Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (9/16)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (9/16)
Mes mentors vont être satisfaits, en filmant Mariane s’occupant de deux bites, j’ai justifié ma paye ainsi que les cadeaux qu’ils me font achetant mon cul dans leur intérêt et le mien.
J’ai même déjà joui une fois alors que j’ouvre la route vers sa chambre de la fille de… vivant sa première nuit de salope.
Comme il me paraît loin le temps où je m’asseyais à ses côtés dans l’église d’Obernai alors que c’était hier.
Comme il me paraît loin le moment ou elle m’a permis d’entrer chez elle, acceptant de devenir ma maîtresse.
Où est la petite fille sage qui portait son manteau de qualité, mais d’un autre âge alors que dans l’entrée elle en possède un maintenant coutant 3 200 € et offerts par les hommes qui m’aident dans ma mission à satisfaire mes propres amants ?
• Faite nous bander !
• Oui, fais-nous bander, Mariane, le moment de devenir femme est arrivé, tu peux encore nous dire d’arrêter, nous ne sommes pas des salopards, même si nous aimons nous amuser avec vous.
Depuis le temps que nous sommes mariées, nous aimons ces soirées impromptues que nous faisons généralement dans des boîtes libertines où nous allons chaque fois que nous faisons la tourner de nos clients.
Ce soir nous avions prévu une telle soirée, nous connaissons une boîte de ce genre dans la banlieue, elle est très prisée des teutons.
Souvent, ce sont des bourgeoises très enveloppées, certes, elle se laisse baiser facilement leur mari étant candaulisme, mais nous préférons largement vos beautés si proches l’une de l’autre et pourtant si éloignées à y bien regarder.
Assez de palabres, leurs bites sont à nous, je m’occupe d’Antoine, elle de Luc, non moi Luc elle Antoine, à oui, chaque fois il change de bouche et chaque fois qu’une nouvelle bite est devant nous, nous les empoignons et les fourrons dans notre trou à bites.
• C’est bon les gars, passons à la défloraison de notre amie, il serait bizarre de laisser cette petite pute, vierge au bout de cette nuit.
• Mariane, tu sembles beaucoup aimer nos jeux, si nous te dépucelions en même temps.
• Vous voulez la déflorer en double pénétration !
• Non, en double vaginal, nous pousserons nos bites en même dans sa chatte.
• Vous allez la défoncer.
• Non, nous irons très doucement, nous baisons souvent ainsi les salopes dans les clubs, aucune ne s’est jamais plainte.
• Si c’était de grosses vaches plusieurs milliers de fois défoncées, c’est facile, mais une pucelle.
• La dernière fois près de Biarritz, c’est une mère qui faisait connaître les joies des amours multiples à sa fille, elle avait plus de vingt ans, il faut reconnaître que nous l’avons baisé plus pour lui rendre service que par plaisir, la nature ne l’ayant pas gatté.
• Oui, mais nous avons considéré qu’elle avait aussi droit au bonheur.
• Tu exagères, la mère de notre âge t’avait attiré et tu as compris que pour baiser l’une, il fallait baiser l’autre.
• Antoine, tu as aussi baisé la mère !
• Que nénie, dès le dépucelage de la fille, nous avions encore nos queues pleines de sang, elle nous a dit d'aller aux toilettes, en gentleman nous les avons laissée aller.
• Et vous ne les avez jamais revus !
• Jessika, comment le sais-tu, tu y étais ?
• À la manière dont tu racontes, c’était inévitable, aviez-vous déchargé dans la chatte de la pucelle ?
• Non, mais nous aussi sommes allés aux toilettes nous nettoyer avant que Luc aide un couple dans ses fantasmes de double pénétration, pendant que je sautais la patronne.
• Tu vois, Mariane, aucun problème, nous sommes des garçons d’expérience.
• Jessika, j’ai de drôles d’envies depuis que nous avons fait l’amour ensemble, j’aimerais essayer ce double vaginal.
• Voilà ce que l’on te propose, Antoine se couche sur le lit, regarde comme il bande, oui, astique-le, tu vas te mettre de dos ton sexe en contact de sa verge, oui comme ça sûr tes avant-bras.
Luc place ta verge à côté de celle d’Antoine, voila ces parfais, vous y êtes.
Je dirige la manœuvre, d’une main je film, de l’autre je prends ces deux bites dans mon autre main afin que les deux pénètrent de façon rectiligne dans la chatte de la jeune fille prude qui allait à la messe hier.
Je découvre une des facettes des hommes ou des femmes, non ! non ! non ! pour finir par oui ! oui ! oui !
Nous n’en sommes pas encore là pour les deux verges, mais comme Mariane semble vouloir aller jusqu’au bout, je recule le portable espérant voir sa tête au moment où les deux queues commencent à la perforer.
• Doucement les garçons, je sens que vous me déchiez, allez-y, un grand coup.
Ah !
C’est le seul petit cri qu’elle pousse, les garçons la pénètrent plus fortement maintenant, l’une des queues sort intempestivement, quoique, la verge soit recouverte d’un léger voile de sang, je m’empresse de faire un zoom arrière, je vois le visage de Mariane en plein dans le viseur avec la queue en sang, je la replace, la petite est bien ouverte, car elle rentre comme dans du beurre.
Pendant qu’elle commence à chanter, dépucelée, mais déjà en jouissance, j’arrête de tourner.
C’est à ce moment que je vois que j’ai reçu un message.
• Mariane, je peux aller dans tes toilettes !
C’est un « oui » essoufflé qui me parvient, Mariane à ses yeux qui tourneboule comme s’ils ne savaient plus où ils en sont, j’entre dans ses toilettes et je lis un message venant de Pierre.
« Si tu as du bon matériel, nous t’attendons avant midi chez toi. »
Pour avoir du matériel, j’en ai, quand je regarde les derniers moments du film, Mariane, les verges en doubles vaginales, le sang, ils vont être contents à Paris.
Quand je ressors, la situation a évolué, Luc est en dessous, Mariane vient de s’empaler et Antoine me montre le trou de son cul dans la position où il est s’apprêtant à entrer dans ma copine.
• Tu me caresses l’anus, tu veux m’enculer, n’hésite pas.
Je démarre la vidéo, ça c’est du bonus, la salope se fait mettre en double péné, qui l'eût cru au début de notre rencontre, ce qui est drôle, ce sont ses côtes qui semblent bien réparées, car les coups de bites qu’elle reçoit depuis qu’elle a accepté son cadeau à 3 200 € ne semblent plus la gêner.
• Continué, je reviens, ma grand-mère ne se sent pas bien, je vais voir ce qu’elle a et je reviens.
C’est un peu frustré que je m’habille, j’espérais bien être récompensé, moi aussi par une double pénétration, ce sera pour une autre fois.
Je réveille grand-mère pour lui signifier que je dois retourner à Paris en toute urgence sans lui dire que deux maisons plus haut une jeune ancienne pucelle fille de…, j’ai réussi à la transformer en belle salope en quelques heures.
• Jessika, on ne s’est pas vu très longtemps, quand tu es parti hier matin, j’ai recherché dans mes papiers, voilà quelques coupures de presse qui pourront être très utiles.
Bon voyage revient quand tu le veux, je te souhaite bonne carrière, je suis un peu voyante, ton avenir s’annonce radieux.
Sac en main, je récupère ma voiture, je quitte Obernai, la neige commence à tomber à gros flocons.
• Je vois que vous allez à Paris, monté, vous devez être transi.
• Oui, j’arrive d’Allemagne et je descends dans le midi, j’espère qu’il fera plus chaud.
C’est à l’autoroute que je fais monter ce beau gosse, j’apprends qu’il est étudiant dans le cadre d’Erasmus.
• Connais-tu une jeune femme qui s’appelle Mariane ?
• Oui, la statue !
• Je n'ai pas compris, pourquoi la statue ?
• Pardon, si tu la connais, entre son nom dont les bustes sont dans tous les édifices publics, seule sa beauté leur ressemblant en ferait une bonne Mariane.
Par contre, coté coincée, on dirait une statue, elle a un pucelage en béton armé et une culotte en même matière.
S’il savait que notre amie est chez son père, une bite dans la chatte et l’autre dans le cul, il réviserait son jugement, il fallait simplement la décoincer, j’aurais du temps devant-moi, je retournerais à Obernai pour le filmer sa queue dans sa bouche.
La neige redouble, je n’ai pas beaucoup d’heures de vol au volant, nous sommes à moins de 100 kilomètres de Paris quand j’arrête la voiture pour boire un café, la première station proposant des petits déjeuners ouvrants.
• Viens, je t’offre un petit noir.
Le petit noir oui, mais quand je vois le garçon dans la lumière, ma chatte bave d'envie, n’oublions pas que j’ai été plus voyeuse, qu’active malgré une pénétration.
Nous sommes assis sur des tabourets de hautes tables, côte à côte, je lui mets la main sur la cuisse.
• Suis-moi.
Je l’entraîne dans les toilettes, j’entre chez les femmes, sa main dans la main, je suis déjà allée dans des toilettes d’autoroute, je sais que les espaces sont restreints sauf dans ceux qui sont pour les handicapés plus spacieux, je ferme la porte derrière nous.
Je laisse tomber mon manteau et lui sa parka, nous nous embrassons et rapidement il caresse mon fuseau là où cela me fait du bien.
Au moment où il me retourne, me faisant mettre les mains sur la lunette des Wc, je prends conscience que si je suis une fieffée catin, malgré que peu d’hommes m’ait pénétré.
Il me défonce au moins pendant 20 minutes, je suis pourtant dans un lieu-dit public, je hurle mon plaisir quand il se vide en moi.
Nous nous rhabillons, puis sortons, nous n’avions pas entendu entrer une femme qui semble offusquée.
Elle ressemble à ces teutonnes que les amants de Mariane nous expliquaient avoir baisées dans une boîte échangiste.
• Qu’est-ce qui t’offusque grosse vache, tu aurais bien aimé être à ma place ? …
J’ai même déjà joui une fois alors que j’ouvre la route vers sa chambre de la fille de… vivant sa première nuit de salope.
Comme il me paraît loin le temps où je m’asseyais à ses côtés dans l’église d’Obernai alors que c’était hier.
Comme il me paraît loin le moment ou elle m’a permis d’entrer chez elle, acceptant de devenir ma maîtresse.
Où est la petite fille sage qui portait son manteau de qualité, mais d’un autre âge alors que dans l’entrée elle en possède un maintenant coutant 3 200 € et offerts par les hommes qui m’aident dans ma mission à satisfaire mes propres amants ?
• Faite nous bander !
• Oui, fais-nous bander, Mariane, le moment de devenir femme est arrivé, tu peux encore nous dire d’arrêter, nous ne sommes pas des salopards, même si nous aimons nous amuser avec vous.
Depuis le temps que nous sommes mariées, nous aimons ces soirées impromptues que nous faisons généralement dans des boîtes libertines où nous allons chaque fois que nous faisons la tourner de nos clients.
Ce soir nous avions prévu une telle soirée, nous connaissons une boîte de ce genre dans la banlieue, elle est très prisée des teutons.
Souvent, ce sont des bourgeoises très enveloppées, certes, elle se laisse baiser facilement leur mari étant candaulisme, mais nous préférons largement vos beautés si proches l’une de l’autre et pourtant si éloignées à y bien regarder.
Assez de palabres, leurs bites sont à nous, je m’occupe d’Antoine, elle de Luc, non moi Luc elle Antoine, à oui, chaque fois il change de bouche et chaque fois qu’une nouvelle bite est devant nous, nous les empoignons et les fourrons dans notre trou à bites.
• C’est bon les gars, passons à la défloraison de notre amie, il serait bizarre de laisser cette petite pute, vierge au bout de cette nuit.
• Mariane, tu sembles beaucoup aimer nos jeux, si nous te dépucelions en même temps.
• Vous voulez la déflorer en double pénétration !
• Non, en double vaginal, nous pousserons nos bites en même dans sa chatte.
• Vous allez la défoncer.
• Non, nous irons très doucement, nous baisons souvent ainsi les salopes dans les clubs, aucune ne s’est jamais plainte.
• Si c’était de grosses vaches plusieurs milliers de fois défoncées, c’est facile, mais une pucelle.
• La dernière fois près de Biarritz, c’est une mère qui faisait connaître les joies des amours multiples à sa fille, elle avait plus de vingt ans, il faut reconnaître que nous l’avons baisé plus pour lui rendre service que par plaisir, la nature ne l’ayant pas gatté.
• Oui, mais nous avons considéré qu’elle avait aussi droit au bonheur.
• Tu exagères, la mère de notre âge t’avait attiré et tu as compris que pour baiser l’une, il fallait baiser l’autre.
• Antoine, tu as aussi baisé la mère !
• Que nénie, dès le dépucelage de la fille, nous avions encore nos queues pleines de sang, elle nous a dit d'aller aux toilettes, en gentleman nous les avons laissée aller.
• Et vous ne les avez jamais revus !
• Jessika, comment le sais-tu, tu y étais ?
• À la manière dont tu racontes, c’était inévitable, aviez-vous déchargé dans la chatte de la pucelle ?
• Non, mais nous aussi sommes allés aux toilettes nous nettoyer avant que Luc aide un couple dans ses fantasmes de double pénétration, pendant que je sautais la patronne.
• Tu vois, Mariane, aucun problème, nous sommes des garçons d’expérience.
• Jessika, j’ai de drôles d’envies depuis que nous avons fait l’amour ensemble, j’aimerais essayer ce double vaginal.
• Voilà ce que l’on te propose, Antoine se couche sur le lit, regarde comme il bande, oui, astique-le, tu vas te mettre de dos ton sexe en contact de sa verge, oui comme ça sûr tes avant-bras.
Luc place ta verge à côté de celle d’Antoine, voila ces parfais, vous y êtes.
Je dirige la manœuvre, d’une main je film, de l’autre je prends ces deux bites dans mon autre main afin que les deux pénètrent de façon rectiligne dans la chatte de la jeune fille prude qui allait à la messe hier.
Je découvre une des facettes des hommes ou des femmes, non ! non ! non ! pour finir par oui ! oui ! oui !
Nous n’en sommes pas encore là pour les deux verges, mais comme Mariane semble vouloir aller jusqu’au bout, je recule le portable espérant voir sa tête au moment où les deux queues commencent à la perforer.
• Doucement les garçons, je sens que vous me déchiez, allez-y, un grand coup.
Ah !
C’est le seul petit cri qu’elle pousse, les garçons la pénètrent plus fortement maintenant, l’une des queues sort intempestivement, quoique, la verge soit recouverte d’un léger voile de sang, je m’empresse de faire un zoom arrière, je vois le visage de Mariane en plein dans le viseur avec la queue en sang, je la replace, la petite est bien ouverte, car elle rentre comme dans du beurre.
Pendant qu’elle commence à chanter, dépucelée, mais déjà en jouissance, j’arrête de tourner.
C’est à ce moment que je vois que j’ai reçu un message.
• Mariane, je peux aller dans tes toilettes !
C’est un « oui » essoufflé qui me parvient, Mariane à ses yeux qui tourneboule comme s’ils ne savaient plus où ils en sont, j’entre dans ses toilettes et je lis un message venant de Pierre.
« Si tu as du bon matériel, nous t’attendons avant midi chez toi. »
Pour avoir du matériel, j’en ai, quand je regarde les derniers moments du film, Mariane, les verges en doubles vaginales, le sang, ils vont être contents à Paris.
Quand je ressors, la situation a évolué, Luc est en dessous, Mariane vient de s’empaler et Antoine me montre le trou de son cul dans la position où il est s’apprêtant à entrer dans ma copine.
• Tu me caresses l’anus, tu veux m’enculer, n’hésite pas.
Je démarre la vidéo, ça c’est du bonus, la salope se fait mettre en double péné, qui l'eût cru au début de notre rencontre, ce qui est drôle, ce sont ses côtes qui semblent bien réparées, car les coups de bites qu’elle reçoit depuis qu’elle a accepté son cadeau à 3 200 € ne semblent plus la gêner.
• Continué, je reviens, ma grand-mère ne se sent pas bien, je vais voir ce qu’elle a et je reviens.
C’est un peu frustré que je m’habille, j’espérais bien être récompensé, moi aussi par une double pénétration, ce sera pour une autre fois.
Je réveille grand-mère pour lui signifier que je dois retourner à Paris en toute urgence sans lui dire que deux maisons plus haut une jeune ancienne pucelle fille de…, j’ai réussi à la transformer en belle salope en quelques heures.
• Jessika, on ne s’est pas vu très longtemps, quand tu es parti hier matin, j’ai recherché dans mes papiers, voilà quelques coupures de presse qui pourront être très utiles.
Bon voyage revient quand tu le veux, je te souhaite bonne carrière, je suis un peu voyante, ton avenir s’annonce radieux.
Sac en main, je récupère ma voiture, je quitte Obernai, la neige commence à tomber à gros flocons.
• Je vois que vous allez à Paris, monté, vous devez être transi.
• Oui, j’arrive d’Allemagne et je descends dans le midi, j’espère qu’il fera plus chaud.
C’est à l’autoroute que je fais monter ce beau gosse, j’apprends qu’il est étudiant dans le cadre d’Erasmus.
• Connais-tu une jeune femme qui s’appelle Mariane ?
• Oui, la statue !
• Je n'ai pas compris, pourquoi la statue ?
• Pardon, si tu la connais, entre son nom dont les bustes sont dans tous les édifices publics, seule sa beauté leur ressemblant en ferait une bonne Mariane.
Par contre, coté coincée, on dirait une statue, elle a un pucelage en béton armé et une culotte en même matière.
S’il savait que notre amie est chez son père, une bite dans la chatte et l’autre dans le cul, il réviserait son jugement, il fallait simplement la décoincer, j’aurais du temps devant-moi, je retournerais à Obernai pour le filmer sa queue dans sa bouche.
La neige redouble, je n’ai pas beaucoup d’heures de vol au volant, nous sommes à moins de 100 kilomètres de Paris quand j’arrête la voiture pour boire un café, la première station proposant des petits déjeuners ouvrants.
• Viens, je t’offre un petit noir.
Le petit noir oui, mais quand je vois le garçon dans la lumière, ma chatte bave d'envie, n’oublions pas que j’ai été plus voyeuse, qu’active malgré une pénétration.
Nous sommes assis sur des tabourets de hautes tables, côte à côte, je lui mets la main sur la cuisse.
• Suis-moi.
Je l’entraîne dans les toilettes, j’entre chez les femmes, sa main dans la main, je suis déjà allée dans des toilettes d’autoroute, je sais que les espaces sont restreints sauf dans ceux qui sont pour les handicapés plus spacieux, je ferme la porte derrière nous.
Je laisse tomber mon manteau et lui sa parka, nous nous embrassons et rapidement il caresse mon fuseau là où cela me fait du bien.
Au moment où il me retourne, me faisant mettre les mains sur la lunette des Wc, je prends conscience que si je suis une fieffée catin, malgré que peu d’hommes m’ait pénétré.
Il me défonce au moins pendant 20 minutes, je suis pourtant dans un lieu-dit public, je hurle mon plaisir quand il se vide en moi.
Nous nous rhabillons, puis sortons, nous n’avions pas entendu entrer une femme qui semble offusquée.
Elle ressemble à ces teutonnes que les amants de Mariane nous expliquaient avoir baisées dans une boîte échangiste.
• Qu’est-ce qui t’offusque grosse vache, tu aurais bien aimé être à ma place ? …
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