Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (16/16)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (16/16)
Mon histoire va se finir, certes, ma vie est loin d’être terminée surtout que je suis encore très jeune.
Exemple la semaine à Megève dès que je l'aurais vécue, espérant qu’elle aura été pleine d'imprévue, je vous la rapporterais.
Pour le moment, je suis dans le bureau de Joseph qui me fait une proposition que je vais devoir étudier, il voudrait que je déniaise son fils de vingt-sept ans.
• Je veux qu’en plus il t’épouse, il est absent de la capitale presque dix mois par an, tu pourras continuer ta vie actuelle pleine de plaisir comme tu l’entant.
• À part mon indépendance, qu’est-ce que j’ai à y gagner ?
• Un appartement de 5 pièces avec vue sur la tour Effel au dernier étage entièrement rénové.
• À mon nom bien sûr !
• Tu es dure en affaires, mais d’accord, ma femme ignore que nous le possédons, il est à mon propre nom, je n’ai pas à la mettre dans la confidence.
De plus, je voulais t’en parler dans les semaines prochaines, je vais te présenter à des amis pour que tu deviennes la représentante de la circonscription dont je suis l’élu. Mon suppléant va démissionner dans quelques mois si sa mauvaise santé persiste, j’en ferais de même pour la même raison, même si je suis en pleine forme, cela entrainera une élection partielle, tu te présenteras comme titulaire avec un suppléant qu’il nous reste à trouver, tu pourras nous aider si tu vois une personne digne de nous représenter.
Ma femme rêvant d’être grand-mère, il te faudra avoir un enfant avec notre fils dans les deux ans, tu vois, je ne te mets pas trop la pression.
• Je vais essayer, j’ignore si je vais lui plaire, avant de retourner vers tes invités, n’étant pas encore ta bru, une petite pipe te ferait plaisir mon gros loup, voit comme je te connais bien.
Il sort sa queue et quand nous revenons dans la grande salle de cet appartement de haut luxe, j’ai repris une tenue décente n’ayant pas oublié d’essuyer méticuleusement le coin de mes lèvres ou du sperme avait légèrement coulé.
• Passons à table, Jessika prend la place à côté de Lucas.
Le repas se passe comme dans le monde des personnes influentes de notre pays, pas un mot plus haut que l’autre, Lucas est charmant à un détail près, j’essaye de faire du pied à mon voisin qui s’échappe.
• Lucas, je viens de commander un taxi pour notre amie Jessika, veux-tu la raccompagner, la nuit est tombée et il serait plus sûr qu’elle ne rentre pas seule.
• Oui, père, j’allais lui proposer.
Nous quittons le 16e, arrivé sur les champs, il fait arrêter le taxi.
• Venez allons prendre un verre dans ce café, j’y ai mes habitudes quand je suis à Paris.
Nous entrons, il se dirige vers une table où un beau noir semble l’attendre, il se penche et l’embrasse comme un amant pas comme un simple copain.
• Je te présente Alban, mon amant, assieds-toi.
Jessika, tu es la seule sur la place de Paris à savoir que je suis gay, c’est pour cela que je vis à l’étranger la plupart du temps.
Mes parents ont des principes qui les tueraient s’ils savaient que je vis avec ce beau gosse.
Quand tu sortais de son bureau et qu’il m’a placé à ses côtés à table, je savais qu’il t’avait demandé de me séduire, pour lui je suis encore puceau, car il ne m’a jamais vu avec une femme, je me trompe.
• Non, tu as raison, si je comprends bien, il n’y a aucune chance que je réussisse à devenir ta femme, dommage avoir un appartement donnant sur la tour Effel, ça aurait été sympa.
• C’est ce qu’il t’avait promis !
• Oui, et sa circonscription voulant prendre sa retraite.
• Il faut qu’il ait du sentiment pour toi, je prends le pari que tu lui fais des fellations !
• Comment le sais-tu ?
• Après ma naissance, ma mère lui a refusé sa couche, dans ces temps-là, il n’y avait pas de contraception, elle a choisi celle qui était radicale, ne voulant pas la tromper, il a considéré que se faire sucer, lui permettait de respecter son engagement de mariage.
Parlons de choses sérieuses, demain tu diras à mon père que je suis monté boire un dernier verre, je t’aurais séduit et nous aurons fait l’amour, au matin je me serais agenouillé et je t’aurais demandé en mariage pour t’avoir fait subir mon sexe en toi.
• Tu vas m’épouser !
• Oui, nous en avons parlé avec Alban depuis longtemps, nous attendions le moment où il me ferait rencontrer une jolie femme pour la mettre dans la confidence, c’est toi qu’ils ont choisi.
• Tu vas me faire un enfant !
• Quelle horreur, nous ne consommerons pas notre nuit de noces, je la passerai avec Alban.
Il se penche et l’embrasse sur les lèvres une fraction de seconde.
• Je viendrai à Paris quand tu me diras avoir trouvé un gars qui t’aura fait cet enfant et que ta grossesse sera certaine, mes parents n’iront pas faire de test ADN, ils auront leur petit-fils ou fille et tout le monde sera content.
Peu de temps après nous divorcerons et tu pourras faire ta vie comme bon te semble.
Alban et moi prendrons mon enfant pour les vacances, nous rêvons d’être père, afin de l’élever décemment, nous pensons que dès sa naissance nous te donnerons un chèque d’un million d’euros.
Je vois que tu aimes l’argent puisque tu as su monnayer le dépucelage de son fils par mon père, on va te laisser, Alban vient d’arriver et il nous faut trouver un hôtel.
• En gage de ma bonne foi, venez passer la nuit chez moi, je vous donnerais mon lit, je coucherais sur mon canapé.
C’est ce que nous faisons, dès que je suis allongée plus que couchée, j’entends leurs ébats, si nous les femmes nous sommes bruyantes, ils le sont tout autant.
Dans la nuit, je vais pour me retourner quand je manque de tomber de mon canapé.
J’entends la porte de ma chambre s’ouvrir et une ombre aller vers la cuisine, je suis nue et Alban près du frigo l’est aussi.
Mon dieu, j’ignore comment Lucas peut faire entrer dans son anus un tel morceau, j’aime que l’on me sodomise, mais il y a une limite à la souffrance, même au repos, je suis impressionné, pourtant depuis que j’ai perdu mon pucelage, je peux dire que j’en ai vu.
• Alban, je vois que tu es prêt à me tromper avec cette femme.
C’est Lucas qui s’est levé à son tour, j’allume.
• Une coupe de champagne, ça vous dirait !
Il est quatre heures du matin sur l’horloge du four quand nous nous attablons nus et que mon futur mari fait sauter le bouchon.
Le lendemain, je vais à mon travail voir Joseph.
• Père, je vais prendre mon après-midi, ton fils m’a demandé de l’épouser et nous allons acheter ma bague de fiançailles.
Ils sont là tous les deux, fidèles à leur rendez-vous, nous entrons dans une bijouterie de la place Vendôme, ce n’est pas de chance, celle que je choisis, car c’est la plus belle étant aussi la plus chère.
• J’ai trouvé un hôtel pour Alban, je sais que tu as un amant qui t’entretient, il serait mal venu, qu’il trouve deux PD chez lui.
• Lucas, tu sais que j’ai horreur que tu nous traites de pédérastes, nous sommes des homosexuelles, gay si tu veux.
• Dommage qu’il y ait du monde autour de nous, je te montrerais que PD, gay ou homo, du moment que nous vivons ensemble ces mots, sont du pareil au même.
Après cette passe d’armes me montrant que même entre hommes, la vie est loin d’être sans anicroche, ce qui n’est pas mon cas, car chaque fois qu’un homme est avec moi, c’est pour mes fesses qu’il est là et comme je suis loin d’être farouche pourquoi nous embrouillerait-on ?
Taxi et retour chez celle qui va être ma belle-mère.
• Maman, je te présente la femme de ma vie, je viens de lui offrir sa bague de fiançailles.
Je lui montre.
• Tu as de la chance Jessika, ta bague est nettement plus belle que la mienne, mais nous n’étions pas très riches quand j’ai connu Joseph.
Mon fils, tu as mis du temps avant de nous amener ta promise, mais cela valait le coup, tu as fait un très bon choix, ses parents viennent d’acquérir une grande notoriété.
• Maman, je dois repartir sur un chantier en Afrique, peux-tu t’occuper de mon mariage, quand tout sera près, tu me contacteras par Internet et je reviendrais en France avec un ami qui sera mon témoin de mariage.
Belle-maman tient à un contrat, mon témoin, ce sera Mariane à qui je téléphone et qui après m'avoir félicité accepte, même si c’est devenu une femme entretenue.
Une fois parti, à part pour l’essayage de ma robe avec une traine de 5 mètres, Paul veut que je vienne trois jours à Strasbourg, nous couchons à Obernai, c’est la première fois que je passe une nuit dans son lit.
Je dois le freiner dans ses ardeurs, car à son âge, l’infarctus le guette.
Au matin, son chauffeur l’emmène vers un rendez-vous ou ma présence n’est pas nécessaire.
Je vais chez grand-mère Louise qui me reçoit avec beaucoup de respect.
Nous déjeunons ensemble, je la remercie pour ses coupures de presse, mais qui, hélas, se sont terminées par une impasse.
• J’ignorais l’histoire des deux frères fâchés, dans ces familles le secret est de mise, j’ai beaucoup navigué dans ce milieu dans ma jeunesse ; je vais te faire une confidence que je n’ai jamais faite à personne.
C’est moi qui ai déniaisé Paul pendant un séjour, j’espère qu’il s’en souvient.
Cette information non capitale, même si elle est plaisante, je la range dans un coin de mon cerveau.
Quand il fait son retour et qu’il me prend sur la table à l’endroit précis où sa fille est devenue mon amie sexuelle, j’ai envie de rire, quand j’essaye d’imaginer cet homme d’âge mûr, sauter grand-mère Louise.
Le lendemain, tenue sage, il m’emmène visiter l’École nationale d’administration qui a été décentralisée là-bas.
J’ai le droit de parler aux élèves pendant leur pose, Paul a les fiches de chacun, même leurs tendances politiques sont indiquées.
Je repère la photo d’un jeune homme de mon âge qui semble avoir les mêmes orientations que Joseph, pas le moment de faire un imper, mon appartement est en jeu.
Je m’arrange pour le rencontrer.
• Bonjours jeune homme, qui êtes-vous ?
• Même si nos particules nous ont été retirées à la révolution, je suis le Comte Bernard de Gascogne, troisième du nom.
• J’ai vu votre fiche, sauf votre titre de comte qui n’est pas mentionné, vous avez le profil que je recherche, la circonscription où je vais me présenter est imperdable pour nous avec nos tendances politiques.
Ce sera un marchepied pour devenir vous-même député, j’ai de gros appuis à Paris pour commencer l’homme qui m’accompagne ainsi que Mère qui est très haute dans l’État français.
Je pense que vous le savez, ici on doit tout savoir avant les autres.
• Oui, et je vous donne mon accord.
J’ai son accord, avec sa particule, et ses résultats ici, je viens de trouver le géniteur idéal pour notre fils avec Lucas.
Exemple la semaine à Megève dès que je l'aurais vécue, espérant qu’elle aura été pleine d'imprévue, je vous la rapporterais.
Pour le moment, je suis dans le bureau de Joseph qui me fait une proposition que je vais devoir étudier, il voudrait que je déniaise son fils de vingt-sept ans.
• Je veux qu’en plus il t’épouse, il est absent de la capitale presque dix mois par an, tu pourras continuer ta vie actuelle pleine de plaisir comme tu l’entant.
• À part mon indépendance, qu’est-ce que j’ai à y gagner ?
• Un appartement de 5 pièces avec vue sur la tour Effel au dernier étage entièrement rénové.
• À mon nom bien sûr !
• Tu es dure en affaires, mais d’accord, ma femme ignore que nous le possédons, il est à mon propre nom, je n’ai pas à la mettre dans la confidence.
De plus, je voulais t’en parler dans les semaines prochaines, je vais te présenter à des amis pour que tu deviennes la représentante de la circonscription dont je suis l’élu. Mon suppléant va démissionner dans quelques mois si sa mauvaise santé persiste, j’en ferais de même pour la même raison, même si je suis en pleine forme, cela entrainera une élection partielle, tu te présenteras comme titulaire avec un suppléant qu’il nous reste à trouver, tu pourras nous aider si tu vois une personne digne de nous représenter.
Ma femme rêvant d’être grand-mère, il te faudra avoir un enfant avec notre fils dans les deux ans, tu vois, je ne te mets pas trop la pression.
• Je vais essayer, j’ignore si je vais lui plaire, avant de retourner vers tes invités, n’étant pas encore ta bru, une petite pipe te ferait plaisir mon gros loup, voit comme je te connais bien.
Il sort sa queue et quand nous revenons dans la grande salle de cet appartement de haut luxe, j’ai repris une tenue décente n’ayant pas oublié d’essuyer méticuleusement le coin de mes lèvres ou du sperme avait légèrement coulé.
• Passons à table, Jessika prend la place à côté de Lucas.
Le repas se passe comme dans le monde des personnes influentes de notre pays, pas un mot plus haut que l’autre, Lucas est charmant à un détail près, j’essaye de faire du pied à mon voisin qui s’échappe.
• Lucas, je viens de commander un taxi pour notre amie Jessika, veux-tu la raccompagner, la nuit est tombée et il serait plus sûr qu’elle ne rentre pas seule.
• Oui, père, j’allais lui proposer.
Nous quittons le 16e, arrivé sur les champs, il fait arrêter le taxi.
• Venez allons prendre un verre dans ce café, j’y ai mes habitudes quand je suis à Paris.
Nous entrons, il se dirige vers une table où un beau noir semble l’attendre, il se penche et l’embrasse comme un amant pas comme un simple copain.
• Je te présente Alban, mon amant, assieds-toi.
Jessika, tu es la seule sur la place de Paris à savoir que je suis gay, c’est pour cela que je vis à l’étranger la plupart du temps.
Mes parents ont des principes qui les tueraient s’ils savaient que je vis avec ce beau gosse.
Quand tu sortais de son bureau et qu’il m’a placé à ses côtés à table, je savais qu’il t’avait demandé de me séduire, pour lui je suis encore puceau, car il ne m’a jamais vu avec une femme, je me trompe.
• Non, tu as raison, si je comprends bien, il n’y a aucune chance que je réussisse à devenir ta femme, dommage avoir un appartement donnant sur la tour Effel, ça aurait été sympa.
• C’est ce qu’il t’avait promis !
• Oui, et sa circonscription voulant prendre sa retraite.
• Il faut qu’il ait du sentiment pour toi, je prends le pari que tu lui fais des fellations !
• Comment le sais-tu ?
• Après ma naissance, ma mère lui a refusé sa couche, dans ces temps-là, il n’y avait pas de contraception, elle a choisi celle qui était radicale, ne voulant pas la tromper, il a considéré que se faire sucer, lui permettait de respecter son engagement de mariage.
Parlons de choses sérieuses, demain tu diras à mon père que je suis monté boire un dernier verre, je t’aurais séduit et nous aurons fait l’amour, au matin je me serais agenouillé et je t’aurais demandé en mariage pour t’avoir fait subir mon sexe en toi.
• Tu vas m’épouser !
• Oui, nous en avons parlé avec Alban depuis longtemps, nous attendions le moment où il me ferait rencontrer une jolie femme pour la mettre dans la confidence, c’est toi qu’ils ont choisi.
• Tu vas me faire un enfant !
• Quelle horreur, nous ne consommerons pas notre nuit de noces, je la passerai avec Alban.
Il se penche et l’embrasse sur les lèvres une fraction de seconde.
• Je viendrai à Paris quand tu me diras avoir trouvé un gars qui t’aura fait cet enfant et que ta grossesse sera certaine, mes parents n’iront pas faire de test ADN, ils auront leur petit-fils ou fille et tout le monde sera content.
Peu de temps après nous divorcerons et tu pourras faire ta vie comme bon te semble.
Alban et moi prendrons mon enfant pour les vacances, nous rêvons d’être père, afin de l’élever décemment, nous pensons que dès sa naissance nous te donnerons un chèque d’un million d’euros.
Je vois que tu aimes l’argent puisque tu as su monnayer le dépucelage de son fils par mon père, on va te laisser, Alban vient d’arriver et il nous faut trouver un hôtel.
• En gage de ma bonne foi, venez passer la nuit chez moi, je vous donnerais mon lit, je coucherais sur mon canapé.
C’est ce que nous faisons, dès que je suis allongée plus que couchée, j’entends leurs ébats, si nous les femmes nous sommes bruyantes, ils le sont tout autant.
Dans la nuit, je vais pour me retourner quand je manque de tomber de mon canapé.
J’entends la porte de ma chambre s’ouvrir et une ombre aller vers la cuisine, je suis nue et Alban près du frigo l’est aussi.
Mon dieu, j’ignore comment Lucas peut faire entrer dans son anus un tel morceau, j’aime que l’on me sodomise, mais il y a une limite à la souffrance, même au repos, je suis impressionné, pourtant depuis que j’ai perdu mon pucelage, je peux dire que j’en ai vu.
• Alban, je vois que tu es prêt à me tromper avec cette femme.
C’est Lucas qui s’est levé à son tour, j’allume.
• Une coupe de champagne, ça vous dirait !
Il est quatre heures du matin sur l’horloge du four quand nous nous attablons nus et que mon futur mari fait sauter le bouchon.
Le lendemain, je vais à mon travail voir Joseph.
• Père, je vais prendre mon après-midi, ton fils m’a demandé de l’épouser et nous allons acheter ma bague de fiançailles.
Ils sont là tous les deux, fidèles à leur rendez-vous, nous entrons dans une bijouterie de la place Vendôme, ce n’est pas de chance, celle que je choisis, car c’est la plus belle étant aussi la plus chère.
• J’ai trouvé un hôtel pour Alban, je sais que tu as un amant qui t’entretient, il serait mal venu, qu’il trouve deux PD chez lui.
• Lucas, tu sais que j’ai horreur que tu nous traites de pédérastes, nous sommes des homosexuelles, gay si tu veux.
• Dommage qu’il y ait du monde autour de nous, je te montrerais que PD, gay ou homo, du moment que nous vivons ensemble ces mots, sont du pareil au même.
Après cette passe d’armes me montrant que même entre hommes, la vie est loin d’être sans anicroche, ce qui n’est pas mon cas, car chaque fois qu’un homme est avec moi, c’est pour mes fesses qu’il est là et comme je suis loin d’être farouche pourquoi nous embrouillerait-on ?
Taxi et retour chez celle qui va être ma belle-mère.
• Maman, je te présente la femme de ma vie, je viens de lui offrir sa bague de fiançailles.
Je lui montre.
• Tu as de la chance Jessika, ta bague est nettement plus belle que la mienne, mais nous n’étions pas très riches quand j’ai connu Joseph.
Mon fils, tu as mis du temps avant de nous amener ta promise, mais cela valait le coup, tu as fait un très bon choix, ses parents viennent d’acquérir une grande notoriété.
• Maman, je dois repartir sur un chantier en Afrique, peux-tu t’occuper de mon mariage, quand tout sera près, tu me contacteras par Internet et je reviendrais en France avec un ami qui sera mon témoin de mariage.
Belle-maman tient à un contrat, mon témoin, ce sera Mariane à qui je téléphone et qui après m'avoir félicité accepte, même si c’est devenu une femme entretenue.
Une fois parti, à part pour l’essayage de ma robe avec une traine de 5 mètres, Paul veut que je vienne trois jours à Strasbourg, nous couchons à Obernai, c’est la première fois que je passe une nuit dans son lit.
Je dois le freiner dans ses ardeurs, car à son âge, l’infarctus le guette.
Au matin, son chauffeur l’emmène vers un rendez-vous ou ma présence n’est pas nécessaire.
Je vais chez grand-mère Louise qui me reçoit avec beaucoup de respect.
Nous déjeunons ensemble, je la remercie pour ses coupures de presse, mais qui, hélas, se sont terminées par une impasse.
• J’ignorais l’histoire des deux frères fâchés, dans ces familles le secret est de mise, j’ai beaucoup navigué dans ce milieu dans ma jeunesse ; je vais te faire une confidence que je n’ai jamais faite à personne.
C’est moi qui ai déniaisé Paul pendant un séjour, j’espère qu’il s’en souvient.
Cette information non capitale, même si elle est plaisante, je la range dans un coin de mon cerveau.
Quand il fait son retour et qu’il me prend sur la table à l’endroit précis où sa fille est devenue mon amie sexuelle, j’ai envie de rire, quand j’essaye d’imaginer cet homme d’âge mûr, sauter grand-mère Louise.
Le lendemain, tenue sage, il m’emmène visiter l’École nationale d’administration qui a été décentralisée là-bas.
J’ai le droit de parler aux élèves pendant leur pose, Paul a les fiches de chacun, même leurs tendances politiques sont indiquées.
Je repère la photo d’un jeune homme de mon âge qui semble avoir les mêmes orientations que Joseph, pas le moment de faire un imper, mon appartement est en jeu.
Je m’arrange pour le rencontrer.
• Bonjours jeune homme, qui êtes-vous ?
• Même si nos particules nous ont été retirées à la révolution, je suis le Comte Bernard de Gascogne, troisième du nom.
• J’ai vu votre fiche, sauf votre titre de comte qui n’est pas mentionné, vous avez le profil que je recherche, la circonscription où je vais me présenter est imperdable pour nous avec nos tendances politiques.
Ce sera un marchepied pour devenir vous-même député, j’ai de gros appuis à Paris pour commencer l’homme qui m’accompagne ainsi que Mère qui est très haute dans l’État français.
Je pense que vous le savez, ici on doit tout savoir avant les autres.
• Oui, et je vous donne mon accord.
J’ai son accord, avec sa particule, et ses résultats ici, je viens de trouver le géniteur idéal pour notre fils avec Lucas.
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Les avis des lecteurs
J'ai eu du plaisir à l'écrire, j'ai du plaisir à savoir que vous avez aimé...
Sublime encore merci