Titre de l'histoire érotique : COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Découverte. (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Découverte. (3/3)
Je me sens maîtresse de notre jeu pouvant même l’abandonner ce que j’aurais aimé faire quand Emanuel désirait avoir un rapport et m’écrasait sous lui, même-ci cela durait quelques secondes au plus une minute, avec Lois rien de tout cela, baiser et me baiser encore, même jusqu’à en mourir, mais de plaisir bien sûr.
Je prends un rythme qui plaît à mon amant, je peux dire un amant, ce qui m’a toujours paru improbable dans ma vie antérieure.
• Tu aimes.
• Vas-y bébé, mon sexe est pour toi comme ta chatte qui sera définitivement mon exclusivité.
• Et mon mari ?
• Tu lui diras que tu es indisposé, mais je doute qu’il te sollicite de nouveau si tu me dis qu’il t’oublie depuis des mois.
• Je te promets, je suis à toi, rien qu’à toi.
C’est ainsi que la midinette que je suis redevenue à un nouvel orgasme, après m’être dégagée, je le reprendre dans ma bouche.
• Je veux boire ton sperme, fais-moi goûter, ce doit être divin.
Nous le faisons, je récupère l’intégralité de ses jets dans ma gorge qui parte dans mon estomac, je suis certaine que dans les jours ou semaines prochaines, je vais en boire des litres, j’apprécie ce goût un peu fade, je vais le nourrir de produit ayant du goût, cela se retrouvera peut-être dans mes prochaines rasades.
Nous avons dormi et comme aujourd’hui c’est dimanche, nous restons au lit toute la journée.
• Mets-toi sur le côté, lève ta jambe, je vais te prendre dans cette position.
Je le fais, quelle ingéniosité, il me fait prendre des positions plus obscènes les unes que les autres.
Je sens son sexe placé sur ma rosette, c’est impossible qu'espère-t-il faire, il est fou, il appuie, je fais retomber ma jambe.
• Remets-la en l’air, je vais te sodomiser !
• Quoi me sodomiser, impossible.
• Oui t’enculer, te prendre par le petit.
Il est fou, mais ça rentre, je le sens coulisser dans mon anus qui s’écarte pour le laisser passer, j’ai envie de hurler, mais je dois reconnaître que j’adore ses initiatives, que n’ai-je connu plutôt ces plaisirs extrêmes.
Je découvre sur le tard que faire l’amour avec celui que l’on aime, c’est tout accepter de lui.
J’en déduis qu’avec Emanuel, notre mariage est bidon, il repose sur de l’eau entrant dans le sable qu'il boit dès qu’il est touché, que dire un océan comme celui sur lequel il navigue chaque fois qu’il est ici.
Ce mariage arrangé a permis à nos familles de garder leur rang dans la société toulonnaise sans jamais avoir de base solide.
Les mères avaient-elles parlé entre elles de cette anomalie et que se sont-elles offertes en échange, je pourrais leur demander, mais ce serait reconnaître que je suis restée, une pucelle qui s’ignorait toutes ces années jusqu’à ce que ce gamin vienne et m’ouvre à la vie.
Prise par la chatte ou l’anus, suçant qui une bite, qui une chatte dans les jours suivants, nous baisons autant que nous le pouvons à l’endroit où il m’attrape, voire où je l’attrape.
Rien de tout cela avec mon mari, à la fin de sa mission, il vient, il m’embrasse et repart vers la mer qui semble être son seul élément et la source de sa seule passion.
Nous faisons attention dans les jours suivants, bien que notre appétit l’un pour l’autre soit toujours intense, je lui montre ma soumission extrême, mais qui est normale m’ayant ouvert à la vie quand il invite un de ses camarades de fac à venir dîner.
Depuis le premier jour de nos étreintes, nous vivons nus nos fenêtres donnant sur un parc et c'est simplement vêtu de nos peignoirs qu’il tient à ce que nous soyons quand-il arrive.
Je pensais qu’il serait étonné, mais semble bien connaître Lois, ce jeu nouveau pour moi m’intrigue moi qui ai toujours été très pudique, c’est le dessert pris que je vois ou il veut en venir, Marcial est resté habillé, gardant jean et chemise.
• Mon cœur, notre ami est seul dans la vie, j’aimerais bien qu’il ait lui aussi un peu du bonheur que tu m’apportes, passe sous la table, sors sa queue et fait lui une fellation dont tu as le secret, tu fais cela comme la reine des salopes.
Je suis prête à refuser, me souvenant que je me suis entièrement remis à lui quand j’ai découvert l’amour le vrai, je me lève, repousse ma chaise et enlève mon peignoir.
L’atmosphère est montée d’un cran, je suis sûr qu’il se demande si je vais le faire aussi pour l’étonné, je passe sous la table, déboutonne le pantalon du garçon où je vois la troisième verge de ma vie.
Je la caresse avant de la lécher la faisant bander rapidement, bien moins grande et grosse que celle de mon amour, mais bien supérieur à celui qui flotte sur les eaux.
• Évite qu’il ne décharge ma chérie !
Je le fais le garçon ayant les yeux qui lui sortent de la tête quand il regarde dans ma direction.
Je me relève et je le prends par la main pour me diriger vers mon seigneur et maître.
• Tu es belle mon cœur, ce que nous allons faire, nous ne le ferons qu’une seule fois, tant que tu voudras de moi comme amant, je veux simplement te faire connaître un plaisir rare.
Viens me faire bander, Marcial maintient toi en forme, tu viendras quand je te le dirai.
Allons dans ta chambre.
Depuis qu’il est avec nous le garçon très timide n’a rien dit, il suit les ordres que Lois me donne c'est un garçon qui domine les personnes qu’ils croisent comme ce fut le cas pour moi.
Je monte sur mon lit, c’est la première fois que nous faisons ça dans mon lit conjugal, je prends conscience pour la première fois que je suis une femme adultère moi qui me suis promis tout au long de ma vie de rester fidèle à celui qu’il est vrai; refuse de me satisfaire.
Mais en avait-il les moyens ?
Le fait de venir sur mon lit participe du plan de mon amour qui sait qu’il est le seul homme de ma vie depuis que j’ai accepté d’être à lui, je le suce, il bande et je recommence le mouvement me permettant de m’empaler sur lui.
• Marcial met la capote que je t’ai fournie, vient derrière Véronique et encule là, nous allons te prendre en double pénétration, je l’ai fait avec la femme qui m’a appris à faire l’amour l’été dernier et elle a joui plus fort que je ne t’ai fait jouir.
• Tu crois, j’ai appris à aimer quand tu me sodomises, mais les deux en même temps tu crois que je dois le faire ?
• Embrasse-moi, Martial prend là.
C’est ce que fait le garçon, Lois coulisse dans un sens, Marcial de l’autre, je suis bien préparé et il entre d’un seul mouvement, et là, et là, et là.
Excusez-moi, mais la décharge des deux verges en même temps a été si forte que j’étais dans l’impossibilité d’en dire plus, certes, je jouis, mais c’est le faîte d’être soumise à ce garçon qui me donne le plus de plaisir, nous tombons côte à côte et je perds la notion du temps.
Je me réveille, Martial est parti et ce n’est pas la légère douleur dans mon anus et le sperme qui coule de ma chatte qui me fait voir ce qui s’est passé, sinon je pourrais croire que ce n’est qu’imagination de ma part.
Les jours passent, quand nous sortons, il faut bien manger et il faut qu’il aille à ses cours, les gens me regardent comme si je sortais avec mon fils, nous déjeunons dans la pizzeria sur le port.
Nous voyons le vent se lever et c’est avec un taxi que nous rentrons malgré la courte distance, une tempête est en trait de ce lever et la rade est parcourue par des vagues qui viennent taper sur la jetée.
En pleine mer Emanuel doit certainement affronter des creux énormes, m’ayant expliqué qu’en Méditerranée quand ça bouge, c’est énorme.
Il y a deux jours que mon mari aurait dû rejoindre Brest, la marine m’appelle pour savoir si nous savons ou il est, je fais de même chez son ami qui essaye de le joindre par radio, mais rien ne lui parvient.
• Bonjour madame, nous venons de retrouver le bateau de votre mari, un remorqueur le ramène à Toulon, mais nous n’avons trouvé personne à bord, nous pensons que pendant la tempête, il est tombé à l’eau.
Lois et moi pensions à ce dénouement après son retard lui qui est si ponctuel, même si mon amour pour lui est terminé, j’aurais aimé qu’il rentre et que je demande le divorce pour incompatibilité sexuelle en évitant dans un premier temps de lui parler de mon jeune amant.
Les jours passent, nous faisons l’amour avec Lois, mais sans emballement comme avant la nouvelle bien que nous ne sommes pour rien à ce qui arrive à Emanuel.
Il faut dire que ma maman, ma belle-mère et Édit se relayent auprès de moi, seul Édit remarque nos regards, mais en bonne copine évite de poser des questions.
• Bonjours madame, pouvez-vous me suivre, un chalutier à récupérer un corps en mer dans ses filets qui peut correspondre à votre mari, venez avec nous l’identifier.
Je m’effondre dans les bras tendus par Lois et qu’il se prépare, désirant venir avec moi.
Je passe la suite, c’est bien Emanuel qui est allongé sur la table de l’institut, l’enterrement a lieu, mais rapidement il m’arrive un autre problème à régler.
Je m’aperçois qu’à mon âge je suis enceinte, il n'y a aucun doute que le petit garçon qui va venir au monde est le fils de Lois.
Resté dans mon quartier risque de faire jaser, je veux que son père vive pleinement son rôle et soit donc mon compagnon au grand jour, notre amour étant grandissant.
Discrètement nous quittons Toulon pour Montpellier où mon amour va pouvoir finir ses études sans problème, car financièrement la vente de mon appartement et l’assurance-vie qu’Emanuel avait souscrite nous met à l’abri jusqu’à ce que mon fiancé gagne sa vie.
Il aura trouvé facilement, c’est lui avec l’aide d’un cabinet d’avocats qui réussit à contrer le cabinet d’assurance qui contestait là close que mon mari avait souscrit qui triplait la prime s’il mourrait en mer, pour eux c’était dans le cadre de son travail de sous-mariner, mais le juge a considéré que la plaisance faisait partie du contrat.
Ma grossesse considérée à grand risque à cause de mon âge et une césarienne se termine bien, il est très beau et ressemble à son père côté sexe, quand il aura 20 ans, je souhaite que son papa lui apprenne, comment s’en servir pour que son amie soit pleinement heureuse et qu’elle jouisse autant que je jouis chaque fois que nous faisons l’amour.
Si vous voulez nous voir cet été vous nous trouverez sur la plage à contempler la Méditerranée mer d’huile en ce moment, majestueux un voilier passe au large.
Je prends un rythme qui plaît à mon amant, je peux dire un amant, ce qui m’a toujours paru improbable dans ma vie antérieure.
• Tu aimes.
• Vas-y bébé, mon sexe est pour toi comme ta chatte qui sera définitivement mon exclusivité.
• Et mon mari ?
• Tu lui diras que tu es indisposé, mais je doute qu’il te sollicite de nouveau si tu me dis qu’il t’oublie depuis des mois.
• Je te promets, je suis à toi, rien qu’à toi.
C’est ainsi que la midinette que je suis redevenue à un nouvel orgasme, après m’être dégagée, je le reprendre dans ma bouche.
• Je veux boire ton sperme, fais-moi goûter, ce doit être divin.
Nous le faisons, je récupère l’intégralité de ses jets dans ma gorge qui parte dans mon estomac, je suis certaine que dans les jours ou semaines prochaines, je vais en boire des litres, j’apprécie ce goût un peu fade, je vais le nourrir de produit ayant du goût, cela se retrouvera peut-être dans mes prochaines rasades.
Nous avons dormi et comme aujourd’hui c’est dimanche, nous restons au lit toute la journée.
• Mets-toi sur le côté, lève ta jambe, je vais te prendre dans cette position.
Je le fais, quelle ingéniosité, il me fait prendre des positions plus obscènes les unes que les autres.
Je sens son sexe placé sur ma rosette, c’est impossible qu'espère-t-il faire, il est fou, il appuie, je fais retomber ma jambe.
• Remets-la en l’air, je vais te sodomiser !
• Quoi me sodomiser, impossible.
• Oui t’enculer, te prendre par le petit.
Il est fou, mais ça rentre, je le sens coulisser dans mon anus qui s’écarte pour le laisser passer, j’ai envie de hurler, mais je dois reconnaître que j’adore ses initiatives, que n’ai-je connu plutôt ces plaisirs extrêmes.
Je découvre sur le tard que faire l’amour avec celui que l’on aime, c’est tout accepter de lui.
J’en déduis qu’avec Emanuel, notre mariage est bidon, il repose sur de l’eau entrant dans le sable qu'il boit dès qu’il est touché, que dire un océan comme celui sur lequel il navigue chaque fois qu’il est ici.
Ce mariage arrangé a permis à nos familles de garder leur rang dans la société toulonnaise sans jamais avoir de base solide.
Les mères avaient-elles parlé entre elles de cette anomalie et que se sont-elles offertes en échange, je pourrais leur demander, mais ce serait reconnaître que je suis restée, une pucelle qui s’ignorait toutes ces années jusqu’à ce que ce gamin vienne et m’ouvre à la vie.
Prise par la chatte ou l’anus, suçant qui une bite, qui une chatte dans les jours suivants, nous baisons autant que nous le pouvons à l’endroit où il m’attrape, voire où je l’attrape.
Rien de tout cela avec mon mari, à la fin de sa mission, il vient, il m’embrasse et repart vers la mer qui semble être son seul élément et la source de sa seule passion.
Nous faisons attention dans les jours suivants, bien que notre appétit l’un pour l’autre soit toujours intense, je lui montre ma soumission extrême, mais qui est normale m’ayant ouvert à la vie quand il invite un de ses camarades de fac à venir dîner.
Depuis le premier jour de nos étreintes, nous vivons nus nos fenêtres donnant sur un parc et c'est simplement vêtu de nos peignoirs qu’il tient à ce que nous soyons quand-il arrive.
Je pensais qu’il serait étonné, mais semble bien connaître Lois, ce jeu nouveau pour moi m’intrigue moi qui ai toujours été très pudique, c’est le dessert pris que je vois ou il veut en venir, Marcial est resté habillé, gardant jean et chemise.
• Mon cœur, notre ami est seul dans la vie, j’aimerais bien qu’il ait lui aussi un peu du bonheur que tu m’apportes, passe sous la table, sors sa queue et fait lui une fellation dont tu as le secret, tu fais cela comme la reine des salopes.
Je suis prête à refuser, me souvenant que je me suis entièrement remis à lui quand j’ai découvert l’amour le vrai, je me lève, repousse ma chaise et enlève mon peignoir.
L’atmosphère est montée d’un cran, je suis sûr qu’il se demande si je vais le faire aussi pour l’étonné, je passe sous la table, déboutonne le pantalon du garçon où je vois la troisième verge de ma vie.
Je la caresse avant de la lécher la faisant bander rapidement, bien moins grande et grosse que celle de mon amour, mais bien supérieur à celui qui flotte sur les eaux.
• Évite qu’il ne décharge ma chérie !
Je le fais le garçon ayant les yeux qui lui sortent de la tête quand il regarde dans ma direction.
Je me relève et je le prends par la main pour me diriger vers mon seigneur et maître.
• Tu es belle mon cœur, ce que nous allons faire, nous ne le ferons qu’une seule fois, tant que tu voudras de moi comme amant, je veux simplement te faire connaître un plaisir rare.
Viens me faire bander, Marcial maintient toi en forme, tu viendras quand je te le dirai.
Allons dans ta chambre.
Depuis qu’il est avec nous le garçon très timide n’a rien dit, il suit les ordres que Lois me donne c'est un garçon qui domine les personnes qu’ils croisent comme ce fut le cas pour moi.
Je monte sur mon lit, c’est la première fois que nous faisons ça dans mon lit conjugal, je prends conscience pour la première fois que je suis une femme adultère moi qui me suis promis tout au long de ma vie de rester fidèle à celui qu’il est vrai; refuse de me satisfaire.
Mais en avait-il les moyens ?
Le fait de venir sur mon lit participe du plan de mon amour qui sait qu’il est le seul homme de ma vie depuis que j’ai accepté d’être à lui, je le suce, il bande et je recommence le mouvement me permettant de m’empaler sur lui.
• Marcial met la capote que je t’ai fournie, vient derrière Véronique et encule là, nous allons te prendre en double pénétration, je l’ai fait avec la femme qui m’a appris à faire l’amour l’été dernier et elle a joui plus fort que je ne t’ai fait jouir.
• Tu crois, j’ai appris à aimer quand tu me sodomises, mais les deux en même temps tu crois que je dois le faire ?
• Embrasse-moi, Martial prend là.
C’est ce que fait le garçon, Lois coulisse dans un sens, Marcial de l’autre, je suis bien préparé et il entre d’un seul mouvement, et là, et là, et là.
Excusez-moi, mais la décharge des deux verges en même temps a été si forte que j’étais dans l’impossibilité d’en dire plus, certes, je jouis, mais c’est le faîte d’être soumise à ce garçon qui me donne le plus de plaisir, nous tombons côte à côte et je perds la notion du temps.
Je me réveille, Martial est parti et ce n’est pas la légère douleur dans mon anus et le sperme qui coule de ma chatte qui me fait voir ce qui s’est passé, sinon je pourrais croire que ce n’est qu’imagination de ma part.
Les jours passent, quand nous sortons, il faut bien manger et il faut qu’il aille à ses cours, les gens me regardent comme si je sortais avec mon fils, nous déjeunons dans la pizzeria sur le port.
Nous voyons le vent se lever et c’est avec un taxi que nous rentrons malgré la courte distance, une tempête est en trait de ce lever et la rade est parcourue par des vagues qui viennent taper sur la jetée.
En pleine mer Emanuel doit certainement affronter des creux énormes, m’ayant expliqué qu’en Méditerranée quand ça bouge, c’est énorme.
Il y a deux jours que mon mari aurait dû rejoindre Brest, la marine m’appelle pour savoir si nous savons ou il est, je fais de même chez son ami qui essaye de le joindre par radio, mais rien ne lui parvient.
• Bonjour madame, nous venons de retrouver le bateau de votre mari, un remorqueur le ramène à Toulon, mais nous n’avons trouvé personne à bord, nous pensons que pendant la tempête, il est tombé à l’eau.
Lois et moi pensions à ce dénouement après son retard lui qui est si ponctuel, même si mon amour pour lui est terminé, j’aurais aimé qu’il rentre et que je demande le divorce pour incompatibilité sexuelle en évitant dans un premier temps de lui parler de mon jeune amant.
Les jours passent, nous faisons l’amour avec Lois, mais sans emballement comme avant la nouvelle bien que nous ne sommes pour rien à ce qui arrive à Emanuel.
Il faut dire que ma maman, ma belle-mère et Édit se relayent auprès de moi, seul Édit remarque nos regards, mais en bonne copine évite de poser des questions.
• Bonjours madame, pouvez-vous me suivre, un chalutier à récupérer un corps en mer dans ses filets qui peut correspondre à votre mari, venez avec nous l’identifier.
Je m’effondre dans les bras tendus par Lois et qu’il se prépare, désirant venir avec moi.
Je passe la suite, c’est bien Emanuel qui est allongé sur la table de l’institut, l’enterrement a lieu, mais rapidement il m’arrive un autre problème à régler.
Je m’aperçois qu’à mon âge je suis enceinte, il n'y a aucun doute que le petit garçon qui va venir au monde est le fils de Lois.
Resté dans mon quartier risque de faire jaser, je veux que son père vive pleinement son rôle et soit donc mon compagnon au grand jour, notre amour étant grandissant.
Discrètement nous quittons Toulon pour Montpellier où mon amour va pouvoir finir ses études sans problème, car financièrement la vente de mon appartement et l’assurance-vie qu’Emanuel avait souscrite nous met à l’abri jusqu’à ce que mon fiancé gagne sa vie.
Il aura trouvé facilement, c’est lui avec l’aide d’un cabinet d’avocats qui réussit à contrer le cabinet d’assurance qui contestait là close que mon mari avait souscrit qui triplait la prime s’il mourrait en mer, pour eux c’était dans le cadre de son travail de sous-mariner, mais le juge a considéré que la plaisance faisait partie du contrat.
Ma grossesse considérée à grand risque à cause de mon âge et une césarienne se termine bien, il est très beau et ressemble à son père côté sexe, quand il aura 20 ans, je souhaite que son papa lui apprenne, comment s’en servir pour que son amie soit pleinement heureuse et qu’elle jouisse autant que je jouis chaque fois que nous faisons l’amour.
Si vous voulez nous voir cet été vous nous trouverez sur la plage à contempler la Méditerranée mer d’huile en ce moment, majestueux un voilier passe au large.
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