Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (4/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (4/10)
Je viens de franchir une nouvelle étape dans le rôle que compte me faire jouer monsieur Joseph et Pierre mon amant.
Je viens de charger ma valise dans le coffre de ma voiture, cette belle Mercedes classe A, offert pour Noël par mon amant, non, mes amants, j’ai de plus en plus d’assurance derrière ce volant, je suis partie de bonne heure afin d’éviter la circulation.
Avec cinq heures de conduite en auto-école, mon permis tout neuf et que monsieur Joseph m’a certifié être tout à fait valide peut s’avérer incomplet si j’ai une situation d’urgence à traiter.
Je roule vers Strasbourg, plus exactement Obernai où ma grand-mère Louise m’attend.
Grand-mère, c’est un grand mot, j’ignore à qui j’ai affaire, la seule chose que je sais, c’est qu’elle doit avoir un lien avec monsieur Joseph.
Prenant mon temps, j’arrive à douze heures dans ce village typique d’Alsace, afin d’éviter de déranger cette grand-mère pendant son repas et sa sieste, il faut savoir préserver les personnes âgées.
Au bas d’une petite rue, je trouve un resto qui travaille du foie gras alsacien, contrairement à ce que l’on pense, il n’y a pas que dans le Gers que l’on fabrique ce bon produit et aussi du baeckeoffe plat de trois viandes, porc, bœuf et mouton avec légumes et pomme de terre.
Un régal, aucun dessert, un café, même si la serveuse, à qui je semble plaire, n’insiste pour que je goûte une pâtisserie locale, un café, l’addition et je retrouve ma titine.
GPS et je me gare dans le vieux quartier devant une maison typiquement alsacienne.
• Bonjour grand-mère Louise heureuse de te revoir.
• Pierre m’avait dit que tu étais jolie, il était au-dessous de la vérité, entre, on sera lieux à l’intérieur.
Qui est cette femme, grande et élégante avec ses cheveux blancs, elle a dû être magnifique quand elle était jeune ?
• Bien, j’ai donné le change avec mes voisins, Pierre m’a dit que ce serait utile pour toi.
• Je peux vous demander qui êtes-vous pour Pierre ?
• Un jeune homme que j’ai connu quand il débutait dans la politique et que j’ai dépucelée, je pense qu’il t’a dit que je m’appelle Louise et toi.
• Je m’appelle Jessika et je suis la fille de…
• Je connais tes parents, on a travaillé ensemble sur des programmes régionaux après que j’ai épousé le maire de notre commune, nous faisions des réunions publiques, ta mère savait y faire pour emporter des contrats.
• Mère avait-elle la cuisse légère ?
• Non, elle savait baiser quand la nécessité s’en faisait jour, mais je t’en dis trop, on ne se connaît pas assez bien.
• Je viens de découvrir des choses troublantes, j’aimerais en savoir plus, père est-il bien mon père ?
• Je vois que l’on a beaucoup parlé, certainement trop parlé, j’espère que ces propos n’arriveront pas aux oreilles de ta mère, elle a toujours voulu garder le secret, la seule chose que je sais, c’est qu’elle a vécu une grande passion pendant un temps court où elle était en mission avec un groupe d’élus.
• A quelle époque ?
• Environ vingt ans, tient c’est vrai, tu as sensiblement le même âge, si tu penses qu’elle a eu un enfant à la suite de cette aventure, je peux difficilement t’en dire plus, nous avons chacune vécu notre vie et nous ne sommes jamais revues.
Mes doutes sur ma naissance se font de plus en plus précis, mère aurait fauté et j’en serais le fruit, alors qui est mon père.
En attendant je m’installe, car la mission confiée par monsieur Joseph est tout autre et il espère que je la réussisse le plus tôt possible.
Par la fenêtre de ma chambre, j’ai vu sur la maison d’en face, dans ces rues de ces villages, certainement construits aux temps médiévaux, les rues sont étroites, mais j’ai la vue sur des volets clos.
La maison qui m’intéresse est carrément à ma droite, deux maisons plus loin, difficile de voir ce qui s’y passe, voire impossible.
Dans la nuit la neige tombe, rendant l’usage de ma voiture impossible, surtout avec si peu de cours d’auto-école, même si j’ai réussi à faire plus de 500 kilomètres sur l’autoroute.
Les renseignements, qui m’ont été donnés, m’ouvrent une chance de réussir à prendre contact avec ma proie dimanche prochain.
Pendant deux jours, je reste collée à ma vitre pour voir si la chance est avec moi et que la demoiselle que je dois arriver à piéger sans qu’elle se doute qu’elle est ma proie sorte.
Ce ne sera pas le cas et c’est le dimanche que l’occasion m’est donnée, le renseignement était béton, je suis sur les bancs de l’église au dernier rang quand elle arrive, par chance seule.
Elle s’installe au troisième rang, s’agenouille sur son prie-Dieu et les mains jointes, commence à prier.
Pour vivre vieux, il est dit d’éviter de prendre des risques, comme là où j’étais placé quand cette jolie petite brune est entrée, il lui était impossible de me voir, profitant de ce que personne ne me remarque, je m’approche et je me place à ses côtés.
Bzz bzz faisaient les abeilles dans une chanson de Bourvil, j’en fais de même, car père et mère ont oublié de me donner une éducation religieuse, étant le produit le plus marquant de mai 68.
Il faut bien donner le change à ma voisine qui de temps en temps à un regard vers moi.
Coup de chance, à l’entrée, j’avais pris un livre où les prières sont écrites et je suis plus crédible par la suite.
Cas de conscience, elle va communier, je n’avais pas pensé à cela, j’hésite peu et je la suis récupéré un morceau de plastique que le curé met sur ma langue.
Plastique qui finit par fondre dès que je suis revenue à ma place.
Bzz bzz de nouveau, car je l’entant clairement, même si elle parle discrètement demander pardon pour tous les pêchers de la terre.
La messe se termine, je ne trouve pas le créneau pour l’aborder jusqu’à ce qu’elle s’apprête à rentrer dans la maison voisine que je surveillais.
• Mademoiselle, excusez-moi de vous déranger, j’étais à côté de vous à la messe, il y a quelques instants, il se trouve que par le plus grand des hasards, je suis en vacances chez ma grand-mère à quelques maisons de la vôtre, regardez les volets bleus et je vois que nous sommes voisines.
• Pour ma part, je suis dans l’ancienne maison de ma grand-mère moi aussi, mes parents qui habitent à Paris en ont hérité.
• Je suis en convalescence après qu’une voiture a failli me renverser en Allemagne à Berlin où j’habite provisoirement dans le cadre des rapprochements Erasmus, j’ai eu trois côtes cassées.
• J’espère que le conducteur de la voiture aura un retrait de permis.
• Non, il a fui et les plaques qu’un témoin a pu relever se sont avérées fausses, la police cherche à comprendre.
Je savais cette histoire, n’allez pas croire que l’un de mes commanditaires a renversé la jeune femme, pendant le repas où il m’a confié ma mission monsieur Joseph m’a expliqué qu’ils se sont adaptés à la situation quand ils ont su l’accident et que Mariane venait à Obernai pour sa convalescence.
Par chance, ils savaient que son père avait cette maison de famille et ils ont pu trouver une grand-mère voisine ayant connu mes parents.
Je pense que tout ceci a des corrélations, mais en l’état de mon récit, je suis incapable de relier les éléments en ma possession.
• Tu es donc en vacances forcées alors que moi je suis en congé, je m’appelle Jessika.
• Moi, c’est Mariane, je sais ça fait statut de mairie, mais que veux-tu mon père et chef de partie à l’assemblée, bref, il représente le peuple, inutile de dire à quelle tendance il appartient, pour me choisir un tel nom.
Un élément nouveau pour vous, je savais que Mariane était une fille de… comme moi.
Je me garde bien de lui dire que je travaille là-bas aussi, je dois me concentrer sur ma mission.
• Entre, tu vas me rendre service, de ne plus être seule en hiver dans ce village, ce n’est pas drôle, c’est même mortel, toi au moins tu as ta grand-mère.
Je vois le désarroi et l’ennui de Mariane, contrairement à elle, j’adore ce prénom, Jessika c’est impersonnel.
Elle enlève son manteau et m’apparaît dans une tenue loin d’être jeune comme moi, on dirait une jeune fille des années 50, mais ça j’en avais eu des éléments dans la préparation de mon voyage.
Je sais quand même qu’elle est vierge son père frisant certains milieux qui défendent la famille et il verrait mal sa fille ne pas se marier pure, à y regarder, la rebelle que je suis devenue, même si père et mère sont loin de ces milieux, cette jeune fille a sensiblement le même parcours que le mien.
• Peux-tu me serrer ma bande, j’ai du mal toute seule alors que le toubib m’a demandé de la serrer le plus fortement possible.
La chance des débutantes, j’espérais arriver à la dénuder le contact pris, c’est elle qui ouvre sa robe, m’apparaissant en petite culotte, ses beaux seins qui de suite me font envie, nus et relevés par la bande, qu’elle a en dessous lui bloquant ses côtes.
• Je me suis bien remise de mon accident, il va falloir penser à retourner à Berlin, je veux éviter de prendre trop de retard dans mes études.
Je suis pressée après ce qu’elle m’apprend, je pensais avoir plus de temps pour entreprendre et réussir ce que monsieur Joseph m’a demandé.
• Tu as de jolis seins, je pense que les garçons allemands doivent les adorer !
• Détrompe-toi, je suis vierge, si mon père, qui m’a élevé seul, savait que j’ai été dépucelé, il me renierait.
• Ce n’est pas grave, regarde-moi, mes parents aussi son rigoriste, mais j’ai coupé les ponts, j’ai un amant qui m’entretient, comment crois-tu que je puisse prendre huit jours de vacances chez ma grand-mère.
• Tu as un homme bien plus vieux que toi qui t’entretient, tu es une pute, je serais incapable de coucher pour de l’argent.
• Tu fermes les yeux quand il te baise et ton cerveau ignore ce que ton sexe fait, regarde pour nous.
Je joins le geste à la parole, dans cinq minutes, j’aurais réussi ma mission ou je rentrerais à Paris après avoir embrassé ma grand-mère et avouer mon échec à monsieur Joseph.
J’avance la main, je détache la bande et dès qu’elle tombe au sol, je lui caresse le sein.
• Oh ! Jessika, c’est mal, tu viens de communier
• Qui le saura, si tu ne dis rien, crois-tu que je dise à mes parents et au curé,quand mon cerveau oublie et je ne me confesse pas, quand je me fais baiser par mon homme marié !
Ce qui m’importe, c’est mon indépendance.
Elle semble subjugée, je sens l’avantage et les envies de la jeune femme, j’avance ma bouche et je suce le sein à ma portée.
Elle réagit en posant sa main sur ma tête, je comprends pourquoi la soirée en boîte échangiste avec la demande de monsieur Joseph d’apprendre les amours saphiques, je dois être son initiatrice…
Je viens de charger ma valise dans le coffre de ma voiture, cette belle Mercedes classe A, offert pour Noël par mon amant, non, mes amants, j’ai de plus en plus d’assurance derrière ce volant, je suis partie de bonne heure afin d’éviter la circulation.
Avec cinq heures de conduite en auto-école, mon permis tout neuf et que monsieur Joseph m’a certifié être tout à fait valide peut s’avérer incomplet si j’ai une situation d’urgence à traiter.
Je roule vers Strasbourg, plus exactement Obernai où ma grand-mère Louise m’attend.
Grand-mère, c’est un grand mot, j’ignore à qui j’ai affaire, la seule chose que je sais, c’est qu’elle doit avoir un lien avec monsieur Joseph.
Prenant mon temps, j’arrive à douze heures dans ce village typique d’Alsace, afin d’éviter de déranger cette grand-mère pendant son repas et sa sieste, il faut savoir préserver les personnes âgées.
Au bas d’une petite rue, je trouve un resto qui travaille du foie gras alsacien, contrairement à ce que l’on pense, il n’y a pas que dans le Gers que l’on fabrique ce bon produit et aussi du baeckeoffe plat de trois viandes, porc, bœuf et mouton avec légumes et pomme de terre.
Un régal, aucun dessert, un café, même si la serveuse, à qui je semble plaire, n’insiste pour que je goûte une pâtisserie locale, un café, l’addition et je retrouve ma titine.
GPS et je me gare dans le vieux quartier devant une maison typiquement alsacienne.
• Bonjour grand-mère Louise heureuse de te revoir.
• Pierre m’avait dit que tu étais jolie, il était au-dessous de la vérité, entre, on sera lieux à l’intérieur.
Qui est cette femme, grande et élégante avec ses cheveux blancs, elle a dû être magnifique quand elle était jeune ?
• Bien, j’ai donné le change avec mes voisins, Pierre m’a dit que ce serait utile pour toi.
• Je peux vous demander qui êtes-vous pour Pierre ?
• Un jeune homme que j’ai connu quand il débutait dans la politique et que j’ai dépucelée, je pense qu’il t’a dit que je m’appelle Louise et toi.
• Je m’appelle Jessika et je suis la fille de…
• Je connais tes parents, on a travaillé ensemble sur des programmes régionaux après que j’ai épousé le maire de notre commune, nous faisions des réunions publiques, ta mère savait y faire pour emporter des contrats.
• Mère avait-elle la cuisse légère ?
• Non, elle savait baiser quand la nécessité s’en faisait jour, mais je t’en dis trop, on ne se connaît pas assez bien.
• Je viens de découvrir des choses troublantes, j’aimerais en savoir plus, père est-il bien mon père ?
• Je vois que l’on a beaucoup parlé, certainement trop parlé, j’espère que ces propos n’arriveront pas aux oreilles de ta mère, elle a toujours voulu garder le secret, la seule chose que je sais, c’est qu’elle a vécu une grande passion pendant un temps court où elle était en mission avec un groupe d’élus.
• A quelle époque ?
• Environ vingt ans, tient c’est vrai, tu as sensiblement le même âge, si tu penses qu’elle a eu un enfant à la suite de cette aventure, je peux difficilement t’en dire plus, nous avons chacune vécu notre vie et nous ne sommes jamais revues.
Mes doutes sur ma naissance se font de plus en plus précis, mère aurait fauté et j’en serais le fruit, alors qui est mon père.
En attendant je m’installe, car la mission confiée par monsieur Joseph est tout autre et il espère que je la réussisse le plus tôt possible.
Par la fenêtre de ma chambre, j’ai vu sur la maison d’en face, dans ces rues de ces villages, certainement construits aux temps médiévaux, les rues sont étroites, mais j’ai la vue sur des volets clos.
La maison qui m’intéresse est carrément à ma droite, deux maisons plus loin, difficile de voir ce qui s’y passe, voire impossible.
Dans la nuit la neige tombe, rendant l’usage de ma voiture impossible, surtout avec si peu de cours d’auto-école, même si j’ai réussi à faire plus de 500 kilomètres sur l’autoroute.
Les renseignements, qui m’ont été donnés, m’ouvrent une chance de réussir à prendre contact avec ma proie dimanche prochain.
Pendant deux jours, je reste collée à ma vitre pour voir si la chance est avec moi et que la demoiselle que je dois arriver à piéger sans qu’elle se doute qu’elle est ma proie sorte.
Ce ne sera pas le cas et c’est le dimanche que l’occasion m’est donnée, le renseignement était béton, je suis sur les bancs de l’église au dernier rang quand elle arrive, par chance seule.
Elle s’installe au troisième rang, s’agenouille sur son prie-Dieu et les mains jointes, commence à prier.
Pour vivre vieux, il est dit d’éviter de prendre des risques, comme là où j’étais placé quand cette jolie petite brune est entrée, il lui était impossible de me voir, profitant de ce que personne ne me remarque, je m’approche et je me place à ses côtés.
Bzz bzz faisaient les abeilles dans une chanson de Bourvil, j’en fais de même, car père et mère ont oublié de me donner une éducation religieuse, étant le produit le plus marquant de mai 68.
Il faut bien donner le change à ma voisine qui de temps en temps à un regard vers moi.
Coup de chance, à l’entrée, j’avais pris un livre où les prières sont écrites et je suis plus crédible par la suite.
Cas de conscience, elle va communier, je n’avais pas pensé à cela, j’hésite peu et je la suis récupéré un morceau de plastique que le curé met sur ma langue.
Plastique qui finit par fondre dès que je suis revenue à ma place.
Bzz bzz de nouveau, car je l’entant clairement, même si elle parle discrètement demander pardon pour tous les pêchers de la terre.
La messe se termine, je ne trouve pas le créneau pour l’aborder jusqu’à ce qu’elle s’apprête à rentrer dans la maison voisine que je surveillais.
• Mademoiselle, excusez-moi de vous déranger, j’étais à côté de vous à la messe, il y a quelques instants, il se trouve que par le plus grand des hasards, je suis en vacances chez ma grand-mère à quelques maisons de la vôtre, regardez les volets bleus et je vois que nous sommes voisines.
• Pour ma part, je suis dans l’ancienne maison de ma grand-mère moi aussi, mes parents qui habitent à Paris en ont hérité.
• Je suis en convalescence après qu’une voiture a failli me renverser en Allemagne à Berlin où j’habite provisoirement dans le cadre des rapprochements Erasmus, j’ai eu trois côtes cassées.
• J’espère que le conducteur de la voiture aura un retrait de permis.
• Non, il a fui et les plaques qu’un témoin a pu relever se sont avérées fausses, la police cherche à comprendre.
Je savais cette histoire, n’allez pas croire que l’un de mes commanditaires a renversé la jeune femme, pendant le repas où il m’a confié ma mission monsieur Joseph m’a expliqué qu’ils se sont adaptés à la situation quand ils ont su l’accident et que Mariane venait à Obernai pour sa convalescence.
Par chance, ils savaient que son père avait cette maison de famille et ils ont pu trouver une grand-mère voisine ayant connu mes parents.
Je pense que tout ceci a des corrélations, mais en l’état de mon récit, je suis incapable de relier les éléments en ma possession.
• Tu es donc en vacances forcées alors que moi je suis en congé, je m’appelle Jessika.
• Moi, c’est Mariane, je sais ça fait statut de mairie, mais que veux-tu mon père et chef de partie à l’assemblée, bref, il représente le peuple, inutile de dire à quelle tendance il appartient, pour me choisir un tel nom.
Un élément nouveau pour vous, je savais que Mariane était une fille de… comme moi.
Je me garde bien de lui dire que je travaille là-bas aussi, je dois me concentrer sur ma mission.
• Entre, tu vas me rendre service, de ne plus être seule en hiver dans ce village, ce n’est pas drôle, c’est même mortel, toi au moins tu as ta grand-mère.
Je vois le désarroi et l’ennui de Mariane, contrairement à elle, j’adore ce prénom, Jessika c’est impersonnel.
Elle enlève son manteau et m’apparaît dans une tenue loin d’être jeune comme moi, on dirait une jeune fille des années 50, mais ça j’en avais eu des éléments dans la préparation de mon voyage.
Je sais quand même qu’elle est vierge son père frisant certains milieux qui défendent la famille et il verrait mal sa fille ne pas se marier pure, à y regarder, la rebelle que je suis devenue, même si père et mère sont loin de ces milieux, cette jeune fille a sensiblement le même parcours que le mien.
• Peux-tu me serrer ma bande, j’ai du mal toute seule alors que le toubib m’a demandé de la serrer le plus fortement possible.
La chance des débutantes, j’espérais arriver à la dénuder le contact pris, c’est elle qui ouvre sa robe, m’apparaissant en petite culotte, ses beaux seins qui de suite me font envie, nus et relevés par la bande, qu’elle a en dessous lui bloquant ses côtes.
• Je me suis bien remise de mon accident, il va falloir penser à retourner à Berlin, je veux éviter de prendre trop de retard dans mes études.
Je suis pressée après ce qu’elle m’apprend, je pensais avoir plus de temps pour entreprendre et réussir ce que monsieur Joseph m’a demandé.
• Tu as de jolis seins, je pense que les garçons allemands doivent les adorer !
• Détrompe-toi, je suis vierge, si mon père, qui m’a élevé seul, savait que j’ai été dépucelé, il me renierait.
• Ce n’est pas grave, regarde-moi, mes parents aussi son rigoriste, mais j’ai coupé les ponts, j’ai un amant qui m’entretient, comment crois-tu que je puisse prendre huit jours de vacances chez ma grand-mère.
• Tu as un homme bien plus vieux que toi qui t’entretient, tu es une pute, je serais incapable de coucher pour de l’argent.
• Tu fermes les yeux quand il te baise et ton cerveau ignore ce que ton sexe fait, regarde pour nous.
Je joins le geste à la parole, dans cinq minutes, j’aurais réussi ma mission ou je rentrerais à Paris après avoir embrassé ma grand-mère et avouer mon échec à monsieur Joseph.
J’avance la main, je détache la bande et dès qu’elle tombe au sol, je lui caresse le sein.
• Oh ! Jessika, c’est mal, tu viens de communier
• Qui le saura, si tu ne dis rien, crois-tu que je dise à mes parents et au curé,quand mon cerveau oublie et je ne me confesse pas, quand je me fais baiser par mon homme marié !
Ce qui m’importe, c’est mon indépendance.
Elle semble subjugée, je sens l’avantage et les envies de la jeune femme, j’avance ma bouche et je suce le sein à ma portée.
Elle réagit en posant sa main sur ma tête, je comprends pourquoi la soirée en boîte échangiste avec la demande de monsieur Joseph d’apprendre les amours saphiques, je dois être son initiatrice…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vas y Lasemelle lâche la purée...
Nov. 23, 2017. John La Semelle en a une trique d'enfer, et doit se retenir pour ne pas .....A bientôt.