Titre de l'histoire érotique : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (24) Abattage
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (24) Abattage
J’ai raconté, depuis ma rencontre avec Rachid (récit n°10) comment celui-ci, devenu mon mâle, avait fait de moi une «salope intégrale» et avait repoussé toujours plus loin les limites de mon hypersexualité comme le candaulisme de mon mari Philippe. Celui-ci assumait ses fantasmes plus loin qu’il n’aurait pu en rêver, lui qui, pendant des années, avait tant fait pour me convaincre d’aller vers ma pente naturelle. De son côté, il avait aussi fait son coming-out et assumait enfin sa bisexualité, car il Rachid était aussi devenu son amant, ou plutôt son mâle, car Rachid était exclusivement actif et dominateur.
Pourquoi avons-nous tout accepté ?
Devenue la « femelle » de Rachid, j’ai, pendant tous ces mois, avec l’accord et la complicité active de Philippe, tout accepter. Rachid m’a offerte à de nombreux hommes, en commençant par le concierge Georges, nos voisins, les collègues de travail de Philippe, à notre domicile, sur le lieu de travail de Philippe, ou chez d’autres complices de ces parties fines, comme la maison de campagne de Christine et Jean, où mon ennemie intime, Marie C. était l’ordonnatrice de séance SM de plus en plus hard.
Toutes les semaines, je me rendais dans la cité de Rachid, pour être la « putain gratuite » des jeunes du quartier. Commencées dans une cave (récit n°20), ces séances se poursuivaient dans l’appartement mis à disposition par Kamel, ami très proche de Rachid. J’en reparlerai car ce détail a une grande importance, Kamel étant le frère de celui qui fut ensuite mon mâle et mon mari, Hassan.
Oui, nous avons tout accepté et n’avons été contraints à rien. Je suis allé jusqu’à me faire féconder par Rachid, en présence de Philippe et avec son accord. Nous n’avons pas hésité à ruiner notre réputation dans la ville, méprisés tant dans la « bonne société » que dans le quartier sensible où les jeunes se vantaient de « cocufier la femme de T », un notable de la ville. Même les partouzes sado-masochistes du week-end, organisées au «château», je les acceptais.
Et pourtant, les choses allaient de plus en plus loin et je n’ignorais ni les conséquences, ni les menaces qui pesaient, la plus grave étant la volonté de Marie C de me détruire et de me prendre Philippe. Celui-ci, même s’il avait eu des relations sexuelles avec elle, continuait à me porter un amour exclusif, et cela rendait Marie folle de rage et donc particulièrement dangereuse.
Pourquoi alors acceptais-je tout cela et n’y mettait pas fin, comme Philippe m’y avait invité à plusieurs reprises ?
J’aurais pourtant du comprendre que Rachid n’avait aucun sentiment pour moi. Au contraire, à travers moi et Philippe, il pensait prendre sa revanche sur les gens des beaux quartiers, en humiliant un notable et en montrant à tous qu’il faisait ce qu’il voulait de la belle épouse de celui-ci. Il n’avait donc pas besoin d’être poussé beaucoup pour aller dans le sens voulu par sa complice Marie C. Il m’a fallu beaucoup de temps pour le comprendre. Depuis le jour où Rachid m’avait « forcé » dans l’ascenseur de mon immeuble, j’étais devenue follement amoureuse de lui. Il pouvait tout me demander. Ce qui ne m’empêchait de continuer à aimer Philippe. Rachid, je le rappelle, avait 11 ans de moins que moi. Il avait un visage d’ange, un corps de Dieu, musclé. J’étais folle de lui.
J’obéissais aussi à mes sens. Je n’imaginais pas pouvoir me passer des étreintes, des saillies de Rachid. J’étais insatiable. Avant lui, personne ne m’avait donné autant de plaisir. Ma chatte, ma bouche, mon anus, ne pouvaient se passer de sa superbe queue et ses caresses me rendaient folle.
Il y avait aussi le fait que, tant en ce qui me concernait pour mon hypersexualité, que Philippe pour son caudaulisme, nous poussions jusqu’au bout nos fantasmes et nos tendances naturels. Nous n’avions pu aucune limite. Rachid l’avait compris et en profitait.
J’ajoute une dernière chose en ce qui me concerne. De par mes origines, j’ai eu une éducation très croyante. Consciemment, j’acceptais les séances les plus dures, celles organisées par Marie C. avec la volonté de me punir, parce que je ressentais une forte culpabilité pour mon comportement.
Il y a eu pourtant plusieurs épisodes, avant la naissance de ma fille Lucie, où Rachid est allé de plus en plus loin et, où, à chaque fois, Philippe et moi nous nous sommes dits qu’il fallait mettre fin à ces dérives graves avant que ça ne dérive davantage. Mais à chaque fois, il suffisait que je me retrouve dans le lit de Rachid pour que toute volonté m’abandonne, pour que je renouvelle mon abandon, ma totale soumission, à celui qui était devenu non seulement mon mâle, mais mon maître. Et ce d’autant plus que Philippe, qui assistait à nos étreintes, encourageait notre amant commun.
• Oui, Rachid, c’est beau, je ne m’en lasse pas, elle est à toi, bourre la, vas-y, plus fort, je veux l’entendre hurler de plaisir
Et pendant que j’enchainais les orgasmes sous les assauts de Rachid, Philippe éjaculait sans avoir besoin de se toucher. Souvent, nous lui demandions de venir et de se vider dans ma bouche, ou alors sur mon visage ou mes seins. Et ensuite, nous stimulions ensemble, par une fellation, notre amant commun, pour qu’il puisse nous honorer l’un ou l’autre.
Je vais donc maintenant évoquer les circonstances où il est allé trop loin, même si, sur le moment, j’ai été incapable d’en tirer les conséquences en mettant fin à cette descente aux enfers où m’entrainaient mes sentiments envers Rachid, mon hypersexualité, le candaulisme de Philippe, mais aussi ma volonté de me punir de mes fautes.
Comme je l’ai raconté (récit 20), Rachid m’amenait chaque semaine dans sa cité d’origine, pour m’offrir aux jeunes du quartier. Ça se passait dans l’appartement de Kamel, le pote de Rachid et celui-ci choisissaient avec Rachid ceux qui auraient le plaisir de faire ça avec une « bourge des beaux quartiers » de la ville. La plupart de ces jeunes étaient peu expérimentés, voire «puçeaux». Ils étaient, selon les semaines, entre cinq à dix qui profitaient de mon corps. Souvent en présence de Rachid, qui se comportait comme mon mac, et aussi de temps en temps en présence de Philippe, qui se faisait copieusement insulter par ces jeunes, qui ne comprenaient pas qu’u mari laisse son épouse se comporter ainsi et qu’en plus il y trouve du plaisir.
J’ai fait ça pendant des mois, jusqu’à ce que ma grossesse m’oblige à interrompre ces rendez-vous. Je les ai repris après la naissance de Lucie, jusqu’à ma rencontre avec Hassan et ma rupture avec Rachid. Dans cette cité c’est toute une génération dont j’ai fait l’éducation sexuelle et qui ont gardé le souvenir de ces moments.
Mais Rachid voulait aller plus loin. Il y avait dans la ville un foyer de travailleurs migrants. Rachid m’y amena plusieurs fois. La première fois ce fut quelques jours après ma fécondation. Il me dit :
• Tu m’as épuisé, salope. J’ai trouvé ce qu’il faut pour éteindre le feu que tu as au cul. Je t’amène au foyer S. Il y a là des travailleurs célibataires ou loin de leurs familles, des chibanis qui n’ont pas eu l’occasion depuis longtemps de se vider les couilles, surtout avec une bourge comme toi. Ce sera de l’abattage. Philippe, tu es d’accord ?
Il ne me demandait pas mon avis, il se contentait de demander l’accord de Philippe.
• Du moment qu’Olga est d’accord et qu’elle ait du plaisir. Tu sais qu’elle est insatiable et moi je ne me lasse pas de la voir prise par d’autres hommes.
• Et moi vous ne me demandez pas ce que j’en pense ?
• Tu es à moi, femme, je suis ton mâle. Ton mari t’a confié à moi et je fais de toi ce que je veux. Obéis, sinon tu ne me verras plus. Peux-tu te passer de moi ?
• Non, tu le sais. Tu es mon homme. Je ferai ce que tu veux. Après tout, c’est une nouvelle occasion de m’envoyer en l’air et tu sais que j’aime ça, et mon mari adore ça aussi !
• C’est une nouvelle humiliation pour moi que ma femme soit offerte à ces types, mais en même temps ça m’excite énormément. Et comment as-tu fait pour pouvoir rentrer dans ce foyer ?
• Grâce à la complicité de deux vigiles, ils auront droit à une récompense en nature. Bien évidemment, pas question de prendre des risques : les rapports seront protégés. Et ces gens méritent que tu te présentes avec soin : tu vas mettre une jolie robe, un soutien-gorge, des bas avec porte-jarretelles. Ils auront le plaisir d’enlever tout ça et de se taper une bourge et l’épouse d’un notable.
Nous arrivons au foyer, qui a été rénové récemment. Les deux vigiles nous accueillent, ils se montrent très familiers avec moi, en posant leurs mains sur mes fesses et mes seins. Ils connaissent Philippe :
• Alors Monsieur T, cette fois vous venez la faire baiser ici, au foyer ? C’est vraiment une putain votre épouse. Toute la ville lui sera bientôt passée dessus.
• Ne portez pas de jugement. Vous allez en profiter ce soir, le reste ne vous regarde pas.
• Dis-donc le cocu, tu baisses le ton, tu veux ? Et Rachid n’oublies pas, on viendra vers 22h00. Allez au second étage, il y a une chambre assez grande, vide en ce moment, qui a été préparée.
On entre dans la chambre, je sors ma boite de 12 capotes et mon tube de gel, mais Rachid sort une boite encore plus grosse, de 50 capotes.
• Il faudra ça, ces types sont nombreux et ont besoin de se vider les couilles. N’oubliez pas les gras, elle est à vous, faites lui tout ce que vous avez envie. La seule chose : capote obligatoire !
Puis il sort et me dit que c’est parti. Philippe se met une chaise, pour ne rien perdre du spectacle.
Je regarde autour de moi, je compte au moins 7 hommes. Trois d’entre eux se présentent, un colosse roux qui doit avoir dans la quarantaine, André, un autre dont les mains calleuses confirment qu’il est maçon, Miguel et un Chibani qui me dit s’appeler Ahmed.
On retrousse ma robe dévoilant le porte-jarretelles.
• Putain ! Quelle pute, regardez ça les gars.
On se précipite et on baisse mon string. Aussitôt, des doigts s’enfoncent dans ma chatte.
On palpe mes fesses, mes seins à travers le haut de la robe. On s’énerve dessus et on finit par déchirer le bustier. Le soutien-gorge en dentelle apparait. On baisse les balconnets et des mains s’empressent de malaxer mes seins. Des bouches avides s’emparent de mes tétons et suce les pointes. Un jeune se met à genoux devant moi, écarte mes jambes et me bouffe le sexe. Il donne de grands coups de langue agaçant le clitoris. Je commence à pousser des cris de plaisir.
Je me mords la lèvre inférieure et ferme les yeux lorsque je sens deux paumes chaudes se refermer timidement sur mes mollets. Les deux mains remontent ensuite doucement pour atteindre les cuisses qu’elles se mettent à caresser d’un mouvement régulier et circulaire. Les doigts se referment pour saisir la peau douce et brûlante alors que ma respiration se fait de plus en plus sifflante. Je ne peux m’empêcher de poser mes mains sur le crâne aux cheveux épais et bouclés afin de le caresser. J’ouvre les yeux à demi en sentant une présence à mes côtés. Le roux, le visage presque écarlate, et Miguel, les yeux plus animés que jamais et les joues rosées, se sont approchés. Leur respiration est également bruyante et accompagne celles des deux autres protagonistes.
• Ahhh !
C’est en pliant subitement les genoux tout en refermant mes cuisses et mes mains autour du crâne de mon partenaire que je pousse ce cri aigu qui raisonne dans la chambre. En effet, Ahmed, en prolongeant une de ses caresses vient de heurter du bout des doigts le fruit intime et recouvert du tissu satiné. Les trois hommes se regardent, également surpris par la puissance du cri alors que, le visage déformé par une grimace de plaisir, je tente de retrouver mes esprits. Je me redresse, me cambre et fais l’effort d’écarter un peu plus les jambes, le souffle court. L’Arabe en profite pour, de la paume d’une de ses mains, caresser nerveusement l’entrejambe de sa proie. Surexcité, il se lève ensuite pour refermer ses mains sur mes hanches et m’attirer à lui d’une manière presque brusque.
Nos deux regards se croisent mais je baisse rapidement les yeux sous l’effet de cette vague de plaisir incontrôlable provoquée par le contact du bas-ventre de l’homme contre le mien. La mâchoire inférieure légèrement tremblante, j’entrouvre légèrement la bouche comme pour appeler celle du Maghrébin. La langue épaisse d’Ahmed, au goût de tabac et de thé vert, s’enroule fébrilement autour de la mienne.
Ahmed met ensuite délicatement fin au mélange des deux muqueuses afin de coller ses lèvres sur le cou chaud et à la peau fine pour entamer une série de baisers humides. La tête en arrière et la gorge déployée, j’émets un feulement de bête blessée qui se répercute dans la chambre. Les observateurs sont maintenant au paroxysme de l’excitation et leur respiration est haletante. Je tourne la tête vers eux au moment où le visage proche de l’explosion, ils sont en train de dégrafer fébrilement leur braguette, les mains tremblantes.
Ahmed a maintenant baissé le string qui se retrouve enroulé à mi-cuisses. Il fait passer une de ses mains entre son ventre et le mien, glisse trois doigts à l’intérieur des poils et des chairs trempées et agacées avant de dresser le majeur afin de préparer une pénétration. Je plante mes dents dans son épaule afin d’éviter de hurler mais ne peux s’empêcher de pousser une longue plainte étouffée. Le majeur s’introduit à mi-course dans le puits pour commencer d’en inspecter les contours. Transportée sur un nuage paradisiaque, les yeux dans le vague, je lance un nouveau regard vers les autres comparses. Ces inconnus, les résidents de ce foyer, vont me baiser, sous le regard complice de Rachid, qui est revenu dans la chambre, et de Philippe.
André, le roux, est parvenu à extirper de la braguette des pantalons de velours une queue blanche, longue, droite, fine et terminée par un gland rond et rouge qui pointe en hauteur. Les couilles, enfermées dans leur sac recouvert de poils blonds et roux sont également sorties de la braguette, congestionnées sous l’effet de la pression. Miguel, de son côté, a dégrafé son ceinturon et légèrement baissé son slip et son jean pour libérer un sexe court et épais perdu au milieu d’une pilosité aussi foncée qu’abondante. Un gland en forme de champignon semble lui aussi réclamer son dû. Le colosse, fou de désir, s’avance vers le couple et tente de pousser le Maghrébin afin de profiter de moi.
• À moi ! Vocifère-t-il d’une voix tonitruante.
• Attends ton tour ! répond Ahmed d’une voix stridente.
Un moment de silence s’installe. Je regarde les deux sexes encore dressés. L’envie qui me taraude est de plus en plus vive depuis que je me rends compte que je suis capable de provoquer une véritable émeute. Je suis comblée car en train de vivre quelque chose qui correspond bien à ce dont elle j’avais envie : j’allais me faire baiser comme ce que j’étais devenue, à savoir une putain.
• Non, ne vous battez pas pour moi. Je vais vous rendre heureux. Je vais vous donner du plaisir, Mais soyez un peu patients ! Ça te plait, Philippe ?
• Oh oui, ma chérie. Tu es vraiment la plus grande des salopes.
• Sors ta queue, mon chéri. Je veux te voir gicler sans que tu te touches.
Je m’approche du roux pour me dresser sur le bout des pieds afin de passer le bout de la langue sur le visage écarlate et bouillant puis me tourne vers l’autre, lui saisit une main que je plaque sur un de mes seins et approche mon visage lentement afin de délivrer la même application humide. Je recule ensuite légèrement et m’accroupis afin d’avoir la queue blanche à hauteur du visage. J’entoure le bâton de chair avec l’extrémité des doigts d’une main tandis que l’autre est posée à plat sur la cuisse opposée de l’homme qui se cambre en respirant fortement. J’arrondis la bouche pour m’emparer de la hampe qui se dresse encore un peu plus. J’entame une caresse, m’appliquant à faire glisser les lèvres sur un rythme lent mais régulier. Des bruits humides occupent l’atmosphère. Les mains du colosse se sont refermées sur mon crâne mais je m’en débarrasse prestement, désirant ainsi signifier que je veux continuer de contrôler la situation. Au bout de quelques minutes, le souffle du roux se fait de plus en plus saccadé et se transforme en un grognement sourd tandis que les cuisses puissantes se mettent à trembler. Je fais coulisser les doigts le long de la bite et j’ai juste le temps de me débarrasser du membre, sur le point d’exploser, avant de voir deux jets d’un liquide blanc fuser sur le côté et se répandre sur le sol. Moi qui adore le sperme, j’aurais aimé l’avaler, mais les consignes de Rachid sont sans ambiguïté.
Ahmed s’approche, au paroxysme de la fébrilité, en exhibant une queue brune courbe, de taille moyenne et terminée par un gland en forme de fusée. Seule la tige sort de la braguette. Il a l’intention de profiter de la même caresse.
Miguel, quant à lui, se tient à l’écart, observateur, le sexe raide et les bras le long du corps.
Je repousse le roux encore abruti, me lève et me débarrasse du string, trempé, que je donne à Philippe. Je me dirige ensuite vers un des murs de la pièce, m’appuie d’une main contre la paroi me cambre et écarte les jambes, présentant ainsi mes formes les plus intimes. Je tourne ensuite la tête vers Ahmed auquel je souris, lui adresse un clin d’œil et dis avec une moue et sur un ton presque implorant :
• Viens, alors, qu’est-ce que tu attends ? Mais n’oublie pas de mettre ce qu’il faut.
Le type se précipite vers la boîte, l’ouvre et en ressort un étui à préservatif qu’il ouvre nerveusement. Il fait glisser la protection sur la hampe raide et vient se placer derrière moi, qui me hausse légèrement sur le bout des pieds. Je me mords les lèvres lorsque je sens le bout de la tige donner des coups rapides afin de trouver l’entrée de son ventre.
• Haa ! Doucement, doucement !
Ahmed, les jambes légèrement fléchies, a refermé ses doigts dans la chair chaude et soyeuse de mes hanches. Il est en train de me posséder. Il commence ensuite à faire coulisser son sexe qui ressort à chaque fois un peu plus luisant. Il procède ainsi pendant un long moment, goûtant le plus longtemps possible à ce plaisir qu’il n’aurait jamais soupçonné pouvoir consommer quelques heures auparavant. Comme toujours, la présence de Philippe décuple mon plaisir.
La mâchoire crispée, je sens brusquement la bite se durcir un peu plus tandis que les coups de reins de mon partenaire deviennent progressivement désordonnés. Ahmed se plante une dernière fois en poussant un cri sec et nerveux suivi de plusieurs plaintes. Je ressers mes chairs intimes tout en me mordant un peu plus les lèvres alors que l’enveloppe de plastic se remplit peu à peu d’un produit qui réchauffe ses entrailles. Le Maghrébin, épuisé, enserre de ses bras ma taille, la poitrine appuyée contre mon dos. Il se redresse ensuite afin d’extraire son sexe.
J’ai conservé ma position lorsque j’entends Miguel approcher en soufflant. Je tourne la tête vers lui et le regarde. L’homme me saisit un bras fermement, une lueur dure dans les yeux.
• Allonge-toi sur la table !
Je me rends compte que la manière avec laquelle il s’est adressé à moi ne me déplaît pas. Je me dirige vers la table et prends appui des deux mains sur le bord en bois. Tout en fixant Miguel d’un air insolent, je me hausse sur les bouts des pieds afin de pouvoir m’asseoir sur le meuble.
• Allez, viens !
Je ponctue ces derniers mots par une moue puis me renverse sur la table en écartant largement les jambes que je ramène sur les flancs. L’homme vient se placer entre mes jambes, s’accroupit et plaque les paumes de ses mains à l’intérieur des cuisses offertes pour les maintenir. Il pose ensuite ses lèvres sur la vulve et commence à lécher le fruit juteux. J’ouvre les yeux en grand et semble transportée dans un univers d’extase. Les bruits de succion cessent au bout d’un moment. Miguel se relève et va se saisir d’une pochette de préservatif qu’il déchire pour ensuite dérouler la protection sur son muscle aussi court que nerveux. Il passe chacun de ses bras sous mes cuisses chaudes pour les soulever.
Ecarlate, Miguel parvient, par de petits coups de reins, à présenter sa queue face à mon orifice intime puis s’enfonce d’un mouvement continu. Ses doigts abîmés par les travaux se referment sur les chairs couleurs pain brûlé des cuisses pleines. Il reste ainsi immobile quelques secondes puis commence à me limer sur un rythme régulier tandis que la table se met à grincer. Je savoure cette étreinte. Les yeux plongés dans ceux de celui qui me prend, j’écoute les couinements du meuble, les doigts de ses mains recroquevillés sur les bords. Le visage de Miguel est déformé par un rictus alors que la lèvre inférieure de sa bouche tremble légèrement.
Les couinements de la table se font plus rapides et les ongles de l’ouvrier s’enfoncent encore un peu plus dans la chair des cuisses. La bite épaisse se courbe et le gland gonfle encore un peu plus avant que, de nouveau, mon ventre soit envahi par une vague de chaleur qui lui réchauffe entièrement le corps. L’homme a encore la force de donner quelques coups de reins en râlant avant de s’immobiliser, pétrifié, le regard dans le vide. Une fois ses esprits retrouvés, il s’extirpe.
Un autre mec entre. Il baisse son pantalon et sort sa queue sans dire un mot, moi je me mets en levrette sur le petit lit et je lui montre bien mon cul pendant qu’il enfile sa capote. Et comme ça pendant à peu près deux heures les hommes se succèdent dans la chambre. Des fois je n’ai même pas le temps d’aller au lavabo me passer un peu d’eau pour me rafraichir. Ils jouissent tous dans leur capote. Et la file d’attente ne diminue pas devant la chambre. Certains mecs durent très peu et jouissent très rapidement, d’autres donnent des coups de reins assez forts, je sens leur queue taper au fond. Je les prends toujours en levrette en écartant bien les fesses.
Sur le coup de 22 heures, les deux vigiles montent et demandent à tirer un coup eux-aussi. Ils baissent leurs pantalons et l’un des deux m’introduit sa queue dans la bouche et commence à me baiser méthodiquement, comme si c’était une chatte. L’autre me plante sa queue bien à fond dans ma chatte. Ça dure comme ça pendant 20 minutes.
A la fin, celui qui est dans ma bouche y éjacule bien au fond sans se retirer. Je ne peux rien faire, je sens sa giclée couler dans ma gorge. L’autre un peu après sort de ma chatte et enlève sa capote et me jouit sur les fesses. Après ils sortent de la chambre et je prends le temps de me rincer. Puis je reprends le rythme pendant encore à peu près deux heures.
A la fin, Rachid et Philippe me diront que je me suis enfilé 27 queues. On s’en va avant le changement de garde des vigiles. Nous rentrons à la maison, j’ai le bas ventre bien endolori, mais Rachid et Philippe voulaient encore que je fasse mon « devoir conjugal ».
Je m’étais laissé, une fois de plus, entraîner par mes sens. Mais, pour la première fois, une fois la séance terminée, je ressentais de la gêne, voire de la honte. Je me disais qu’il fallait arrêter ça. Mais j’étais encore et toujours sous la coupe de Rachid.
Pourquoi avons-nous tout accepté ?
Devenue la « femelle » de Rachid, j’ai, pendant tous ces mois, avec l’accord et la complicité active de Philippe, tout accepter. Rachid m’a offerte à de nombreux hommes, en commençant par le concierge Georges, nos voisins, les collègues de travail de Philippe, à notre domicile, sur le lieu de travail de Philippe, ou chez d’autres complices de ces parties fines, comme la maison de campagne de Christine et Jean, où mon ennemie intime, Marie C. était l’ordonnatrice de séance SM de plus en plus hard.
Toutes les semaines, je me rendais dans la cité de Rachid, pour être la « putain gratuite » des jeunes du quartier. Commencées dans une cave (récit n°20), ces séances se poursuivaient dans l’appartement mis à disposition par Kamel, ami très proche de Rachid. J’en reparlerai car ce détail a une grande importance, Kamel étant le frère de celui qui fut ensuite mon mâle et mon mari, Hassan.
Oui, nous avons tout accepté et n’avons été contraints à rien. Je suis allé jusqu’à me faire féconder par Rachid, en présence de Philippe et avec son accord. Nous n’avons pas hésité à ruiner notre réputation dans la ville, méprisés tant dans la « bonne société » que dans le quartier sensible où les jeunes se vantaient de « cocufier la femme de T », un notable de la ville. Même les partouzes sado-masochistes du week-end, organisées au «château», je les acceptais.
Et pourtant, les choses allaient de plus en plus loin et je n’ignorais ni les conséquences, ni les menaces qui pesaient, la plus grave étant la volonté de Marie C de me détruire et de me prendre Philippe. Celui-ci, même s’il avait eu des relations sexuelles avec elle, continuait à me porter un amour exclusif, et cela rendait Marie folle de rage et donc particulièrement dangereuse.
Pourquoi alors acceptais-je tout cela et n’y mettait pas fin, comme Philippe m’y avait invité à plusieurs reprises ?
J’aurais pourtant du comprendre que Rachid n’avait aucun sentiment pour moi. Au contraire, à travers moi et Philippe, il pensait prendre sa revanche sur les gens des beaux quartiers, en humiliant un notable et en montrant à tous qu’il faisait ce qu’il voulait de la belle épouse de celui-ci. Il n’avait donc pas besoin d’être poussé beaucoup pour aller dans le sens voulu par sa complice Marie C. Il m’a fallu beaucoup de temps pour le comprendre. Depuis le jour où Rachid m’avait « forcé » dans l’ascenseur de mon immeuble, j’étais devenue follement amoureuse de lui. Il pouvait tout me demander. Ce qui ne m’empêchait de continuer à aimer Philippe. Rachid, je le rappelle, avait 11 ans de moins que moi. Il avait un visage d’ange, un corps de Dieu, musclé. J’étais folle de lui.
J’obéissais aussi à mes sens. Je n’imaginais pas pouvoir me passer des étreintes, des saillies de Rachid. J’étais insatiable. Avant lui, personne ne m’avait donné autant de plaisir. Ma chatte, ma bouche, mon anus, ne pouvaient se passer de sa superbe queue et ses caresses me rendaient folle.
Il y avait aussi le fait que, tant en ce qui me concernait pour mon hypersexualité, que Philippe pour son caudaulisme, nous poussions jusqu’au bout nos fantasmes et nos tendances naturels. Nous n’avions pu aucune limite. Rachid l’avait compris et en profitait.
J’ajoute une dernière chose en ce qui me concerne. De par mes origines, j’ai eu une éducation très croyante. Consciemment, j’acceptais les séances les plus dures, celles organisées par Marie C. avec la volonté de me punir, parce que je ressentais une forte culpabilité pour mon comportement.
Il y a eu pourtant plusieurs épisodes, avant la naissance de ma fille Lucie, où Rachid est allé de plus en plus loin et, où, à chaque fois, Philippe et moi nous nous sommes dits qu’il fallait mettre fin à ces dérives graves avant que ça ne dérive davantage. Mais à chaque fois, il suffisait que je me retrouve dans le lit de Rachid pour que toute volonté m’abandonne, pour que je renouvelle mon abandon, ma totale soumission, à celui qui était devenu non seulement mon mâle, mais mon maître. Et ce d’autant plus que Philippe, qui assistait à nos étreintes, encourageait notre amant commun.
• Oui, Rachid, c’est beau, je ne m’en lasse pas, elle est à toi, bourre la, vas-y, plus fort, je veux l’entendre hurler de plaisir
Et pendant que j’enchainais les orgasmes sous les assauts de Rachid, Philippe éjaculait sans avoir besoin de se toucher. Souvent, nous lui demandions de venir et de se vider dans ma bouche, ou alors sur mon visage ou mes seins. Et ensuite, nous stimulions ensemble, par une fellation, notre amant commun, pour qu’il puisse nous honorer l’un ou l’autre.
Je vais donc maintenant évoquer les circonstances où il est allé trop loin, même si, sur le moment, j’ai été incapable d’en tirer les conséquences en mettant fin à cette descente aux enfers où m’entrainaient mes sentiments envers Rachid, mon hypersexualité, le candaulisme de Philippe, mais aussi ma volonté de me punir de mes fautes.
Comme je l’ai raconté (récit 20), Rachid m’amenait chaque semaine dans sa cité d’origine, pour m’offrir aux jeunes du quartier. Ça se passait dans l’appartement de Kamel, le pote de Rachid et celui-ci choisissaient avec Rachid ceux qui auraient le plaisir de faire ça avec une « bourge des beaux quartiers » de la ville. La plupart de ces jeunes étaient peu expérimentés, voire «puçeaux». Ils étaient, selon les semaines, entre cinq à dix qui profitaient de mon corps. Souvent en présence de Rachid, qui se comportait comme mon mac, et aussi de temps en temps en présence de Philippe, qui se faisait copieusement insulter par ces jeunes, qui ne comprenaient pas qu’u mari laisse son épouse se comporter ainsi et qu’en plus il y trouve du plaisir.
J’ai fait ça pendant des mois, jusqu’à ce que ma grossesse m’oblige à interrompre ces rendez-vous. Je les ai repris après la naissance de Lucie, jusqu’à ma rencontre avec Hassan et ma rupture avec Rachid. Dans cette cité c’est toute une génération dont j’ai fait l’éducation sexuelle et qui ont gardé le souvenir de ces moments.
Mais Rachid voulait aller plus loin. Il y avait dans la ville un foyer de travailleurs migrants. Rachid m’y amena plusieurs fois. La première fois ce fut quelques jours après ma fécondation. Il me dit :
• Tu m’as épuisé, salope. J’ai trouvé ce qu’il faut pour éteindre le feu que tu as au cul. Je t’amène au foyer S. Il y a là des travailleurs célibataires ou loin de leurs familles, des chibanis qui n’ont pas eu l’occasion depuis longtemps de se vider les couilles, surtout avec une bourge comme toi. Ce sera de l’abattage. Philippe, tu es d’accord ?
Il ne me demandait pas mon avis, il se contentait de demander l’accord de Philippe.
• Du moment qu’Olga est d’accord et qu’elle ait du plaisir. Tu sais qu’elle est insatiable et moi je ne me lasse pas de la voir prise par d’autres hommes.
• Et moi vous ne me demandez pas ce que j’en pense ?
• Tu es à moi, femme, je suis ton mâle. Ton mari t’a confié à moi et je fais de toi ce que je veux. Obéis, sinon tu ne me verras plus. Peux-tu te passer de moi ?
• Non, tu le sais. Tu es mon homme. Je ferai ce que tu veux. Après tout, c’est une nouvelle occasion de m’envoyer en l’air et tu sais que j’aime ça, et mon mari adore ça aussi !
• C’est une nouvelle humiliation pour moi que ma femme soit offerte à ces types, mais en même temps ça m’excite énormément. Et comment as-tu fait pour pouvoir rentrer dans ce foyer ?
• Grâce à la complicité de deux vigiles, ils auront droit à une récompense en nature. Bien évidemment, pas question de prendre des risques : les rapports seront protégés. Et ces gens méritent que tu te présentes avec soin : tu vas mettre une jolie robe, un soutien-gorge, des bas avec porte-jarretelles. Ils auront le plaisir d’enlever tout ça et de se taper une bourge et l’épouse d’un notable.
Nous arrivons au foyer, qui a été rénové récemment. Les deux vigiles nous accueillent, ils se montrent très familiers avec moi, en posant leurs mains sur mes fesses et mes seins. Ils connaissent Philippe :
• Alors Monsieur T, cette fois vous venez la faire baiser ici, au foyer ? C’est vraiment une putain votre épouse. Toute la ville lui sera bientôt passée dessus.
• Ne portez pas de jugement. Vous allez en profiter ce soir, le reste ne vous regarde pas.
• Dis-donc le cocu, tu baisses le ton, tu veux ? Et Rachid n’oublies pas, on viendra vers 22h00. Allez au second étage, il y a une chambre assez grande, vide en ce moment, qui a été préparée.
On entre dans la chambre, je sors ma boite de 12 capotes et mon tube de gel, mais Rachid sort une boite encore plus grosse, de 50 capotes.
• Il faudra ça, ces types sont nombreux et ont besoin de se vider les couilles. N’oubliez pas les gras, elle est à vous, faites lui tout ce que vous avez envie. La seule chose : capote obligatoire !
Puis il sort et me dit que c’est parti. Philippe se met une chaise, pour ne rien perdre du spectacle.
Je regarde autour de moi, je compte au moins 7 hommes. Trois d’entre eux se présentent, un colosse roux qui doit avoir dans la quarantaine, André, un autre dont les mains calleuses confirment qu’il est maçon, Miguel et un Chibani qui me dit s’appeler Ahmed.
On retrousse ma robe dévoilant le porte-jarretelles.
• Putain ! Quelle pute, regardez ça les gars.
On se précipite et on baisse mon string. Aussitôt, des doigts s’enfoncent dans ma chatte.
On palpe mes fesses, mes seins à travers le haut de la robe. On s’énerve dessus et on finit par déchirer le bustier. Le soutien-gorge en dentelle apparait. On baisse les balconnets et des mains s’empressent de malaxer mes seins. Des bouches avides s’emparent de mes tétons et suce les pointes. Un jeune se met à genoux devant moi, écarte mes jambes et me bouffe le sexe. Il donne de grands coups de langue agaçant le clitoris. Je commence à pousser des cris de plaisir.
Je me mords la lèvre inférieure et ferme les yeux lorsque je sens deux paumes chaudes se refermer timidement sur mes mollets. Les deux mains remontent ensuite doucement pour atteindre les cuisses qu’elles se mettent à caresser d’un mouvement régulier et circulaire. Les doigts se referment pour saisir la peau douce et brûlante alors que ma respiration se fait de plus en plus sifflante. Je ne peux m’empêcher de poser mes mains sur le crâne aux cheveux épais et bouclés afin de le caresser. J’ouvre les yeux à demi en sentant une présence à mes côtés. Le roux, le visage presque écarlate, et Miguel, les yeux plus animés que jamais et les joues rosées, se sont approchés. Leur respiration est également bruyante et accompagne celles des deux autres protagonistes.
• Ahhh !
C’est en pliant subitement les genoux tout en refermant mes cuisses et mes mains autour du crâne de mon partenaire que je pousse ce cri aigu qui raisonne dans la chambre. En effet, Ahmed, en prolongeant une de ses caresses vient de heurter du bout des doigts le fruit intime et recouvert du tissu satiné. Les trois hommes se regardent, également surpris par la puissance du cri alors que, le visage déformé par une grimace de plaisir, je tente de retrouver mes esprits. Je me redresse, me cambre et fais l’effort d’écarter un peu plus les jambes, le souffle court. L’Arabe en profite pour, de la paume d’une de ses mains, caresser nerveusement l’entrejambe de sa proie. Surexcité, il se lève ensuite pour refermer ses mains sur mes hanches et m’attirer à lui d’une manière presque brusque.
Nos deux regards se croisent mais je baisse rapidement les yeux sous l’effet de cette vague de plaisir incontrôlable provoquée par le contact du bas-ventre de l’homme contre le mien. La mâchoire inférieure légèrement tremblante, j’entrouvre légèrement la bouche comme pour appeler celle du Maghrébin. La langue épaisse d’Ahmed, au goût de tabac et de thé vert, s’enroule fébrilement autour de la mienne.
Ahmed met ensuite délicatement fin au mélange des deux muqueuses afin de coller ses lèvres sur le cou chaud et à la peau fine pour entamer une série de baisers humides. La tête en arrière et la gorge déployée, j’émets un feulement de bête blessée qui se répercute dans la chambre. Les observateurs sont maintenant au paroxysme de l’excitation et leur respiration est haletante. Je tourne la tête vers eux au moment où le visage proche de l’explosion, ils sont en train de dégrafer fébrilement leur braguette, les mains tremblantes.
Ahmed a maintenant baissé le string qui se retrouve enroulé à mi-cuisses. Il fait passer une de ses mains entre son ventre et le mien, glisse trois doigts à l’intérieur des poils et des chairs trempées et agacées avant de dresser le majeur afin de préparer une pénétration. Je plante mes dents dans son épaule afin d’éviter de hurler mais ne peux s’empêcher de pousser une longue plainte étouffée. Le majeur s’introduit à mi-course dans le puits pour commencer d’en inspecter les contours. Transportée sur un nuage paradisiaque, les yeux dans le vague, je lance un nouveau regard vers les autres comparses. Ces inconnus, les résidents de ce foyer, vont me baiser, sous le regard complice de Rachid, qui est revenu dans la chambre, et de Philippe.
André, le roux, est parvenu à extirper de la braguette des pantalons de velours une queue blanche, longue, droite, fine et terminée par un gland rond et rouge qui pointe en hauteur. Les couilles, enfermées dans leur sac recouvert de poils blonds et roux sont également sorties de la braguette, congestionnées sous l’effet de la pression. Miguel, de son côté, a dégrafé son ceinturon et légèrement baissé son slip et son jean pour libérer un sexe court et épais perdu au milieu d’une pilosité aussi foncée qu’abondante. Un gland en forme de champignon semble lui aussi réclamer son dû. Le colosse, fou de désir, s’avance vers le couple et tente de pousser le Maghrébin afin de profiter de moi.
• À moi ! Vocifère-t-il d’une voix tonitruante.
• Attends ton tour ! répond Ahmed d’une voix stridente.
Un moment de silence s’installe. Je regarde les deux sexes encore dressés. L’envie qui me taraude est de plus en plus vive depuis que je me rends compte que je suis capable de provoquer une véritable émeute. Je suis comblée car en train de vivre quelque chose qui correspond bien à ce dont elle j’avais envie : j’allais me faire baiser comme ce que j’étais devenue, à savoir une putain.
• Non, ne vous battez pas pour moi. Je vais vous rendre heureux. Je vais vous donner du plaisir, Mais soyez un peu patients ! Ça te plait, Philippe ?
• Oh oui, ma chérie. Tu es vraiment la plus grande des salopes.
• Sors ta queue, mon chéri. Je veux te voir gicler sans que tu te touches.
Je m’approche du roux pour me dresser sur le bout des pieds afin de passer le bout de la langue sur le visage écarlate et bouillant puis me tourne vers l’autre, lui saisit une main que je plaque sur un de mes seins et approche mon visage lentement afin de délivrer la même application humide. Je recule ensuite légèrement et m’accroupis afin d’avoir la queue blanche à hauteur du visage. J’entoure le bâton de chair avec l’extrémité des doigts d’une main tandis que l’autre est posée à plat sur la cuisse opposée de l’homme qui se cambre en respirant fortement. J’arrondis la bouche pour m’emparer de la hampe qui se dresse encore un peu plus. J’entame une caresse, m’appliquant à faire glisser les lèvres sur un rythme lent mais régulier. Des bruits humides occupent l’atmosphère. Les mains du colosse se sont refermées sur mon crâne mais je m’en débarrasse prestement, désirant ainsi signifier que je veux continuer de contrôler la situation. Au bout de quelques minutes, le souffle du roux se fait de plus en plus saccadé et se transforme en un grognement sourd tandis que les cuisses puissantes se mettent à trembler. Je fais coulisser les doigts le long de la bite et j’ai juste le temps de me débarrasser du membre, sur le point d’exploser, avant de voir deux jets d’un liquide blanc fuser sur le côté et se répandre sur le sol. Moi qui adore le sperme, j’aurais aimé l’avaler, mais les consignes de Rachid sont sans ambiguïté.
Ahmed s’approche, au paroxysme de la fébrilité, en exhibant une queue brune courbe, de taille moyenne et terminée par un gland en forme de fusée. Seule la tige sort de la braguette. Il a l’intention de profiter de la même caresse.
Miguel, quant à lui, se tient à l’écart, observateur, le sexe raide et les bras le long du corps.
Je repousse le roux encore abruti, me lève et me débarrasse du string, trempé, que je donne à Philippe. Je me dirige ensuite vers un des murs de la pièce, m’appuie d’une main contre la paroi me cambre et écarte les jambes, présentant ainsi mes formes les plus intimes. Je tourne ensuite la tête vers Ahmed auquel je souris, lui adresse un clin d’œil et dis avec une moue et sur un ton presque implorant :
• Viens, alors, qu’est-ce que tu attends ? Mais n’oublie pas de mettre ce qu’il faut.
Le type se précipite vers la boîte, l’ouvre et en ressort un étui à préservatif qu’il ouvre nerveusement. Il fait glisser la protection sur la hampe raide et vient se placer derrière moi, qui me hausse légèrement sur le bout des pieds. Je me mords les lèvres lorsque je sens le bout de la tige donner des coups rapides afin de trouver l’entrée de son ventre.
• Haa ! Doucement, doucement !
Ahmed, les jambes légèrement fléchies, a refermé ses doigts dans la chair chaude et soyeuse de mes hanches. Il est en train de me posséder. Il commence ensuite à faire coulisser son sexe qui ressort à chaque fois un peu plus luisant. Il procède ainsi pendant un long moment, goûtant le plus longtemps possible à ce plaisir qu’il n’aurait jamais soupçonné pouvoir consommer quelques heures auparavant. Comme toujours, la présence de Philippe décuple mon plaisir.
La mâchoire crispée, je sens brusquement la bite se durcir un peu plus tandis que les coups de reins de mon partenaire deviennent progressivement désordonnés. Ahmed se plante une dernière fois en poussant un cri sec et nerveux suivi de plusieurs plaintes. Je ressers mes chairs intimes tout en me mordant un peu plus les lèvres alors que l’enveloppe de plastic se remplit peu à peu d’un produit qui réchauffe ses entrailles. Le Maghrébin, épuisé, enserre de ses bras ma taille, la poitrine appuyée contre mon dos. Il se redresse ensuite afin d’extraire son sexe.
J’ai conservé ma position lorsque j’entends Miguel approcher en soufflant. Je tourne la tête vers lui et le regarde. L’homme me saisit un bras fermement, une lueur dure dans les yeux.
• Allonge-toi sur la table !
Je me rends compte que la manière avec laquelle il s’est adressé à moi ne me déplaît pas. Je me dirige vers la table et prends appui des deux mains sur le bord en bois. Tout en fixant Miguel d’un air insolent, je me hausse sur les bouts des pieds afin de pouvoir m’asseoir sur le meuble.
• Allez, viens !
Je ponctue ces derniers mots par une moue puis me renverse sur la table en écartant largement les jambes que je ramène sur les flancs. L’homme vient se placer entre mes jambes, s’accroupit et plaque les paumes de ses mains à l’intérieur des cuisses offertes pour les maintenir. Il pose ensuite ses lèvres sur la vulve et commence à lécher le fruit juteux. J’ouvre les yeux en grand et semble transportée dans un univers d’extase. Les bruits de succion cessent au bout d’un moment. Miguel se relève et va se saisir d’une pochette de préservatif qu’il déchire pour ensuite dérouler la protection sur son muscle aussi court que nerveux. Il passe chacun de ses bras sous mes cuisses chaudes pour les soulever.
Ecarlate, Miguel parvient, par de petits coups de reins, à présenter sa queue face à mon orifice intime puis s’enfonce d’un mouvement continu. Ses doigts abîmés par les travaux se referment sur les chairs couleurs pain brûlé des cuisses pleines. Il reste ainsi immobile quelques secondes puis commence à me limer sur un rythme régulier tandis que la table se met à grincer. Je savoure cette étreinte. Les yeux plongés dans ceux de celui qui me prend, j’écoute les couinements du meuble, les doigts de ses mains recroquevillés sur les bords. Le visage de Miguel est déformé par un rictus alors que la lèvre inférieure de sa bouche tremble légèrement.
Les couinements de la table se font plus rapides et les ongles de l’ouvrier s’enfoncent encore un peu plus dans la chair des cuisses. La bite épaisse se courbe et le gland gonfle encore un peu plus avant que, de nouveau, mon ventre soit envahi par une vague de chaleur qui lui réchauffe entièrement le corps. L’homme a encore la force de donner quelques coups de reins en râlant avant de s’immobiliser, pétrifié, le regard dans le vide. Une fois ses esprits retrouvés, il s’extirpe.
Un autre mec entre. Il baisse son pantalon et sort sa queue sans dire un mot, moi je me mets en levrette sur le petit lit et je lui montre bien mon cul pendant qu’il enfile sa capote. Et comme ça pendant à peu près deux heures les hommes se succèdent dans la chambre. Des fois je n’ai même pas le temps d’aller au lavabo me passer un peu d’eau pour me rafraichir. Ils jouissent tous dans leur capote. Et la file d’attente ne diminue pas devant la chambre. Certains mecs durent très peu et jouissent très rapidement, d’autres donnent des coups de reins assez forts, je sens leur queue taper au fond. Je les prends toujours en levrette en écartant bien les fesses.
Sur le coup de 22 heures, les deux vigiles montent et demandent à tirer un coup eux-aussi. Ils baissent leurs pantalons et l’un des deux m’introduit sa queue dans la bouche et commence à me baiser méthodiquement, comme si c’était une chatte. L’autre me plante sa queue bien à fond dans ma chatte. Ça dure comme ça pendant 20 minutes.
A la fin, celui qui est dans ma bouche y éjacule bien au fond sans se retirer. Je ne peux rien faire, je sens sa giclée couler dans ma gorge. L’autre un peu après sort de ma chatte et enlève sa capote et me jouit sur les fesses. Après ils sortent de la chambre et je prends le temps de me rincer. Puis je reprends le rythme pendant encore à peu près deux heures.
A la fin, Rachid et Philippe me diront que je me suis enfilé 27 queues. On s’en va avant le changement de garde des vigiles. Nous rentrons à la maison, j’ai le bas ventre bien endolori, mais Rachid et Philippe voulaient encore que je fasse mon « devoir conjugal ».
Je m’étais laissé, une fois de plus, entraîner par mes sens. Mais, pour la première fois, une fois la séance terminée, je ressentais de la gêne, voire de la honte. Je me disais qu’il fallait arrêter ça. Mais j’étais encore et toujours sous la coupe de Rachid.
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16 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@John62, on peut dire ça comme ça :-)
C'est ce qu'on appelle de l'aide sociale et du multiculturalisme
Merci @Olga toujours aussi intense
Merci @Olga toujours aussi intense
@rachid741, merci beaucoup; même s'il a nié, j'ai eu, par la suite confirmation que tu as raison. Et en effet heureusement, Rachid est sorti de notre vie.
Ceci dit, je dois avouer, avec honte, que j'ai aimé cette expérience.
Ceci dit, je dois avouer, avec honte, que j'ai aimé cette expérience.
Encore une fois tu recules tes limites, l'abattage c'est bien si c'est la femme qui demande dans ton cas je dirai que c'est de la prostitution car le connaissant je pense que Rachid n'a pas fait ça gratuitement et a fait payer les mecs.
J'ai une amie qui m'a demandé de lui organiser cela on a fait cela dans un foyer Sonacotra d'Annecy. Elle a beaucoup aimé, mais encore une fois cela venait d'elle.
On peut dire que votre couple est sous emprise, heureusement que tu me dit que vous finirez par vous séparer de ce vaurien de rachid
bisous à toi
J'ai une amie qui m'a demandé de lui organiser cela on a fait cela dans un foyer Sonacotra d'Annecy. Elle a beaucoup aimé, mais encore une fois cela venait d'elle.
On peut dire que votre couple est sous emprise, heureusement que tu me dit que vous finirez par vous séparer de ce vaurien de rachid
bisous à toi
des limites ? j'en ai vu zéro chez toi
Ibrahim
Ibrahim
@ Ibrahim, Rachid voulait pousser toujours plus loin nos limites
Rachid a doublement validé ton couronnement de plus grosse décharge à foutre de la ville en te faisant passer en foyer pour te faire déboiter à la chaine après ta fertilisation. il s'est salement régalé de retour chez lui à te défoncer tes trous abimés pour un grand final
Ibrahim
Ibrahim
Tu étais alors une putain dans tous les sens du terme. N'est-ce pas? Adrienne
Rachid avait raison de pousser toujours plus loin les limites de ton hypersexualité et celles du candaulisme de Philippe. En attendant en lisant ce récit, j'ai bien joui, sans avoir eu beaucoup besoin de me toucher. Tu es une exceptionnelle salope, et, comme le dit Kaminu, c'est un compliment. Luc
Bravo à Philippe qui a reconnu à Olga la totale liberté de son corps. Un mari comme Philippe est un trésor. Ne l'oublie jamais, Olga! Impatiente de lire la suite de votre histoire. Bises à tous les deux. Fabienne
Récit déstabilisant. Entre être à ta place et subir ces assauts avilissants et faire partie de tes baiseurs, je ne sais pas ce que j'aurais préféré.
Tu mérites bien ton nom de salope et c'est un compliment. Respect à toi.
Tu mérites bien ton nom de salope et c'est un compliment. Respect à toi.
en réponse à ces premiers commentaires, je reconnais que j'étais alors dans une phase proche de la nymphomanie, avec l'impossibilité de contrôler mes pulsions, ce que je suis parvenue à faire ensuite. J'ai déja dit que j'éprouvais de la honte pour cette période, mais en même temps je ne reconnais à quiconque le droit de me juger. Oui la descente aux enfers n'était pas finie.
C'est vrai aussi que j'ai au fond été plus respectée dans ce foyer que lors des "séances" à la cité. Pourquoi je voulais arrêter? Parce que j'avais compris le jeu de Rachid et que je voulais que Philippe et moi reprenions le contrôle. Cela a fini par se faire, mais plus tard.
C'est vrai aussi que j'ai au fond été plus respectée dans ce foyer que lors des "séances" à la cité. Pourquoi je voulais arrêter? Parce que j'avais compris le jeu de Rachid et que je voulais que Philippe et moi reprenions le contrôle. Cela a fini par se faire, mais plus tard.
Très excitant! André
Pourquoi veut- elle arrêter?
Dix dans une cave de HLM ou 27 dans un foyer, ça ne fait pas une grande différence.
Et elle a du être beaucoup plus insultée et humiliée dans les caves que dans le foyer,
Dix dans une cave de HLM ou 27 dans un foyer, ça ne fait pas une grande différence.
Et elle a du être beaucoup plus insultée et humiliée dans les caves que dans le foyer,
Ahurissant.....ce couple n'a que ce quil merite et ils y prennent du plaisir...
De la honte elle peut en avoir...ce ne doit pas être facile a digérer...seul le fait que le male ne soit qu'un profiteur....car aussi pute et perverse soit cette femelle chacun a le droit d'être aimer...
Mais cette douce descente au enfer nest pas finit on dirait...
De la honte elle peut en avoir...ce ne doit pas être facile a digérer...seul le fait que le male ne soit qu'un profiteur....car aussi pute et perverse soit cette femelle chacun a le droit d'être aimer...
Mais cette douce descente au enfer nest pas finit on dirait...
On pourrait avoir envie d'être la vingt septième queue de cette bourgeoise nymphomane. Récit bien excitant. Réel?