par des gazouillis ses mains ayant attrapé mes hanches pour éviter que je ne resorte.
Dans les jours qui ont suivi, je l’ai régulièrement sodomisé jusqu’au jour où j’ai eu la frayeur de ma vie, je la prenais sur leur lit en levrette quand son mari est entré dans l’appartement, deux solutions, la fenêtre avec six étages où le dessous du lit assez haut pour que je me glisse.
Il est entré, sa femme a fait celle qui faisait la sieste ayant simplement retiré le dessus de lit pour se glisser entre les draps, le mari a été surpris qu’elle soit nue à cette heure, mais la coquine a su l’amadouer, je l’ai entendue et vue la pénétrer grâce à la glace où elle se coiffait.
Le plus grave, c’est la salle de bains ouverte où elle était retournée après m’avoir ouvert et le bain que nous avons pris ensemble, elle m’avait sucé avant que nous plongions dans l’eau et mon slip était au sol sans qu’il l’ait vue.
Pendant tout le temps où ils ont baisé, je voyais mon slip sans pouvoir intervenir, la salope, sachant que j’étais sous eux, le pied qu’elle a pris à sembler interloquer son mari.
Quand il a déchargé, elle a sauté du lit en lui disant qu’il fallait qu’elle descende chercher du pain avant la fermeture de la boulangerie, elle est allée dans la salle de bains et j’ai vu qu’elle ramassait l’objet résultante de notre délit.
Quand elle est sortie, j’ai vu le mari poser ses pieds à quelques centimètres de mon visage et remettre slip et pantalon qu’il avait posés sur le lit, il lui a proposé de descendre en chercher ayant besoin de cigarettes.
Quand il est sorti, je suis sortie aussi, j’ai récupéré mes fringues cachées dans un placard et surtout mon boxer qui avait failli causer notre perte.
J’allais partir quand elle m’a demandé de l’attendre, elle est partie vers la cuisine et est revenue avec une baguette, quand son mari allait revenir s’il avait vu qu’elle avait acheté le pain, il se serait posé des questions.
Je suis descendu par l’escalier faisant attention en bas d’éviter de le croiser ma baguette à la main, maman a été tout autant surprise que je rapporte du pain surtout que chez nous sait elle qui le fait avec des produits bio avec une machine fleurissant de nos jours.
La peur que j’aie eue ma vaccinée des femmes mariées et malgré les regards de braise qu’elle me lançait j’ai évité de monter au sixième de son immeuble.
Deux jours plus tard, après avoir passé un coup de téléphone à mamy pour lui dire qu’elle prépare la pâte à crêpes, c’est un bouquet de fleurs en main qu’elle me reçoit.
Tout est près dans la cuisine, la pâte repose, c’est du moins ce qu’elle dit, les poêles sont sur les brûleurs et l’assiette pour les poser après qu’elles sont cuites sur le plan de travail.
Nous commençons, tout est normal, jusqu’au moment où je sors un vrai Louis d’or de la poche de mon jean, je l’ai pris dans une petite boîte dans la chambre de mes parents.
Maman en a quatre, hérité de ses parents connaissant la cache où ils étaient, la première que je fais sauter est aussi catastrophique que les fois d’avant, Mamy veut me faire prendre le coup de poignet.
Pour cela, elle s’est placée dans mon dos et me prend les mains, son contact me fait bander et la crêpe part sur l’arrière tombant sur la tête, elle hurle, car elle est encore bouillante, je me retourne ma verge tapant sur sa hanche avant de venir au croisement de son intimité.
Je balance la crêpe sur la table, avec la main, je la caresse, pansant atténué l’effet de chaud, nos visages sont proches et je suis incapable de dire qui a réduit la distance entre nos bouches.
Le baiser que je lui applique ait fabuleux.
• Gabrielle que fais-tu, pardon que faisons-nous ?
• On s’aime, cela doit te manquer.
• Oui, aimons-nous.
Je la prends sous les cuisses, je l’assieds sur la table entre l’assiette de crêpes et la crêpe qui l’a brûlé, je soulève sa jupe de quelques centimètres sans difficulté, elle m’aide en la remontant au moment où je l’ai assise.
Je me laisse glisser jusqu’à sa culotte que ma langue trouve très mouillée, elle l’est bien plus après que ma langue là labourée.
Je la suce, c’est à ce moment que mamy fait une chose inouïe, elle prend une crêpe sans sucre et la fait entrer au fond de sa chatte.
• Mange et bois en même temps mon chéri tellement je mouille, il y a si longtemps que j’espère retrouver ces plaisirs.
J’avale ce que je peux tout en buvant sa cyprine qui coule de son sexe que je viens de réveiller, j’extrais la crêpe avec ma langue et mes dents arrivant à la faire jouir.
Ce travail fait, je lui plante mon sexe et je décharge comme un fou.
Depuis ce jour mémorable où les crêpes ayant libéré notre libido mamy et moi avons aménagé ensemble, la maison de mes parents est en ventes, le week-end où il était parti laissant à mamy le soin de me nourrir, ils avaient essayé de sauver leur couple.
Maman avait un amant et papa l’avait su, c’est encore plus fâché qu’ils sont revenus de cette tentative, elle a rejoint son nouvel amour qui fait du hasard est breton, il était de passage dans la région et elle est partie le rejoindre.
Papa a pris un studio en ville, quant à moi, je devrais dire à nous, j’ai eu mon bac, je suis en étude de comptabilité, en ce moment je suis à Lautrec dans le Tarn chez mamy qui est un peu chez moi maintenant.
Nous nous promenons main dans la main malgré les regards sur notre différence d’âge et une fois par mois je prépare la pâte à crêpes qui est l’occasion de franche rigolade, j’attends que la première crêpe réussît soit un peu refroidie, je l’entoure autour de ma queue et mamy vient la manger jusqu’à ce que je l’inonde avec mon sperme, elle en raffole.
• Mamy, je descends, je révise mes leçons, j’ai un examen blanc pour le bac demain.
C’est en criant que je réponds à mamy notre voisine que je connais depuis huit ans quand mes parents ont acheté la maison mitoyenne à la sienne.
Mamy est veuve depuis qu’elle a quarante ans, son mari étant mort au volant de son camion sur une autoroute au petit matin où il s'est endormi.
Depuis elle lui est restée fidèle, j’ignore si elle a encore un sexe qui fonctionne ce qui est sûr, c’est que la fenêtre de ma chambre donne sur son jardin me permettant de dire qu’à part la factrice qui remonte l’allée quand elle a un colis ou une lettre recommandée, la seule personne que je vois aller jusqu’à sa porte, c’est maman.
Mamy affiche une cinquantaine flamboyante et il lui suffirait de se remettre sur les rangs pour qu’il y ait la queue pour remonter de sa porte de jardin à la porte de son pavillon.
De mon côté mamy, c’est comme maman, quel garçon la regarde avec les yeux de l’amour, sauf des malades du cerveau, ce qui est loin d’être mon cas.
• Que m’as-tu fait à manger ?
• De l’osso-buco de veau avec des légumes de mon jardin, tomates, oignons, carottes et de l’ail que je rapporte de vacances de Lautrec où j’ai une maison familiale.
• C’est vrai, tu m’as toujours dit que tu me ferais découvrir ton merveilleux village, mais chaque année, je te vois partir et je reste en Bourgogne.
• Oui, mais il y a le vin, je peux te le faire découvrir.
• Te souviens-tu, les mercredis quand mes parents partaient, tu me faisais des crêpes ?
Nous rigolions bien, tu te souviens de la fois où tu m’as appris à les faire sauter avec un louis d'or dans la main.
• Je trichais un peu, c'était un faux Louis en métal doré que j’ai toujours dans un tiroir.
• C’est pour cela que j’ai de la chance, malgré le nombre de crêpes qui se sont retrouvés au sol.
• Il y avait tellement de beurre qu’il fallait que je lave la cuisine après tes exploits.
• Et celle qui a fini sur l’armoire où tu ranges les verres au-dessus du plan de travail.
• Oui, j’avais oublié, j’ai été obligé d’aller chercher un escabeau pour aller la récupérer.
• Elle était couverte de poussière.
• Dit que mon ménage était mal fait.
• Tu veux que je te dise la vérité, la vraie pas un fantasme inventé.
• J’aimerais.
• La crêpe, la première, c’était un accident, les deux suivantes, je l’ai fait intentionnellement.
• Exprès ?
• La première fois quand tu es monté, j’ai vu sous ta jupe et le soir dans mon lit, j’ai envoyé ma première carte postale.
• Tu t’es masturbé en pensant à mon dessous de jupe.
• Non, j’ai rêvé et mon sperme est sorti de moi sans que je touche ma verge.
• Arrête de parler de tes fantasmes.
Je vois bien que mamy est toute chose et c’est certainement pour éviter que je n’aie des gestes déplacés qu’elle me fait une proposition.
• Demain mardi, tu as ton bac blanc, je te fais confiance, si tu penses avoir bien réussi mercredi matin, je prépare de la pâte et à 10 heures, tu viens, nous les ferons sauter.
J’ai failli lui dire que c’est elle que je voulais sauter, mais un reste de pudeur a permis que je reste soft, d'autant plus que je suis si proche d’elle que le fait de la baiser est loin de m’arriver jusqu’au cerveau.
Attention, je suis loin d’être puceau, j’ai tiré une copine dans les toilettes du lycée et j’ai aussi fait l’amour chez elle avec ma professeure de français à qui j’avais promis d’apporter un devoir que j’avais fait, mais qui était resté sur mon bureau dans ma chambre.
La copine, nous étions puceaux tous les deux, j’ai eu à peine le temps de mettre une capote, de lui déchirer l’hymen et de gicler dans ce bout de plastique.
Ma prof, quand je suis arrivé, sortait de sa douche, je devais apprendre dans les jours suivant que c’était la première chose qu’elle faisait en rentrant de ses cours, elle m’a offert un café et s’est brûlé, je lui ai pris la main pour enlever le café chaud.
J’ai pris ses doigts, les ait mis dans ma bouche, elle m’a avoué que je l’avais troublée et de sa main à sa chatte, il y a eu une barrière qui a sauté surtout que son mari la négligeait.
Elle m’a tout appris, baiser sur une chaise dans la cuisine, se faire prendre en levrette sur le canapé, j’ai même sans le vouloir réussi à la sodomiser, je l’avais placé les jambes écartées les seins reposant sur le plateau en marqueterie de la table de salle à manger.
J’ai visé la chatte que j’ai transpercée pendant trois ou quatre coups quand sans le vouloir j’ai déchaussé et que le coup suivant j’étais dans son petit trou, elle a fait un « Ô » vite transformée par des gazouillis ses mains ayant attrapé mes hanches pour éviter que je ne resorte.
Dans les jours qui ont suivi, je l’ai régulièrement sodomisé jusqu’au jour où j’ai eu la frayeur de ma vie, je la prenais sur leur lit en levrette quand son mari est entré dans l’appartement, deux solutions, la fenêtre avec six étages où le dessous du lit assez haut pour que je me glisse.
Il est entré, sa femme a fait celle qui faisait la sieste ayant simplement retiré le dessus de lit pour se glisser entre les draps, le mari a été surpris qu’elle soit nue à cette heure, mais la coquine a su l’amadouer, je l’ai entendue et vue la pénétrer grâce à la glace où elle se coiffait.
Le plus grave, c’est la salle de bains ouverte où elle était retournée après m’avoir ouvert et le bain que nous avons pris ensemble, elle m’avait sucé avant que nous plongions dans l’eau et mon slip était au sol sans qu’il l’ait vue.
Pendant tout le temps où ils ont baisé, je voyais mon slip sans pouvoir intervenir, la salope, sachant que j’étais sous eux, le pied qu’elle a pris à sembler interloquer son mari.
Quand il a déchargé, elle a sauté du lit en lui disant qu’il fallait qu’elle descende chercher du pain avant la fermeture de la boulangerie, elle est allée dans la salle de bains et j’ai vu qu’elle ramassait l’objet résultante de notre délit.
Quand elle est sortie, j’ai vu le mari poser ses pieds à quelques centimètres de mon visage et remettre slip et pantalon qu’il avait posés sur le lit, il lui a proposé de descendre en chercher ayant besoin de cigarettes.
Quand il est sorti, je suis sortie aussi, j’ai récupéré mes fringues cachées dans un placard et surtout mon boxer qui avait failli causer notre perte.
J’allais partir quand elle m’a demandé de l’attendre, elle est partie vers la cuisine et est revenue avec une baguette, quand son mari allait revenir s’il avait vu qu’elle avait acheté le pain, il se serait posé des questions.
Je suis descendu par l’escalier faisant attention en bas d’éviter de le croiser ma baguette à la main, maman a été tout autant surprise que je rapporte du pain surtout que chez nous sait elle qui le fait avec des produits bio avec une machine fleurissant de nos jours.
La peur que j’aie eue ma vaccinée des femmes mariées et malgré les regards de braise qu’elle me lançait j’ai évité de monter au sixième de son immeuble.
Deux jours plus tard, après avoir passé un coup de téléphone à mamy pour lui dire qu’elle prépare la pâte à crêpes, c’est un bouquet de fleurs en main qu’elle me reçoit.
Tout est près dans la cuisine, la pâte repose, c’est du moins ce qu’elle dit, les poêles sont sur les brûleurs et l’assiette pour les poser après qu’elles sont cuites sur le plan de travail.
Nous commençons, tout est normal, jusqu’au moment où je sors un vrai Louis d’or de la poche de mon jean, je l’ai pris dans une petite boîte dans la chambre de mes parents.
Maman en a quatre, hérité de ses parents connaissant la cache où ils étaient, la première que je fais sauter est aussi catastrophique que les fois d’avant, Mamy veut me faire prendre le coup de poignet.
Pour cela, elle s’est placée dans mon dos et me prend les mains, son contact me fait bander et la crêpe part sur l’arrière tombant sur la tête, elle hurle, car elle est encore bouillante, je me retourne ma verge tapant sur sa hanche avant de venir au croisement de son intimité.
Je balance la crêpe sur la table, avec la main, je la caresse, pansant atténué l’effet de chaud, nos visages sont proches et je suis incapable de dire qui a réduit la distance entre nos bouches.
Le baiser que je lui applique ait fabuleux.
• Gabrielle que fais-tu, pardon que faisons-nous ?
• On s’aime, cela doit te manquer.
• Oui, aimons-nous.
Je la prends sous les cuisses, je l’assieds sur la table entre l’assiette de crêpes et la crêpe qui l’a brûlé, je soulève sa jupe de quelques centimètres sans difficulté, elle m’aide en la remontant au moment où je l’ai assise.
Je me laisse glisser jusqu’à sa culotte que ma langue trouve très mouillée, elle l’est bien plus après que ma langue là labourée.
Je la suce, c’est à ce moment que mamy fait une chose inouïe, elle prend une crêpe sans sucre et la fait entrer au fond de sa chatte.
• Mange et bois en même temps mon chéri tellement je mouille, il y a si longtemps que j’espère retrouver ces plaisirs.
J’avale ce que je peux tout en buvant sa cyprine qui coule de son sexe que je viens de réveiller, j’extrais la crêpe avec ma langue et mes dents arrivant à la faire jouir.
Ce travail fait, je lui plante mon sexe et je décharge comme un fou.
Depuis ce jour mémorable où les crêpes ayant libéré notre libido mamy et moi avons aménagé ensemble, la maison de mes parents est en ventes, le week-end où il était parti laissant à mamy le soin de me nourrir, ils avaient essayé de sauver leur couple.
Maman avait un amant et papa l’avait su, c’est encore plus fâché qu’ils sont revenus de cette tentative, elle a rejoint son nouvel amour qui fait du hasard est breton, il était de passage dans la région et elle est partie le rejoindre.
Papa a pris un studio en ville, quant à moi, je devrais dire à nous, j’ai eu mon bac, je suis en étude de comptabilité, en ce moment je suis à Lautrec dans le Tarn chez mamy qui est un peu chez moi maintenant.
Nous nous promenons main dans la main malgré les regards sur notre différence d’âge et une fois par mois je prépare la pâte à crêpes qui est l’occasion de franche rigolade, j’attends que la première crêpe réussît soit un peu refroidie, je l’entoure autour de ma queue et mamy vient la manger jusqu’à ce que je l’inonde avec mon sperme, elle en raffole.
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