Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (3/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (3/9)
Après avoir été séduite par Pierre un ami de père que j’ai rencontrer lors de mon premier repas d’adulte chez mes parents, j’ai grâce à lui franchi toutes les étapes faisant de moi une femme folle du cul.
J’ai tout accepté, sa bite bien sûre, ses cadeaux me transformant en courtisane et maintenant de le suivre dans ce club où je découvre la complicité qu’il y a entre mon amant et l’un des autres participant à mon premier repas, le vieux Joseph.
• Jessika, je vois que tu commence à comprendre que si je t’ai séduite en t’emmenant à l’opéra de la Bastille c’était pour arriver à un but que je pense avoir atteint.
Quand nous t’avons vu chez ton père, dès le lendemain nous nous sommes réunis, nous savions tous les deux que les projets que nous avons ne pouvaient se réaliser qu’avec dans notre manche une fille à l’esprit vif comme toi.
Nous avons quelques fois des choses à faire, la présence d’une jeune fille n’ayant pas froids aux yeux, afin d’atteindre le but qui est le notre, nous a semblé nécessaire, en restant, tu nous confirme que cette fille c’est toi.
Ta blondeur est le garant de ta candeur, même si nous savons que derrière ce visage d’ange se cache une fieffée salope, ce soir nous sommes là pour parfaire ton éducation, nous avons quelquefois à mettre dans notre manche des femmes, tu dois être capable de leur faire l’amour comme tu le fais si bien avec moi.
Comme viens de te le dire Joseph, tu semble plaire à cette belle brune au paréo rouge qui est arrivée avec celle qui en a un vert, nous qui avons l’habitude, nous pouvons t’assurer qu’elle est une bonne lesbienne, lève-toi et rejoint là.
Je comprends que si j’ai pu avoir Pierre comme premier amant, c’était pour un but, que je vais certainement découvrir dans les jours prochains, faire l’amour avec une femme, depuis ma naissance seule le sein de ma préceptrice a été un moment ma passion.
Passion pour vivre, mère étant incapable d’accepter que son corps soit déformé en m’élevant avec ses seins, ceux de la femme qui me lance des regards de plus en plus prononcés, va me permettre de parfaire mon éducation sexuelle.
Pierre embrase mon corps, une femme le pourra-t-elle aussi, quand je me lève pour la rejoindre, elle se lève aussi, face à face, nos corps se touche pour la première fois, ses seins sont sur mes seins, sa bouche prenant la mienne dans un même mouvement.
Elle me libère, me prend la main et m’entraîne dans une cage en verre légèrement fumées ou des coussins épais, semble nous attendre, quand je dis cage c’est qu’il nous faut ramper, car outre la porte, le reste n’est que vitre.
Nous avons réussi à nous glisser, la femme, alors que je ne connais même pas son nom, la femme donc commence à reprendre ma bouche et attaquer mes seins, Attaquer, est un grand mot, Pierre attaque mes seins chaque fois qu’il me fait l’amour depuis mon dépucelage, là, c’est plus une caresse qui les effleures comme si Femme, c’est comme cela que je la nommerais, veux les effleurer du bout de ses doigts.
J’aime la rudesse de mon amant, sous ses coups de sexe, j’ai appris qui était dominant dans notre couple, pour preuve, j’ai accepté de venir m’encanailler dans ce club libertin sans ruer dans les brancards.
Si j’ai bien compris les allusions de Joseph, je suis sous le joug de plusieurs hommes qui veulent se servir de moi dans leurs intérêts.
Je vois des choses bouger sur ma droite, des ombres semblent nous observer, je tourne ma tête idem, mais pourquoi avoir fait une cage en verre si basse de plafond, relevant la tête, car j’ai là aussi l’impression d’être observé.
La lumière entre par cette glace, le verre est transparent et le couple qui baisait au fond de la salle nous regarde, la main de Femme vient sur ma chatte l’un de ses doigts caresse avec la même douceur mon clitoris.
Je dois mouiller les coussins, alors je place moi aussi mon doigt sur son clito, il est deux fois plus développé que le mien, mais aussi mouiller.
Sans se taper la tête, elle se retourne et viens poser sa bouche à la place de son doigt.
Pour la première fois de ma courte vie amoureuse, j’éclate rapidement sous sa langue qui m’a pénétré comme le fait la bite de mon amant.
Mes yeux dépassent de son entrejambe, au dessus de nous, le couple c’est coucher sur la vitre, c’est à ce moment que je m’aperçois que cette cage a double emploie, plusieurs voyeurs de droite et de gauche, nous regarde baiser et au-dessus, c’est moi qui m’échauffe quand dans la position du missionnaire, je vois la verge pénétrer le vagin de la brune, épilée, mais ayant gardé un triangle de poils.
J’ai envie de relever ma tête, mais l’exiguïté de l’endroit fond que je suis frustrée de notre isolement, mon corps une nouvelle fois m’échappe ainsi que celui de Femme et nous jouissons toutes les deux.
À l’étage supérieure, les choses avancent aussi, un bruit sourd à travers le verre me fait parvenir les cris de jouissance qu’elle émet, son corps se tend et l’homme qui doit lui aussi être près à décharger, car il pilonne sa femelle et au moment d’éjaculer sort et envoie son sperme comme s’il me l’offrait, c’est drôle, je quitte la chatte qui vient de jouir pour ouvrir ma bouche, comme pour recevoir cette semence.
Femme sort, j’arrive à en faire de même.
• Bien Jessika, bien venue dans le monde des lesbiennes, c’était bon de sucer cette chatte ?
• Si, mais j’ai beaucoup aimé la vision de ce couple au dessus de nous, j’étais frustré de ne pas arriver à boire le sperme que l’homme à éjaculer sur la vitre.
Je me rassois entre Joseph et Pierre, j’ai compris que mon amant cherche à me partager, je veux lui faire voir ma docilité, je me penche sur la bite de Joseph que j’avale facilement, il est très peu pourvu.
• Merci fillette, je vois que nous allons faire de grande choses ensembles.
Il éjacule et j’avale son sperme, Pierre ayant mis ses doigts dans ma chatte, mais j’ai ma dose pour ce soir.
Nous retournons nous habiller et avant que nous ne quittions Joseph, sans que Pierre semble s’offusquer, m’interpelle.
• Prend ce papier, demain matin, je t’attendrais dans ce restaurant, j’aurais une proposition à te faire, dors bien.
Le lendemain après avoir peu dormi, Pierre m’avouant, qui n’avait été que voyeur derrière la vitre fumée, veut se vider les couilles dans la chienne que de fille de… je suis devenue.
Quand j’arrive au restaurant, je demande monsieur Joseph, on me fait monter à l’étage et entrer dans un salon particulier, il est là assis à une table, revêtu d’un simple peignoir, négligemment fermé.
Il me fait un baisemain, une chaise est placée à côté de la sienne alors qu’elle aurait pu être en face.
Comme l’initiative dans la boîte échangiste, je veux que monsieur Joseph continu à vouloir me faire confiance, je suppute que j’ai bien des choses à glaner, déjà ma liberté familiale l’est, je veux aussi échapper à la bague au doigt.
Je me fiche que le nom de ma famille soit perpétré, mais étant fille unique, il peut disparaître.
Certes, le nom de mon mari et le notre peuvent s’accoler, mais mon plaisir passe avant toutes ces considérations, je vais vers le canapé, j’enlève mes vêtements, monsieur Joseph c’est assis, je m’agenouille et une nouvelle fois, je lui fais une fellation.
Comme j’aime et que je prends l’habitude de le faire, j’avale son sperme comme une femelle soumise que je suis devenue.
• Merci Jessika pour t’occuper de mon bien être, installe-toi à mes côtés, j’espère que tu vas rejoindre notre projet, même si tu dois ignorer sa finalité, sache que ta famille prendra plus de place dans notre pays et ton père recevra le rang qu’il devrait déjà avoir.
Dans Paris on dira, Jessika, à oui, la fille des…
J’ai envie de lui dire que je me contrefiche d’être la fille de… ce qui m’importe c’est être moi-même, Pierre mon amant m’a et va m’ouvrir au plaisir du sexe et mon corps en chaleur ne fait qu’a y aspirer de plus en plus.
• Toujours si tu le désir, à partir de maintenant tu deviens mon assistante parlementaire, à ce titre, tu recevras 5 000 € par mois sur l’enveloppe qui m’est octroyée, attention, tu vas entrer dans un monde de requin, grâce à ton joli cul, nul doute que tu surnageras devant les vieux squales.
Méfis-toi des autres assistants, garçons où filles, la plupart de ces jeunes voudraient rapidement être calife à la place du calife, ils sont capables des plus grandes bassesses pour arrivée à la tête de la meute le plus rapidement possible.
À toi de savoir te servir d’eux, mais je sais que tu es à la hauteur de ces chacals, tu as le sang de ta mère en toi, je n’en dirais pas de même pour le sang de ton père, dans leur jeunesse, elle faisait partie des requins blancs et a permis à ton père d’avoir son rang dans son ministère.
• Monsieur Joseph, vous avez l’air de me faire comprendre que par son cul, mère à promus la carrière de père et que je serais le fruit de ses adultères.
• Acceptes-tu le poste, tu as dû entendre que la chasse est faite aux faux assistants, tu devras venir badger, traîner dans les couloirs, envoyer de E-mails aux maximums des gens qui vivent dans cette institution, car si un doute se fait jour et qu’une enquête a lieu, tu dois être irréprochable.
Mangeons.
Nous dégustons le succulent repas que le maître d’hôtel nous sert.
• Jessika, disparaît, mais avant où en es-tu de ton permis, tu vas en avoir besoin, entre parenthèse aimes-tu la voiture que nous t’avons offerte pour Noël avec Pierre.
• J’ai hâte de la conduire, j’ai des leçons toute la semaine.
• Bien, lis bien ton code, nous nous retrouvons la semaine prochaine à la même heure ici, dans ce salon, je te confierais ta première mission.
• Monsieur Joseph, voulez-vous que je vous fasse une autre fellation et que vous me preniez avant de vous quitter.
• Merci Jessika, mais je ne suis pas de la prime jeunesse et celle que tu m’as faite en arrivant m’a largement comblée, jusqu’à notre prochaine rencontre.
Pense seulement cette semaine à venir que je te présente à différents collègues, je te montrerais mon bureau.
Tout s’est bien passée, je prends mes marques, j’ai déjà fait amis avec deux ou trois collègues de monsieur Joseph et de Pierre, je m’attache à ce qu’ils soient vieux au sein de cette instance, peut être que l’un d’eux a connu mère et pourrait me renseigner sur ses amants dans ces années là.
• Jessika, je vois que tu es ponctuelle, encore un bon point.
Je m’agenouille et comme monsieur Joseph semble être chez lui ici, je lui refais une fellation.
• Assez jouée, parlons de choses sérieuses, voilà ton permis de conduire, tu as été reçu à l’examen du code, il y a quinze jours et ton permis vendredi, voici les clefs, ta voiture t’attend dans la cour près des bureaux, il y a ton pass pour entrer ou sortir à l’intérieur.
• Mais je n’ai jamais passé, ni l’un ni l’autre.
• Amnésique à ton âge, Jessika, as quoi crois-tu, que le pouvoir sert.
Grâce à ta voiture, tu vas pouvoir te rendre dans un village près de Strasbourg, sur ce papier, tu trouveras l’adresse d’une maison tenue par une vieille dame, c’est ta grand-mère, tu seras venue passer quelques jours pendant tes congés.
Voici 10 000 € pour tes frais, seul le résultat compte.
• Comment, c’est impossible, ma grand-mère maternelle habite au pays basque et ma grand-mère paternelle est morte avant guerre.
À oui, excusez, bien sûr ma grand-mère habite près de Strasbourg…
J’ai tout accepté, sa bite bien sûre, ses cadeaux me transformant en courtisane et maintenant de le suivre dans ce club où je découvre la complicité qu’il y a entre mon amant et l’un des autres participant à mon premier repas, le vieux Joseph.
• Jessika, je vois que tu commence à comprendre que si je t’ai séduite en t’emmenant à l’opéra de la Bastille c’était pour arriver à un but que je pense avoir atteint.
Quand nous t’avons vu chez ton père, dès le lendemain nous nous sommes réunis, nous savions tous les deux que les projets que nous avons ne pouvaient se réaliser qu’avec dans notre manche une fille à l’esprit vif comme toi.
Nous avons quelques fois des choses à faire, la présence d’une jeune fille n’ayant pas froids aux yeux, afin d’atteindre le but qui est le notre, nous a semblé nécessaire, en restant, tu nous confirme que cette fille c’est toi.
Ta blondeur est le garant de ta candeur, même si nous savons que derrière ce visage d’ange se cache une fieffée salope, ce soir nous sommes là pour parfaire ton éducation, nous avons quelquefois à mettre dans notre manche des femmes, tu dois être capable de leur faire l’amour comme tu le fais si bien avec moi.
Comme viens de te le dire Joseph, tu semble plaire à cette belle brune au paréo rouge qui est arrivée avec celle qui en a un vert, nous qui avons l’habitude, nous pouvons t’assurer qu’elle est une bonne lesbienne, lève-toi et rejoint là.
Je comprends que si j’ai pu avoir Pierre comme premier amant, c’était pour un but, que je vais certainement découvrir dans les jours prochains, faire l’amour avec une femme, depuis ma naissance seule le sein de ma préceptrice a été un moment ma passion.
Passion pour vivre, mère étant incapable d’accepter que son corps soit déformé en m’élevant avec ses seins, ceux de la femme qui me lance des regards de plus en plus prononcés, va me permettre de parfaire mon éducation sexuelle.
Pierre embrase mon corps, une femme le pourra-t-elle aussi, quand je me lève pour la rejoindre, elle se lève aussi, face à face, nos corps se touche pour la première fois, ses seins sont sur mes seins, sa bouche prenant la mienne dans un même mouvement.
Elle me libère, me prend la main et m’entraîne dans une cage en verre légèrement fumées ou des coussins épais, semble nous attendre, quand je dis cage c’est qu’il nous faut ramper, car outre la porte, le reste n’est que vitre.
Nous avons réussi à nous glisser, la femme, alors que je ne connais même pas son nom, la femme donc commence à reprendre ma bouche et attaquer mes seins, Attaquer, est un grand mot, Pierre attaque mes seins chaque fois qu’il me fait l’amour depuis mon dépucelage, là, c’est plus une caresse qui les effleures comme si Femme, c’est comme cela que je la nommerais, veux les effleurer du bout de ses doigts.
J’aime la rudesse de mon amant, sous ses coups de sexe, j’ai appris qui était dominant dans notre couple, pour preuve, j’ai accepté de venir m’encanailler dans ce club libertin sans ruer dans les brancards.
Si j’ai bien compris les allusions de Joseph, je suis sous le joug de plusieurs hommes qui veulent se servir de moi dans leurs intérêts.
Je vois des choses bouger sur ma droite, des ombres semblent nous observer, je tourne ma tête idem, mais pourquoi avoir fait une cage en verre si basse de plafond, relevant la tête, car j’ai là aussi l’impression d’être observé.
La lumière entre par cette glace, le verre est transparent et le couple qui baisait au fond de la salle nous regarde, la main de Femme vient sur ma chatte l’un de ses doigts caresse avec la même douceur mon clitoris.
Je dois mouiller les coussins, alors je place moi aussi mon doigt sur son clito, il est deux fois plus développé que le mien, mais aussi mouiller.
Sans se taper la tête, elle se retourne et viens poser sa bouche à la place de son doigt.
Pour la première fois de ma courte vie amoureuse, j’éclate rapidement sous sa langue qui m’a pénétré comme le fait la bite de mon amant.
Mes yeux dépassent de son entrejambe, au dessus de nous, le couple c’est coucher sur la vitre, c’est à ce moment que je m’aperçois que cette cage a double emploie, plusieurs voyeurs de droite et de gauche, nous regarde baiser et au-dessus, c’est moi qui m’échauffe quand dans la position du missionnaire, je vois la verge pénétrer le vagin de la brune, épilée, mais ayant gardé un triangle de poils.
J’ai envie de relever ma tête, mais l’exiguïté de l’endroit fond que je suis frustrée de notre isolement, mon corps une nouvelle fois m’échappe ainsi que celui de Femme et nous jouissons toutes les deux.
À l’étage supérieure, les choses avancent aussi, un bruit sourd à travers le verre me fait parvenir les cris de jouissance qu’elle émet, son corps se tend et l’homme qui doit lui aussi être près à décharger, car il pilonne sa femelle et au moment d’éjaculer sort et envoie son sperme comme s’il me l’offrait, c’est drôle, je quitte la chatte qui vient de jouir pour ouvrir ma bouche, comme pour recevoir cette semence.
Femme sort, j’arrive à en faire de même.
• Bien Jessika, bien venue dans le monde des lesbiennes, c’était bon de sucer cette chatte ?
• Si, mais j’ai beaucoup aimé la vision de ce couple au dessus de nous, j’étais frustré de ne pas arriver à boire le sperme que l’homme à éjaculer sur la vitre.
Je me rassois entre Joseph et Pierre, j’ai compris que mon amant cherche à me partager, je veux lui faire voir ma docilité, je me penche sur la bite de Joseph que j’avale facilement, il est très peu pourvu.
• Merci fillette, je vois que nous allons faire de grande choses ensembles.
Il éjacule et j’avale son sperme, Pierre ayant mis ses doigts dans ma chatte, mais j’ai ma dose pour ce soir.
Nous retournons nous habiller et avant que nous ne quittions Joseph, sans que Pierre semble s’offusquer, m’interpelle.
• Prend ce papier, demain matin, je t’attendrais dans ce restaurant, j’aurais une proposition à te faire, dors bien.
Le lendemain après avoir peu dormi, Pierre m’avouant, qui n’avait été que voyeur derrière la vitre fumée, veut se vider les couilles dans la chienne que de fille de… je suis devenue.
Quand j’arrive au restaurant, je demande monsieur Joseph, on me fait monter à l’étage et entrer dans un salon particulier, il est là assis à une table, revêtu d’un simple peignoir, négligemment fermé.
Il me fait un baisemain, une chaise est placée à côté de la sienne alors qu’elle aurait pu être en face.
Comme l’initiative dans la boîte échangiste, je veux que monsieur Joseph continu à vouloir me faire confiance, je suppute que j’ai bien des choses à glaner, déjà ma liberté familiale l’est, je veux aussi échapper à la bague au doigt.
Je me fiche que le nom de ma famille soit perpétré, mais étant fille unique, il peut disparaître.
Certes, le nom de mon mari et le notre peuvent s’accoler, mais mon plaisir passe avant toutes ces considérations, je vais vers le canapé, j’enlève mes vêtements, monsieur Joseph c’est assis, je m’agenouille et une nouvelle fois, je lui fais une fellation.
Comme j’aime et que je prends l’habitude de le faire, j’avale son sperme comme une femelle soumise que je suis devenue.
• Merci Jessika pour t’occuper de mon bien être, installe-toi à mes côtés, j’espère que tu vas rejoindre notre projet, même si tu dois ignorer sa finalité, sache que ta famille prendra plus de place dans notre pays et ton père recevra le rang qu’il devrait déjà avoir.
Dans Paris on dira, Jessika, à oui, la fille des…
J’ai envie de lui dire que je me contrefiche d’être la fille de… ce qui m’importe c’est être moi-même, Pierre mon amant m’a et va m’ouvrir au plaisir du sexe et mon corps en chaleur ne fait qu’a y aspirer de plus en plus.
• Toujours si tu le désir, à partir de maintenant tu deviens mon assistante parlementaire, à ce titre, tu recevras 5 000 € par mois sur l’enveloppe qui m’est octroyée, attention, tu vas entrer dans un monde de requin, grâce à ton joli cul, nul doute que tu surnageras devant les vieux squales.
Méfis-toi des autres assistants, garçons où filles, la plupart de ces jeunes voudraient rapidement être calife à la place du calife, ils sont capables des plus grandes bassesses pour arrivée à la tête de la meute le plus rapidement possible.
À toi de savoir te servir d’eux, mais je sais que tu es à la hauteur de ces chacals, tu as le sang de ta mère en toi, je n’en dirais pas de même pour le sang de ton père, dans leur jeunesse, elle faisait partie des requins blancs et a permis à ton père d’avoir son rang dans son ministère.
• Monsieur Joseph, vous avez l’air de me faire comprendre que par son cul, mère à promus la carrière de père et que je serais le fruit de ses adultères.
• Acceptes-tu le poste, tu as dû entendre que la chasse est faite aux faux assistants, tu devras venir badger, traîner dans les couloirs, envoyer de E-mails aux maximums des gens qui vivent dans cette institution, car si un doute se fait jour et qu’une enquête a lieu, tu dois être irréprochable.
Mangeons.
Nous dégustons le succulent repas que le maître d’hôtel nous sert.
• Jessika, disparaît, mais avant où en es-tu de ton permis, tu vas en avoir besoin, entre parenthèse aimes-tu la voiture que nous t’avons offerte pour Noël avec Pierre.
• J’ai hâte de la conduire, j’ai des leçons toute la semaine.
• Bien, lis bien ton code, nous nous retrouvons la semaine prochaine à la même heure ici, dans ce salon, je te confierais ta première mission.
• Monsieur Joseph, voulez-vous que je vous fasse une autre fellation et que vous me preniez avant de vous quitter.
• Merci Jessika, mais je ne suis pas de la prime jeunesse et celle que tu m’as faite en arrivant m’a largement comblée, jusqu’à notre prochaine rencontre.
Pense seulement cette semaine à venir que je te présente à différents collègues, je te montrerais mon bureau.
Tout s’est bien passée, je prends mes marques, j’ai déjà fait amis avec deux ou trois collègues de monsieur Joseph et de Pierre, je m’attache à ce qu’ils soient vieux au sein de cette instance, peut être que l’un d’eux a connu mère et pourrait me renseigner sur ses amants dans ces années là.
• Jessika, je vois que tu es ponctuelle, encore un bon point.
Je m’agenouille et comme monsieur Joseph semble être chez lui ici, je lui refais une fellation.
• Assez jouée, parlons de choses sérieuses, voilà ton permis de conduire, tu as été reçu à l’examen du code, il y a quinze jours et ton permis vendredi, voici les clefs, ta voiture t’attend dans la cour près des bureaux, il y a ton pass pour entrer ou sortir à l’intérieur.
• Mais je n’ai jamais passé, ni l’un ni l’autre.
• Amnésique à ton âge, Jessika, as quoi crois-tu, que le pouvoir sert.
Grâce à ta voiture, tu vas pouvoir te rendre dans un village près de Strasbourg, sur ce papier, tu trouveras l’adresse d’une maison tenue par une vieille dame, c’est ta grand-mère, tu seras venue passer quelques jours pendant tes congés.
Voici 10 000 € pour tes frais, seul le résultat compte.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Lasemelle
Nov. 22, 2017. Que c'est grand et super bandant. Ce sont les commentaires de John La Semelle qui a bandé tout au long du récit.
Toujours merci pour les quatre cœurs...