Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (1)
Je publie le début de cette saga pour faire profiter les lecteurs de H.D.S. d’un des quatre livres que j’ai publiés et vendus aux éditions Edilivre, sur papier et e-book, ces textes ont été écrits en même temps que « BCBG » ou le « CHANTIER, » je fais simplement un travail de fractionnement.
J’habite dans la banlieue de Valenciennes dans le nord de la France, j’ai vingt-six ans et à ce qui m’est dit, je suis une jolie femme blonde, j’ai même entendu dans la rue un homme s’approcher de moi et me glisser à l’oreille que j’étais « bandante.
Mon mari me dit souvent, Léa tu ferais bander un mort.
J’ai deux enfants qui sont élevés par mes beaux-parents près de Sète, l’aînée est une fille de 8 ans et ½ et le petit un garçon de 7 ans.
Nous nous sommes mariés Pierre et moi, car nous avons fauté une seule fois qui a été la bonne, je venais d’avoir 18 ans et je ne connaissais rien de la vie, nos familles se sont dépêchées de publier les bans pour éviter tous les ragots, ma fille est née avec une maladie demandant beaucoup de soleil.
Sa maladie pourrait s’aggraver à Valenciennes.
Nous avons envisagé d’aller habiter dans ces régions ensoleillées, mais il était difficile de délocaliser la boîte de haute technologie que mon mari a créée à Valenciennes.
Les chercheurs auraient été obligés de changer de vie pour nous suivre et nous aurions eu du mal à en recruter de si performant.
La seule solution a été de les faire vivre chez mes beaux-parents qui se sont retirés près de Sète, nous n’avons pas voulu séparer les 2 enfants et je vais les voir en avion une fois par mois.
Familialement je suis fille unique, j’ai perdu mes parents à quelques mois d’intervalle, il y a deux ans, nous vivions, nous aussi dans la banlieue de Valenciennes, je n’ai jamais connu d’autres personnes proches de nous.
La situation de mon mari ne m’oblige pas à travailler, même à la maison j’ai une aide-ménagère et entreprise de jardinage qui entretient les 4000 mètres carrés de terrain et les 200 mètres de la maison de plain-pied.
Mon seul plaisir, c’est de me coucher tard pour me lever tard.
Tous les mardis après-midi je vais prendre le thé dans un salon avec cinq copines. Nous restons deux heures ensemble à nous raconter les derniers ragots à la mode sur les habitants de Valenciennes.
Question sexe, Pierre et moi, même si nous faisons l’amour une fois par semaine, nous n’avons pas une imagination débordante, il y a peu, nous nous sommes enguirlandés, car lorsqu’il désirait me prendre, je relevais simplement ma chemise en pilou jusqu’à ce que mon vagin soit dégagé, depuis je fais un effort et j’ai repris l’habitude de la retirer, il s’est même permis en rigolant de me dire.
• Un jour il faudra que je t’envoie au bordel en Belgique, cela t’apprendra à vivre.
J’étais tellement offusquée que j’ai refusé qu’il me fasse l’amour pendant presque un mois.
Au début de notre relation, Pierre une ou deux fois m’a présenté sa verge pour que je la suce, trouvant cela dégradant pour une femme mariée, je l’ai repoussée et depuis, il ne m’en parle plus, j’avais toujours entendu que ces pratiques sexuelles étaient réservées aux prostitués.
Dans nos premiers moments, j’acceptais de me mettre en position de la levrette, un soir qu’il avait réussi à me faire prendre cette position et qu’il avait investi mon vagin, l’idée saugrenue lui est venue de placer sa verge sur mon petit trou et voulue y entrer.
Je me suis retourné et lui ai balancé une gifle, je me suis tout de suite excusée, mais cela la refroidit définitivement.
Bref après huit ans de mariage, je suis une femme qui ne s’assume pas.
Ce qui me sauve c’est que je ne le sais pas moi-même, lors de nos mardis avec les copines, certaines allusions me font douter de mes pratiques sexuelles.
Trop fier pour leur poser des questions sur certains sujets abordés, lorsqu’une question directe me touche, j’ai pris l’habitude de biaiser et jusqu’à ce jour je ne m’en suis toujours pas mal sorti.
Dans notre villa, au fond du jardin mon mari a fait construire un petit chalet au bord d’un bois de bouleaux et de notre piscine qui fait ma fierté, peu de mes amis en possèdent une de plus chauffée.
Autour, des transats me permettent de me faire bronzer intégralement nue n’ayant aucun risque d’être observé.
Pour entrer dans la propriété un portail ne peut s’ouvrir que par un déblocage du système de sécurité.
La seule entorse se trouve au fond du petit bois où un petit portillon toujours fermé nous donne un accès direct à la rivière, Pierre aime aller pêcher en passant par un petit chemin sans avoir à contourner plusieurs résidences.
À la fin août alors que nous avons raccompagné les enfants dans le Sud, je me fais bronzer profitant des derniers rayons du soleil.
Depuis le début de l’été sauf lorsque les enfants étaient là, je n’hésite pas à découvrir mes parties intimes.
Je somnole depuis une heure lorsque le ciel me tombe sur la tête.
• Bonjour, je ne vous dérange pas.
Au pardon.
Ma première réaction est de me croiser les bras sur mes seins oubliant mon vagin qui est offert, doublement offert, car dans ma somnolence l’une de mes jambes s’est écartée et il doit voir le rose de mon vagin qui est entièrement ouvert.
Prenant conscience du spectacle que je lui offre, discrètement je ramène ma jambe et je sers les cuisses sur ma toison aussi blonde que mes cheveux.
L’homme qui est devant moi est le bellâtre qui vient de racheter la propriété voisine.
Il a emménagé avec une bimbo aux gros seins sûrement peu naturels.
Le peu de fois où je l’ai vu, un mouvement de rejet, c’est fait sentir en moi.
• Par où êtes-vous entré ?
• Par le petit portillon derrière votre petit bois !
• Était-il ouvert ?
• Je ne me serai pas permis d’entrer sinon !
• Pierre a dû oublier de le fermer.
Je protège toujours mes seins et trouve puérile de cacher mon vagin après ce qu’il a déjà vu de moi.
Mieux, il s’assoit sur la margelle de la piscine à mes pieds.
Je suis piégée, si je cherche à me relever pour récupérer mon maillot posé sur une petite table hors de portée de ma main, mon vagin lui sera à nouveau offert à quelques centimètres de ses yeux.
• J’étais venu vous demander si nous pouvons nous permettre d’aller à la rivière par votre chemin.
• Je ne vois pas d’inconvénient, mais j’en parlerais à Pierre qui vous le confirmera.
• Merci, j’attendrai sa réponse.
Alors qu’il aurait dû se lever pour quitter les lieux, non seulement il ne bouge pas, mais il avance sa main qu’il pose sur mon mollet.
• Vous a-t-on déjà dit que vous avez un corps magnifique ?
À ce moment, même si je lui fais voir mon vagin, j’aurais dû me lever et lui retourner une paire de gifles.
Pourquoi, est-ce que je m’entends dire ?
• Merci.
Ce « merci » doit lui faire croire que tout lui est permis, car il remonte et il descend sa main en s’arrêtant juste avant de me toucher les parties intimes.
Ces frottements m’électrisent tous le corps et c’est dans un état second que j’ouvre mes jambes m’offrant impudiquement à cet homme qui me révulsait il y a peu.
• Je vois votre envie !
• Oui !
Je suis folle, mais où tout cela va s’arrêter, même si je ne risque rien, je suis en train de me comporter comme une vraie salope.
• Je peux vous caresser la vulve.
La vulve, je connais ce mot, comme beaucoup d’autres d’ailleurs, mais c'est un mot banni dans notre monde, avec mes copines, il nous arrive de parler de ces choses principalement lorsqu’il s’agit de problèmes médicaux, mais nous employons seulement les termes de « vagin » ou de « verge.
Le temps où ces pensées me traversent, ma non-réponse doit lui faire penser que j’accepte, car je me retrouve avec trois doigts dans ma chatte.
En employant ce mot, je laisse s’ouvrir les vannes à toutes les luxures, ces doigts dans ma grotte me libèrent de tous mes tabous.
Pourquoi j'enlève l’un de mes bras de mes seins pour porter ma main sur le short qui est extrêmement tendue ?
Comment dans la seconde qui suit sans que je m’en sois aperçu, il présente son sexe à ma bouche ?
Pourquoi je le laisse s’installer à l’intérieur allant même jusqu’à l’absorber et le laissé touche ma glotte !
Pendant ce temps, sa main continue à être dans ma petite fente qui mouille énormément.
Veut-il m’asservir pour que je sois à lui corps et âme quand-il sort sa main et qu’il monte ses doigts qu’il vient d’enlever de moi ?
Veut-il m’asservir lorsqu’il me fait lécher mes propres sécrétions ?
Dès cet instant plus rien en moi ne m’appartient, j’attrape sa queue pour la masturber.
Je me sers de mon autre main pour me maltraiter la chatte.
J’insiste principalement sur le petit bouton qui a rarement réagi lorsque je l’ai touché, alors que là, il m’envoie des ondes qui irradient tout mon bas-ventre.
• Veux-tu que je te baise ?
Il est passé au tutoiement, ça me déstabilise, j’arrive complétement au fond du trou lorsque je lui réponds.
• Oui !
• Lève-toi et place-toi en levrette, tu sentiras ma queue entrer plus loin dans ta chatte.
Je m’exécute et je me retrouve la croupe en l’air juste à hauteur de son pieu.
• Dépêche-toi de m’enfiler, je veux être ta putain !
Une fois de plus ces mots orduriers en plus d’annihiler toutes mes défenses vont me plonger dans un monde que je n’aurai jamais pu imaginer.
Pour m’enfiler, il m’enfile, sa dague pourfend mon sexe qui est très content de le recevoir, je donne de vigoureux coup de cul d’avant en arrière pour qu’il me pénètre de plus en plus fort et de plus en plus profondément.
Une claque vigoureuse s’abat sur l’une de mes fesses, jamais quelqu’un n’a osé me traiter de la sorte, pourquoi je l’accepte de cet homme dont je ne connais même pas le prénom et encore moins le nom !
La claque identique que je reçois de l’autre côté devrait me faire hurler d’indignation.
• Encore, c’est bon !...
J’habite dans la banlieue de Valenciennes dans le nord de la France, j’ai vingt-six ans et à ce qui m’est dit, je suis une jolie femme blonde, j’ai même entendu dans la rue un homme s’approcher de moi et me glisser à l’oreille que j’étais « bandante.
Mon mari me dit souvent, Léa tu ferais bander un mort.
J’ai deux enfants qui sont élevés par mes beaux-parents près de Sète, l’aînée est une fille de 8 ans et ½ et le petit un garçon de 7 ans.
Nous nous sommes mariés Pierre et moi, car nous avons fauté une seule fois qui a été la bonne, je venais d’avoir 18 ans et je ne connaissais rien de la vie, nos familles se sont dépêchées de publier les bans pour éviter tous les ragots, ma fille est née avec une maladie demandant beaucoup de soleil.
Sa maladie pourrait s’aggraver à Valenciennes.
Nous avons envisagé d’aller habiter dans ces régions ensoleillées, mais il était difficile de délocaliser la boîte de haute technologie que mon mari a créée à Valenciennes.
Les chercheurs auraient été obligés de changer de vie pour nous suivre et nous aurions eu du mal à en recruter de si performant.
La seule solution a été de les faire vivre chez mes beaux-parents qui se sont retirés près de Sète, nous n’avons pas voulu séparer les 2 enfants et je vais les voir en avion une fois par mois.
Familialement je suis fille unique, j’ai perdu mes parents à quelques mois d’intervalle, il y a deux ans, nous vivions, nous aussi dans la banlieue de Valenciennes, je n’ai jamais connu d’autres personnes proches de nous.
La situation de mon mari ne m’oblige pas à travailler, même à la maison j’ai une aide-ménagère et entreprise de jardinage qui entretient les 4000 mètres carrés de terrain et les 200 mètres de la maison de plain-pied.
Mon seul plaisir, c’est de me coucher tard pour me lever tard.
Tous les mardis après-midi je vais prendre le thé dans un salon avec cinq copines. Nous restons deux heures ensemble à nous raconter les derniers ragots à la mode sur les habitants de Valenciennes.
Question sexe, Pierre et moi, même si nous faisons l’amour une fois par semaine, nous n’avons pas une imagination débordante, il y a peu, nous nous sommes enguirlandés, car lorsqu’il désirait me prendre, je relevais simplement ma chemise en pilou jusqu’à ce que mon vagin soit dégagé, depuis je fais un effort et j’ai repris l’habitude de la retirer, il s’est même permis en rigolant de me dire.
• Un jour il faudra que je t’envoie au bordel en Belgique, cela t’apprendra à vivre.
J’étais tellement offusquée que j’ai refusé qu’il me fasse l’amour pendant presque un mois.
Au début de notre relation, Pierre une ou deux fois m’a présenté sa verge pour que je la suce, trouvant cela dégradant pour une femme mariée, je l’ai repoussée et depuis, il ne m’en parle plus, j’avais toujours entendu que ces pratiques sexuelles étaient réservées aux prostitués.
Dans nos premiers moments, j’acceptais de me mettre en position de la levrette, un soir qu’il avait réussi à me faire prendre cette position et qu’il avait investi mon vagin, l’idée saugrenue lui est venue de placer sa verge sur mon petit trou et voulue y entrer.
Je me suis retourné et lui ai balancé une gifle, je me suis tout de suite excusée, mais cela la refroidit définitivement.
Bref après huit ans de mariage, je suis une femme qui ne s’assume pas.
Ce qui me sauve c’est que je ne le sais pas moi-même, lors de nos mardis avec les copines, certaines allusions me font douter de mes pratiques sexuelles.
Trop fier pour leur poser des questions sur certains sujets abordés, lorsqu’une question directe me touche, j’ai pris l’habitude de biaiser et jusqu’à ce jour je ne m’en suis toujours pas mal sorti.
Dans notre villa, au fond du jardin mon mari a fait construire un petit chalet au bord d’un bois de bouleaux et de notre piscine qui fait ma fierté, peu de mes amis en possèdent une de plus chauffée.
Autour, des transats me permettent de me faire bronzer intégralement nue n’ayant aucun risque d’être observé.
Pour entrer dans la propriété un portail ne peut s’ouvrir que par un déblocage du système de sécurité.
La seule entorse se trouve au fond du petit bois où un petit portillon toujours fermé nous donne un accès direct à la rivière, Pierre aime aller pêcher en passant par un petit chemin sans avoir à contourner plusieurs résidences.
À la fin août alors que nous avons raccompagné les enfants dans le Sud, je me fais bronzer profitant des derniers rayons du soleil.
Depuis le début de l’été sauf lorsque les enfants étaient là, je n’hésite pas à découvrir mes parties intimes.
Je somnole depuis une heure lorsque le ciel me tombe sur la tête.
• Bonjour, je ne vous dérange pas.
Au pardon.
Ma première réaction est de me croiser les bras sur mes seins oubliant mon vagin qui est offert, doublement offert, car dans ma somnolence l’une de mes jambes s’est écartée et il doit voir le rose de mon vagin qui est entièrement ouvert.
Prenant conscience du spectacle que je lui offre, discrètement je ramène ma jambe et je sers les cuisses sur ma toison aussi blonde que mes cheveux.
L’homme qui est devant moi est le bellâtre qui vient de racheter la propriété voisine.
Il a emménagé avec une bimbo aux gros seins sûrement peu naturels.
Le peu de fois où je l’ai vu, un mouvement de rejet, c’est fait sentir en moi.
• Par où êtes-vous entré ?
• Par le petit portillon derrière votre petit bois !
• Était-il ouvert ?
• Je ne me serai pas permis d’entrer sinon !
• Pierre a dû oublier de le fermer.
Je protège toujours mes seins et trouve puérile de cacher mon vagin après ce qu’il a déjà vu de moi.
Mieux, il s’assoit sur la margelle de la piscine à mes pieds.
Je suis piégée, si je cherche à me relever pour récupérer mon maillot posé sur une petite table hors de portée de ma main, mon vagin lui sera à nouveau offert à quelques centimètres de ses yeux.
• J’étais venu vous demander si nous pouvons nous permettre d’aller à la rivière par votre chemin.
• Je ne vois pas d’inconvénient, mais j’en parlerais à Pierre qui vous le confirmera.
• Merci, j’attendrai sa réponse.
Alors qu’il aurait dû se lever pour quitter les lieux, non seulement il ne bouge pas, mais il avance sa main qu’il pose sur mon mollet.
• Vous a-t-on déjà dit que vous avez un corps magnifique ?
À ce moment, même si je lui fais voir mon vagin, j’aurais dû me lever et lui retourner une paire de gifles.
Pourquoi, est-ce que je m’entends dire ?
• Merci.
Ce « merci » doit lui faire croire que tout lui est permis, car il remonte et il descend sa main en s’arrêtant juste avant de me toucher les parties intimes.
Ces frottements m’électrisent tous le corps et c’est dans un état second que j’ouvre mes jambes m’offrant impudiquement à cet homme qui me révulsait il y a peu.
• Je vois votre envie !
• Oui !
Je suis folle, mais où tout cela va s’arrêter, même si je ne risque rien, je suis en train de me comporter comme une vraie salope.
• Je peux vous caresser la vulve.
La vulve, je connais ce mot, comme beaucoup d’autres d’ailleurs, mais c'est un mot banni dans notre monde, avec mes copines, il nous arrive de parler de ces choses principalement lorsqu’il s’agit de problèmes médicaux, mais nous employons seulement les termes de « vagin » ou de « verge.
Le temps où ces pensées me traversent, ma non-réponse doit lui faire penser que j’accepte, car je me retrouve avec trois doigts dans ma chatte.
En employant ce mot, je laisse s’ouvrir les vannes à toutes les luxures, ces doigts dans ma grotte me libèrent de tous mes tabous.
Pourquoi j'enlève l’un de mes bras de mes seins pour porter ma main sur le short qui est extrêmement tendue ?
Comment dans la seconde qui suit sans que je m’en sois aperçu, il présente son sexe à ma bouche ?
Pourquoi je le laisse s’installer à l’intérieur allant même jusqu’à l’absorber et le laissé touche ma glotte !
Pendant ce temps, sa main continue à être dans ma petite fente qui mouille énormément.
Veut-il m’asservir pour que je sois à lui corps et âme quand-il sort sa main et qu’il monte ses doigts qu’il vient d’enlever de moi ?
Veut-il m’asservir lorsqu’il me fait lécher mes propres sécrétions ?
Dès cet instant plus rien en moi ne m’appartient, j’attrape sa queue pour la masturber.
Je me sers de mon autre main pour me maltraiter la chatte.
J’insiste principalement sur le petit bouton qui a rarement réagi lorsque je l’ai touché, alors que là, il m’envoie des ondes qui irradient tout mon bas-ventre.
• Veux-tu que je te baise ?
Il est passé au tutoiement, ça me déstabilise, j’arrive complétement au fond du trou lorsque je lui réponds.
• Oui !
• Lève-toi et place-toi en levrette, tu sentiras ma queue entrer plus loin dans ta chatte.
Je m’exécute et je me retrouve la croupe en l’air juste à hauteur de son pieu.
• Dépêche-toi de m’enfiler, je veux être ta putain !
Une fois de plus ces mots orduriers en plus d’annihiler toutes mes défenses vont me plonger dans un monde que je n’aurai jamais pu imaginer.
Pour m’enfiler, il m’enfile, sa dague pourfend mon sexe qui est très content de le recevoir, je donne de vigoureux coup de cul d’avant en arrière pour qu’il me pénètre de plus en plus fort et de plus en plus profondément.
Une claque vigoureuse s’abat sur l’une de mes fesses, jamais quelqu’un n’a osé me traiter de la sorte, pourquoi je l’accepte de cet homme dont je ne connais même pas le prénom et encore moins le nom !
La claque identique que je reçois de l’autre côté devrait me faire hurler d’indignation.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et oui, d'ou le titre, vers l'enfer...
Un bon débit, vivement la suite, ça promet d'être chaud !
Merci, 20 chapitres, à partir du 4e, il y aura un décompte 4/20, 5/20.
Excellent!