Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (8/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (8/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les dernières filles redescendent, parmi elle, l'amie de Noémie qui continue à m’envoyer des yeux noirs, j’ai l’impression que je me suis fait une copine.
Alors que nous sommes entre nous, tous les clients sont partis, Hugo descend avec les deux malabars.
Il détache Noémi de sa roue, mais la laisse allongée dessus.
Il s’approche du bar et ouvre nos boîtes une à une.
Rapidement la petite prend une longueur sur chacune de celles qui sont ouvertes, il reste trois boîtes à ouvrir, c’est au tour de la mienne, je suis deuxième, suivie de celle de la grande noire dont je ne connais pas le prénom, car nous nous sommes évitées toute la journée.
Hugo ne touche pas à la boîte de Noémie.
Bien sûr, elle est vide, même si prendre des bites dans le corps par contrainte, n’est pas agréable, bien que mon intermède avec ma cliente fût aux limites de ce qui est permis, rester 11 heures sans très peu bouger, pour pas un rond doit vous casser. N’est-ce pas ce qu’ils cherchent avec cette roue, vous souffrez gratuitement ?
Je prends un jeton noir et un rose dans ma boîte et les places dans la boîte de la grande, les filles sont surprises, mais la petite Marjorie prend un de ces jetons noirs et m’imite.
Bien sûr, il faut toujours qu’il y en ait une qui se démarque du groupe, mon ennemie me fusille du regard et tourne les talons en entraînant Marjorie qui n’ose la contrarier.
Les deux malabars se saisissent de Noémie chacun par un bras et une jambe et lui font monter l’escalier comme s’ils portaient un sac à patates.
Je les suis, dans l’escalier, j’ai la chatte épilée de mon amie devant mes yeux, je vois nettement les traces de cravaches sur sa vulve, une trace bien prononcée zèbre ses grandes lèvres, le coup de la salope jalouse doit y être pour beaucoup.
Ils ouvrent la porte, la dépose sans ménagement dans la baignoire et ouvrent l’eau en tournant un seul bouton, le froid bien sûr.
Ils sortent, je me précipite auprès de celle qui a souffert.
L’eau qui coule sur son corps étant froide, j’équilibre la température tout en caressant son visage.
L’évacuation n’est pas fermée, je vois couler l’eau tintée, ma grande à un visage qui s’illumine à mesure que son corps se vide, depuis combien de temps se retenait-elle ?
Après un long moment de prostration, Noémi commence à bouger, chaque mouvement semble un calvaire pour ses muscles, je l’aide à se laver.
Lorsque je lui passe le gant savonné sur la chatte, d’une main tendre, je lui cajole le clitoris qui malgré la fatigue lui permet d’avoir une petite jouissance.
Pour la rincer, je commence à vider l’eau et avec la pomme de douche, je la rince intégralement, quand sa chatte est propre, voyant cette fente que je n’aurais jamais dû voir si je n’avais pas été obligé de venir me prostituer, j’ai un mouvement de tendresse, comment la ramener jusqu’à notre lit.
Après bien des efforts, j’arrive à la relever, l’éponger puis de l’essuyer rapidement et de venir l’allonger directement sur le lit.
Je retourne rapidement prendre une douche en insistant sur l’intérieur de mon vagin et mon petit trou pour adoucir la légère douleur après les nombreuses pénétrations que j’ai endurées.
Je n’ai rien entendu, mais une personne nous a posé deux plateaux pour que l’on puisse reprendre quelques forces.
J’arrive à la nourrir sans qu’elle soit obligée de se relever.
Ce repas plus la volonté d’être maître de sa vie lui permet de retrouver toute sa lucidité.
Les deux malabars qui l’ont remonté entrent sans frapper ne s’inquiétant pas si nous sommes habillées ou nues pour enlever les plateaux.
Je la rejoins sur le lit et la prends dans mes bras.
• Que veux-tu savoir ma chérie ?
• Commence à m’expliquer, comment tu t’es retrouvé dans ce bordel.
• C’est Pierre, ton mari qui m’a piégé.
Alors qu’elle allait commencer, la porte s’ouvre et Hugo entre, il vient me chercher !
Ma joie est de courte durée Olga le suit et vient se coller à lui.
Il pose sur la table un flacon.
• Noémi, tu ne diras pas que je suis insensible, nous t’apportons du baume apaisant.
La grande ne lui répond pas.
• Léa, après ton petit déjeuner demain, tu iras voir madame Claude au bout du couloir. Bonne nuit.
À la suite de cet ordre, ils sortent, pas un regard vers moi, mon cœur saigne, Noémie le sent et c’est elle qui me cajole.
• Tu vois, tu n’es plus rien à attendre de lui, pour eux nous sommes de la matière à baiser, j’ignore ce que lui fait sa pute pour qu’il la garde, à ce jour, c’est le grand mystère des bordels de ton ex.
Je me lève, prend du baume afin d’en passer sur les parties de son corps tuméfié.
• Tu as la main douce, chérie.
Elle me tend mes lèvres pour la première fois, nos bouches se scellent, sa langue est plus vigoureuse que ses jambes, notre baiser dur, dur, dur, bien sûr, je n’avais jamais embrassé une femme aussi longtemps.
Elle se love dans mes bras et nous nous séparons un moment.
• Lorsqu’ils sont entrés, tu me disais que c’était Pierre qui t’avait piégé ?
• Oui, j’étais à la piscine lorsque je l’ai vu au bord du bassin, il ne m’avait pas vu, il était avec un homme fort séduisant.
C’était Hugo, Pierre m’a présenté lui donnant mon prénom, nous avons sympathisé, sa prestance m’a mis en confiance, je venais de rompre avec mon compagnon malgré la naissance de notre enfant, ils savaient et ont profité de ma vulnérabilité.
• C’est après cette naissance que je suis venue te voir et que j’ai bu ton lait.
• Exacts, ces seins pleins de lait ont été le point de départ pour Hugo pour me draguer, avec mon maillot, il n’avait aucun mal à voir que j’allaitais.
Pierre s’était éclipsé prétextant une réunion pour son travail, Hugo m’a proposé de me raccompagner à mon domicile pour que ma petite-fille retrouve sa maman plus rapidement.
Cette première fois, il a été très gentleman.
J’avais récupéré mon bébé et ma fille chez ma voisine qui me servait de nourrice, j’étais en train d’arrêter le lait maternel.
Il a pris ma fille sur ses genoux lui demandant quel âge elle avait.
« Douze ans monsieur ! »
« Tu es bien poli, ta maman t’élève bien. »
« Si je compte bien dans six ans, tu seras majeur, ça pousse vite à cet âge. »
• Insidieusement il venait de placer un pion pour la suite.
Tu sais que j’allais tous les lundis à la piscine.
Le lundi suivant, il était là, il m’a proposé d’aller chez lui prendre un café, prétextant qu’il habitait à 5 minutes, un peu déstabilisée par ma rupture, je n’ai pas vu le mal, j’ai accepté, il a été parfait, me laissant repartir sans une avance, c’est leur force, ils savent tisser une toile autour de nous.
Le lundi suivant, nous sommes retournés chez lui où il m’a fait l’amour comme aucun homme ne me l’avait fait auparavant, j’ai joui sous toutes ces sollicitations.
Quand je suis rentré, j’étais persuadé d’avoir trouvé le nouvel homme de ma vie.
Le lendemain, je revenais de mon travail, je suis allé les chercher chez la voisine, elle n’a pas répondu quand j’ai sonné, je suis rentrée chez moi, une lettre était posée sur la commode du vestibule bien en vue.
Quand je l’ai ouverte, il m’annonçait que mes enfants avaient été enlevés et qu’il me les rendrait si je retournais chez l’homme qui m’avait fait l’amour la veille.
Si je prévenais la police, je ne les reverrais pas.
La phrase suivante m’a glacé le sang.
« Dans six ans à ses dix-huit ans un bordel attend ta fille. »
• J’ai couru chez la voisine, la porte fermée quand je suis arrivée était ouverte et la voisine était attachée sur une chaise, lorsqu’elle a été détachée, elle a voulu appeler les policiers, je l’ai dissuadé et je suis allé chez Hugo.
Quand il m’a reçu, il m’a demandé de me déshabiller, quand j’ai été nue, la porte s’est ouverte et Pierre m’a rivé mon collier ne m’ayant plus quitté depuis presque deux ans.
Ce jour-là j’ai été obligé de subir leur double pénétration, Pierre dans la chatte et Hugo dans le cul pendant de longues minutes.
Je ne sais pas comment ils s’y prennent, mais cela les a soudés à moi pendant des mois jusqu’à ce que je comprenne que je n'étais pour eux que de la chaire à baiser et à leur rapporter du pognon.
Ils m’ont conduite à Anvers où nous irons certainement dans les semaines prochaines, car ils font tourner les filles par équipes dans leurs bordels.
Je n’ai revu mes enfants qu’après avoir été entre les mains des clients de celui où nous sommes après trois semaines.
Ils étaient dans le Doubs, ils vivent dans une ferme, lors des week-ends où je les vois, ils les amènent tous les matins et les remmènent le soir, le midi, nous mangeons au restaurant et j’ai l’autorisation de les promener.
• Avant de dormir, donne-moi les prénoms de nos compagnes de galère, j’ai entendu que la petite s’appelle Marjorie.
• Elle est parmi nous depuis notre dernier séjour à Anvers, sa mère a essayé de s’enfuir d’un l’hôtel à Toulon où elle se retrouvait.
Elle a réussi à partir par un Ferri pour la corse, mais ils l’ont rattrapé, nous ne savons pas où elle est.
À Anvers, un marin d’une frégate française nous a dit avoir rencontré des prostituées françaises aux campos allègres à Curaçao, ils l’ont peut-être expédiée là-bas ou à Amsterdam pour travailler à 50 € la passe dans les vitrines.
Pour Marjorie, ils l’ont dépucelé avant de la mettre dans notre équipe en lui disant qu’elle devait racheter l’erreur de sa mère en s’enfuyant et qu’elle serait libre quand ils auront décidé qu’elle a assez gagné pour qu’ils soient remboursés.
C’est pour cela qu’elle monte les clients sans aucun tabou, je pense qu’elle n’y arrive jamais, elle leur rapporte trop.
La Martiniquaise s’appelle Annabelle, la petite brune s’appelle Nadège et la blonde Christine, je n’ai pas de grand contact avec elle et je ne connais pas leur histoire.
• Tu as vu qu’Annabelle n’a pas apprécié que tu dormes avec moi et nous a fait voir sa mauvaise humeur toute la journée.
• Je sais, elle m’a donné le plus grand coup de cravache, j’irais la voir demain quand tu seras dans le bureau de la patronne.
Nous nous embrassons, il est 2 heures du matin lorsque nous éteignons…
Les dernières filles redescendent, parmi elle, l'amie de Noémie qui continue à m’envoyer des yeux noirs, j’ai l’impression que je me suis fait une copine.
Alors que nous sommes entre nous, tous les clients sont partis, Hugo descend avec les deux malabars.
Il détache Noémi de sa roue, mais la laisse allongée dessus.
Il s’approche du bar et ouvre nos boîtes une à une.
Rapidement la petite prend une longueur sur chacune de celles qui sont ouvertes, il reste trois boîtes à ouvrir, c’est au tour de la mienne, je suis deuxième, suivie de celle de la grande noire dont je ne connais pas le prénom, car nous nous sommes évitées toute la journée.
Hugo ne touche pas à la boîte de Noémie.
Bien sûr, elle est vide, même si prendre des bites dans le corps par contrainte, n’est pas agréable, bien que mon intermède avec ma cliente fût aux limites de ce qui est permis, rester 11 heures sans très peu bouger, pour pas un rond doit vous casser. N’est-ce pas ce qu’ils cherchent avec cette roue, vous souffrez gratuitement ?
Je prends un jeton noir et un rose dans ma boîte et les places dans la boîte de la grande, les filles sont surprises, mais la petite Marjorie prend un de ces jetons noirs et m’imite.
Bien sûr, il faut toujours qu’il y en ait une qui se démarque du groupe, mon ennemie me fusille du regard et tourne les talons en entraînant Marjorie qui n’ose la contrarier.
Les deux malabars se saisissent de Noémie chacun par un bras et une jambe et lui font monter l’escalier comme s’ils portaient un sac à patates.
Je les suis, dans l’escalier, j’ai la chatte épilée de mon amie devant mes yeux, je vois nettement les traces de cravaches sur sa vulve, une trace bien prononcée zèbre ses grandes lèvres, le coup de la salope jalouse doit y être pour beaucoup.
Ils ouvrent la porte, la dépose sans ménagement dans la baignoire et ouvrent l’eau en tournant un seul bouton, le froid bien sûr.
Ils sortent, je me précipite auprès de celle qui a souffert.
L’eau qui coule sur son corps étant froide, j’équilibre la température tout en caressant son visage.
L’évacuation n’est pas fermée, je vois couler l’eau tintée, ma grande à un visage qui s’illumine à mesure que son corps se vide, depuis combien de temps se retenait-elle ?
Après un long moment de prostration, Noémi commence à bouger, chaque mouvement semble un calvaire pour ses muscles, je l’aide à se laver.
Lorsque je lui passe le gant savonné sur la chatte, d’une main tendre, je lui cajole le clitoris qui malgré la fatigue lui permet d’avoir une petite jouissance.
Pour la rincer, je commence à vider l’eau et avec la pomme de douche, je la rince intégralement, quand sa chatte est propre, voyant cette fente que je n’aurais jamais dû voir si je n’avais pas été obligé de venir me prostituer, j’ai un mouvement de tendresse, comment la ramener jusqu’à notre lit.
Après bien des efforts, j’arrive à la relever, l’éponger puis de l’essuyer rapidement et de venir l’allonger directement sur le lit.
Je retourne rapidement prendre une douche en insistant sur l’intérieur de mon vagin et mon petit trou pour adoucir la légère douleur après les nombreuses pénétrations que j’ai endurées.
Je n’ai rien entendu, mais une personne nous a posé deux plateaux pour que l’on puisse reprendre quelques forces.
J’arrive à la nourrir sans qu’elle soit obligée de se relever.
Ce repas plus la volonté d’être maître de sa vie lui permet de retrouver toute sa lucidité.
Les deux malabars qui l’ont remonté entrent sans frapper ne s’inquiétant pas si nous sommes habillées ou nues pour enlever les plateaux.
Je la rejoins sur le lit et la prends dans mes bras.
• Que veux-tu savoir ma chérie ?
• Commence à m’expliquer, comment tu t’es retrouvé dans ce bordel.
• C’est Pierre, ton mari qui m’a piégé.
Alors qu’elle allait commencer, la porte s’ouvre et Hugo entre, il vient me chercher !
Ma joie est de courte durée Olga le suit et vient se coller à lui.
Il pose sur la table un flacon.
• Noémi, tu ne diras pas que je suis insensible, nous t’apportons du baume apaisant.
La grande ne lui répond pas.
• Léa, après ton petit déjeuner demain, tu iras voir madame Claude au bout du couloir. Bonne nuit.
À la suite de cet ordre, ils sortent, pas un regard vers moi, mon cœur saigne, Noémie le sent et c’est elle qui me cajole.
• Tu vois, tu n’es plus rien à attendre de lui, pour eux nous sommes de la matière à baiser, j’ignore ce que lui fait sa pute pour qu’il la garde, à ce jour, c’est le grand mystère des bordels de ton ex.
Je me lève, prend du baume afin d’en passer sur les parties de son corps tuméfié.
• Tu as la main douce, chérie.
Elle me tend mes lèvres pour la première fois, nos bouches se scellent, sa langue est plus vigoureuse que ses jambes, notre baiser dur, dur, dur, bien sûr, je n’avais jamais embrassé une femme aussi longtemps.
Elle se love dans mes bras et nous nous séparons un moment.
• Lorsqu’ils sont entrés, tu me disais que c’était Pierre qui t’avait piégé ?
• Oui, j’étais à la piscine lorsque je l’ai vu au bord du bassin, il ne m’avait pas vu, il était avec un homme fort séduisant.
C’était Hugo, Pierre m’a présenté lui donnant mon prénom, nous avons sympathisé, sa prestance m’a mis en confiance, je venais de rompre avec mon compagnon malgré la naissance de notre enfant, ils savaient et ont profité de ma vulnérabilité.
• C’est après cette naissance que je suis venue te voir et que j’ai bu ton lait.
• Exacts, ces seins pleins de lait ont été le point de départ pour Hugo pour me draguer, avec mon maillot, il n’avait aucun mal à voir que j’allaitais.
Pierre s’était éclipsé prétextant une réunion pour son travail, Hugo m’a proposé de me raccompagner à mon domicile pour que ma petite-fille retrouve sa maman plus rapidement.
Cette première fois, il a été très gentleman.
J’avais récupéré mon bébé et ma fille chez ma voisine qui me servait de nourrice, j’étais en train d’arrêter le lait maternel.
Il a pris ma fille sur ses genoux lui demandant quel âge elle avait.
« Douze ans monsieur ! »
« Tu es bien poli, ta maman t’élève bien. »
« Si je compte bien dans six ans, tu seras majeur, ça pousse vite à cet âge. »
• Insidieusement il venait de placer un pion pour la suite.
Tu sais que j’allais tous les lundis à la piscine.
Le lundi suivant, il était là, il m’a proposé d’aller chez lui prendre un café, prétextant qu’il habitait à 5 minutes, un peu déstabilisée par ma rupture, je n’ai pas vu le mal, j’ai accepté, il a été parfait, me laissant repartir sans une avance, c’est leur force, ils savent tisser une toile autour de nous.
Le lundi suivant, nous sommes retournés chez lui où il m’a fait l’amour comme aucun homme ne me l’avait fait auparavant, j’ai joui sous toutes ces sollicitations.
Quand je suis rentré, j’étais persuadé d’avoir trouvé le nouvel homme de ma vie.
Le lendemain, je revenais de mon travail, je suis allé les chercher chez la voisine, elle n’a pas répondu quand j’ai sonné, je suis rentrée chez moi, une lettre était posée sur la commode du vestibule bien en vue.
Quand je l’ai ouverte, il m’annonçait que mes enfants avaient été enlevés et qu’il me les rendrait si je retournais chez l’homme qui m’avait fait l’amour la veille.
Si je prévenais la police, je ne les reverrais pas.
La phrase suivante m’a glacé le sang.
« Dans six ans à ses dix-huit ans un bordel attend ta fille. »
• J’ai couru chez la voisine, la porte fermée quand je suis arrivée était ouverte et la voisine était attachée sur une chaise, lorsqu’elle a été détachée, elle a voulu appeler les policiers, je l’ai dissuadé et je suis allé chez Hugo.
Quand il m’a reçu, il m’a demandé de me déshabiller, quand j’ai été nue, la porte s’est ouverte et Pierre m’a rivé mon collier ne m’ayant plus quitté depuis presque deux ans.
Ce jour-là j’ai été obligé de subir leur double pénétration, Pierre dans la chatte et Hugo dans le cul pendant de longues minutes.
Je ne sais pas comment ils s’y prennent, mais cela les a soudés à moi pendant des mois jusqu’à ce que je comprenne que je n'étais pour eux que de la chaire à baiser et à leur rapporter du pognon.
Ils m’ont conduite à Anvers où nous irons certainement dans les semaines prochaines, car ils font tourner les filles par équipes dans leurs bordels.
Je n’ai revu mes enfants qu’après avoir été entre les mains des clients de celui où nous sommes après trois semaines.
Ils étaient dans le Doubs, ils vivent dans une ferme, lors des week-ends où je les vois, ils les amènent tous les matins et les remmènent le soir, le midi, nous mangeons au restaurant et j’ai l’autorisation de les promener.
• Avant de dormir, donne-moi les prénoms de nos compagnes de galère, j’ai entendu que la petite s’appelle Marjorie.
• Elle est parmi nous depuis notre dernier séjour à Anvers, sa mère a essayé de s’enfuir d’un l’hôtel à Toulon où elle se retrouvait.
Elle a réussi à partir par un Ferri pour la corse, mais ils l’ont rattrapé, nous ne savons pas où elle est.
À Anvers, un marin d’une frégate française nous a dit avoir rencontré des prostituées françaises aux campos allègres à Curaçao, ils l’ont peut-être expédiée là-bas ou à Amsterdam pour travailler à 50 € la passe dans les vitrines.
Pour Marjorie, ils l’ont dépucelé avant de la mettre dans notre équipe en lui disant qu’elle devait racheter l’erreur de sa mère en s’enfuyant et qu’elle serait libre quand ils auront décidé qu’elle a assez gagné pour qu’ils soient remboursés.
C’est pour cela qu’elle monte les clients sans aucun tabou, je pense qu’elle n’y arrive jamais, elle leur rapporte trop.
La Martiniquaise s’appelle Annabelle, la petite brune s’appelle Nadège et la blonde Christine, je n’ai pas de grand contact avec elle et je ne connais pas leur histoire.
• Tu as vu qu’Annabelle n’a pas apprécié que tu dormes avec moi et nous a fait voir sa mauvaise humeur toute la journée.
• Je sais, elle m’a donné le plus grand coup de cravache, j’irais la voir demain quand tu seras dans le bureau de la patronne.
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