Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (16/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (16/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je commence mon récit, il m’interrompt quand il ne comprend pas une des explications, ou une chronologie, lorsqu’il comprend que mon affaire est très complexe, il m’interrompt, va dans ses affaires et à la lueur de la nuit, prend des notes.
Il est trois heures du matin lorsqu’il peut mettre un « fin » provisoire sur mon récit.
• Léa, retournez vous coucher, je vais faire le nécessaire, revenez demain, je vous dirais ce que j’ai réussi à faire pour vous sortir de ce cauchemar avec vos enfants et toutes vos amies.
Ma femme militait pour la liberté des femmes à être propriétaire de leur corps, nous ne pouvions pas avoir d’enfant, elle a toujours été respectueuse des lois et allé à l’étranger la mettant en porte-à-faux, lui était insupportable.
• Merci Lucas à demain !
Dans ma narration, il a compris que mon prénom était Léa, au bout d’un moment, je l’ai tutoyée, lui continuant à me vouvoyer, la seule concession qu’il m’a faite, c’est de me donner son prénom.
Je repars de la même façon ou je suis venue, j’éteins ma télévision.
J’essaye de trouver le sommeil, mais il me fuit, je m’attends à tout moment que l’on frappe à ma porte pour m’emmener vers un lieu d’abattage.
Sur le matin, je suce une bite dans la vitrine d’une maison close d’Amsterdam, ce qui serait un moindre mal, devant des dizaines d’hommes qui me regardent de l’autre côté de la glace.
Je saute en l’air quand on frappe à ma porte, ouf, je rêvais, j’espère qu’il n’est pas prémonitoire.
• Votre petit-déjeuner madame.
• Entrez.
• Je vous souhaite une bonne journée madame.
• Merci.
Modérément rassérénée, je prends mon petit déjeuner et je vais me préparer, le téléphone sonne, c’est la réception, mes enfants sont là.
Quel soulagement, en prenant le risque d’aller dans la chambre voisine n’ai-je pas tiré le bon numéro, si Lucas faisait partie de la bande de mon mari, mes enfants ne serraient pas là ce matin, je serais déjà en train de rouler vers le nord de l’Europe ligoté dans une voiture.
Toute la journée, je suis tiraillé entre deux sentiments.
La joie d’être avec mes enfants, restaurants, cinéma et promenade le long de l’étang de Thau.
Comme la veille, ils repartent en fin de journée !
L’un des moments les plus terribles est le repas du soir au restaurant.
Lucas est bien là, mais à l’autre bout de la salle comme s’il me fuyait.
Comme la veille deux jeunes dînent en amoureux !
Ils sont très amoureux, ils doivent être en voyage de noces, la jolie jeune femme joue continuellement avec son alliance, une salade, un fromage blanc sans café, je ne peux pas avaler autre chose.
À une autre table deux hommes discutent en dînant, repas d’affaires certainement.
Je fantasme trop sur qui est qui et qui fait quoi, amis ou ennemis autant rejoindre ma chambre pour attendre que la nuit soit assez noire.
Dès que je suis dans ma chambre, je me mets nue, je prends un bain que je fais durée, il faut impérativement que j’arrive à faire tourner cette maudite pendule, mais personne à ce jour n’y est arrivé.
Le plus difficile c’est de ne pas aller sur le balcon même pour admirer le paysage qui est pourtant magnifique.
Bien sûr, il y a la télévision, aucun programme n’arrive à me captiver.
La nuit est presque noire quand je décide de m’habiller, j’ai déjà préparé les mêmes vêtements qu’hier, à part ma perte d’équilibre dû à un mauvais mouvement, je n’ai pas été gêné pour franchir les balcons.
Je considère qu’il fait assez nuit quand je me lance, dans cinq minutes, ou je roulerais vers le nord où Lucas aura tenu sa promesse de m’aider.
Prestement, je suis de l’autre côté, la fenêtre est entrouverte comme hier, je l’ai à peine franchie que je me sens empoigné par un bras massif à hauteur de ma poitrine et qu’une main se pose sur ma bouche.
Adieu, mes enfants, j’ai fait ce que j’ai pu Marjorie, il ne me reste plus qu’à trouver le moyen de mourir, ce sont en quelques secondes les pensées qui traversent mon esprit.
Je me sens emporté comme un fétu de paille.
Une porte se ferme et la lumière jaillie, quelques secondes les mains me lâchent et ma vue s’habitue, je saute dans les bras de Lucas, qui est en face de moi.
C’est pendu à son cou collé sur sa poitrine que je peux voir que deux hommes sont avec nous dans la salle de bains, ce sont les deux hommes qui dînaient avec nous tout à l’heure que j’avais pris pour des hommes d’affaires.
• Bonjour, madame Léa, je suis un inspecteur de la brigade de la répression du proxénétisme de Paris, monsieur Lucas a contacté un des responsables de la brigade criminelle qu’il connaissait, son récit là interpellé et il m’a tout de suite contactée.
Je vous présente le commissaire de police qui est responsable de la zone Sud de la France, nous avons contacté nos collègues belges, le temps était trop court pour que l’un dès leur soit avec nous et moins on est nombreux, plus nous pouvons passer inaperçus à leurs yeux.
Je suis toujours lovée contre la poitrine de celui qui sera peut-être notre sauveur.
Son bras est placé autour de mon corps et sa main est juste sur mon sein.
Qu’est-ce que je suis bien le long du corps de cet d’homme, ceux que je côtoie dans les semaines passées avaient comme finalité de me pénétrer pour se vider les couilles.
• Ce que monsieur Lucas nous a dit complète un dossier sur lequel notre service travaille depuis des mois, à la suite de la libération d’un délinquant préalablement arrêté pour trafic de drogue.
Cet homme surnommé Hugo, vous le connaissez trop bien d’après les notes prises par monsieur Lucas.
Nous le suivions à sa sortie, nous étions persuadés qu’il pouvait nous faire remonter la filière de drogue dont il était un membre.
Lorsqu’il s’est rapproché du secteur de la prostitution, nos collègues ont pris contact avec nous.
Il nous faut aller assez vite, nous savons déjà beaucoup de choses, les renseignements que vous avez confiés à votre ami complètent presque entièrement notre dossier avant de passage à la phase active.
Les personnes clefs que vous lui avez désignées sont depuis le début d’après-midi sous surveillance, en plus de nous sommes aussi sous surveillance par nos équipes pour vous protéger en cas de danger ici dans cet hôtel.
Hélas, j’ai quelque chose à vous demander, acceptez-vous de retourner à valenciennes lundi jusqu’à notre intervention pour ne pas éveiller leurs soupçons.
• La joie de savoir que nous allons être libres me permettra de tenir le coup.
• Nous vous demandons impérativement de ne rien dire à vos camarades en Belgique, ils sont malins et quelques fois dans les affaires de ce type que nous avons eu à gérer, parmi les filles, certaines pensant attirer leurs faveurs peuvent vous vendre.
• Merci, je repars et je vous fais entièrement confiance, ma vie et celle de mes sœurs est entre vos mains !
• Il nous faut un relais avec vous, nous l’avons trouvé en la personne de votre ami, monsieur Lucas a accepté d’être celui-ci.
Je suis fière d’être dans les bras d’un tel homme, en plus du bon choix tinté de chance qu’il ait été mon voisin, il me fait voir que j’ai affaire à un gentleman.
Je m’écouterais, je tournerais ma tête pour l’embrasser, que je devienne sa chienne me donnant sans retenue là à quatre pattes sur le tapis de bain.
Que sa verge entre en moi pendant des heures, acceptant même la sodomie comme un havre de paix, enfin mon corps sera à moi et je lui offrirais.
Hélas, la réalité est tout autre, les deux inspecteurs sont là et manque de chance pour eux, je suis amoureuse et quand je le suis, je suis fidèle et il est hors de question que je sois au centre d’une partouze comme nous en faisons au bordel quand des hommes en goguette nous payent à plusieurs.
J’arrête de rêver, pour redescendre, régler leur compte à nos maquereaux et maquerelles.
• Il a des amis à Gand avec qui il travaille et qui va le recevoir, il viendra tous les jours comme un simple client et vous choisira chaque fois.
Vous devez avoir des clients qui flashent sur vous et qui viennent systématiquement vous choisir ?
• Oui, avec les autres filles lorsque nous sommes entre nous, nous les appelons nos fiancés, certains attendent au bar notre retour nous les filles, quand nous savons que c’est un fiancé, nous les laissons tranquilles.
Je relève la tête et plonge mon regard dans celui de Lucas.
• Tu seras mon fiancé pendant une semaine.
• Nous confirmez-vous que les chambres pour les clients sont sûres ?
• Oui, ma copine Noémi a pris le risque avec Annabelle de tester les bordels, il n’y a jamais eu de représailles après, ils sont très fiers de l’organisation qu’ils ont mise en place, dans ces endroits ce sont des terrains neutres avec nos clients.
Lucas, tu prendras des passes « No limites », tu seras bien vue.
• Nous avons fait le tour de la question pour le moment, nous allons contacter les Belges pour les mettre au courant des dispositions que nous venons de prendre. Retournez dans votre chambre par le balcon, attention, vous êtes le témoin principal pour nous, encore merci pour votre coopération, à très bientôt, gardez le moral, nous serons toujours là.
Au moment de me séparer de Lucas, je le regarde, il pause un baiser sur mon joli petit nez.
La lumière éteinte, je file par la fenêtre et de plus en plus agile, je saute sur mon balcon.
Lorsque je me couche, plusieurs fois l’envie de repasser le balcon me fait envie, mes doigts ne me suffisent pas à éteindre le feu que le baiser sur mon nez a déclenché.
Seuls les risques que je ferais courir à tout le monde me retiennent.
• Lorsque je me couche, plusieurs fois l’envie de repasser le balcon me fait envie, mes doigts ne me suffisent pas à éteindre le feu que le baiser sur mon nez a déclenché.
• Encore une fois, c’est le service du petit déjeuner qui me réveille, il faut que je me dépêche de me préparer.
Comme hier les enfants sont arrivés !
• Où voulez-vous aller ?
• Je veux aller voir les poneys.
• Surtout ce qui me calme les nerfs, mais pas la chatte, c’est la certitude que j’aurais Lucas au minimum 1 heure dans ma chambre de passe chaque fois qu’il viendra, comment le bas de son corps est, quand j’étais le long de son corps, son sexe est resté inerte, je me fais peut-être du cinéma.
Je demande à la réception, comment allée à Bouzigues.
• Attendez, nous avons un jeune couple en voyage de noces qui s’est renseigné avec la revue sur le présentoir, comment y aller avant de monter dans leur chambre, je vais leur demander, s’ils peuvent vous conduire avec vos enfants.
• Je ne voudrais pas les déranger.
• Ils sont assez grands pour nous le dire…
Je commence mon récit, il m’interrompt quand il ne comprend pas une des explications, ou une chronologie, lorsqu’il comprend que mon affaire est très complexe, il m’interrompt, va dans ses affaires et à la lueur de la nuit, prend des notes.
Il est trois heures du matin lorsqu’il peut mettre un « fin » provisoire sur mon récit.
• Léa, retournez vous coucher, je vais faire le nécessaire, revenez demain, je vous dirais ce que j’ai réussi à faire pour vous sortir de ce cauchemar avec vos enfants et toutes vos amies.
Ma femme militait pour la liberté des femmes à être propriétaire de leur corps, nous ne pouvions pas avoir d’enfant, elle a toujours été respectueuse des lois et allé à l’étranger la mettant en porte-à-faux, lui était insupportable.
• Merci Lucas à demain !
Dans ma narration, il a compris que mon prénom était Léa, au bout d’un moment, je l’ai tutoyée, lui continuant à me vouvoyer, la seule concession qu’il m’a faite, c’est de me donner son prénom.
Je repars de la même façon ou je suis venue, j’éteins ma télévision.
J’essaye de trouver le sommeil, mais il me fuit, je m’attends à tout moment que l’on frappe à ma porte pour m’emmener vers un lieu d’abattage.
Sur le matin, je suce une bite dans la vitrine d’une maison close d’Amsterdam, ce qui serait un moindre mal, devant des dizaines d’hommes qui me regardent de l’autre côté de la glace.
Je saute en l’air quand on frappe à ma porte, ouf, je rêvais, j’espère qu’il n’est pas prémonitoire.
• Votre petit-déjeuner madame.
• Entrez.
• Je vous souhaite une bonne journée madame.
• Merci.
Modérément rassérénée, je prends mon petit déjeuner et je vais me préparer, le téléphone sonne, c’est la réception, mes enfants sont là.
Quel soulagement, en prenant le risque d’aller dans la chambre voisine n’ai-je pas tiré le bon numéro, si Lucas faisait partie de la bande de mon mari, mes enfants ne serraient pas là ce matin, je serais déjà en train de rouler vers le nord de l’Europe ligoté dans une voiture.
Toute la journée, je suis tiraillé entre deux sentiments.
La joie d’être avec mes enfants, restaurants, cinéma et promenade le long de l’étang de Thau.
Comme la veille, ils repartent en fin de journée !
L’un des moments les plus terribles est le repas du soir au restaurant.
Lucas est bien là, mais à l’autre bout de la salle comme s’il me fuyait.
Comme la veille deux jeunes dînent en amoureux !
Ils sont très amoureux, ils doivent être en voyage de noces, la jolie jeune femme joue continuellement avec son alliance, une salade, un fromage blanc sans café, je ne peux pas avaler autre chose.
À une autre table deux hommes discutent en dînant, repas d’affaires certainement.
Je fantasme trop sur qui est qui et qui fait quoi, amis ou ennemis autant rejoindre ma chambre pour attendre que la nuit soit assez noire.
Dès que je suis dans ma chambre, je me mets nue, je prends un bain que je fais durée, il faut impérativement que j’arrive à faire tourner cette maudite pendule, mais personne à ce jour n’y est arrivé.
Le plus difficile c’est de ne pas aller sur le balcon même pour admirer le paysage qui est pourtant magnifique.
Bien sûr, il y a la télévision, aucun programme n’arrive à me captiver.
La nuit est presque noire quand je décide de m’habiller, j’ai déjà préparé les mêmes vêtements qu’hier, à part ma perte d’équilibre dû à un mauvais mouvement, je n’ai pas été gêné pour franchir les balcons.
Je considère qu’il fait assez nuit quand je me lance, dans cinq minutes, ou je roulerais vers le nord où Lucas aura tenu sa promesse de m’aider.
Prestement, je suis de l’autre côté, la fenêtre est entrouverte comme hier, je l’ai à peine franchie que je me sens empoigné par un bras massif à hauteur de ma poitrine et qu’une main se pose sur ma bouche.
Adieu, mes enfants, j’ai fait ce que j’ai pu Marjorie, il ne me reste plus qu’à trouver le moyen de mourir, ce sont en quelques secondes les pensées qui traversent mon esprit.
Je me sens emporté comme un fétu de paille.
Une porte se ferme et la lumière jaillie, quelques secondes les mains me lâchent et ma vue s’habitue, je saute dans les bras de Lucas, qui est en face de moi.
C’est pendu à son cou collé sur sa poitrine que je peux voir que deux hommes sont avec nous dans la salle de bains, ce sont les deux hommes qui dînaient avec nous tout à l’heure que j’avais pris pour des hommes d’affaires.
• Bonjour, madame Léa, je suis un inspecteur de la brigade de la répression du proxénétisme de Paris, monsieur Lucas a contacté un des responsables de la brigade criminelle qu’il connaissait, son récit là interpellé et il m’a tout de suite contactée.
Je vous présente le commissaire de police qui est responsable de la zone Sud de la France, nous avons contacté nos collègues belges, le temps était trop court pour que l’un dès leur soit avec nous et moins on est nombreux, plus nous pouvons passer inaperçus à leurs yeux.
Je suis toujours lovée contre la poitrine de celui qui sera peut-être notre sauveur.
Son bras est placé autour de mon corps et sa main est juste sur mon sein.
Qu’est-ce que je suis bien le long du corps de cet d’homme, ceux que je côtoie dans les semaines passées avaient comme finalité de me pénétrer pour se vider les couilles.
• Ce que monsieur Lucas nous a dit complète un dossier sur lequel notre service travaille depuis des mois, à la suite de la libération d’un délinquant préalablement arrêté pour trafic de drogue.
Cet homme surnommé Hugo, vous le connaissez trop bien d’après les notes prises par monsieur Lucas.
Nous le suivions à sa sortie, nous étions persuadés qu’il pouvait nous faire remonter la filière de drogue dont il était un membre.
Lorsqu’il s’est rapproché du secteur de la prostitution, nos collègues ont pris contact avec nous.
Il nous faut aller assez vite, nous savons déjà beaucoup de choses, les renseignements que vous avez confiés à votre ami complètent presque entièrement notre dossier avant de passage à la phase active.
Les personnes clefs que vous lui avez désignées sont depuis le début d’après-midi sous surveillance, en plus de nous sommes aussi sous surveillance par nos équipes pour vous protéger en cas de danger ici dans cet hôtel.
Hélas, j’ai quelque chose à vous demander, acceptez-vous de retourner à valenciennes lundi jusqu’à notre intervention pour ne pas éveiller leurs soupçons.
• La joie de savoir que nous allons être libres me permettra de tenir le coup.
• Nous vous demandons impérativement de ne rien dire à vos camarades en Belgique, ils sont malins et quelques fois dans les affaires de ce type que nous avons eu à gérer, parmi les filles, certaines pensant attirer leurs faveurs peuvent vous vendre.
• Merci, je repars et je vous fais entièrement confiance, ma vie et celle de mes sœurs est entre vos mains !
• Il nous faut un relais avec vous, nous l’avons trouvé en la personne de votre ami, monsieur Lucas a accepté d’être celui-ci.
Je suis fière d’être dans les bras d’un tel homme, en plus du bon choix tinté de chance qu’il ait été mon voisin, il me fait voir que j’ai affaire à un gentleman.
Je m’écouterais, je tournerais ma tête pour l’embrasser, que je devienne sa chienne me donnant sans retenue là à quatre pattes sur le tapis de bain.
Que sa verge entre en moi pendant des heures, acceptant même la sodomie comme un havre de paix, enfin mon corps sera à moi et je lui offrirais.
Hélas, la réalité est tout autre, les deux inspecteurs sont là et manque de chance pour eux, je suis amoureuse et quand je le suis, je suis fidèle et il est hors de question que je sois au centre d’une partouze comme nous en faisons au bordel quand des hommes en goguette nous payent à plusieurs.
J’arrête de rêver, pour redescendre, régler leur compte à nos maquereaux et maquerelles.
• Il a des amis à Gand avec qui il travaille et qui va le recevoir, il viendra tous les jours comme un simple client et vous choisira chaque fois.
Vous devez avoir des clients qui flashent sur vous et qui viennent systématiquement vous choisir ?
• Oui, avec les autres filles lorsque nous sommes entre nous, nous les appelons nos fiancés, certains attendent au bar notre retour nous les filles, quand nous savons que c’est un fiancé, nous les laissons tranquilles.
Je relève la tête et plonge mon regard dans celui de Lucas.
• Tu seras mon fiancé pendant une semaine.
• Nous confirmez-vous que les chambres pour les clients sont sûres ?
• Oui, ma copine Noémi a pris le risque avec Annabelle de tester les bordels, il n’y a jamais eu de représailles après, ils sont très fiers de l’organisation qu’ils ont mise en place, dans ces endroits ce sont des terrains neutres avec nos clients.
Lucas, tu prendras des passes « No limites », tu seras bien vue.
• Nous avons fait le tour de la question pour le moment, nous allons contacter les Belges pour les mettre au courant des dispositions que nous venons de prendre. Retournez dans votre chambre par le balcon, attention, vous êtes le témoin principal pour nous, encore merci pour votre coopération, à très bientôt, gardez le moral, nous serons toujours là.
Au moment de me séparer de Lucas, je le regarde, il pause un baiser sur mon joli petit nez.
La lumière éteinte, je file par la fenêtre et de plus en plus agile, je saute sur mon balcon.
Lorsque je me couche, plusieurs fois l’envie de repasser le balcon me fait envie, mes doigts ne me suffisent pas à éteindre le feu que le baiser sur mon nez a déclenché.
Seuls les risques que je ferais courir à tout le monde me retiennent.
• Lorsque je me couche, plusieurs fois l’envie de repasser le balcon me fait envie, mes doigts ne me suffisent pas à éteindre le feu que le baiser sur mon nez a déclenché.
• Encore une fois, c’est le service du petit déjeuner qui me réveille, il faut que je me dépêche de me préparer.
Comme hier les enfants sont arrivés !
• Où voulez-vous aller ?
• Je veux aller voir les poneys.
• Surtout ce qui me calme les nerfs, mais pas la chatte, c’est la certitude que j’aurais Lucas au minimum 1 heure dans ma chambre de passe chaque fois qu’il viendra, comment le bas de son corps est, quand j’étais le long de son corps, son sexe est resté inerte, je me fais peut-être du cinéma.
Je demande à la réception, comment allée à Bouzigues.
• Attendez, nous avons un jeune couple en voyage de noces qui s’est renseigné avec la revue sur le présentoir, comment y aller avant de monter dans leur chambre, je vais leur demander, s’ils peuvent vous conduire avec vos enfants.
• Je ne voudrais pas les déranger.
• Ils sont assez grands pour nous le dire…
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