Titre de l'histoire érotique : COLLECTION LIBERTINAGES. Le transfert. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION LIBERTINAGES. Le transfert. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION LIBERTINAGES. Le transfert. (1/1)
L’histoire que je vais vous raconter est difficile à croire et aussi difficile à écrire sans me tromper surtout dans la chronologie, tout a commencé après nos 18 ans à Bruno et à moi qui ai comme prénom Benoît, nous avions une copine qui avait notre âge et qui s’appelait Laure.

A peine débutée et j’oublie de dire que Bruno et moi sommes jumeaux, parfaitement identiques même nos peaux voulaient que personne ne puisse savoir qui était qui, elles sont sans aucun grain de beauté.

Quels sont les garçons ou les filles dans notre situation qui sont restées insensibles à des petits jeux qui nous paraissaient anodins et emprunts de la marque de notre jeunesse.
Il y avait une différence entre nous mais que nous étions les seuls à connaître, j’étais un peu plus hardi que mon frère qui serait resté puceau bien plus longtemps s’il avait été fils unique.
Prendre la place de l’un ou de l’autre même devant notre mère qui se targuait de toujours nous reconnaître lui a permis d’avoir sa langue dans la bouche des filles que je rencontrais et que je lui refilais en douce, avec certaines, je jouais au docteur et après qu’il est pris ma place, il pouvait jouer aussi.

Quand nous avons rencontré Laure dans le lycée avant notre Bac loin de nous l’idée de faire ce que nous avons fait, nous étions passés maîtres dans l’art de l’échange de nos vies selon les circonstances.
Ce qui nous a tout compliqué c’est que nous étions tous les deux fous dingues de cette jolie fille blonde avec des seins à faire bander un eunuque comme on le disait, il y avait un hic elle était partante pour faire l’amour mais seulement avec la bague au doigt.
Nous avons tiré au sort et c’est Bruno qui a gagné, j’ignore pourquoi je m’évertue à jouer avec lui car 100 % des fois c’est lui qui gagne.

Un jour j’ai envisagé qu’il trichait et j’ai vérifié la pièce qu’il sortait à chaque tirage de sa poche, j’avais entendu parler de pièces qui avaient un défaut au moment de les frapper et qui se retrouvaient avec deux faces piles ou deux faces.
Pas de subterfuges la pièce était bien avec un côté pile et l’autre face.

Nous bandions tellement devant elle qu’après que Bruno est gagné sans qu’elle le sache il l’épouserait, et nous pourrions reprendre nos jeux amoraux en couchant avec elle chacun notre tour sans qu’elle s’en aperçoive.
Dans nos esprits devenus malades nous envisagions un mariage à trois la petite prise en double pénétration.

C’est ce qui s’est passé après qu’il l’est demandé en mariage à ses parents, bien sûr sa timidité l’a empêché d’aller les voir et c’est moi qui me suis coltiné la demande auprès d’eux.
Ils ont tous essayé de les dissuader leur disant qu’ils étaient trop jeunes qu’ils profitent de la vie mais Laure allait à confesse depuis qu’elle était petite fille et refusait de se donner à lui hors mariage.
Dans l’attente du mariage nous avions droit tour à tour à sa langue qui nous emballait fougueusement et à nos mains sur ses seins sans qu’elle remarque les changements que nous opérions.

Après nos Bacs que nous avons eus tous les trois avec mention, nous sommes allés à la Fac de la grande ville voisine, nous avions trouvé un logement payé par nos deux familles où ils aient avoir leur chambre et moi la mienne à l’autre bout d’un couloir assez loin pour préserver l’intimité des uns et des autres.
Un premier virage s'est opéré quand Laure a parlé que je pourrais amener une copine, Bruno m’a fait une crasse comme j’aimais lui en faire, il lui a dit que j’étais homo et c’est pour cela qu’elle me voyait toujours seul.
À partir de ce moment elle l’a cru et ma vie s’en est trouvé chamboulée.

Les papiers ont été établis au nom de mon frère avec comme témoin son jumeau, bien sûr moi.
Le jour des noces il était vêtu d’un smoking blanc alors que le mien identique en tout point jusqu’au nœud pape était noir.
Nos parents là encore avaient prévu de réserver au nouveau couple une chambre dans un hôtel près de la salle des fêtes ou ils avaient prévu le repas et à moi une autre chambre avec porte communiquante.

Ils ont dit « Oui » j’en témoigne ma cavalière copine de Laure en témoignant aussi mais quand après le repas nous avons rejoint nos chambres j’avais d’autre visé que la chatte de cette fille qui essayait de frotter son bassin le plus possible contre moi tout au long de la journée.
Sournoisement quand je le pouvais je faisais boire Bruno avec pour assurer le coup quelques somnifères devant l’achever.
Arrivé dans nos chambres j’étais en train d’ouvrir ma porte quand j’ai vu Bruno la porter dans ses bras pour la faire entrer dans la chambre nuptiale.
Je bandais comme un taureau, j’ai entendu l’eau de leur salle de bain coulé, j’ai ouvert la porte de communication qui par chance de l’autre côté était restée sans la sécurité.
Brun était toujours habillé mais semblait cuvé à moitié avachi sur le lit, j’entendais Laure chanter certainement en joie de faire l’amour pour la première fois.
J’ai mis le costume blanc bien rangé sur la chaise de la salle de bain et j’ai ouvert la porte de notre chambre nuptiale faisant semblant de finir de me sécher m’étant simplement mouillé, je nous ai bien sûr isolé aussi bien chambre que salle de bain.
Elle s’est avancée pimpante dans sa nudité que je voyais pour la première fois l’ayant seulement vu en maillot de bain 2 pièces à la piscine où nous allions tous les trois.
Je bandais comme un taureau et ce que j’espérais malgré l’autre con qui dormait dans la chambre voisine, elle a mis sa main sur ma bite en m’embrassant tendrement.
Je l’ai couché sous moi et j’ai senti qu’elle écartait ses cuisses attendant de devenir femme, la chance venait de me donner l’opportunité de dépuceler ma belle-sœur me vengeant ainsi de mon frère qui m’avait fait passer devant elle pour un homosexuel.

L’homo l’a planté d’un grand coup et comme dans les papiers il y avait un certificat du médecin disant que Bruno n’était porteur d’aucune maladie transmissible c’est sans capote que je l’ai dépucelé avant que je déverse en elle les grandes quantités de sperme que j’avais en réserve sans penser que ce serait dès cette nuit que je le ferais.
La petite a joui au deuxième coup que je lui ai mis la prenant en levrette, elle était attentive à être une bonne épouse et si je l’avais voulu j’aurais pu la sodomiser car elle était prête à tous faire pour le plaisir de son mari.
Nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre jusqu’à ce que le réceptionniste appelle pour que le couple se prépare pour que je les conduise en Espagne.
Je lui ai mis la main aux fesses pour la pousser vers la salle de bain se préparer en prenant son temps lui disant que je rejoignais la chambre de Benoît qui devait être déjà prêt car il était prévu qu’il soit réveillé avant nous.
Avant de passer la porte elle s’est retournée me lançant un baiser me montrant sa chatte et me disant que j’étais fou de refuser un vagin comme le sien.
Voilà une difficulté dans l’écriture, j’ai écrit « me disant que j’étais fou… » alors que j’aurais dû écrire « me disant que Benoît dans la chambre voisine était fou… » avant de disparaître faire couler son bain.
Grâce à la clef de la chambre voisine que j’avais subtilisée je me suis glissé nu dans ma chambre par le couloir, Bruno encore endormi ronflait le combiné téléphonique posé près de lui le réceptionniste avait appelé et comme il était toujours aviné et sous-sédatifs il s’était rendormi.

Je l’ai secoué pour qu’il se réveille et quand il m’a vu, a tiqué me connaissant sachant ce que j’avais fait à sa place.
Beau joueur, cela l'a calmé surtout que je lui ai promis que le soir en Espagne et pendant trois jours sur les huit que nous devions passer je sortirais tous les soirs chercher un bar gay pendant qu’il consommerait notre voyage de noces.
« Notre » car j’avais dans l’esprit qu’après trois jours je trouverais le moyen de la prendre en double pénétration ce qui nous ouvrirait de bonnes options pour notre vie à l’appartement les soirs après la Fac.

L’appartement je l’ai retrouvé quatre jours plus tard en sortant de l’hôpital puis du cimetière où nous avons enterré le jeune marié broyé par la voiture qui avait grillé un stop sur la toute menant à l’autoroute.
Les analyses ont montré que j’étais sobre alors que la partie adverse avait plus de 3 grammes dans le sang, l’assurance a donné à Laure de quoi vivre plus que largement sans avoir besoin de travailler.

Nous l’avons beaucoup pleuré et la vie a continué personne n’ayant trouvé étrange que nous continuions nos études en étant colocataire, mais rapidement j’ai vu que mon frère était toujours présent en m’ayant mis une barrière entre celle que j’aimais comme il l’aimait et moi, mon homosexualité.

Nous avions chacun notre chambre mais les parties communes m’ont rapidement posé problème sans pour autant que je lui dise.
Au début tout allait bien, nous vivions comme des amis mais après les fêtes les choses ont commencé à changer pour atteindre son apogée quand la température à commencer à remonter.
Laure s'est mis à porter des tenues plus décontractées, peignoir en sortit de son bain avec la ceinture qui se desserrait de temps en temps me montrant un peu de sa poitrine, elle s’assayait non loin de moi quand un soir dans le film que nous regardions le héros s’appelant Bruno.
À un moment elle s'est mise à pleurer et est venue se lover contre moi, comme chaque jour je m’étais masturbé pour éviter de bander en la voyant.
Elle m’a regardé avec ses grands yeux mais les choses en sont restées là, homo oblige.
La différence c’est qu’elle a pris l’habitude de se mettre contre moi et un jour ou elle était ses fesses touchant ma verge à travers mon pantalon, je me suis mis à bander.
Elle m’a regardé sans rien me dire.

Le lendemain quand je suis rentré elle était déjà en tenue légère mais une transformation physique m’a sauté aux yeux, elle était passée chez le coiffeur et s’était fait tondre faisant une coupe en brosse comme en fond de nombreux garçons.
Elle m’a pris la main et m’a conduite dans ma chambre, elle a fait tomber sa nuisette et s’est mise en levrette sur mon lit « Bruno vient me sodomiser puisque c'est cela que tu aimes. »
Elle avait fait le transfert entre Bruno hétéro et Benoît homosexuel se servant de sa rosette pour l’effectuer.
J’ai sauté sur le lit avant qu’elle se ravise et ma verge est entrée jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.
Je l’ai pilonné comme un fou, sans qu’elle le sache je l’avais dépucelé le soir de ses noces et là sans que je sache si c’est Bruno où je lui dévirginise l’anus.

Pendant plusieurs semaines le suceur de bite qu’elle croyait que j’étais la prise surtout en levrette, un soir je venais de lui mettre, je lui donnais de grands coups mais ma verge a dérapé et je suis entré dans sa chatte, depuis que je la sodomisais quand elle s’abandonnait s’était souvent des « Bruno continu » ou « Bruno plus fort ».
À partir de ce jour aucune fois elle n’a dit Bruno mais je suis redevenu Benoît, nous faisions l’amour normalement sans pour autant refuser que je la sodomise, nous faisions l’amour comme tous autres couples.
Nous avons eu nos diplômes et nous avons quitté l’appartement pour vivre dans un grand pavillon ou après l’avoir épousé et que ses cheveux aient repoussé me rendant la Laure que la moitié de moi aimait quand nous l’avons rencontré.
Nous avons quatre enfants dont l’aîné qui se prénomme Bruno et chaque année à la Toussaint nous allons mettre des Chrysanthèmes en famille à mon autre moitié.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cette histoire est trop triste... Dommage que cela ai gaché le coté érotique... Bonne continuation ;)



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION LIBERTINAGES. Le transfert. (1/1)
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