Titre de l'histoire érotique : COLLECTION VENGEANCE : Tueur à gages (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION VENGEANCE : Tueur à gages (3/3)
De la fenêtre de la chambre de l’hôtel à Roquebrune où je suis descendu pour remplir le nouveau contrat que je dois honorer, je la vois arriver.
Sur la route, c’est une Mercedes coupée sport, que la voix qui me donne chaque fois les derniers renseignements, me désigne cette femme qu’un commanditaire souhaite que je fasse disparaître.
J’ai rempli vingt-deux de ces contrats et c’étaient toujours des hommes, dans ma lunette de visée, j’ai le temps d’apercevoir une jolie blonde et je l’épargne.
Chaque semaine, elle vient au café de l’hôtel où je suis descendu faire un vulgaire loto, elle qui semble être la femme d’un membre de la pègre du littoral et qui dans le même temps dilapide de grosses sommes dans les casinos.
Pedro le Toulonnais son mari est certainement le commanditaire de mes meurtres, aussi quand je la rejoins à la table voisine de celle où je m’assoie, je décide de jouer cartes sur table.
• Ne bougez pas, je voudrais vous dire quelque chose.
• Je vois que vous voulez être discret, mais savez-vous à qui vous parlez.
• Oui, à la femme que j’avais hier dans la ligne de mire de mon fusil au belvédère sur la route de la Turbie où vous conduisiez votre Mercedes décapotable, actuellement garée devant ce bar.
• Vous m’intéressez, qui vous a payé ?
Incroyable le sens froid de cette femme magnifique.
• Je l’ignore toujours, mais cherchez du côté de votre mari.
• Pourquoi, voulez-vous qu’il me fasse descendre, il a tout le fric qu’il désire ?
• Il doit avoir ses raisons que j’ignore, demain, vous remontez bien du casino.
• Oui, pourquoi ?
J’y vais deux fois par semaine, je me restreins, je suis accro, un simple Amigo à 2 € me donne autant de plaisir que 1 000 € sur un simple numéro.
• Je n’ai pas voulu tirer sur une aussi jolie femme que vous, on m’a donné une seconde chance demain.
• Cela ressemble bien à ses méthodes, il y a une semaine lors d’une réunion pour ses affaires, je l’ai contredit alors qu’il ne le supporte pas, c’est là que j’ai dû signer mon arrêt de mort.
• Il doit avoir une autre pute en vue.
• Il y a dix jours, nous avons donné une réception et une belle brune lui a collé au basque toute la soirée, c’est comme cela que cela a commencé avec moi.
Combien vous a-t-on donné pour ce contrat, je triple cette somme.
• Impossible, si je vous loupe une seconde fois, c’est moi qui me ferais tuer.
• Je triple cette somme, vous venez demain matin à notre villa et vous descendez mon mari.
• Sa villa est une forteresse, je ne suis pas un acrobate, je suis un tireur d’élite.
• Je comprends, mais à côté du grand portail, il y a une porte avec un code d’entrée, avez-vous ce qu’il faut pour en finir avec lui ?
• Oui, deux automatiques pour tirer dans les stands sur cible mouvante.
• 300 000 et moi en prime dès que le contrat aura été exécuté, si vous le loupé, nous serons morts tous les deux, il y aura deux hommes sur la terrasse, je leur demanderais de sortir à 9 heures ayant entendu du bruit.
Vous vous occuperez d’eux, une fenêtre sera ouverte, vous serez dans notre salle à manger, vous quitterez la pièce et entrerez dans celle à droite, c’est sa salle de gym perso, il y sera, vous savez ce qu’il vous restera à faire.
Moi, plus 300 000, je n’ai qu’une parole et je suis rancunière avec ceux qui essayent de me flouer.
Elle me pousse un ticket d’Amigo sur lequel elle a griffonné, je remonte vers ma chambre.
« CU69 »
C’est le code de la porte qui va certainement décider de ma fin de vie.
Je reste dans ma chambre, je nettoie mes armes, je le fais toujours quand j’ai un contrat, non pas qu’elles soient sales, mais c’est par superstition, moi qui avant de me faire piéger et de me retrouver à faire le tueur, je me fichais de ce genre de chose, je pouvais passer sous une échelle sans sourciller.
Au matin, je sors discrètement de l’hôtel par une porte qui donne sur une petite rue, je l’ai repérée dès mon arrivée, mes deux revolvers dans ma ceinture et deux silencieux dans mes poches de pantalon.
Eux, je les ai achetés au début de mon embauche par le milieu, je savais qu’un jour le destin m’obligerait à m’en servir.
Je démarre ma Porche et je fais le peu de chemin me rapprochant du lieu où réside ma nouvelle cible.
Aucun chat noir, c’est la deuxième fois que j’interviens avec ce genre d’arme, le fusil à lunette étant inefficace en combat rapproché.
Je place ma voiture hors de la vue des voitures passant sur la route et je m’approche de la porte qui doit sceller mon destin, CU69, ces deux lettres et ces deux chiffres me trottent dans ma tête depuis que Lucrecia me les a glissés discrètement.
Prémonition CU, comme cul, je vais peut-être avoir le sien dans les heures prochaines si je sors vivant de cette épreuve, bien que je sente au plus profond de moi qu’hormis l’argent que ce contrat me rapporte, c’est mon indépendance que je peux retrouver.
Souvent couper une branche pourrie risquant de tomber sur la tête d’un enfant, un bras gangrené, une pourriture, comme semble l’être Pedro le Toulonnais, est une œuvre de salut public, même si ma propre vie est en jeu.
Rapidement je passe d’arbre en arbre silencieux comme un chat, je parlais de chat noir et mon costume de tueur est intégralement noir, pour qui vais-je être en phase avec la superstition !
Je vois la maison et deux hommes devant comme me l’a dit Lucrecia, je fixe mes silencieux, armes en main, je m’avance, incroyable, l’un des deux hommes ressemble à celui qui m’a piégé, il y a bien des années pour que je travaille pour eux.
Mais oui, la voix qui me donne mes instructions, c’est lui, depuis le début la façon de prononcer les R m’avait interpellé.
Je l’avais entendu parler très peu lors du chantage et j’étais tellement tendu pensant qu’il allait prostituer la fille m’accompagnant que ce détail m’avait échappé.
Je sors à découvert, dommage que je n’aie pas apporté ma carabine, à 20 mètres, j’aurais fait un joli carton.
Il se regroupe et se parle me tournant le dos.
• Retournez-vous, je veux que vous voyiez qui vous envois dans l’au-delà.
Il se retourne dans un seul mouvement, leur arme en main, normale, ma commanditaire leur a dit avoir entendu du bruit à l’extérieur.
Deux balles, une pour chaque arme et deux yeux supplémentaires pour chacun avant de tomber dans le même mouvement à genoux tous les deux.
Comme dans un dessin animé, ils restent là hébétés quelques secondes, lâchent leurs armes et tombent face au sol dans un parallélisme parfait.
Inutile de vérifier s’ils sont morts, je ne connais personne capable de se relever, une balle entre les deux yeux.
Je remets l’un de mes automatiques dans ma ceinture, ramasse l’arme de celui qui ne m’a jamais dit son nom et j’entre par la fenêtre entrouverte, quand une voix m’interpelle, comme les miens, il est muni d’un silencieux.
• Je me doutais que cette salope aurait payé un tueur pour échapper à son destin, mais de là à ce que ce soit toi Thierry, cela me troue le cul, on ne se connaît pas, mais je te connais depuis que ce con de Polo est venu me proposer de t’enrôler pour mes basses œuvres.
Quand Ludo m’a dit que tu avais tiré et que la voiture avait été déviée par un nid-de-poule, j’attendais la venue de celui qui viendra me supprimer,
Tu as tué Ludo, ma première gâchette, mon homme qui me protégeait, je t’offre son poste en augmentant la somme que je lui donnais, regarde sur cette table, il y a un million d’euros, ils sont à toi !
• Dommage, ta femme m’a proposé son cul en supplément de la somme, de plus vos hommes son mort et je pourrais partir avec cet argent en plus.
Adieu.
Il a un visage surpris quand lui aussi reçoit sa balle entre les deux yeux sortis du pistolet de Ludo, dommage son arme était mal réglée et le trou qui s’est formé et décalé de quelques millimètres, d'‘un tir parfait.
• Bravo, bien joué, je savais que tu serais à la hauteur, file, je vais m’occuper de la police que je vais appeler, je vais leur faire croire que profitant de l’intrusion d’un rôdeur, il a tué mon mari.
• On a le temps Lucrecia, avant de partir, je vais m’occuper de ta petite chatte, ne me l’avais-tu pas promise.
• Pourquoi, crois-tu que derrière la porte, nue sous mon peignoir, j’attendais si tu avais le courage de venir tuer mon mari ?
Je m’approche de ce corps me faisant tellement envie, je la colle contre moi.
• Oh ! Intéressant.
Elle porte, sa main à mon sexe étant tendue comme jamais, je ne l’ai été, on sait déjà que je suis bien monté, je la soulève et viens lui mettre son joli petit cul sur la table de salle à manger.
Dans le mouvement le peignoir tombe au sol et au moment où ma bouche prend la sienne, elle est entièrement à ma merci.
Je dégrafe mon pantalon sortant ma verge pour la planter directement.
• Regarde Pedro, ta chienne est à moi, tu as fait un mauvais calcul quand tu as cru pouvoir me retourner à ton profit.
Tes sbires ont oublié de te dire, lorsque je place une balle dans le cœur où la tête des contrats que tu me signais pour garder ton empire, il faut que je baise, n’étant pas gay, comprend que je la préfère.
Il ne peut m’entendre, on comprend pourquoi.
• Tu as compris la chatte que je laboure et que je vais faire jouir avait plus de valeur que ton million, en plus ton calcul était faux, le pognon, il est sous le cul de ma salope, n’ai-je pas raison mon cœur.
• Oui, chéri, continu, continu, continu.
J’ai quitté Lucrecia, une heure après, elle m’a donné l’adresse d’une amie à Nice où je dois attendre que la situation s’éclaircisse.
Quelques jours après, elle me rejoignait en faisant attention à n’être pas suivis, dès qu’elle me rejoint, elle me saute au cou, me montrant que j’ai bien fait de la conserver en vie.
La police est venue et semble se diriger vers un crime de son lieutenant profitant d’un rôdeur armé s’étant introduite en franchissant le mur par l’arrière dans une cassure.
Des traces de pas pointure 45 ont été retrouvées dans une flaque de boue suite à un orage deux jours plus tôt, j’ai un doute que je n’émets pas, j’ai vu les pieds de Pedro, son mari, elle a certainement mis ses chaussures pour marquer le terrain.
Lucrecia a été mise hors de cause, ayant déclaré qu’elle dormait sous somnifères pris la veille et qui était bien dans son corps après analyse.
Dans quelques jours, je vais revenir à la villa de Pedro qu’elle aura enterré avec ses gâchettes, elle doit me présenter au chef des divers secteurs que gérait son mari, mais où elle était très impliquée.
Nous passons une bonne partie de l’après-midi à baiser, j’avais raison, elle a une expérience avec son corps comme aucune femme ne me l’a montrée, elle sait me sucer et me masturber pour me refaire, partir et la prendre dans toutes les positions.
Je me prépare une belle vie, avec une belle femme quand nous pourrons sortir ensemble au grand jour, il est prévu que j’aille au casino le temps que son deuil soit assez long et que part un pur hasard, nous nous rencontrerons.
Après cette visite et en attendant la suite, je sors, j’entre dans un bar où il y a un jeu d’Amigo, j’ai dans ma main le ticket sur lequel Lucrecia avait inscrit le code CU69 et que j’avais dans ma poche.
5 221 €, c’est ce que nous avons gagné, je mets le billet dans mon portefeuille et je sors pour retourner dans ma cachette.
Un bruit bien connu d’armement, ces jeunes cons, ils gâchent le métier, tueur à la Kalachnikov et le noir instan…
Sur la route, c’est une Mercedes coupée sport, que la voix qui me donne chaque fois les derniers renseignements, me désigne cette femme qu’un commanditaire souhaite que je fasse disparaître.
J’ai rempli vingt-deux de ces contrats et c’étaient toujours des hommes, dans ma lunette de visée, j’ai le temps d’apercevoir une jolie blonde et je l’épargne.
Chaque semaine, elle vient au café de l’hôtel où je suis descendu faire un vulgaire loto, elle qui semble être la femme d’un membre de la pègre du littoral et qui dans le même temps dilapide de grosses sommes dans les casinos.
Pedro le Toulonnais son mari est certainement le commanditaire de mes meurtres, aussi quand je la rejoins à la table voisine de celle où je m’assoie, je décide de jouer cartes sur table.
• Ne bougez pas, je voudrais vous dire quelque chose.
• Je vois que vous voulez être discret, mais savez-vous à qui vous parlez.
• Oui, à la femme que j’avais hier dans la ligne de mire de mon fusil au belvédère sur la route de la Turbie où vous conduisiez votre Mercedes décapotable, actuellement garée devant ce bar.
• Vous m’intéressez, qui vous a payé ?
Incroyable le sens froid de cette femme magnifique.
• Je l’ignore toujours, mais cherchez du côté de votre mari.
• Pourquoi, voulez-vous qu’il me fasse descendre, il a tout le fric qu’il désire ?
• Il doit avoir ses raisons que j’ignore, demain, vous remontez bien du casino.
• Oui, pourquoi ?
J’y vais deux fois par semaine, je me restreins, je suis accro, un simple Amigo à 2 € me donne autant de plaisir que 1 000 € sur un simple numéro.
• Je n’ai pas voulu tirer sur une aussi jolie femme que vous, on m’a donné une seconde chance demain.
• Cela ressemble bien à ses méthodes, il y a une semaine lors d’une réunion pour ses affaires, je l’ai contredit alors qu’il ne le supporte pas, c’est là que j’ai dû signer mon arrêt de mort.
• Il doit avoir une autre pute en vue.
• Il y a dix jours, nous avons donné une réception et une belle brune lui a collé au basque toute la soirée, c’est comme cela que cela a commencé avec moi.
Combien vous a-t-on donné pour ce contrat, je triple cette somme.
• Impossible, si je vous loupe une seconde fois, c’est moi qui me ferais tuer.
• Je triple cette somme, vous venez demain matin à notre villa et vous descendez mon mari.
• Sa villa est une forteresse, je ne suis pas un acrobate, je suis un tireur d’élite.
• Je comprends, mais à côté du grand portail, il y a une porte avec un code d’entrée, avez-vous ce qu’il faut pour en finir avec lui ?
• Oui, deux automatiques pour tirer dans les stands sur cible mouvante.
• 300 000 et moi en prime dès que le contrat aura été exécuté, si vous le loupé, nous serons morts tous les deux, il y aura deux hommes sur la terrasse, je leur demanderais de sortir à 9 heures ayant entendu du bruit.
Vous vous occuperez d’eux, une fenêtre sera ouverte, vous serez dans notre salle à manger, vous quitterez la pièce et entrerez dans celle à droite, c’est sa salle de gym perso, il y sera, vous savez ce qu’il vous restera à faire.
Moi, plus 300 000, je n’ai qu’une parole et je suis rancunière avec ceux qui essayent de me flouer.
Elle me pousse un ticket d’Amigo sur lequel elle a griffonné, je remonte vers ma chambre.
« CU69 »
C’est le code de la porte qui va certainement décider de ma fin de vie.
Je reste dans ma chambre, je nettoie mes armes, je le fais toujours quand j’ai un contrat, non pas qu’elles soient sales, mais c’est par superstition, moi qui avant de me faire piéger et de me retrouver à faire le tueur, je me fichais de ce genre de chose, je pouvais passer sous une échelle sans sourciller.
Au matin, je sors discrètement de l’hôtel par une porte qui donne sur une petite rue, je l’ai repérée dès mon arrivée, mes deux revolvers dans ma ceinture et deux silencieux dans mes poches de pantalon.
Eux, je les ai achetés au début de mon embauche par le milieu, je savais qu’un jour le destin m’obligerait à m’en servir.
Je démarre ma Porche et je fais le peu de chemin me rapprochant du lieu où réside ma nouvelle cible.
Aucun chat noir, c’est la deuxième fois que j’interviens avec ce genre d’arme, le fusil à lunette étant inefficace en combat rapproché.
Je place ma voiture hors de la vue des voitures passant sur la route et je m’approche de la porte qui doit sceller mon destin, CU69, ces deux lettres et ces deux chiffres me trottent dans ma tête depuis que Lucrecia me les a glissés discrètement.
Prémonition CU, comme cul, je vais peut-être avoir le sien dans les heures prochaines si je sors vivant de cette épreuve, bien que je sente au plus profond de moi qu’hormis l’argent que ce contrat me rapporte, c’est mon indépendance que je peux retrouver.
Souvent couper une branche pourrie risquant de tomber sur la tête d’un enfant, un bras gangrené, une pourriture, comme semble l’être Pedro le Toulonnais, est une œuvre de salut public, même si ma propre vie est en jeu.
Rapidement je passe d’arbre en arbre silencieux comme un chat, je parlais de chat noir et mon costume de tueur est intégralement noir, pour qui vais-je être en phase avec la superstition !
Je vois la maison et deux hommes devant comme me l’a dit Lucrecia, je fixe mes silencieux, armes en main, je m’avance, incroyable, l’un des deux hommes ressemble à celui qui m’a piégé, il y a bien des années pour que je travaille pour eux.
Mais oui, la voix qui me donne mes instructions, c’est lui, depuis le début la façon de prononcer les R m’avait interpellé.
Je l’avais entendu parler très peu lors du chantage et j’étais tellement tendu pensant qu’il allait prostituer la fille m’accompagnant que ce détail m’avait échappé.
Je sors à découvert, dommage que je n’aie pas apporté ma carabine, à 20 mètres, j’aurais fait un joli carton.
Il se regroupe et se parle me tournant le dos.
• Retournez-vous, je veux que vous voyiez qui vous envois dans l’au-delà.
Il se retourne dans un seul mouvement, leur arme en main, normale, ma commanditaire leur a dit avoir entendu du bruit à l’extérieur.
Deux balles, une pour chaque arme et deux yeux supplémentaires pour chacun avant de tomber dans le même mouvement à genoux tous les deux.
Comme dans un dessin animé, ils restent là hébétés quelques secondes, lâchent leurs armes et tombent face au sol dans un parallélisme parfait.
Inutile de vérifier s’ils sont morts, je ne connais personne capable de se relever, une balle entre les deux yeux.
Je remets l’un de mes automatiques dans ma ceinture, ramasse l’arme de celui qui ne m’a jamais dit son nom et j’entre par la fenêtre entrouverte, quand une voix m’interpelle, comme les miens, il est muni d’un silencieux.
• Je me doutais que cette salope aurait payé un tueur pour échapper à son destin, mais de là à ce que ce soit toi Thierry, cela me troue le cul, on ne se connaît pas, mais je te connais depuis que ce con de Polo est venu me proposer de t’enrôler pour mes basses œuvres.
Quand Ludo m’a dit que tu avais tiré et que la voiture avait été déviée par un nid-de-poule, j’attendais la venue de celui qui viendra me supprimer,
Tu as tué Ludo, ma première gâchette, mon homme qui me protégeait, je t’offre son poste en augmentant la somme que je lui donnais, regarde sur cette table, il y a un million d’euros, ils sont à toi !
• Dommage, ta femme m’a proposé son cul en supplément de la somme, de plus vos hommes son mort et je pourrais partir avec cet argent en plus.
Adieu.
Il a un visage surpris quand lui aussi reçoit sa balle entre les deux yeux sortis du pistolet de Ludo, dommage son arme était mal réglée et le trou qui s’est formé et décalé de quelques millimètres, d'‘un tir parfait.
• Bravo, bien joué, je savais que tu serais à la hauteur, file, je vais m’occuper de la police que je vais appeler, je vais leur faire croire que profitant de l’intrusion d’un rôdeur, il a tué mon mari.
• On a le temps Lucrecia, avant de partir, je vais m’occuper de ta petite chatte, ne me l’avais-tu pas promise.
• Pourquoi, crois-tu que derrière la porte, nue sous mon peignoir, j’attendais si tu avais le courage de venir tuer mon mari ?
Je m’approche de ce corps me faisant tellement envie, je la colle contre moi.
• Oh ! Intéressant.
Elle porte, sa main à mon sexe étant tendue comme jamais, je ne l’ai été, on sait déjà que je suis bien monté, je la soulève et viens lui mettre son joli petit cul sur la table de salle à manger.
Dans le mouvement le peignoir tombe au sol et au moment où ma bouche prend la sienne, elle est entièrement à ma merci.
Je dégrafe mon pantalon sortant ma verge pour la planter directement.
• Regarde Pedro, ta chienne est à moi, tu as fait un mauvais calcul quand tu as cru pouvoir me retourner à ton profit.
Tes sbires ont oublié de te dire, lorsque je place une balle dans le cœur où la tête des contrats que tu me signais pour garder ton empire, il faut que je baise, n’étant pas gay, comprend que je la préfère.
Il ne peut m’entendre, on comprend pourquoi.
• Tu as compris la chatte que je laboure et que je vais faire jouir avait plus de valeur que ton million, en plus ton calcul était faux, le pognon, il est sous le cul de ma salope, n’ai-je pas raison mon cœur.
• Oui, chéri, continu, continu, continu.
J’ai quitté Lucrecia, une heure après, elle m’a donné l’adresse d’une amie à Nice où je dois attendre que la situation s’éclaircisse.
Quelques jours après, elle me rejoignait en faisant attention à n’être pas suivis, dès qu’elle me rejoint, elle me saute au cou, me montrant que j’ai bien fait de la conserver en vie.
La police est venue et semble se diriger vers un crime de son lieutenant profitant d’un rôdeur armé s’étant introduite en franchissant le mur par l’arrière dans une cassure.
Des traces de pas pointure 45 ont été retrouvées dans une flaque de boue suite à un orage deux jours plus tôt, j’ai un doute que je n’émets pas, j’ai vu les pieds de Pedro, son mari, elle a certainement mis ses chaussures pour marquer le terrain.
Lucrecia a été mise hors de cause, ayant déclaré qu’elle dormait sous somnifères pris la veille et qui était bien dans son corps après analyse.
Dans quelques jours, je vais revenir à la villa de Pedro qu’elle aura enterré avec ses gâchettes, elle doit me présenter au chef des divers secteurs que gérait son mari, mais où elle était très impliquée.
Nous passons une bonne partie de l’après-midi à baiser, j’avais raison, elle a une expérience avec son corps comme aucune femme ne me l’a montrée, elle sait me sucer et me masturber pour me refaire, partir et la prendre dans toutes les positions.
Je me prépare une belle vie, avec une belle femme quand nous pourrons sortir ensemble au grand jour, il est prévu que j’aille au casino le temps que son deuil soit assez long et que part un pur hasard, nous nous rencontrerons.
Après cette visite et en attendant la suite, je sors, j’entre dans un bar où il y a un jeu d’Amigo, j’ai dans ma main le ticket sur lequel Lucrecia avait inscrit le code CU69 et que j’avais dans ma poche.
5 221 €, c’est ce que nous avons gagné, je mets le billet dans mon portefeuille et je sors pour retourner dans ma cachette.
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