Titre de l'histoire érotique : COLLECTION LESBIENNES. L’attachée parlementaire (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION LESBIENNES. L’attachée parlementaire (1/2)
Résultat du bac, je suis devant la liste des résultats, hélas, j’ai beau regarder, rattrapage, c’est dans cette liste que je trouve mon nom, Justine Dupont, 10 points, je suis rassurée, il reste à trouver la matière ou j’ai des chances de les avoir devant un prof connu ou inconnu.
Sandra, une copine qui a été reçue avec mention « très bien » et qui souhaite intégrer math sup afin de présenter le concours à l’E.N.A. remarque mon désarroi.
• Justine, dix points, ce n’est rien, tu verras, tu l’auras, il te suffit de choisir la bonne matière.
• Tu serais à ma place !
• Philo, je prendrais philo, peu d’élèves y vont, ils prennent peur, mais souvent c’est là que les profs qui s’emmerdent à attendre les candidats sont les plus cool.
• Tu sais moi la philo.
• Je vais te donner un truc, dans le milieu des joueurs, on appelle ça une martingale, ça marche à tous les coups, c’est mon père qui me l’a enseigné.
Je suis folle, mais je suis son conseil, le jour fatidique arrive, Sandra avait raison peu de volontaires pour la philo, pour assurer le coup, la prof est plutôt du genre revêche avec ses grosses lunettes noires et son chignon.
Environ la quarantaine, la première chose que je remarque, c’est qu’elle n’a pas d’alliance, normal qui voudrait d’un repoussoir pareil, moi qui suis un joli petit lot comme l’on dit.
Contre toute attente, je m’en sors bien malgré la manière qu’elle a de me parler, en sortant de la salle, je vais pour quitter le lycée où nous étions convoqués un peu anxieuses, mais légèrement rassurée.
• Salut Justine, comme toi, j’étais en rattrapage !
À la suite de cette rencontre, Gaétan ayant 50 points à rattraper, sûr qu’ils ne les auraient pas me tient la jambe pendant un long moment, rapidement je comprends qu’au lieu de bûcher, c’est un fêtard et qu’il souhaite m’emmener dans une rave party qui doit se tenir sur une plage près de Saint-Brieuc.
Je décline l’invitation, papa m’a bien tenu informé sur les effets néfastes de la drogue, c’est là que je croise la prof de philo qui m’a fait passer mon rattrapage.
• Encore là, je suis dans l’obligation de réserve, mais je serais vous, j’attendrais sereinement.
• Je peux vous dire un mot, c’est pour mon avenir.
• Aucun problème, suivez-moi, je vous offre un verre, ça vous redonnera des couleurs.
• Salut Gaétan excuse, ce soir, j’ai un repas de famille.
Je le plante là et je suis la prof.
• Allons en face, il y a un café fort discret, j’y vais boire mon thé chaque fois que je viens dans ce lycée.
Nous nous installons à une table bien retirée.
• Si je me souviens de ta fiche, tu t’appelles Justine, moi c’est Agate, je sais, c’est moche, mais je n’ai pas le choix.
Dis, j’ai l’impression que je viens de te sortir une épine du pied avec ce garçon.
• Oui, je ne savais pas comment m’en débarrasser.
À ce moment, elle défait son chignon faisant tomber sa chevelure sur ces épaules et enlève ses grosses lunettes noires qu’elle range dans son cartable.
• Mais ?
• Tu verras, quelquefois dans la vie, il faut savoir ressembler à ce que l’on doit être, dans mon premier poste, j’ai eu du mal à me faire respecter, mes élèves garçons allaient même jusqu’à me draguer.
Maryse, mon amie du moment a créé mon look, depuis, plus de problèmes et dans la foulée plus de Maryse, elle est partie avec une autre copine, pour vivre heureuse sans pouvoir avoir d’enfant bien sûr.
Une gougnotte, une lesbienne, j’ai deux copines qui en sont, chaque fois que je les vois se tenant la main, j’ai du mal à m’imaginer entre leurs jambes pour leur sucer la chatte, même si je suis vierge.
• Mince, j’ai oublié, je dois passer prendre le dessert que maman a commandé, je dois vous quitter, je vous remercie pour le thé.
• Attends.
Elle ouvre son cartable, en sort un papier et un stylo.
• Voici mon numéro, appelle-moi dès que tu as un moment.
• Je pars 15 jours en vacances à Plougastel, je vais chez ma grand-mère.
Je passe deux mois et quand je reviens, il me manque un morceau de moi-même, j’ai perdu mon pucelage le soir du 14 juillet avec un mec banal, je suis sûr que dans quelques mois, cette queue qui est entrée en moi, plutôt que je l’ai fait entrer en moi, ça se passait dans sa voiture alors qu’il était resté au volant qui me talait les fesses chaque fois que je bougeais.
Il a rempli sa capote et après un dernier baiser, je suis rentré chez grand-mère.
• Justine, avant les vacances, tu as refusé de t’inscrit pour poursuivre tes études, ne croit pas que tu vas rester ici à ne rien faire, depuis que ton père nous a quittés pour cette pouffiasse, je dois travailler et je n’y arrive pas.
• Je vais chercher du travail, ne crains rien.
J’appelle Sandra, nous nous retrouvons sur la place centrale de Saint-Brieuc dans un pub.
J’ai du mal à la reconnaître, de la petite fille sage qu’elle était avant notre bac et les vacances, je retrouve une poupée Barby en si jolie, mais aussi sophistiquer.
• Appelle ce numéro, la femme que tu vas avoir en ligne, c’est l’une des députées de notre région, elle pourra t’aider.
Je quitte Sandra, elle part pour Paris pour poursuivre ses études dans un grand lycée qui va lui ouvrir les portes des grandes écoles qu’elle souhaite intégrer.
• Bonjour, madame Sandrine, on m’a demandé de vous contacter, je cherche du travail.
• Peut-on se voir ?
Le fait qu’elle me reçoive est déjà un bon point.
• Voilà, je vais vous faire une proposition, ça fait trois ans que j’ai été élue en Bretagne, je dois avouer ce qu’il m’arrive, mon attaché parlementaire est parti avec mon mari, j’ignorais que l’un et l’autre avaient des tendances homos.
J’ai soupé des mecs, je cherche une jeune femme pour devenir mon attachée, j’ai encore deux ans de mandat avec de grandes chances d’être réélue, si ça t’intéresse, je t’offre 2 000 € nets, par compte, il faudra que tu trouves à te loger à Paris.
J’accepte à la condition de trouver à me loger, dans la vie, il faut avoir des coups de chance, Sandra m’appelle pour savoir comment mon entretien avec la députée s'est passé.
• Je peux te proposer de vivre chez moi dans le marais, je loue trois pièces dont deux chambres, je te demanderais seulement un pourcentage des charges, le loyer est payé par un ami, si tu acceptes, je t’expliquerais.
Je saute de joie, je téléphone tout de suite à Sandrine pour accepter le poste, elle est enchantée et me donne rendez-vous deux jours avant la rentrée parlementaire.
Je passe ce que je dois faire, téléphone, rendez-vous, préparation de dossiers, j’ai eu du mal au bac, mais j’ai des prédispositions pour ce travail, elle me fait même écrire des discours pour des associations qu’elle doit aller rencontrer.
Rapidement, je comprends ce que m’a dit Sandra concernant son loyer dès que je vais emménager.
• Justine, tu sais que maman comme la tienne est seule, j’ai failli arrêter tout, mais j’ai eu la chance de rencontrer un ami de mon père qui vient une fois par mois à Paris, il me paye mon loyer, bien sûr, lorsqu’il est ici, je le reçois dans mon lit.
• Tu es avec un vieux.
• Jeune, vieux, le principal, c’est que je commence à Henri IV en math sup, il a réussi à m’avoir une place.
• Je comprends ton changement de look, j’aurais du mal à faire ça pour mon loyer.
La première fois où il vient, je suis un peu gêné, car c’est aussi un ami de mon père, le nombre de salopards qui quitte leur femme pour des jeunettes s’est écœurant.
Chaque fois, j’entends Sandra s’envoyer en l’air, elle a plutôt l’orgasme dévastateur au niveau sonore et le mec semble vouloir rentabiliser son investissement mensuel.
Tout va bien avec madame la députée jusqu’au jour où elle me demande de réserver deux chambres à Montpellier, elle doit se rendre à l’invitation d’une association où je dois lui préparer un discours.
Ce que nous ignorons, c’est qu’une grosse société fait aussi une assemblée générale, toutes les chambres sont prises sauf une, je la réserve.
• Comment fait-on, je coucherais dans la voiture ?
• Non, Justine, depuis que nous travaillons ensemble, j’ai appris à connaître ta discrétion, ta chambre, a-t-elle un grand lit ?
• Oui !
• Nous dormirons ensemble.
C’est comme ça que trois jours plus tard, je me retrouve prête à passer la nuit, je suis allé dans la salle de bains pendant qu’elle est sur le balcon à téléphoner sur son portable, je mets ma nuisette quand elle termine et prend ma place.
Elle y passe une demi-heure et quand elle en ressort, elle est nue.
• Excuse-moi, je dors en tenue d’Éve, ça ne te gêne pas !
J’aurais mauvaise grâce, je pourrais être dans la voiture, nous nous couchons, dans la nuit, je sursaute, une main vient de se poser sur ma chatte, je retiens mon souffle, la respiration de Sandrine semble régulière, elle doit dormir et sa main s’est retrouvée certainement là par le plus pur des hasards…
Sandra, une copine qui a été reçue avec mention « très bien » et qui souhaite intégrer math sup afin de présenter le concours à l’E.N.A. remarque mon désarroi.
• Justine, dix points, ce n’est rien, tu verras, tu l’auras, il te suffit de choisir la bonne matière.
• Tu serais à ma place !
• Philo, je prendrais philo, peu d’élèves y vont, ils prennent peur, mais souvent c’est là que les profs qui s’emmerdent à attendre les candidats sont les plus cool.
• Tu sais moi la philo.
• Je vais te donner un truc, dans le milieu des joueurs, on appelle ça une martingale, ça marche à tous les coups, c’est mon père qui me l’a enseigné.
Je suis folle, mais je suis son conseil, le jour fatidique arrive, Sandra avait raison peu de volontaires pour la philo, pour assurer le coup, la prof est plutôt du genre revêche avec ses grosses lunettes noires et son chignon.
Environ la quarantaine, la première chose que je remarque, c’est qu’elle n’a pas d’alliance, normal qui voudrait d’un repoussoir pareil, moi qui suis un joli petit lot comme l’on dit.
Contre toute attente, je m’en sors bien malgré la manière qu’elle a de me parler, en sortant de la salle, je vais pour quitter le lycée où nous étions convoqués un peu anxieuses, mais légèrement rassurée.
• Salut Justine, comme toi, j’étais en rattrapage !
À la suite de cette rencontre, Gaétan ayant 50 points à rattraper, sûr qu’ils ne les auraient pas me tient la jambe pendant un long moment, rapidement je comprends qu’au lieu de bûcher, c’est un fêtard et qu’il souhaite m’emmener dans une rave party qui doit se tenir sur une plage près de Saint-Brieuc.
Je décline l’invitation, papa m’a bien tenu informé sur les effets néfastes de la drogue, c’est là que je croise la prof de philo qui m’a fait passer mon rattrapage.
• Encore là, je suis dans l’obligation de réserve, mais je serais vous, j’attendrais sereinement.
• Je peux vous dire un mot, c’est pour mon avenir.
• Aucun problème, suivez-moi, je vous offre un verre, ça vous redonnera des couleurs.
• Salut Gaétan excuse, ce soir, j’ai un repas de famille.
Je le plante là et je suis la prof.
• Allons en face, il y a un café fort discret, j’y vais boire mon thé chaque fois que je viens dans ce lycée.
Nous nous installons à une table bien retirée.
• Si je me souviens de ta fiche, tu t’appelles Justine, moi c’est Agate, je sais, c’est moche, mais je n’ai pas le choix.
Dis, j’ai l’impression que je viens de te sortir une épine du pied avec ce garçon.
• Oui, je ne savais pas comment m’en débarrasser.
À ce moment, elle défait son chignon faisant tomber sa chevelure sur ces épaules et enlève ses grosses lunettes noires qu’elle range dans son cartable.
• Mais ?
• Tu verras, quelquefois dans la vie, il faut savoir ressembler à ce que l’on doit être, dans mon premier poste, j’ai eu du mal à me faire respecter, mes élèves garçons allaient même jusqu’à me draguer.
Maryse, mon amie du moment a créé mon look, depuis, plus de problèmes et dans la foulée plus de Maryse, elle est partie avec une autre copine, pour vivre heureuse sans pouvoir avoir d’enfant bien sûr.
Une gougnotte, une lesbienne, j’ai deux copines qui en sont, chaque fois que je les vois se tenant la main, j’ai du mal à m’imaginer entre leurs jambes pour leur sucer la chatte, même si je suis vierge.
• Mince, j’ai oublié, je dois passer prendre le dessert que maman a commandé, je dois vous quitter, je vous remercie pour le thé.
• Attends.
Elle ouvre son cartable, en sort un papier et un stylo.
• Voici mon numéro, appelle-moi dès que tu as un moment.
• Je pars 15 jours en vacances à Plougastel, je vais chez ma grand-mère.
Je passe deux mois et quand je reviens, il me manque un morceau de moi-même, j’ai perdu mon pucelage le soir du 14 juillet avec un mec banal, je suis sûr que dans quelques mois, cette queue qui est entrée en moi, plutôt que je l’ai fait entrer en moi, ça se passait dans sa voiture alors qu’il était resté au volant qui me talait les fesses chaque fois que je bougeais.
Il a rempli sa capote et après un dernier baiser, je suis rentré chez grand-mère.
• Justine, avant les vacances, tu as refusé de t’inscrit pour poursuivre tes études, ne croit pas que tu vas rester ici à ne rien faire, depuis que ton père nous a quittés pour cette pouffiasse, je dois travailler et je n’y arrive pas.
• Je vais chercher du travail, ne crains rien.
J’appelle Sandra, nous nous retrouvons sur la place centrale de Saint-Brieuc dans un pub.
J’ai du mal à la reconnaître, de la petite fille sage qu’elle était avant notre bac et les vacances, je retrouve une poupée Barby en si jolie, mais aussi sophistiquer.
• Appelle ce numéro, la femme que tu vas avoir en ligne, c’est l’une des députées de notre région, elle pourra t’aider.
Je quitte Sandra, elle part pour Paris pour poursuivre ses études dans un grand lycée qui va lui ouvrir les portes des grandes écoles qu’elle souhaite intégrer.
• Bonjour, madame Sandrine, on m’a demandé de vous contacter, je cherche du travail.
• Peut-on se voir ?
Le fait qu’elle me reçoive est déjà un bon point.
• Voilà, je vais vous faire une proposition, ça fait trois ans que j’ai été élue en Bretagne, je dois avouer ce qu’il m’arrive, mon attaché parlementaire est parti avec mon mari, j’ignorais que l’un et l’autre avaient des tendances homos.
J’ai soupé des mecs, je cherche une jeune femme pour devenir mon attachée, j’ai encore deux ans de mandat avec de grandes chances d’être réélue, si ça t’intéresse, je t’offre 2 000 € nets, par compte, il faudra que tu trouves à te loger à Paris.
J’accepte à la condition de trouver à me loger, dans la vie, il faut avoir des coups de chance, Sandra m’appelle pour savoir comment mon entretien avec la députée s'est passé.
• Je peux te proposer de vivre chez moi dans le marais, je loue trois pièces dont deux chambres, je te demanderais seulement un pourcentage des charges, le loyer est payé par un ami, si tu acceptes, je t’expliquerais.
Je saute de joie, je téléphone tout de suite à Sandrine pour accepter le poste, elle est enchantée et me donne rendez-vous deux jours avant la rentrée parlementaire.
Je passe ce que je dois faire, téléphone, rendez-vous, préparation de dossiers, j’ai eu du mal au bac, mais j’ai des prédispositions pour ce travail, elle me fait même écrire des discours pour des associations qu’elle doit aller rencontrer.
Rapidement, je comprends ce que m’a dit Sandra concernant son loyer dès que je vais emménager.
• Justine, tu sais que maman comme la tienne est seule, j’ai failli arrêter tout, mais j’ai eu la chance de rencontrer un ami de mon père qui vient une fois par mois à Paris, il me paye mon loyer, bien sûr, lorsqu’il est ici, je le reçois dans mon lit.
• Tu es avec un vieux.
• Jeune, vieux, le principal, c’est que je commence à Henri IV en math sup, il a réussi à m’avoir une place.
• Je comprends ton changement de look, j’aurais du mal à faire ça pour mon loyer.
La première fois où il vient, je suis un peu gêné, car c’est aussi un ami de mon père, le nombre de salopards qui quitte leur femme pour des jeunettes s’est écœurant.
Chaque fois, j’entends Sandra s’envoyer en l’air, elle a plutôt l’orgasme dévastateur au niveau sonore et le mec semble vouloir rentabiliser son investissement mensuel.
Tout va bien avec madame la députée jusqu’au jour où elle me demande de réserver deux chambres à Montpellier, elle doit se rendre à l’invitation d’une association où je dois lui préparer un discours.
Ce que nous ignorons, c’est qu’une grosse société fait aussi une assemblée générale, toutes les chambres sont prises sauf une, je la réserve.
• Comment fait-on, je coucherais dans la voiture ?
• Non, Justine, depuis que nous travaillons ensemble, j’ai appris à connaître ta discrétion, ta chambre, a-t-elle un grand lit ?
• Oui !
• Nous dormirons ensemble.
C’est comme ça que trois jours plus tard, je me retrouve prête à passer la nuit, je suis allé dans la salle de bains pendant qu’elle est sur le balcon à téléphoner sur son portable, je mets ma nuisette quand elle termine et prend ma place.
Elle y passe une demi-heure et quand elle en ressort, elle est nue.
• Excuse-moi, je dors en tenue d’Éve, ça ne te gêne pas !
J’aurais mauvaise grâce, je pourrais être dans la voiture, nous nous couchons, dans la nuit, je sursaute, une main vient de se poser sur ma chatte, je retiens mon souffle, la respiration de Sandrine semble régulière, elle doit dormir et sa main s’est retrouvée certainement là par le plus pur des hasards…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci demain...
Excellent suspens! Vivement la suite!