Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Coup de tête (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Coup de tête (5/5)
En m’échappant de mon cadre familial habituel, je n’aurais jamais pensé passer la journée de dingue que je vis, pipe, sodo, léchage de chatte, cyprine, pour finir par aller faire la pute dans l’hôtel où sont descendus Jacques et Adrien qui me prend la taille.
Anabelle leur a soutiré 1 000 € leur faisant croire que nos macs jouaient au poker leurs flingues sur la table.
Nous entrons dans l’hôtel, le veilleur de nuit nous regarde passer sans nous poser la moindre question.
Des clients montant des putes dans ce coin, ça doit être légion, nous prenons l’ascenseur bien serré les uns contre les autres, Adrien qui a lâché mes fesses qu’il avait attrapées en entrant dans l’hôtel à ses yeux dans mes seins.
Dès que nous sommes dans la chambre, Anabelle mène le jeu.
• À poil les mecs, Prune toi aussi.
J’aime les ordres qu’elle me donne, je comprends comment une femme comme elle semble avoir réussi à Pigalle, nous nous retrouvons nus tous les trois.
• Suce-les, regarde, tu les intimides, malgré ta beauté, il ne bande pas.
• Oui, Prune, fais-nous bander !
Voilà comment je me retrouve à genoux aux pieds de ces deux hommes, je prends leur bite en main et maintenant que je suis bien formée dans le maniement de leurs engins, avant que je ne les aie sucés, il commence à bander.
Je les prends en bouche, Jacques est moins enclin à la propreté qu’Adrien, son pubis bien taillé malgré l’heure tardive sent le parfum.
• C’est bien Prune, Polo va être content quand je lui dirai la bonne gagneuse que tu aies, les gars, vous êtes ses premiers clients, grâce à vous et l’argent qu’elle a dans sa poche, elle ne va pas dérouiller ce soir.
Deux coqs, en levant la tête, je les vois se redresser leur buste et leur queue après le pompage que je leur applique.
• Arrêtez, vous allez décharger et n’être plus bon à rien, vous aurez perdu votre fric, Jacque couche là et baise là, toi continu dans sa bouche, tu prendras sa place tout à l’heure.
• Et toi Cruella, j’aimerais te baiser.
• Je suis une pute accomplie, j’ai de nombreuses heures de vol à mon compteur, c’est la salope qui est là que Polo veut que je forme, alors n’hésitez pas, défoncez là, elle aime ça.
Je serais une poupée gonflable pour elle, elle se comporterait certainement de la même manière, mais quand elle me fait un clin d’œil, alors qu’elle est avachie dans le fauteuil de la chambre, je vois qu’elle prend son pied à son jeu où je suis le pion principal.
Pendant une période qui est interminable, mais tellement bonne étant baisée comme jamais, je ne l’ai pas été, le temps s’écoule, ils ont déjà déchargé deux fois chacun, c'est de bon étalon où veulent-ils rentabiliser leur investissement.
Je sens le sperme de l’un d’eux qu’il me reste dans la bouche et sur ma joue avant que celle qui est mon amie, mais aussi mon bourreau nous donne un dernier ordre.
• Fais-les rebander avec ta bouche.
J’ai un peu mal aux mâchoires, mais je m’exécute, ils sont sur le dos moi au milieu à genoux, j’arrive à leur refaire, tendre le bras.
• C’est bien, empale-toi sur Jacques.
Je m’exécute mon vagin de nouveau rempli.
• Adrien prend là en double pénétration, vous allez la faire hurler de plaisir.
Pour hurler, je hurle, au point que dans la chambre voisine, nous entendons taper, sentir la bite de Jacques se frotter à travers ma paroi contre celle de Damien, c'est incroyable, je jouis sans interruption, des vagues montent de mon dos jusqu’à mon cerveau, immédiatement pour recommencer.
Ils me remplissent comme jamais je ne l’aie été, surtout quand Anabelle s’étant dénudée s’appuie sur la tête de lit et descends apportant sa chatte à hauteur de ma bouche les cuisses écartées.
J’ai du mal à tous coordonner, entre le clito de ma nouvelle amie et ces verges qui en cœur entrent et sortent de moi, j’ai toujours entendu les gens parler de petite mort, je sais qu’au moment où il décharge en cœur, la cyprine qui m’inonde me la fait connaître.
Je m’écroule sur la poitrine de Jacques, Adrien sur mon dos semble avoir lui aussi perdu ses esprits, je sens sa verge toute molle toujours en moi, du sperme devant sortir de mon anus me coule sur les jambes.
• C’est bon les gars, lâcher lui le cul, il faut que nous rentrions, sinon Polo, il va croire que nous sommes tombées amoureuses de vos bites, et quand Polo trouve que l’on est trop longue, il devient méchant.
Le vide se fait autour de moi.
• Va prendre une douche, on dirait une vieille pute sur le retour, Polo, il aime que nous soyons des fiches fraîches, sinon on est bonne pour des queues africaines au Togo.
• Comme, ce qui est arrivé à Sabrina.
• Exacte, elle a pris l’avion hier, je suis sûr que dès ce soir, elle s’est fait ses cinquante bites.
Je vois que notre jeu fonctionne, les deux gars de province nous prennent vraiment pour des putes et gobent tous nos dires.
Une fois de plus comme dans la chambre du gars près de la Porte de Saint-Cloud, l’argent que j’ai dans la poche de ma veste fait peut-être de moi une fille de joie.
Nous quittons l’hôtel, bras dessus, bras dessous.
• Je me suis éclatée, te voir te faire baiser comme une chienne par ces pauvres gars qui vont retrouver bonbonne comme toi tu l’étais avant-hier, était grisant. Tu vois ici dans le quartier si tu connais les codes, il est facile de se faire du fric, vient avant d’entrer, nous allons petit déjeuner près du moulin rouge, j’y vais de temps en temps si ma boîte ne m’a pas trop fatigué.
Nous refaisons le chemin inverse et passons devant chez Luigi, tout est fermé, le bel Italien à peut-être la bite de Pedro, son cuistot dans l’anus ou au fond de sa gorge là où ils habitent.
• Salut, les filles, la soirée et la nuit se sont bien passées !
• À part une descente de flic suite à deux cons qui en sont venus aux mains, j’ai fait assez de clients, mon mec va être satisfait.
• Katia, que fais-tu là, je t’avais payé tes journées pendant la fermeture de la boîte.
• Mon petiot, il veut de nouvelle basket, dès à trois bandes, j’en avais trouvé, mais des copies chinoises, il me les a mises à travers de la figure, il fallait bien que je gagne quelques billets supplémentaires.
Nous irons lui acheter, dès que le magasin sera ouvert.
Je parle à l’oreille d’Anabelle tout doucement.
• Dis, ce sont des putes, je croyais que la prostitution était interdite en France, risquent-elles de se retrouver en prison !
• Tu te trompes, le racolage dans les lieux publics est interdit, les bars à putes qui racolent le client, c’est interdit.
Nous prenons un café avec des croissants, moi qui ne mange jamais le matin, j’ai une faim de loup, c’est vrai quand j’étais jeune, avec mon mari, il nous arrivait d’aller manger des croissants quand nous sortions de boîtes, ce qui était rare à cause des enfants.
• Salut, les filles, nous rentrons, Alice a eu une rude journée et dans trois heures mes ouvriers vont faire du bruit.
Katia évite de traîner, j’ai besoin de toi samedi et je voudrais éviter d’aller te sortir du commissariat.
• Tu as raison Annabelle, mon fils va avoir ses chaussures, c’est le principal.
Chez nous, quand j’ai besoin de quelque chose pour moi et les enfants, je donne ma carte bleue et contre un bout de papier, j’apporte mes achats.
En entrant, nous nous écroulons dans sa chambre au drap de soie, impossible de m’occuper de la chatte d’Anabelle.
Les premiers coups de marteau me réveillent, il est temps de rentrer voir comment Sylvain a vécu mon éloignement, je remets mes habits de bourge, j’embrasse Anabelle sur le front ne voulant pas la réveiller.
Je fais signe à un taxi, j’ai de quoi payer et surtout j’ai assez vu d’arbres et de nœuds sur les arbres.
Me faisant déposer devant notre immeuble, je récupère le double des clefs chez la concierge, à la maison, il est déjà parti à son travail, je me douche et au lit, j’ai des heures de sommeil à rattraper.
Quand il rentre, je m’attends à des questions, il prend son journal que j’ai monté avec le courrier.
Il fait sauter ses chaussures et sans même me regarder, il s’installe dans son fauteuil, comme chaque jour, je lui sers un verre de whisky, il le prend sans même me regarder.
Pas une question sur mon absence pendant trois jours, le samedi, il part faire le tour du lac du bois de Boulogne avec ses copains, je sais que demain après-midi, ce sera son match de football au Racing club de France section vétérans.
Il est 17 heures quand je quitte l’appartement le samedi, je vais dans une boutique changer mes vêtements, j’ai trouvé un short ras la chatte, que je paye avec l’argent soustrait aux Provinciaux, j’ai laissé ma carte bleue avec mes clefs sur la table de la salle.
• Prune, je t’attendais, j’étais sûr que tu viendrais ce soir, j’espère que c’est définitivement.
Katia est à la barre, il va falloir que j’apprenne ou qu’Anabelle me forme à faire les cocktails qu’elle sert à nos clients.
Anabelle leur a soutiré 1 000 € leur faisant croire que nos macs jouaient au poker leurs flingues sur la table.
Nous entrons dans l’hôtel, le veilleur de nuit nous regarde passer sans nous poser la moindre question.
Des clients montant des putes dans ce coin, ça doit être légion, nous prenons l’ascenseur bien serré les uns contre les autres, Adrien qui a lâché mes fesses qu’il avait attrapées en entrant dans l’hôtel à ses yeux dans mes seins.
Dès que nous sommes dans la chambre, Anabelle mène le jeu.
• À poil les mecs, Prune toi aussi.
J’aime les ordres qu’elle me donne, je comprends comment une femme comme elle semble avoir réussi à Pigalle, nous nous retrouvons nus tous les trois.
• Suce-les, regarde, tu les intimides, malgré ta beauté, il ne bande pas.
• Oui, Prune, fais-nous bander !
Voilà comment je me retrouve à genoux aux pieds de ces deux hommes, je prends leur bite en main et maintenant que je suis bien formée dans le maniement de leurs engins, avant que je ne les aie sucés, il commence à bander.
Je les prends en bouche, Jacques est moins enclin à la propreté qu’Adrien, son pubis bien taillé malgré l’heure tardive sent le parfum.
• C’est bien Prune, Polo va être content quand je lui dirai la bonne gagneuse que tu aies, les gars, vous êtes ses premiers clients, grâce à vous et l’argent qu’elle a dans sa poche, elle ne va pas dérouiller ce soir.
Deux coqs, en levant la tête, je les vois se redresser leur buste et leur queue après le pompage que je leur applique.
• Arrêtez, vous allez décharger et n’être plus bon à rien, vous aurez perdu votre fric, Jacque couche là et baise là, toi continu dans sa bouche, tu prendras sa place tout à l’heure.
• Et toi Cruella, j’aimerais te baiser.
• Je suis une pute accomplie, j’ai de nombreuses heures de vol à mon compteur, c’est la salope qui est là que Polo veut que je forme, alors n’hésitez pas, défoncez là, elle aime ça.
Je serais une poupée gonflable pour elle, elle se comporterait certainement de la même manière, mais quand elle me fait un clin d’œil, alors qu’elle est avachie dans le fauteuil de la chambre, je vois qu’elle prend son pied à son jeu où je suis le pion principal.
Pendant une période qui est interminable, mais tellement bonne étant baisée comme jamais, je ne l’ai pas été, le temps s’écoule, ils ont déjà déchargé deux fois chacun, c'est de bon étalon où veulent-ils rentabiliser leur investissement.
Je sens le sperme de l’un d’eux qu’il me reste dans la bouche et sur ma joue avant que celle qui est mon amie, mais aussi mon bourreau nous donne un dernier ordre.
• Fais-les rebander avec ta bouche.
J’ai un peu mal aux mâchoires, mais je m’exécute, ils sont sur le dos moi au milieu à genoux, j’arrive à leur refaire, tendre le bras.
• C’est bien, empale-toi sur Jacques.
Je m’exécute mon vagin de nouveau rempli.
• Adrien prend là en double pénétration, vous allez la faire hurler de plaisir.
Pour hurler, je hurle, au point que dans la chambre voisine, nous entendons taper, sentir la bite de Jacques se frotter à travers ma paroi contre celle de Damien, c'est incroyable, je jouis sans interruption, des vagues montent de mon dos jusqu’à mon cerveau, immédiatement pour recommencer.
Ils me remplissent comme jamais je ne l’aie été, surtout quand Anabelle s’étant dénudée s’appuie sur la tête de lit et descends apportant sa chatte à hauteur de ma bouche les cuisses écartées.
J’ai du mal à tous coordonner, entre le clito de ma nouvelle amie et ces verges qui en cœur entrent et sortent de moi, j’ai toujours entendu les gens parler de petite mort, je sais qu’au moment où il décharge en cœur, la cyprine qui m’inonde me la fait connaître.
Je m’écroule sur la poitrine de Jacques, Adrien sur mon dos semble avoir lui aussi perdu ses esprits, je sens sa verge toute molle toujours en moi, du sperme devant sortir de mon anus me coule sur les jambes.
• C’est bon les gars, lâcher lui le cul, il faut que nous rentrions, sinon Polo, il va croire que nous sommes tombées amoureuses de vos bites, et quand Polo trouve que l’on est trop longue, il devient méchant.
Le vide se fait autour de moi.
• Va prendre une douche, on dirait une vieille pute sur le retour, Polo, il aime que nous soyons des fiches fraîches, sinon on est bonne pour des queues africaines au Togo.
• Comme, ce qui est arrivé à Sabrina.
• Exacte, elle a pris l’avion hier, je suis sûr que dès ce soir, elle s’est fait ses cinquante bites.
Je vois que notre jeu fonctionne, les deux gars de province nous prennent vraiment pour des putes et gobent tous nos dires.
Une fois de plus comme dans la chambre du gars près de la Porte de Saint-Cloud, l’argent que j’ai dans la poche de ma veste fait peut-être de moi une fille de joie.
Nous quittons l’hôtel, bras dessus, bras dessous.
• Je me suis éclatée, te voir te faire baiser comme une chienne par ces pauvres gars qui vont retrouver bonbonne comme toi tu l’étais avant-hier, était grisant. Tu vois ici dans le quartier si tu connais les codes, il est facile de se faire du fric, vient avant d’entrer, nous allons petit déjeuner près du moulin rouge, j’y vais de temps en temps si ma boîte ne m’a pas trop fatigué.
Nous refaisons le chemin inverse et passons devant chez Luigi, tout est fermé, le bel Italien à peut-être la bite de Pedro, son cuistot dans l’anus ou au fond de sa gorge là où ils habitent.
• Salut, les filles, la soirée et la nuit se sont bien passées !
• À part une descente de flic suite à deux cons qui en sont venus aux mains, j’ai fait assez de clients, mon mec va être satisfait.
• Katia, que fais-tu là, je t’avais payé tes journées pendant la fermeture de la boîte.
• Mon petiot, il veut de nouvelle basket, dès à trois bandes, j’en avais trouvé, mais des copies chinoises, il me les a mises à travers de la figure, il fallait bien que je gagne quelques billets supplémentaires.
Nous irons lui acheter, dès que le magasin sera ouvert.
Je parle à l’oreille d’Anabelle tout doucement.
• Dis, ce sont des putes, je croyais que la prostitution était interdite en France, risquent-elles de se retrouver en prison !
• Tu te trompes, le racolage dans les lieux publics est interdit, les bars à putes qui racolent le client, c’est interdit.
Nous prenons un café avec des croissants, moi qui ne mange jamais le matin, j’ai une faim de loup, c’est vrai quand j’étais jeune, avec mon mari, il nous arrivait d’aller manger des croissants quand nous sortions de boîtes, ce qui était rare à cause des enfants.
• Salut, les filles, nous rentrons, Alice a eu une rude journée et dans trois heures mes ouvriers vont faire du bruit.
Katia évite de traîner, j’ai besoin de toi samedi et je voudrais éviter d’aller te sortir du commissariat.
• Tu as raison Annabelle, mon fils va avoir ses chaussures, c’est le principal.
Chez nous, quand j’ai besoin de quelque chose pour moi et les enfants, je donne ma carte bleue et contre un bout de papier, j’apporte mes achats.
En entrant, nous nous écroulons dans sa chambre au drap de soie, impossible de m’occuper de la chatte d’Anabelle.
Les premiers coups de marteau me réveillent, il est temps de rentrer voir comment Sylvain a vécu mon éloignement, je remets mes habits de bourge, j’embrasse Anabelle sur le front ne voulant pas la réveiller.
Je fais signe à un taxi, j’ai de quoi payer et surtout j’ai assez vu d’arbres et de nœuds sur les arbres.
Me faisant déposer devant notre immeuble, je récupère le double des clefs chez la concierge, à la maison, il est déjà parti à son travail, je me douche et au lit, j’ai des heures de sommeil à rattraper.
Quand il rentre, je m’attends à des questions, il prend son journal que j’ai monté avec le courrier.
Il fait sauter ses chaussures et sans même me regarder, il s’installe dans son fauteuil, comme chaque jour, je lui sers un verre de whisky, il le prend sans même me regarder.
Pas une question sur mon absence pendant trois jours, le samedi, il part faire le tour du lac du bois de Boulogne avec ses copains, je sais que demain après-midi, ce sera son match de football au Racing club de France section vétérans.
Il est 17 heures quand je quitte l’appartement le samedi, je vais dans une boutique changer mes vêtements, j’ai trouvé un short ras la chatte, que je paye avec l’argent soustrait aux Provinciaux, j’ai laissé ma carte bleue avec mes clefs sur la table de la salle.
• Prune, je t’attendais, j’étais sûr que tu viendrais ce soir, j’espère que c’est définitivement.
Katia est à la barre, il va falloir que j’apprenne ou qu’Anabelle me forme à faire les cocktails qu’elle sert à nos clients.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci à celui qui a relevé ma note, toujours ce premium qui saque
Je pense qu'elle quitte tous pour changer sa vie... Je vais lui demandé, je la vois dans trois mois...
Amitiés
Amitiés
Et les enfants qu'elle a eu ? Son mari elle le quitte ou pas ?