Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (7/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (7/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
L’après-midi se poursuit, il est 22 heures et des hommes continuent à entrer, ils montent avec nous et repartent, j’ai dû recevoir 5 bites dans ma chatte. 3 dans mon anus, j’ai fait 6 fellations et pratiquée 2 spéciaux dont l’un qui me voulait qu’en levrette.
Et il reste 3 heures à travailler.
Noémie est toujours dans sa position. 3 heures avant la fin.
De temps en temps, je la vois tourner la tête, bouger un poignet où essayer de relever un pied, les bracelets même s’ils sont recouverts de velours rouges finissent par lui faire des marques.
Un couple entre, la femme est une magnifique brune avec des seins difficilement contenus dans un corsage transparent, son homme choisit Marjorie qui virevolte et l’entraîne vers les étages avec un jeton noir.
• Es-tu libre ?
Je m’attendais à tous depuis qu’Hugo ou plutôt Pierre m’a transformée d’épouse honorable à pute dans un bordel belge, je tombe des nues à la demande de la femme voulant faire une passe avec moi !
• Oui !
Elle passe à la caisse, jeton rose, j’attends les ordres.
• Léa, Chambre 5, trente minutes, liberté totale pour ta cliente.
Il est très rare qu’une femme prenne un jeton rose, mais cela arrive et nous avons instauré ce type de prestations.
De la façon dont elle me regarde, Madame Claude semble m’avoir à la bonne.
• Elle est tellement belle que je t’accompagnerais bien.
La cliente est au pied de l’escalier que je monte derrière elle et dont j’apprécie le roulé des hanches.
Aussitôt dans la chambre, elle me pousse sur le lit où je m’assoie, j’enlève ma tenue en me tortillant pour faire glisser mon short.
Elle commence un strip-tease intégral, rapidement sa jupe et son chemisier sont au sol, elle enlève son soutien-gorge qui rejoint ses autres vêtements.
Impudiquement elle avance un sein à hauteur de ma bouche et le fait frétiller sans me le donner.
Elle m’apparaît en string, porte-jarretelles noir, marquant le galbe de ses hanches, le tout avec bas résille complétés par des chaussures au talon effilé.
Dommage qu’il n’y ait pas de musique se serait sublime.
Il est vrai que, la plupart du temps nous sommes là pour nous faire tringler par les clients le plus rapidement possibles avant de redescendre, appâter le suivant.
Elle s’assoit sur la chaise et artistiquement dégrafe les bas de son porte-jarretelles, elle se relève, l’enlève et le faisant tournoyer me l’envoie sur la figure.
Je le saisis et le passe en boule sur mon nez ou je le laisse, je sens son odeur poivrée, la cliente enlève son string, me laissant apparaître une toison impeccablement entretenue comme la mienne lorsque j’en avais encore une et que j’allais la faire entretenir par Annette dans l'institut de Valenciennes du temps de mon oisiveté.
• Votre petite toilette !
• Je sors de mon bain, on est entre femmes, rien à craindre.
• Si, c’est la règle, votre petite toilette !
Elle se lève et passe le paravent, je la rejoins prend du produit que je lui passe sur la chatte mes doigts entrants légèrement à l’intérieur.
• Tu me plais, toi, me caresser la chatte sous couvert d’hygiène intime, continue j’adore.
À son tour ses mains ressemblent à des ailes de papillon sans jamais franchir la ligne qui aurait pu aboutir à des jeux plus pervers.
Je rejoins mon lit de misère, elle me rejoint en ondulant, elle avance son bassin montant sur le lit, elle vient se frotter sur ma bouche, mon nez et aussi mes seins. D’un coup, je l’attrape par les hanches, la faisant rouler à mes côtés, elle cherche ma bouche que je lui dérobe fidèle à Hugo, j’ai toujours l’espoir qu’il ait envie de ma chatte après mon turbin, malgré la fatigue que je commence à ressentir au tréfonds de mon être.
Malgré ce que j’ai subi et ce que m’a dit Noémie, ne suis-je pas corps et âme à lui !
Voyant mon refus, elle descend sa bouche le long de mon corps s’arrêtant sur mes seins qui ont l’air de lui plaire à la façon qu’elle a de les téter comme moi pour Noémi.
Au moment où elle parvient à ma vulve, elle l’ouvre en écartant l’une de mes jambes et en plongeant sa bouche et surtout sa langue à l’intérieur !
Je me souviens qui je suis devenue et qu’elle est la cliente à qui je dois donner du plaisir !
Je la renverse m’occupe comme elle d’abord de ses seins qui sont tellement volumineux que je ne peux même pas en absorber un dans ma bouche.
Je peux téter le mamelon dont la pointe en forme de poire réagit instantanément, dans le même temps, je fais glisser ma main vers sa chatte, mes doigts trouvent un terrain plus que favorable.
Les sécrétions que sa vulve me fournit permettraient à un homme avec un bon pieu de la pénétrer sans risque de faire souffrir cette femelle.
À part mes doigts, qui peut les remplacer ?
Ma langue !
Aussitôt que cette pensée me vient, je glisse jusqu’à sa fourche et après quelques petits lapements, je la fais pénétrer au fond de sa grotte.
Aussitôt arrivée au point maximum que je peux pénétrer, la jolie brune commence une chanson que j’ai moi-même entonnée lorsque Hugo me besognait.
Pour la première fois, je suis sur le point d’emporter une femme vers les sommets du plaisir.
Certes, j’ai fait démarrer Olga, mais à aucun moment ma bouche est descendue sur sa fente volontairement, s’est-elle qui s’est assise sur mon visage.
Il est exact que c’est en prenant un jeton rose que cette belle femme s'est mis à ma disposition et que je n’ai pas pris une fois encore l’initiative.
J’aurais pu refuser de monter la cliente, risquant de subir les foudres de mon amant et souteneur !
Il est vrai que passer 11 heures à me faire fouetter sur la roue de misère où Noémi attend la fermeture du cercle, ne m’emballe pas plus que cela.
Plus sérieusement, ce que je vis depuis que j’ai quitté Valenciennes finie par ne pas me déplaire.
Ignorer si dans les toutes prochaines minutes une bite va vous perforer, petite, grosse, blanche ou noir, si vous allez être prises par-devant, par-derrière, en levrette voire dans la position du missionnaire.
Pour une femme, qui acceptait tout juste de relever sa chemise de nuit il y a peu, l’évolution est phénoménale.
Ma partenaire n’entend pas être la seule à profiter des plaisirs saphiques et je la sens revenir à la charge sur ma vulve avec ses doigts.
Avec un homme, j’ai appris très vite que c’est sa verge qui doit éclater, que plus vite j’y arrive plus vite, je gagne des jetons et qu’Hugo est content de moi lorsque nous comptons les boîtes, je rêve une nouvelle fois qu’il vienne m’honorer, ce qui est loin d’être sûr !
Ici avec une femme, la brouter en se faisant brouter me désarçonne.
Une pute doit éviter de prendre son pied, encore des réminiscences de films, est-ce tromper son homme si l’on prend du plaisir avec une femme ?
J’ai beau retourner la question dans ma tête, il m’est impossible de trouver la réponse.
Attendre ce soir pour en parler à Noémi et avoir sa solution, la bouche qui veut me sucer au risque de tromper mon homme est à quelques centimètres de ma chatte, je trouve un moment de répit en changeant de position.
Je glisse au sol et je relève les jambes de la dame, dans cette position, je lui interdis tout contact avec mon corps par ses mains.
Je la fais mettre jambe en l’air, je dégage sa moule qui se présente à moi bien ouverte, dans cette position, je peux mieux voir son bouton qui est plus près d’une petite bite que d’une framboise.
Aimant bien les framboises et n’ayant jamais sucé de petites bites, j’approche ma langue, d’un coup je la laisse glisser dessus, comme une bite d’homme, le sang qui doit affluer dans son clitoris le fait bander encore un peu plus.
Ma partenaire apprécie à la manière dont elle commence à tortiller ses reins, j’insiste et un orgasme la submerge.
Placé comme je le suis au-dessus de son sexe, je vois sa vulve expulser de petites sécrétions, je m’empresse de les nettoyer ce qui a pour effet de la faire repartir, j’appuie un peu plus sur ses jambes ce qui relève sa rosette.
Une idée folle me vient en tête.
Puisque l’on peut se permettant de me mettre des bites dans le cul, pourquoi ne mettrais-je pas ma langue dans le trou anal de ma cliente ?
Je n’ai rien à perdre qu’une rebuffade de sa part que je suis prête à assumer.
Avant de pointer sa rosette, je la lèche de bas en haut en allant jusqu’à son bouton, je recommence jusqu’à ce que les cris me prouvent que je ne me trompe pas.
Il est possible de jouir par le trou du cul.
Au moment où je pointe ma langue et que je la propulse au plus loin dans l’anneau rectal, ses muscles se contractent et essayent de m’empêcher d’en sortir, je vois un frisson parcourir son corps.
• Ma chère, personne ne m’a fait une feuille de rose comme celle que tu viens de me faire, tu es une superbe et parfaite gougnotte.
La seule chose que je constate, c’est qu’un dernier spasme sort de son corps.
Lorsque je laisse retomber ses jambes, elle m’attire sur elle et me sert très fort sur ses seins.
Combien de temps sommes-nous restés dans cette position !
Combien de temps avant la lumière ?
Je suis loin de la pendule incorporée dans la tête de lit, il m’est difficile de me lever pour aller voir l’heure.
La belle dame me sauve.
• Viens, après la jouissance que tu m’as donnée, j’aimerais que mon mari nous offre une bouteille de champagne.
Champagne jeton, jetons Hugo sera satisfait de sa petite pute alors pourquoi pas.
Je ne me suis jamais habillée aussi vite après avoir lavé la dame et m’être lavé.
La première chose que je vois en arrivant au bar, ce sont les chronomètres. 43 minutes et je pourrais délivrer Noémie.
Bien sympathique la partie avec ma cliente, moi qui étais presque vierge des plaisirs lesbiens, pourquoi la sonnette n’a pas fonctionné ?
J’aurais pu faire un ou deux clients de plus.
• Léa, comme tu ne redescendais pas, le mari de madame a approvisionné ta petite caisse avec des jetons roses, je vous ai laissés continuer à passer du bon temps.
• Merci madame !
En même temps, elle me fait voir le jeton noir pour la bouteille commandée qu’elle glisse dans ma cagnotte.
Je bois la coupe qui m’a été servie, la barmaid n’a pas fait son travail.
Quand je vous disais qu’elle m’avait à la bonne madame Claude !
Je mets la coupe à mes lèvres et pour la première fois je bois un verre d’alcool.
• Bois ta coupe Léa, après ta première soirée, tu l’as bien mérité…
L’après-midi se poursuit, il est 22 heures et des hommes continuent à entrer, ils montent avec nous et repartent, j’ai dû recevoir 5 bites dans ma chatte. 3 dans mon anus, j’ai fait 6 fellations et pratiquée 2 spéciaux dont l’un qui me voulait qu’en levrette.
Et il reste 3 heures à travailler.
Noémie est toujours dans sa position. 3 heures avant la fin.
De temps en temps, je la vois tourner la tête, bouger un poignet où essayer de relever un pied, les bracelets même s’ils sont recouverts de velours rouges finissent par lui faire des marques.
Un couple entre, la femme est une magnifique brune avec des seins difficilement contenus dans un corsage transparent, son homme choisit Marjorie qui virevolte et l’entraîne vers les étages avec un jeton noir.
• Es-tu libre ?
Je m’attendais à tous depuis qu’Hugo ou plutôt Pierre m’a transformée d’épouse honorable à pute dans un bordel belge, je tombe des nues à la demande de la femme voulant faire une passe avec moi !
• Oui !
Elle passe à la caisse, jeton rose, j’attends les ordres.
• Léa, Chambre 5, trente minutes, liberté totale pour ta cliente.
Il est très rare qu’une femme prenne un jeton rose, mais cela arrive et nous avons instauré ce type de prestations.
De la façon dont elle me regarde, Madame Claude semble m’avoir à la bonne.
• Elle est tellement belle que je t’accompagnerais bien.
La cliente est au pied de l’escalier que je monte derrière elle et dont j’apprécie le roulé des hanches.
Aussitôt dans la chambre, elle me pousse sur le lit où je m’assoie, j’enlève ma tenue en me tortillant pour faire glisser mon short.
Elle commence un strip-tease intégral, rapidement sa jupe et son chemisier sont au sol, elle enlève son soutien-gorge qui rejoint ses autres vêtements.
Impudiquement elle avance un sein à hauteur de ma bouche et le fait frétiller sans me le donner.
Elle m’apparaît en string, porte-jarretelles noir, marquant le galbe de ses hanches, le tout avec bas résille complétés par des chaussures au talon effilé.
Dommage qu’il n’y ait pas de musique se serait sublime.
Il est vrai que, la plupart du temps nous sommes là pour nous faire tringler par les clients le plus rapidement possibles avant de redescendre, appâter le suivant.
Elle s’assoit sur la chaise et artistiquement dégrafe les bas de son porte-jarretelles, elle se relève, l’enlève et le faisant tournoyer me l’envoie sur la figure.
Je le saisis et le passe en boule sur mon nez ou je le laisse, je sens son odeur poivrée, la cliente enlève son string, me laissant apparaître une toison impeccablement entretenue comme la mienne lorsque j’en avais encore une et que j’allais la faire entretenir par Annette dans l'institut de Valenciennes du temps de mon oisiveté.
• Votre petite toilette !
• Je sors de mon bain, on est entre femmes, rien à craindre.
• Si, c’est la règle, votre petite toilette !
Elle se lève et passe le paravent, je la rejoins prend du produit que je lui passe sur la chatte mes doigts entrants légèrement à l’intérieur.
• Tu me plais, toi, me caresser la chatte sous couvert d’hygiène intime, continue j’adore.
À son tour ses mains ressemblent à des ailes de papillon sans jamais franchir la ligne qui aurait pu aboutir à des jeux plus pervers.
Je rejoins mon lit de misère, elle me rejoint en ondulant, elle avance son bassin montant sur le lit, elle vient se frotter sur ma bouche, mon nez et aussi mes seins. D’un coup, je l’attrape par les hanches, la faisant rouler à mes côtés, elle cherche ma bouche que je lui dérobe fidèle à Hugo, j’ai toujours l’espoir qu’il ait envie de ma chatte après mon turbin, malgré la fatigue que je commence à ressentir au tréfonds de mon être.
Malgré ce que j’ai subi et ce que m’a dit Noémie, ne suis-je pas corps et âme à lui !
Voyant mon refus, elle descend sa bouche le long de mon corps s’arrêtant sur mes seins qui ont l’air de lui plaire à la façon qu’elle a de les téter comme moi pour Noémi.
Au moment où elle parvient à ma vulve, elle l’ouvre en écartant l’une de mes jambes et en plongeant sa bouche et surtout sa langue à l’intérieur !
Je me souviens qui je suis devenue et qu’elle est la cliente à qui je dois donner du plaisir !
Je la renverse m’occupe comme elle d’abord de ses seins qui sont tellement volumineux que je ne peux même pas en absorber un dans ma bouche.
Je peux téter le mamelon dont la pointe en forme de poire réagit instantanément, dans le même temps, je fais glisser ma main vers sa chatte, mes doigts trouvent un terrain plus que favorable.
Les sécrétions que sa vulve me fournit permettraient à un homme avec un bon pieu de la pénétrer sans risque de faire souffrir cette femelle.
À part mes doigts, qui peut les remplacer ?
Ma langue !
Aussitôt que cette pensée me vient, je glisse jusqu’à sa fourche et après quelques petits lapements, je la fais pénétrer au fond de sa grotte.
Aussitôt arrivée au point maximum que je peux pénétrer, la jolie brune commence une chanson que j’ai moi-même entonnée lorsque Hugo me besognait.
Pour la première fois, je suis sur le point d’emporter une femme vers les sommets du plaisir.
Certes, j’ai fait démarrer Olga, mais à aucun moment ma bouche est descendue sur sa fente volontairement, s’est-elle qui s’est assise sur mon visage.
Il est exact que c’est en prenant un jeton rose que cette belle femme s'est mis à ma disposition et que je n’ai pas pris une fois encore l’initiative.
J’aurais pu refuser de monter la cliente, risquant de subir les foudres de mon amant et souteneur !
Il est vrai que passer 11 heures à me faire fouetter sur la roue de misère où Noémi attend la fermeture du cercle, ne m’emballe pas plus que cela.
Plus sérieusement, ce que je vis depuis que j’ai quitté Valenciennes finie par ne pas me déplaire.
Ignorer si dans les toutes prochaines minutes une bite va vous perforer, petite, grosse, blanche ou noir, si vous allez être prises par-devant, par-derrière, en levrette voire dans la position du missionnaire.
Pour une femme, qui acceptait tout juste de relever sa chemise de nuit il y a peu, l’évolution est phénoménale.
Ma partenaire n’entend pas être la seule à profiter des plaisirs saphiques et je la sens revenir à la charge sur ma vulve avec ses doigts.
Avec un homme, j’ai appris très vite que c’est sa verge qui doit éclater, que plus vite j’y arrive plus vite, je gagne des jetons et qu’Hugo est content de moi lorsque nous comptons les boîtes, je rêve une nouvelle fois qu’il vienne m’honorer, ce qui est loin d’être sûr !
Ici avec une femme, la brouter en se faisant brouter me désarçonne.
Une pute doit éviter de prendre son pied, encore des réminiscences de films, est-ce tromper son homme si l’on prend du plaisir avec une femme ?
J’ai beau retourner la question dans ma tête, il m’est impossible de trouver la réponse.
Attendre ce soir pour en parler à Noémi et avoir sa solution, la bouche qui veut me sucer au risque de tromper mon homme est à quelques centimètres de ma chatte, je trouve un moment de répit en changeant de position.
Je glisse au sol et je relève les jambes de la dame, dans cette position, je lui interdis tout contact avec mon corps par ses mains.
Je la fais mettre jambe en l’air, je dégage sa moule qui se présente à moi bien ouverte, dans cette position, je peux mieux voir son bouton qui est plus près d’une petite bite que d’une framboise.
Aimant bien les framboises et n’ayant jamais sucé de petites bites, j’approche ma langue, d’un coup je la laisse glisser dessus, comme une bite d’homme, le sang qui doit affluer dans son clitoris le fait bander encore un peu plus.
Ma partenaire apprécie à la manière dont elle commence à tortiller ses reins, j’insiste et un orgasme la submerge.
Placé comme je le suis au-dessus de son sexe, je vois sa vulve expulser de petites sécrétions, je m’empresse de les nettoyer ce qui a pour effet de la faire repartir, j’appuie un peu plus sur ses jambes ce qui relève sa rosette.
Une idée folle me vient en tête.
Puisque l’on peut se permettant de me mettre des bites dans le cul, pourquoi ne mettrais-je pas ma langue dans le trou anal de ma cliente ?
Je n’ai rien à perdre qu’une rebuffade de sa part que je suis prête à assumer.
Avant de pointer sa rosette, je la lèche de bas en haut en allant jusqu’à son bouton, je recommence jusqu’à ce que les cris me prouvent que je ne me trompe pas.
Il est possible de jouir par le trou du cul.
Au moment où je pointe ma langue et que je la propulse au plus loin dans l’anneau rectal, ses muscles se contractent et essayent de m’empêcher d’en sortir, je vois un frisson parcourir son corps.
• Ma chère, personne ne m’a fait une feuille de rose comme celle que tu viens de me faire, tu es une superbe et parfaite gougnotte.
La seule chose que je constate, c’est qu’un dernier spasme sort de son corps.
Lorsque je laisse retomber ses jambes, elle m’attire sur elle et me sert très fort sur ses seins.
Combien de temps sommes-nous restés dans cette position !
Combien de temps avant la lumière ?
Je suis loin de la pendule incorporée dans la tête de lit, il m’est difficile de me lever pour aller voir l’heure.
La belle dame me sauve.
• Viens, après la jouissance que tu m’as donnée, j’aimerais que mon mari nous offre une bouteille de champagne.
Champagne jeton, jetons Hugo sera satisfait de sa petite pute alors pourquoi pas.
Je ne me suis jamais habillée aussi vite après avoir lavé la dame et m’être lavé.
La première chose que je vois en arrivant au bar, ce sont les chronomètres. 43 minutes et je pourrais délivrer Noémie.
Bien sympathique la partie avec ma cliente, moi qui étais presque vierge des plaisirs lesbiens, pourquoi la sonnette n’a pas fonctionné ?
J’aurais pu faire un ou deux clients de plus.
• Léa, comme tu ne redescendais pas, le mari de madame a approvisionné ta petite caisse avec des jetons roses, je vous ai laissés continuer à passer du bon temps.
• Merci madame !
En même temps, elle me fait voir le jeton noir pour la bouteille commandée qu’elle glisse dans ma cagnotte.
Je bois la coupe qui m’a été servie, la barmaid n’a pas fait son travail.
Quand je vous disais qu’elle m’avait à la bonne madame Claude !
Je mets la coupe à mes lèvres et pour la première fois je bois un verre d’alcool.
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