Titre de l'histoire érotique : COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Découverte. (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Découverte. (2/3)
• Oui, comme cela, si j’ai bien compris, c’est la première bite que tu masturbes et que tu suces, ton mari t’a tenu dans l’ignorance du sexe et des plaisirs qu’un homme et une femme se donnent, il t’a eu vierge le jour de ton mariage.
Je quitte sa bite une fraction de seconde avant de retourner à mon travail subjugué par la tournure que prennent les événements surtout que je sens que je coule de plus en plus.
• Oui, j’étais vierge.
Le jeu de ma bouche sur sa verge continue pendant un certain temps, jusqu’au moment où il se retire, m’aide à me relever pour que nous soyons à la même hauteur.
Sa bouche cherche la mienne qui accepte cette langue qui tourne sur la mienne.
Depuis que je connais, Emanuel nos baisés très rares chaque fois qu’il fait son devoir conjugal, il se contente de se coucher et de me mettre sa misère en moi.
Un moment j’ai voulu avoir un enfant et depuis mon mariage la pilule ou toute autre forme de contraception m’est inconnue, je suis aux portes de la ménopause bien que j’aie mes règles, souvent avec un peu d’écart.
• Viens avec moi.
Il m’entraîne vers sa chambre me montrant une fois de plus tout son tact, car s’il m’avait emmené vers la chambre conjugale, je me serais certainement braquée.
Comment a-t-il fait pour que je me retrouve nue, c’est un faîte quand nous tombons sur son lit.
• Je pense que ton mari ta laisser aux portes du plaisir depuis ton mariage, il te fait l’amour souvent.
• Non, il y a des mois qu’il vient et part sur son bateau sans me toucher.
• Il est fou, tu es magnifique, il devrait être à genoux devant toi.
• Mais je suis vieille.
• Tu seras vieille quand ton corps te dira que tu l’es, aujourd’hui ton corps est fait pour l’amour, veux-tu être à moi.
• Plus que cela, je pense que je t’attendais.
• Tu as bien fait, j’ai toujours aimé explorer les terres vierges, ton mec comme mon père, ce sont les bateaux, moi c’est la terre que j’aime féconder.
Comment un garçon aussi jeune peut-il avoir autant de bon sens, je suis estomaquée, je l’embrasse fougueusement sans hésiter à reprendre sa queue dans ma main ?
• Oui, prends-moi, je sens que mon corps s’ouvre à la vie, j’ai l’impression de naître.
• Je suis sûr sans me tromper que vous n’avez pratiqué que la position du missionnaire, je vais te prendre en levrette.
• En levrette, explique ce que je dois faire, mon mari quand nous faisons l’amour se couche sur moi, me rentrant son sexe qui fait dix centimètres dans mon vagin et il coule en moi.
Oh ! j’ai dit vagin.
• Vagin, cramouille, chatte, fourreau, étui à bite, j’oubliais vulve, c’est fou, vous n’avez fait l’amour qu’en position dite du missionnaire, la levrette met toi à quatre pattes sur le lit.
• Comme cela et tu vas me défoncer la chatte.
Je veux être une bonne élève, je suppute que ce garçon va me faire découvrir des choses que j’ignorais ou que je feignais d’ignorer quand Édit me parlait de prendre un amant comme elle le fait régulièrement.
• Oui, Véronique, c’est bien, regarde, je passe derrière toi, écarte légèrement la jambe que ta jolie chatte s’ouvre plus et que je te prenne bien au fond.
• Tu vas me rentrer ton gros engin, tu vas m’ouvrir en deux.
• Non, simplement te faire l’amour et te faire jouir du moins je l’espère, mais j’en suis presque sur quand je vois, comment tu mouilles.
Depuis que je me suis mariée le nombre de mots comme ceux qu’il me fait entendre me sont inconnus, mais quand il me met ses doigts dans ma grotte, je sens tout vibrer en moi.
• Je rentre en toi, es-tu prêt ?
Comment lui répondre tellement j’attends, d’un coup il pousse sa tige qui entre profondément ?
Je sens que je suis aux antipodes de ce que me fait Emanuel, je me sens rempli comme jamais je l’ai été, dès qu’il se propulse en moi par de grands coups de reins me tenant par les hanches, je mets beaucoup de temps à me rendre compte que je crie de plaisir.
Une boule venue, d'où je ne sais, monte et après un temps indéfinissable tellement j’apprécie ce que Lois me fait, conjugué à ce que je ressens la boule éclate dans mon sexe et sur mes lèvres.
• Oui, c’est bien, c’est ça, joui, je sens qu’un orgasme te submerge prend ton pied ma salope, comporte-toi comme une chienne.
• Oui, j’ai déjà vu des clébards se faire ma chienne dans mon jeune temps, ils étaient agrippés à son dos comme tu es agrippé à mes hanches, je vais oser le dire, je suis une pute, une truie bonne à saillir.
Comment ai-je pu attendre aussi longtemps pour apprendre à jouir et comment se fait-il que ce soit un garçon si jeune qui me fait hurler de plaisir allant même me faire dire que je suis sa chienne.
• Oh ! Mon amour, je sens le bien que tu me fais, jamais l’homme que je croyais être l’homme de ma vie ne m'a jamais donné autant de plaisir, je t’aime, je suis entièrement à toi.
• C’est bien, je vais faire ton éducation, dis-moi que tu es une salope.
Je suis une salope, du moins c’est Lois, jeune étudiant, qu’Emanuel mon mari m’a demandé d’accueillir le temps de ses études qui le dit après m'avoir fait découvrir l’amour, car depuis mon mariage mon mari a oublié qu’une femme avait besoin de jouir.
En me disant cela, il continue à me pilonner et je sens que la boule recommence à monter.
• Te dire des mots grossiers, si c’est pour ton plaisir ainsi que mon plaisir, je suis une salope, apprends-moi d’autres mots comme celui que je viens de dire.
• Tout doux ma mie, nous avons le temps, je vais tout t’apprendre, jure-moi que tu accepteras tout ce que je te proposerais.
• Oui, oui je te promets, je jouis, je jouis, je suis une salope, je suis une salope, tu es fou, je suis morte, tu es fou, tu m’as tué.
Mon plaisir redémarre, plus fort que la première fois, car mon sexe épouse intégralement le sien, on m’aurait dit qu’un jeune homme viendrait au fond de moi comme il le fait maintenant, j’aurais été dans l’impossibilité de l’admettre alors que de la façon dont il me baise, je sens que c’est possible mieux, je le hurle.
• Je vais t’envoyer mon sperme, tu es prête.
• Bien sûr, je sens que je vais sentir ta semence pour la première fois de ma vie arroser le font de !
• De ton vagin, ta chatte, ta vulve, retiens ces mots, tu t’en serviras quand je te le dirai, mais assez parlé, tu es prête, j’éjacule.
Je sens mon ventre se gonfler à mesure que Lois m’envoie de longue gicler au fond de moi, j’ai un dernier orgasme avant de m’écrouler le recevant dans mes bras et sur ma poitrine quand il se laisse aller.
Je m’écroule sur le lit et il vient se coucher sur moi.
Nous restons prostré par notre plaisir pris simultanément, j’ouvre les yeux un instant fermé et nos regards se rencontrent pour la première fois du moins aussi intensément.
Ma main descend sur ce pieu qui m’a donné autant de plaisir pour la première fois de ma vie.
Pour la première fois, je me sens femme, je comprends ce que j’ai entre les jambes, qui depuis ma naissance me servait à uriner ou à avoir mes règles, je caresse, son sexe et ma main se trouvent tout englués du sperme qu’il a introduit en moi.
Avec Emanuel, son sperme partait dans le bidet, chaque fois qu’il se frottait à moi et qu’il vidait sa verge, je me lavais à grande eau certainement pour me purifier, étrangement là, je tiens à le garder en moi bien au chaud dans ma chatte.
• Regarde mon amour, tu m’as déchiré avec ton gros engin, il y a un peu de sang.
• Tu m’as dit que ton mari avait un petit morceau.
• Oui, alors il a été dans l’impossibilité d’aller au fond de ta chatte et tu es resté à moitié vierge, je viens de faire de toi une femme.
• Oui, mon cœur, une vraie femme, tu es le premier à m’avoir appris ce que jouir veux dire.
• Je suis fière de t’avoir apporté ton premier orgasme, parlé c’est bien, sucer pour me nettoyer la bite de ton sang poisseux c’est mieux.
C’est sans aucun rejet de ma part que je me penche et que je lèche sa tige de haut en bas.
• Suce-moi les couilles et malaxe-les-moi, j’ai tellement envie de te baiser que je vais pouvoir te reprendre dans quelques secondes.
Je la caresse, la suce, l’avale, la faisant entrer le plus loin possible au fond de ma gorge et lui faire reprendre le volume que mes yeux aiment tant.
• Dès que je suis entré chez toi, j’ai vu ta beauté, je savais que j’avais affaire à une vraie salope, j’ignorais que ce serait moi qui te ferais découvrir ta vraie nature, j’ai compris que tu es vierge de toutes les pratiques du sexe, tu vois, tu viens de me faire une gorge profonde.
• Une gorge profonde, je comprends, je l’ai senti passer ma glotte et descendre dans ma trachée sans que j’aie des nausées.
Non seulement il m’a entièrement dépucelé, mais j’apprends à grande vitesse les mots et les positions que deux corps qui s’aiment peuvent prendre.
• Viens t’empaler sur ma bite, c’est toi qui vas rythmer notre jeu et notre plaisir.
Une fois qu’il est allongé, je me redresse, passant ma jambe au-dessus de son corps, la vue de sa verge qui est la première que je vois dans cette position obscène, je la prends pour la faire entrer en moi ce qui me ravi, c’est moi qui le guide de la main, descendant à petite vitesse pour savourer ce moment.
Je me sens encore plus rempli qu’en levrette, je monte et je descends au gré de mes envies...
Je quitte sa bite une fraction de seconde avant de retourner à mon travail subjugué par la tournure que prennent les événements surtout que je sens que je coule de plus en plus.
• Oui, j’étais vierge.
Le jeu de ma bouche sur sa verge continue pendant un certain temps, jusqu’au moment où il se retire, m’aide à me relever pour que nous soyons à la même hauteur.
Sa bouche cherche la mienne qui accepte cette langue qui tourne sur la mienne.
Depuis que je connais, Emanuel nos baisés très rares chaque fois qu’il fait son devoir conjugal, il se contente de se coucher et de me mettre sa misère en moi.
Un moment j’ai voulu avoir un enfant et depuis mon mariage la pilule ou toute autre forme de contraception m’est inconnue, je suis aux portes de la ménopause bien que j’aie mes règles, souvent avec un peu d’écart.
• Viens avec moi.
Il m’entraîne vers sa chambre me montrant une fois de plus tout son tact, car s’il m’avait emmené vers la chambre conjugale, je me serais certainement braquée.
Comment a-t-il fait pour que je me retrouve nue, c’est un faîte quand nous tombons sur son lit.
• Je pense que ton mari ta laisser aux portes du plaisir depuis ton mariage, il te fait l’amour souvent.
• Non, il y a des mois qu’il vient et part sur son bateau sans me toucher.
• Il est fou, tu es magnifique, il devrait être à genoux devant toi.
• Mais je suis vieille.
• Tu seras vieille quand ton corps te dira que tu l’es, aujourd’hui ton corps est fait pour l’amour, veux-tu être à moi.
• Plus que cela, je pense que je t’attendais.
• Tu as bien fait, j’ai toujours aimé explorer les terres vierges, ton mec comme mon père, ce sont les bateaux, moi c’est la terre que j’aime féconder.
Comment un garçon aussi jeune peut-il avoir autant de bon sens, je suis estomaquée, je l’embrasse fougueusement sans hésiter à reprendre sa queue dans ma main ?
• Oui, prends-moi, je sens que mon corps s’ouvre à la vie, j’ai l’impression de naître.
• Je suis sûr sans me tromper que vous n’avez pratiqué que la position du missionnaire, je vais te prendre en levrette.
• En levrette, explique ce que je dois faire, mon mari quand nous faisons l’amour se couche sur moi, me rentrant son sexe qui fait dix centimètres dans mon vagin et il coule en moi.
Oh ! j’ai dit vagin.
• Vagin, cramouille, chatte, fourreau, étui à bite, j’oubliais vulve, c’est fou, vous n’avez fait l’amour qu’en position dite du missionnaire, la levrette met toi à quatre pattes sur le lit.
• Comme cela et tu vas me défoncer la chatte.
Je veux être une bonne élève, je suppute que ce garçon va me faire découvrir des choses que j’ignorais ou que je feignais d’ignorer quand Édit me parlait de prendre un amant comme elle le fait régulièrement.
• Oui, Véronique, c’est bien, regarde, je passe derrière toi, écarte légèrement la jambe que ta jolie chatte s’ouvre plus et que je te prenne bien au fond.
• Tu vas me rentrer ton gros engin, tu vas m’ouvrir en deux.
• Non, simplement te faire l’amour et te faire jouir du moins je l’espère, mais j’en suis presque sur quand je vois, comment tu mouilles.
Depuis que je me suis mariée le nombre de mots comme ceux qu’il me fait entendre me sont inconnus, mais quand il me met ses doigts dans ma grotte, je sens tout vibrer en moi.
• Je rentre en toi, es-tu prêt ?
Comment lui répondre tellement j’attends, d’un coup il pousse sa tige qui entre profondément ?
Je sens que je suis aux antipodes de ce que me fait Emanuel, je me sens rempli comme jamais je l’ai été, dès qu’il se propulse en moi par de grands coups de reins me tenant par les hanches, je mets beaucoup de temps à me rendre compte que je crie de plaisir.
Une boule venue, d'où je ne sais, monte et après un temps indéfinissable tellement j’apprécie ce que Lois me fait, conjugué à ce que je ressens la boule éclate dans mon sexe et sur mes lèvres.
• Oui, c’est bien, c’est ça, joui, je sens qu’un orgasme te submerge prend ton pied ma salope, comporte-toi comme une chienne.
• Oui, j’ai déjà vu des clébards se faire ma chienne dans mon jeune temps, ils étaient agrippés à son dos comme tu es agrippé à mes hanches, je vais oser le dire, je suis une pute, une truie bonne à saillir.
Comment ai-je pu attendre aussi longtemps pour apprendre à jouir et comment se fait-il que ce soit un garçon si jeune qui me fait hurler de plaisir allant même me faire dire que je suis sa chienne.
• Oh ! Mon amour, je sens le bien que tu me fais, jamais l’homme que je croyais être l’homme de ma vie ne m'a jamais donné autant de plaisir, je t’aime, je suis entièrement à toi.
• C’est bien, je vais faire ton éducation, dis-moi que tu es une salope.
Je suis une salope, du moins c’est Lois, jeune étudiant, qu’Emanuel mon mari m’a demandé d’accueillir le temps de ses études qui le dit après m'avoir fait découvrir l’amour, car depuis mon mariage mon mari a oublié qu’une femme avait besoin de jouir.
En me disant cela, il continue à me pilonner et je sens que la boule recommence à monter.
• Te dire des mots grossiers, si c’est pour ton plaisir ainsi que mon plaisir, je suis une salope, apprends-moi d’autres mots comme celui que je viens de dire.
• Tout doux ma mie, nous avons le temps, je vais tout t’apprendre, jure-moi que tu accepteras tout ce que je te proposerais.
• Oui, oui je te promets, je jouis, je jouis, je suis une salope, je suis une salope, tu es fou, je suis morte, tu es fou, tu m’as tué.
Mon plaisir redémarre, plus fort que la première fois, car mon sexe épouse intégralement le sien, on m’aurait dit qu’un jeune homme viendrait au fond de moi comme il le fait maintenant, j’aurais été dans l’impossibilité de l’admettre alors que de la façon dont il me baise, je sens que c’est possible mieux, je le hurle.
• Je vais t’envoyer mon sperme, tu es prête.
• Bien sûr, je sens que je vais sentir ta semence pour la première fois de ma vie arroser le font de !
• De ton vagin, ta chatte, ta vulve, retiens ces mots, tu t’en serviras quand je te le dirai, mais assez parlé, tu es prête, j’éjacule.
Je sens mon ventre se gonfler à mesure que Lois m’envoie de longue gicler au fond de moi, j’ai un dernier orgasme avant de m’écrouler le recevant dans mes bras et sur ma poitrine quand il se laisse aller.
Je m’écroule sur le lit et il vient se coucher sur moi.
Nous restons prostré par notre plaisir pris simultanément, j’ouvre les yeux un instant fermé et nos regards se rencontrent pour la première fois du moins aussi intensément.
Ma main descend sur ce pieu qui m’a donné autant de plaisir pour la première fois de ma vie.
Pour la première fois, je me sens femme, je comprends ce que j’ai entre les jambes, qui depuis ma naissance me servait à uriner ou à avoir mes règles, je caresse, son sexe et ma main se trouvent tout englués du sperme qu’il a introduit en moi.
Avec Emanuel, son sperme partait dans le bidet, chaque fois qu’il se frottait à moi et qu’il vidait sa verge, je me lavais à grande eau certainement pour me purifier, étrangement là, je tiens à le garder en moi bien au chaud dans ma chatte.
• Regarde mon amour, tu m’as déchiré avec ton gros engin, il y a un peu de sang.
• Tu m’as dit que ton mari avait un petit morceau.
• Oui, alors il a été dans l’impossibilité d’aller au fond de ta chatte et tu es resté à moitié vierge, je viens de faire de toi une femme.
• Oui, mon cœur, une vraie femme, tu es le premier à m’avoir appris ce que jouir veux dire.
• Je suis fière de t’avoir apporté ton premier orgasme, parlé c’est bien, sucer pour me nettoyer la bite de ton sang poisseux c’est mieux.
C’est sans aucun rejet de ma part que je me penche et que je lèche sa tige de haut en bas.
• Suce-moi les couilles et malaxe-les-moi, j’ai tellement envie de te baiser que je vais pouvoir te reprendre dans quelques secondes.
Je la caresse, la suce, l’avale, la faisant entrer le plus loin possible au fond de ma gorge et lui faire reprendre le volume que mes yeux aiment tant.
• Dès que je suis entré chez toi, j’ai vu ta beauté, je savais que j’avais affaire à une vraie salope, j’ignorais que ce serait moi qui te ferais découvrir ta vraie nature, j’ai compris que tu es vierge de toutes les pratiques du sexe, tu vois, tu viens de me faire une gorge profonde.
• Une gorge profonde, je comprends, je l’ai senti passer ma glotte et descendre dans ma trachée sans que j’aie des nausées.
Non seulement il m’a entièrement dépucelé, mais j’apprends à grande vitesse les mots et les positions que deux corps qui s’aiment peuvent prendre.
• Viens t’empaler sur ma bite, c’est toi qui vas rythmer notre jeu et notre plaisir.
Une fois qu’il est allongé, je me redresse, passant ma jambe au-dessus de son corps, la vue de sa verge qui est la première que je vois dans cette position obscène, je la prends pour la faire entrer en moi ce qui me ravi, c’est moi qui le guide de la main, descendant à petite vitesse pour savourer ce moment.
Je me sens encore plus rempli qu’en levrette, je monte et je descends au gré de mes envies...
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