Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (2)
Je publie le début de cette saga pour faire profiter les lecteurs de H.D.S. d’un des quatre livres que j’ai publiés et vendus aux éditions Edilivre, en livre papier et en e-book, ces textes ont été écrits en même temps que « BCBG » ou le « CHANTIER, » je fais simplement un travail de fractionnement.
Ayant donné bêtement mon accord une pluie de claques s’abat en rythme, rougissant mon postérieur, je reçois tellement de coups que j’apprécie de plus en plus et je ne sens même plus son pieu continuer à coulisser en moi.
Quand il arrête, le cul me brûle tellement que, lorsqu’il m’introduit deux doigts dans l’anus, je ne réagis même pas.
Prenant cela comme une invitation, il les ressort pour les placer dans ma bouche et dans le même temps m’enfoncer sa verge dans ma rosette.
La charge a été tellement puissance que mon cul me brûle, mais bizarrement j’aime ça !
Je brame mon plaisir au risque que quelqu’un m’entende.
À ce moment, je me moque de tout sauf de ce sexe qui manœuvre en moi.
Je sens les muscles qui entourent mon anus se contracter sans que je les contrôle, mon mâle qui les ressent arrive à l’apogée de sa résistance et alors qu’un dernier spasme me parcourt le dos, il me remplit de longs jets de sperme.
Dommage, j’aurais voulu avoir le goût du jus d’homme pour la première fois de ma vie, dans ma bouche qu’à cela ne tienne, je me retourne et je l’avale, lui faisant une toilette complète.
Une grande gerbe d’eau, sans se gêner, il a plongé dans ma piscine comme il a plongé dans ma bouche, ma chatte et mon cul.
Je le rejoins et nous faisons quelques longueurs pour nous rafraîchir.
Lorsque je m’arrête, il me rejoint, m’embrasse intensément et lorsqu’il se détache pour sauter hors de l’eau, j’entends.
• Demain même heure, même endroit !
Je le vois prendre ses affaires et pénétrer dans le petit bois nu.
Demain, mais c’est impossible, parce que ma faiblesse d’un moment ne doit pas se reproduire et que c’est mardi jour de réunion avec mes copines.
Après le bain, je retourne sur mon transat où je m’allonge pour récupérer les fesses en l’air.
Je ne sais pas le temps que j’ai dormi, mais la voix de Pierre me ramène à ma triste réalité, je l’ai trompé avec le voisin en lui suçant la bite et en me faisant enculer pour la première fois de ma vie.
Il s’assoit à mes pieds.
• Regarde chérie, tu es resté trop longtemps les fesses au soleil, tu es toute rouge !
Pauvre homme, s’il savait que c’est la fessée reçue qui rougit toujours mes fesses !
Il me passe la main sur mes rougeurs.
Bizarre, mon corps ne réagit pas du tout à son attouchement alors qu’il s’enflammait aux caresses de mon inconnu.
• Pierre, j’ai vu en début d’après-midi le voisin qui voulait savoir s’ils leur étaient possibles d’emprunter le chemin pour aller à la rivière, je lui ai dit que je n’y voyais aucun inconvénient, mais que tu lui confirmerais.
• J’espère que tu ne l’as pas reçu dans cette tenue.
Je deviens aussi rouge que mes fesses.
• Tu es fou, il a sonné au portail, je ne lui ai même pas demandé son nom.
• Je n’en sais rien, ils sont très secrets.
Je me lève et nous entrons manger, nous nous couchons et restons sages.
Pierre parce qu’il est épuisé par sa journée, moi par le plaisir que mon amant m’a procuré.
Toute la nuit je ne trouve pas le sommeil, au matin, j’arrive à plonger dans un sommeil profond.
Je me lève et entièrement nue, je téléphone à Alice mon amie pour lui dire qu’une grande lassitude m’empêche de les rejoindre, je m’étais juré de ne pas appeler et d’oublier l’épisode de la piscine.
Dehors, il pleut.
Je rêve sur le canapé, toujours nue, nudité que je n’ai jamais pratiquée sauf à la piscine comme hier.
Trois heures, comme un zombi, je me vois enfiler un imperméable sur ma nudité.
Le cerveau embrumé, je me vois sortir pour me rendre vers notre piscine ou je suis certaine qu’à cause du temps, il n’est pas venu.
Il est là à l’abri sous le haut vent du chalet.
Lui aussi a mis un imper, il me prend dans ses bras et cherche ma bouche qu’il trouve facilement, comme une midinette, je fonds à son baiser, il écarte mon imper et me félicite d’être venue nue.
• Regarde, j’ai eu la même idée.
Il me prend la main et la plonge sous son imper, je saisis sa verge nue tendue au maximum, je m’agenouille et je le fais entrer dans ma gorge, je lui malaxe les couilles et finis par les faire entrer dans ma bouche.
• Relève-toi, vient-on va chez moi, il n’y a personne !
La pluie nous empêche d’être heureux comme hier.
Comme hier lorsque je suis avec lui, je suis état second, c’est dans ses bras que je traverse notre petite forêt et que je franchis le portillon, j’arrive à l’entrée ou je pénètre attendant impatiemment qu’il s’occupe de mon corps.
La pièce dans laquelle on entre est meublée, d’un grand lit rond central, d’une chaise et d’une table dans un coin avec comme seul ornement un bouquet dans un vase en son milieu.
Sur l’un des murs, un placard assez plat est pendu.
J’enlève mon imper qui est mouillé, je le pose sur la table.
Mon amant vient vers moi et enlève le sien.
Je prends le temps de sentir un des roses, j’ai toujours adoré ces fleurs.
• Puis-je te demander quelque chose ?
Je ne connais même pas ton nom alors que tu m’as donné des plaisirs intenses.
• Appelle-moi Maître Hugo !
• Pourquoi Maître ?
• Pour cela !
Alors que je ne m’y attends pas, il me saisit un sein qu’il sert fortement, un cri de douleur sort de ma bouche, il recommence la même opération sur l’autre sein.
Alors que j’allais crier à nouveau, je me mords la lèvre afin qu’aucun son ne sorte.
• Je vois que tu commences à comprendre !
Je ne réponds pas et je me ramasse une gifle.
• Pourquoi me frappes-tu ?
Un aller et retour me fait monter les larmes aux yeux.
• Oui, Maître Hugo, j’ai compris.
Hugo s’approche de moi, me prend dans ses bras et me cajole comme une enfant.
• C’est bien, à partir de maintenant tu n’appartiens qu’à moi et tu feras tout ce que je déciderais ce qui est bien et, ce qui est mal.
• Mon mari ?
• Lorsque tu te donneras à lui tu le feras sans aucune fioriture, tu te contenteras simplement de le recevoir en toi dans la position du missionnaire.
Pas difficile, je le fais déjà.
• D’accord mon amour !
J’en prends une en plein visage.
• D’accord qui ?
• Excusez-moi, d’accord Maître.
Il m’entraîne sur le lit et me prend dans ses bras, je retrouve sa bouche qui fouille la mienne avec beaucoup d’envie, sous la douceur de sa langue, je pense que s’il me corrige c’est que je le mérite.
Si je veux gagner l’amour de ce bel homme, je n’ai pas le droit de le décevoir. Il peut tout me demander, je suis prête à tout lui donner.
• Tu veux que je te prenne.
• Oui, Hugo !
Mince, j’ai oublié de l’appeler Maître, je m’attends à ramasser une raclée, mais rien ne vient.
Il y aurait-il deux périodes dans l’amour qu’Hugo me porte, celle du dressage que j’adore même si mon éducation m’incite encore à la rejeter et celle de la douceur ou il me procure les plaisirs que j’ai appréciés hier.
• Pour commencer, suce-moi !
Moi qui ai toujours refusé cette pratique, je saute sur l’occasion qui met donner à retrouver le goût de cette verge dans ma bouche.
Qu’elle est belle, quelle est bonne, quelle me comble, que je l’aime.
• Accélère.
Là c’est un ordre qui a claqué. Pour voir si mon raisonnement est le bon, je prends mon temps pour le sucer.
• Aie.
Mes fesses viennent d’être fouettées et le mal que cela m’a fait m’a obligé à pousser ce cri.
• Aie.
Un autre coup zèbre mon autre fesse, je me laisse tomber sur le côté et j’atterris auprès de mon homme les jambes écartées ma chatte ouverte.
Ce n’est pas mon mâle qui m’a fouetté, mais sa compagne la bimbo aux gros seins que je n’avais pas entendu entrer tellement obsédé par la queue de mon amant.
Elle ne porte sur elle qu’une guêpière en cuir de grandes bottes et des gants qui lui montent au-dessus des coudes.
Dans ses mains une cravache formée à son bout par une petite spatule.
La cravache se lève et avant que je n’aie le temps de me protégé, la spatule bien à plat s’abat sur mes grandes lèvres touchant légèrement les muqueuses.
La douleur ressentie est nettement plus forte que ce que j’ai pu ressentir dans ma vie.
Hugo me met la main sur ma douleur, je me tourne vers lui et nous nous embrassons une fois de plus fougueusement.
Lorsqu’il laisse ma bouche, je le regarde avec les yeux pleins d’amour…
Ayant donné bêtement mon accord une pluie de claques s’abat en rythme, rougissant mon postérieur, je reçois tellement de coups que j’apprécie de plus en plus et je ne sens même plus son pieu continuer à coulisser en moi.
Quand il arrête, le cul me brûle tellement que, lorsqu’il m’introduit deux doigts dans l’anus, je ne réagis même pas.
Prenant cela comme une invitation, il les ressort pour les placer dans ma bouche et dans le même temps m’enfoncer sa verge dans ma rosette.
La charge a été tellement puissance que mon cul me brûle, mais bizarrement j’aime ça !
Je brame mon plaisir au risque que quelqu’un m’entende.
À ce moment, je me moque de tout sauf de ce sexe qui manœuvre en moi.
Je sens les muscles qui entourent mon anus se contracter sans que je les contrôle, mon mâle qui les ressent arrive à l’apogée de sa résistance et alors qu’un dernier spasme me parcourt le dos, il me remplit de longs jets de sperme.
Dommage, j’aurais voulu avoir le goût du jus d’homme pour la première fois de ma vie, dans ma bouche qu’à cela ne tienne, je me retourne et je l’avale, lui faisant une toilette complète.
Une grande gerbe d’eau, sans se gêner, il a plongé dans ma piscine comme il a plongé dans ma bouche, ma chatte et mon cul.
Je le rejoins et nous faisons quelques longueurs pour nous rafraîchir.
Lorsque je m’arrête, il me rejoint, m’embrasse intensément et lorsqu’il se détache pour sauter hors de l’eau, j’entends.
• Demain même heure, même endroit !
Je le vois prendre ses affaires et pénétrer dans le petit bois nu.
Demain, mais c’est impossible, parce que ma faiblesse d’un moment ne doit pas se reproduire et que c’est mardi jour de réunion avec mes copines.
Après le bain, je retourne sur mon transat où je m’allonge pour récupérer les fesses en l’air.
Je ne sais pas le temps que j’ai dormi, mais la voix de Pierre me ramène à ma triste réalité, je l’ai trompé avec le voisin en lui suçant la bite et en me faisant enculer pour la première fois de ma vie.
Il s’assoit à mes pieds.
• Regarde chérie, tu es resté trop longtemps les fesses au soleil, tu es toute rouge !
Pauvre homme, s’il savait que c’est la fessée reçue qui rougit toujours mes fesses !
Il me passe la main sur mes rougeurs.
Bizarre, mon corps ne réagit pas du tout à son attouchement alors qu’il s’enflammait aux caresses de mon inconnu.
• Pierre, j’ai vu en début d’après-midi le voisin qui voulait savoir s’ils leur étaient possibles d’emprunter le chemin pour aller à la rivière, je lui ai dit que je n’y voyais aucun inconvénient, mais que tu lui confirmerais.
• J’espère que tu ne l’as pas reçu dans cette tenue.
Je deviens aussi rouge que mes fesses.
• Tu es fou, il a sonné au portail, je ne lui ai même pas demandé son nom.
• Je n’en sais rien, ils sont très secrets.
Je me lève et nous entrons manger, nous nous couchons et restons sages.
Pierre parce qu’il est épuisé par sa journée, moi par le plaisir que mon amant m’a procuré.
Toute la nuit je ne trouve pas le sommeil, au matin, j’arrive à plonger dans un sommeil profond.
Je me lève et entièrement nue, je téléphone à Alice mon amie pour lui dire qu’une grande lassitude m’empêche de les rejoindre, je m’étais juré de ne pas appeler et d’oublier l’épisode de la piscine.
Dehors, il pleut.
Je rêve sur le canapé, toujours nue, nudité que je n’ai jamais pratiquée sauf à la piscine comme hier.
Trois heures, comme un zombi, je me vois enfiler un imperméable sur ma nudité.
Le cerveau embrumé, je me vois sortir pour me rendre vers notre piscine ou je suis certaine qu’à cause du temps, il n’est pas venu.
Il est là à l’abri sous le haut vent du chalet.
Lui aussi a mis un imper, il me prend dans ses bras et cherche ma bouche qu’il trouve facilement, comme une midinette, je fonds à son baiser, il écarte mon imper et me félicite d’être venue nue.
• Regarde, j’ai eu la même idée.
Il me prend la main et la plonge sous son imper, je saisis sa verge nue tendue au maximum, je m’agenouille et je le fais entrer dans ma gorge, je lui malaxe les couilles et finis par les faire entrer dans ma bouche.
• Relève-toi, vient-on va chez moi, il n’y a personne !
La pluie nous empêche d’être heureux comme hier.
Comme hier lorsque je suis avec lui, je suis état second, c’est dans ses bras que je traverse notre petite forêt et que je franchis le portillon, j’arrive à l’entrée ou je pénètre attendant impatiemment qu’il s’occupe de mon corps.
La pièce dans laquelle on entre est meublée, d’un grand lit rond central, d’une chaise et d’une table dans un coin avec comme seul ornement un bouquet dans un vase en son milieu.
Sur l’un des murs, un placard assez plat est pendu.
J’enlève mon imper qui est mouillé, je le pose sur la table.
Mon amant vient vers moi et enlève le sien.
Je prends le temps de sentir un des roses, j’ai toujours adoré ces fleurs.
• Puis-je te demander quelque chose ?
Je ne connais même pas ton nom alors que tu m’as donné des plaisirs intenses.
• Appelle-moi Maître Hugo !
• Pourquoi Maître ?
• Pour cela !
Alors que je ne m’y attends pas, il me saisit un sein qu’il sert fortement, un cri de douleur sort de ma bouche, il recommence la même opération sur l’autre sein.
Alors que j’allais crier à nouveau, je me mords la lèvre afin qu’aucun son ne sorte.
• Je vois que tu commences à comprendre !
Je ne réponds pas et je me ramasse une gifle.
• Pourquoi me frappes-tu ?
Un aller et retour me fait monter les larmes aux yeux.
• Oui, Maître Hugo, j’ai compris.
Hugo s’approche de moi, me prend dans ses bras et me cajole comme une enfant.
• C’est bien, à partir de maintenant tu n’appartiens qu’à moi et tu feras tout ce que je déciderais ce qui est bien et, ce qui est mal.
• Mon mari ?
• Lorsque tu te donneras à lui tu le feras sans aucune fioriture, tu te contenteras simplement de le recevoir en toi dans la position du missionnaire.
Pas difficile, je le fais déjà.
• D’accord mon amour !
J’en prends une en plein visage.
• D’accord qui ?
• Excusez-moi, d’accord Maître.
Il m’entraîne sur le lit et me prend dans ses bras, je retrouve sa bouche qui fouille la mienne avec beaucoup d’envie, sous la douceur de sa langue, je pense que s’il me corrige c’est que je le mérite.
Si je veux gagner l’amour de ce bel homme, je n’ai pas le droit de le décevoir. Il peut tout me demander, je suis prête à tout lui donner.
• Tu veux que je te prenne.
• Oui, Hugo !
Mince, j’ai oublié de l’appeler Maître, je m’attends à ramasser une raclée, mais rien ne vient.
Il y aurait-il deux périodes dans l’amour qu’Hugo me porte, celle du dressage que j’adore même si mon éducation m’incite encore à la rejeter et celle de la douceur ou il me procure les plaisirs que j’ai appréciés hier.
• Pour commencer, suce-moi !
Moi qui ai toujours refusé cette pratique, je saute sur l’occasion qui met donner à retrouver le goût de cette verge dans ma bouche.
Qu’elle est belle, quelle est bonne, quelle me comble, que je l’aime.
• Accélère.
Là c’est un ordre qui a claqué. Pour voir si mon raisonnement est le bon, je prends mon temps pour le sucer.
• Aie.
Mes fesses viennent d’être fouettées et le mal que cela m’a fait m’a obligé à pousser ce cri.
• Aie.
Un autre coup zèbre mon autre fesse, je me laisse tomber sur le côté et j’atterris auprès de mon homme les jambes écartées ma chatte ouverte.
Ce n’est pas mon mâle qui m’a fouetté, mais sa compagne la bimbo aux gros seins que je n’avais pas entendu entrer tellement obsédé par la queue de mon amant.
Elle ne porte sur elle qu’une guêpière en cuir de grandes bottes et des gants qui lui montent au-dessus des coudes.
Dans ses mains une cravache formée à son bout par une petite spatule.
La cravache se lève et avant que je n’aie le temps de me protégé, la spatule bien à plat s’abat sur mes grandes lèvres touchant légèrement les muqueuses.
La douleur ressentie est nettement plus forte que ce que j’ai pu ressentir dans ma vie.
Hugo me met la main sur ma douleur, je me tourne vers lui et nous nous embrassons une fois de plus fougueusement.
Lorsqu’il laisse ma bouche, je le regarde avec les yeux pleins d’amour…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Surprise...
Voilà un récit comme je les aime. Une femme soumise qui s'ignorait et qu'un homme dominant révèle à elle-même.