Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (14/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2409 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 030 646 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 3 151 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (14/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je rejoins ma chambre. Annabelle et Noémi sont dans la salle de bains, Alice est assise sur le lit en peignoir, elle a dû prendre sa douche, car elle a noué une serviette en turban sur ses cheveux mouillés.
• Les grandes, j’emmène Alice manger près de Nadège, elle a le bourdon.
• Amusez-vous bien, à tout à l’heure !
En passant, nous récupérons un plateau pour Alice.
Pendant le repas, je décontracte mes amies très tendues, j’ai l’impression d’être la grande sœur alors que mes connaissances du monde de la prostitution sont loin d’être aussi importantes que je semble le montrer.
Le repas se passe bien, j’arrive à décontracter les deux filles, Nadège pute aguerrie pour ses idées noires et Alice anxieuse, ayant compris que dans quelques minutes, son avidité de vivre dans le luxe, mon luxe, lui retombe sur le dos.
À quelques minutes de l’ouverture, j’emmène Alice s’habiller, Marjorie finie de se préparer, je me garde bien de lui dire que je l’ai vue, qu’elle est l’amante de maman comme elle a été la mienne, mère et fille ont partagé sa couche.
La tenue d’Alice est sur le lit.
• Alice, il va falloir y aller, prend ton courage à deux mains, le molosse à apporter ta tenue.
Une preuve de plus que Pierre avait prémédité sa décision, Alice a dû l’amuser pendant quelques jours, mais comme il semble que ce soit une fille gentille et d’être loin d’être une lumière, il a déjà dû trouver une autre fille à manipuler.
Elle la passe avec beaucoup d’inquiétude et à l’heure prévue les premiers clients entrent.
Dès leurs entrées, ils sont étonnés qu’aucune d’entre nous ne soit attachée à la roue.
Nous leur présentons le problème sous un autre angle, la direction a décidé que la roue serait à la disposition de tout client qui souhaite se faire attacher et fouetté.
Aucun d’eux ne sembles intéressés.
Un client vient vers Alice et lui demande si elle est partante pour un « No limite », elle me montre un regard apeuré.
• C’est une nouvelle, vous serez son premier client, je monte avec vous, s’il y a un problème, j’assumerais.
• Tu viens sans supplément.
• Bien sûr.
Il va voir Maman Claude qui nous montre un jeton noir et la met dans la boîte rouge, je les suis vers la chambre 3.
Elle fait passer son client dans la chambre, je m’assieds sur la chaise et laisse opérer Alice, comme je lui ai expliqué, elle lave consciencieusement la queue de cet homme sans âge, mais supérieur à 50 ans, un bourgeois qui vient s’encanailler sa femme devant lui refuser sa couche !
• Comment voulez-vous que je me mette ?
Elle a de la chance, son client est très classique et pas vicieux pour un sou, bref le mec idéal pour une première, quand il la pénètre, elle me regarde des larmes au fond des yeux, mais lui fait prendre son plaisir deux fois, après que je lui ai expliquée qu’un jeton noir permet au client de prendre son temps.
Je n’ai rien à redire, à croire que Pierre avait senti qu’elle serait douée pour ce travail, je plaisante, nous ne sommes pas venues au monde pour nous faire trombiner par la première verge venue.
Je vois mal, là-haut dans le ciel, un dispatching des métiers que nous exercerons, untelle professeur, celle-là cadre supérieur, tient, je donne le métier de pute à telle autre.
Le client soulagé et satisfait, nous redescendons.
Un gars souhaitant monter avec moi attend mon retour.
Comme souvent dès qu’une nouvelle est là, surtout si elle est aussi jolie que mon amie Alice, elle n’arrête pas de monter ce putain d’escalier.
Je la croise de nombreuses fois, nous prenons même du champagne payé par nos clients, son regard est de plus en plus assuré.
Le soir quand nous retrouvons nos chambres, je ne la porte pas, mais après le bain, je la couche et dans les cinq minutes suivantes, elle dort.
Comme je l’avais promis, je rejoins Nadège !
Elle est sous la douche où je la retrouve, nous nous lavons mutuellement et idem pour nous sécher.
Dans les chambres, nous avons l’habitude de nous coucher nues, je tiens à entendre ce qui l’a fait pleurer la nuit dernière.
• Vas-y mon cœur, raconte-moi tes malheurs.
• Je ne sais pas par où commencer.
Un jour je me suis embrouillée avec mes parents et comme j’avais dix-huit ans, ils vous jettent à la rue.
J’ai traîné vers la gare de Valenciennes tout en cherchant du boulot, je m’étais inscrit afin de toucher des droits et pouvoir louer une chambre.
L’argent n’arrivait pas et je me suis fait repérer en dormant dans la salle des pas perdus.
Un jour un garçon bien de sa personne est venu d’asseoir à mon côté, il a commencé à ne pas avoir l’air de s’intéresser à moi, il a pris une cigarette me demandant si j’avais du feu, j’ai répondu négativement.
Le contact était fait, dehors il neigeait, il m’a demandé si je n’avais pas froid, il était difficile de lui dire non lorsque l’on est à la limite du claquement de dents.
Serviable, il m’a offert un café au buffet, dans la conversation, j’ai constaté qu’il connaissait les points les plus difficiles subits par les personnes à la limite de devenir S.D.F.
C’est dans ce buffet qu’il m’a dit se prénommer Elvis, je souffrais de ne pas prendre de douches, c’est par ce biais qu’ils m’ont attrapé.
J’ai accepté de le suivre d’autant qu’il habitait à quelques centaines de mètres de la gare, j’ai su par les autres filles que c’était certainement un appartement spécialement loué dès qu’ils m’ont eu repéré étant une proie potentielle.
J’avais froid, je ne m’étais pas lavé depuis plus de quinze jours, quand il m’a proposé de faire quelques mètres pour retrouver tout le confort !
Mes warnings qui en temps normal m’auraient alerté avaient disparu.
Quand vous vivez dans la rue, ce qui disparaît le plus rapidement, ce sont vos vêtements de rechange, vous avez beau les surveiller, un moment d’inattention et vous perdez tout, dans mon cas, ce sont eux qui m’ont dépouillé afin de me mettre dans une situation plus précaire.
Dans ce logement, il m’a mis un peignoir à ma disposition après ma douche me donnant comme explication que mes fringues devaient passer à la laverie.
Il m’était impossible d’y aller moi-même, je n’allais pas y aller en peignoir, serviable il m’a proposé d’y est allé pour moi et de m’allonger sur le lit pour me reposer.
Une bonne douche, un petit repas qui vous chauffe l’intérieur et un lit bien moelleux, a achevé de me ferrer, combien de temps est-il parti, je l’ignore, quand il est revenu, il était en sang.
Il m’a expliqué qu’il avait joué au poker un soir et qu’il avait perdu une grosse somme, ses créanciers l’ont coincé quand il était à la laverie et comme il ne pouvait pas commencer à les rembourser pour lui faire voir qu’ils ne rigolaient pas, ils l’ont passé à tabac.
• T’a-t-il proposé de rencontrer des hommes pour l’aider à rembourser ?
• Ils sont plus malins que ça, ils risquaient un refus de ma part, si je n’étais pas prête à me prostituer pour un homme que je ne connaissais que depuis peu.
Non, il est blessé, dans la salle de bains alors que dans le logement, vous trouvez le minimum pour vivre, il apporte une magnifique trousse de secours, s’installe sur le lit en face de moi et me donne du coton imbibé d’alcool pour nettoyer ses plaies.
Le sang enlevé, je n’ai pas remarqué qu’il y avait plus de sang que de plaies tout juste des éraflures qui disparaîtront en quelques jours.
Placer dans cette position rapprochée c’est tout naturellement qu’il m’a embrassé sans que je le repousse.
• T’a-t-il fait l’amour ?
• Je sais que tu es fatigué après toutes les passes, que tu as faites aujourd’hui, mais là encore ils savent vous conditionner.
Elvis n’avait pas besoin de se toucher où se faire toucher pour bander, se simple baisé et il bande fort, c’est ce que je voie par une déchirure de son jean, naturellement j’ai fait sortir sa tige sans difficulté, l’ouverture était assez grande pour que son sexe passe.
• Il a voulu que tu le suces.
• Non, je te dis qu’ils sont très malins, Elvis s’est levé jusqu’à la table de nuit, il a sorti un préservatif qu’il a positionné sur son membre, lorsqu’il m’a rejoint et qu’il m’a allongé sur le lit, il m’était impossible après tout ce que je lui avais laissé faire de ne pas l’accepter dans mon sexe.
À partir du moment où il vous a pénétré, vous êtes fichu.
• C’est là qu’il t’a proposé de rencontrer des hommes.
• Ils sont plus machiavéliques que ça. Elvis est bien membré et a su me faire prendre mon plaisir dès la première fois, chaque fois qu’il était près de moi il me baisait toujours avec capote.
Jamais de jeu pervers, ni pipe, ni sodomies, toujours au fond de mon vagin, le petit jeu a duré deux mois, quand je me suis aperçu que mes règles étaient en retard.
Avec les capotes, je me sentais protégée, j’ai laissé le temps passé pensant qu’elles allaient arriver, le retard persistant m’inquiétait de plus en plus.
Elvis a vu que j’étais inquiète à un certain moment et m’a proposé de me conduire chez un ami gynécologue à Paris.
• Le docteur Dominique Dupont, sur sa plaque, il était gynécologue.
• Dominique Dupont, moi, on me la fait rencontrer comme spécialiste des enfants.
• Ces ça, j’ai su depuis que ce médecin est un comparse qu’ils utilisent suivant leur besoin et qui nous fait croire ce que nous avons envie d’entendre.
Il m’a ausculté, fait passer une échographie et n’a pas vu de grossesses, j’ai même eu droit à une photo de mon ventre où aucun bébé n’était présent.
Après, le temps légal pour me faire avorter, Elvis a disparu du jour au lendemain.
Deux jours plus tard, j’ai entendu sonner, un homme que je ne connaissais pas est entré sans me demander l’autorisation.
« Je cherche Elvis où est-il ? »
« Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu depuis hier. »
« Tu sais qu’il nous doit une somme importante ! »
« Oui, il me la dit. »
• C’est à partir de ce moment que j’ai été définitivement piégé…
Je rejoins ma chambre. Annabelle et Noémi sont dans la salle de bains, Alice est assise sur le lit en peignoir, elle a dû prendre sa douche, car elle a noué une serviette en turban sur ses cheveux mouillés.
• Les grandes, j’emmène Alice manger près de Nadège, elle a le bourdon.
• Amusez-vous bien, à tout à l’heure !
En passant, nous récupérons un plateau pour Alice.
Pendant le repas, je décontracte mes amies très tendues, j’ai l’impression d’être la grande sœur alors que mes connaissances du monde de la prostitution sont loin d’être aussi importantes que je semble le montrer.
Le repas se passe bien, j’arrive à décontracter les deux filles, Nadège pute aguerrie pour ses idées noires et Alice anxieuse, ayant compris que dans quelques minutes, son avidité de vivre dans le luxe, mon luxe, lui retombe sur le dos.
À quelques minutes de l’ouverture, j’emmène Alice s’habiller, Marjorie finie de se préparer, je me garde bien de lui dire que je l’ai vue, qu’elle est l’amante de maman comme elle a été la mienne, mère et fille ont partagé sa couche.
La tenue d’Alice est sur le lit.
• Alice, il va falloir y aller, prend ton courage à deux mains, le molosse à apporter ta tenue.
Une preuve de plus que Pierre avait prémédité sa décision, Alice a dû l’amuser pendant quelques jours, mais comme il semble que ce soit une fille gentille et d’être loin d’être une lumière, il a déjà dû trouver une autre fille à manipuler.
Elle la passe avec beaucoup d’inquiétude et à l’heure prévue les premiers clients entrent.
Dès leurs entrées, ils sont étonnés qu’aucune d’entre nous ne soit attachée à la roue.
Nous leur présentons le problème sous un autre angle, la direction a décidé que la roue serait à la disposition de tout client qui souhaite se faire attacher et fouetté.
Aucun d’eux ne sembles intéressés.
Un client vient vers Alice et lui demande si elle est partante pour un « No limite », elle me montre un regard apeuré.
• C’est une nouvelle, vous serez son premier client, je monte avec vous, s’il y a un problème, j’assumerais.
• Tu viens sans supplément.
• Bien sûr.
Il va voir Maman Claude qui nous montre un jeton noir et la met dans la boîte rouge, je les suis vers la chambre 3.
Elle fait passer son client dans la chambre, je m’assieds sur la chaise et laisse opérer Alice, comme je lui ai expliqué, elle lave consciencieusement la queue de cet homme sans âge, mais supérieur à 50 ans, un bourgeois qui vient s’encanailler sa femme devant lui refuser sa couche !
• Comment voulez-vous que je me mette ?
Elle a de la chance, son client est très classique et pas vicieux pour un sou, bref le mec idéal pour une première, quand il la pénètre, elle me regarde des larmes au fond des yeux, mais lui fait prendre son plaisir deux fois, après que je lui ai expliquée qu’un jeton noir permet au client de prendre son temps.
Je n’ai rien à redire, à croire que Pierre avait senti qu’elle serait douée pour ce travail, je plaisante, nous ne sommes pas venues au monde pour nous faire trombiner par la première verge venue.
Je vois mal, là-haut dans le ciel, un dispatching des métiers que nous exercerons, untelle professeur, celle-là cadre supérieur, tient, je donne le métier de pute à telle autre.
Le client soulagé et satisfait, nous redescendons.
Un gars souhaitant monter avec moi attend mon retour.
Comme souvent dès qu’une nouvelle est là, surtout si elle est aussi jolie que mon amie Alice, elle n’arrête pas de monter ce putain d’escalier.
Je la croise de nombreuses fois, nous prenons même du champagne payé par nos clients, son regard est de plus en plus assuré.
Le soir quand nous retrouvons nos chambres, je ne la porte pas, mais après le bain, je la couche et dans les cinq minutes suivantes, elle dort.
Comme je l’avais promis, je rejoins Nadège !
Elle est sous la douche où je la retrouve, nous nous lavons mutuellement et idem pour nous sécher.
Dans les chambres, nous avons l’habitude de nous coucher nues, je tiens à entendre ce qui l’a fait pleurer la nuit dernière.
• Vas-y mon cœur, raconte-moi tes malheurs.
• Je ne sais pas par où commencer.
Un jour je me suis embrouillée avec mes parents et comme j’avais dix-huit ans, ils vous jettent à la rue.
J’ai traîné vers la gare de Valenciennes tout en cherchant du boulot, je m’étais inscrit afin de toucher des droits et pouvoir louer une chambre.
L’argent n’arrivait pas et je me suis fait repérer en dormant dans la salle des pas perdus.
Un jour un garçon bien de sa personne est venu d’asseoir à mon côté, il a commencé à ne pas avoir l’air de s’intéresser à moi, il a pris une cigarette me demandant si j’avais du feu, j’ai répondu négativement.
Le contact était fait, dehors il neigeait, il m’a demandé si je n’avais pas froid, il était difficile de lui dire non lorsque l’on est à la limite du claquement de dents.
Serviable, il m’a offert un café au buffet, dans la conversation, j’ai constaté qu’il connaissait les points les plus difficiles subits par les personnes à la limite de devenir S.D.F.
C’est dans ce buffet qu’il m’a dit se prénommer Elvis, je souffrais de ne pas prendre de douches, c’est par ce biais qu’ils m’ont attrapé.
J’ai accepté de le suivre d’autant qu’il habitait à quelques centaines de mètres de la gare, j’ai su par les autres filles que c’était certainement un appartement spécialement loué dès qu’ils m’ont eu repéré étant une proie potentielle.
J’avais froid, je ne m’étais pas lavé depuis plus de quinze jours, quand il m’a proposé de faire quelques mètres pour retrouver tout le confort !
Mes warnings qui en temps normal m’auraient alerté avaient disparu.
Quand vous vivez dans la rue, ce qui disparaît le plus rapidement, ce sont vos vêtements de rechange, vous avez beau les surveiller, un moment d’inattention et vous perdez tout, dans mon cas, ce sont eux qui m’ont dépouillé afin de me mettre dans une situation plus précaire.
Dans ce logement, il m’a mis un peignoir à ma disposition après ma douche me donnant comme explication que mes fringues devaient passer à la laverie.
Il m’était impossible d’y aller moi-même, je n’allais pas y aller en peignoir, serviable il m’a proposé d’y est allé pour moi et de m’allonger sur le lit pour me reposer.
Une bonne douche, un petit repas qui vous chauffe l’intérieur et un lit bien moelleux, a achevé de me ferrer, combien de temps est-il parti, je l’ignore, quand il est revenu, il était en sang.
Il m’a expliqué qu’il avait joué au poker un soir et qu’il avait perdu une grosse somme, ses créanciers l’ont coincé quand il était à la laverie et comme il ne pouvait pas commencer à les rembourser pour lui faire voir qu’ils ne rigolaient pas, ils l’ont passé à tabac.
• T’a-t-il proposé de rencontrer des hommes pour l’aider à rembourser ?
• Ils sont plus malins que ça, ils risquaient un refus de ma part, si je n’étais pas prête à me prostituer pour un homme que je ne connaissais que depuis peu.
Non, il est blessé, dans la salle de bains alors que dans le logement, vous trouvez le minimum pour vivre, il apporte une magnifique trousse de secours, s’installe sur le lit en face de moi et me donne du coton imbibé d’alcool pour nettoyer ses plaies.
Le sang enlevé, je n’ai pas remarqué qu’il y avait plus de sang que de plaies tout juste des éraflures qui disparaîtront en quelques jours.
Placer dans cette position rapprochée c’est tout naturellement qu’il m’a embrassé sans que je le repousse.
• T’a-t-il fait l’amour ?
• Je sais que tu es fatigué après toutes les passes, que tu as faites aujourd’hui, mais là encore ils savent vous conditionner.
Elvis n’avait pas besoin de se toucher où se faire toucher pour bander, se simple baisé et il bande fort, c’est ce que je voie par une déchirure de son jean, naturellement j’ai fait sortir sa tige sans difficulté, l’ouverture était assez grande pour que son sexe passe.
• Il a voulu que tu le suces.
• Non, je te dis qu’ils sont très malins, Elvis s’est levé jusqu’à la table de nuit, il a sorti un préservatif qu’il a positionné sur son membre, lorsqu’il m’a rejoint et qu’il m’a allongé sur le lit, il m’était impossible après tout ce que je lui avais laissé faire de ne pas l’accepter dans mon sexe.
À partir du moment où il vous a pénétré, vous êtes fichu.
• C’est là qu’il t’a proposé de rencontrer des hommes.
• Ils sont plus machiavéliques que ça. Elvis est bien membré et a su me faire prendre mon plaisir dès la première fois, chaque fois qu’il était près de moi il me baisait toujours avec capote.
Jamais de jeu pervers, ni pipe, ni sodomies, toujours au fond de mon vagin, le petit jeu a duré deux mois, quand je me suis aperçu que mes règles étaient en retard.
Avec les capotes, je me sentais protégée, j’ai laissé le temps passé pensant qu’elles allaient arriver, le retard persistant m’inquiétait de plus en plus.
Elvis a vu que j’étais inquiète à un certain moment et m’a proposé de me conduire chez un ami gynécologue à Paris.
• Le docteur Dominique Dupont, sur sa plaque, il était gynécologue.
• Dominique Dupont, moi, on me la fait rencontrer comme spécialiste des enfants.
• Ces ça, j’ai su depuis que ce médecin est un comparse qu’ils utilisent suivant leur besoin et qui nous fait croire ce que nous avons envie d’entendre.
Il m’a ausculté, fait passer une échographie et n’a pas vu de grossesses, j’ai même eu droit à une photo de mon ventre où aucun bébé n’était présent.
Après, le temps légal pour me faire avorter, Elvis a disparu du jour au lendemain.
Deux jours plus tard, j’ai entendu sonner, un homme que je ne connaissais pas est entré sans me demander l’autorisation.
« Je cherche Elvis où est-il ? »
« Je ne sais pas, je ne l’ai pas vu depuis hier. »
« Tu sais qu’il nous doit une somme importante ! »
« Oui, il me la dit. »
• C’est à partir de ce moment que j’ai été définitivement piégé…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...