Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (9/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (9/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous sommes encore endormies quand l’un des loufiats nous apporte le café.
Nous sommes choyées dans la maison, nous avons droit aux croissants chauds.
Lorsque j’ai fini, je mets un peignoir et sors pour me rendre à mon rendez-vous.
Sur la dernière porte un nom. « Madame Claude »
Je frappe et l’on me fait entrer.
La patronne est allongée sur un canapé en peignoir elle aussi, seul un foulard noir qu’elle semble toujours portée au tour du cou lui donne une touche personnelle.
• Viens t’asseoir.
Un fauteuil semble avoir été placé pour que je le rejoigne.
• Je voulais te remercier pour le geste que tu as fait pour Noémi hier, c’est la première fois que depuis que l’on m’a forcé à me prostituer qu’une fille a eu un mouvement humain.
• Êtes-vous ici depuis longtemps ?
• C’est une longue histoire, mais je vais te la raconter.
Je suis originaire de Denain, une petite ville près de Valenciennes, j’allais souvent avec des copains danser dans une boîte de cette ville.
J’ai fait la connaissance d’un jeune homme très séduisant qui s’appelait Antoine à qui j’ai cédé ma virginité, je me suis retrouvée enceinte.
Antoine avait un copain ton beau-père Christian, ma famille a bien essayé de me marier, mais il a refusé, j’ai vite compris qu’ils avaient un autre dessin pour moi.
Mon père m’a jeté dehors, Antoine a tout de même accepté que je vive chez lui, tout était calculé, quand j’ai accouché, j’étais encore sur la table d’accouchement lorsqu’il a lâché.
« Merde, c’est une piseuse »
• Je suis sortie quelques jours plus tard et quand je suis arrivé chez mon copain, plusieurs personnes étaient là, Antoine bien sûr, Christian et un couple que je ne connaissais pas.
Christian m’a pris ma fille dans mes bras, j’ai résisté autant que j’ai pu, mais il me l’a littéralement arraché et la mise dans les bras de la femme, je ne comprenais pas pourquoi on donnait mon bébé à cet homme filiforme et à cette petite femme très grosse.
« Prenez en soin, à dix-huit ans, elle pourra nous être utile. »
• Je ne comprenais pas ce qu’il venait de dire, la phrase que Christian venait de prononcer n’était rien comparée à celle qui a suivi et qui a été aussi énigmatique.
« Va ramasser tes affaires, nous partons pour Gand où tu vas travailler. »
• Nous avons pris la route et nous sommes arrivés ici, j’ai été la première fille à qui ils ont mis un collier.
En me disant cela, elle enlève son foulard et un collier jaune entièrement délavé me saute aux yeux.
• Vous ne pouvez pas l’enlever.
• Je pourrais, à part me faire disparaître, je ne crains plus grand-chose, mais depuis bientôt trente ans qu’ils me l’ont posé, j’y suis tellement habituée que je me sentirais nue si je l’enlevais.
Je le cache simplement et quand je le vois, il me rappelle la vie de misère qu’ils m’ont fait vivre.
J’ai un seul souhait qui me retient à la vie, connaître ma fille et peut-être mes petits-enfants, ce rêve est impossible, car je suis libre, mais enfermé depuis ce jour où ils m’ont brisé le corps et le cœur.
Lorsque nous sommes entrés dans le club, cela sentait encore la peinture, la roue venait d’être installée et j’ai été la première à la tester.
Pendant huit jours, Christian a essayé des situations différentes jusqu’à ce qu’il soit satisfait de celle qui est en service depuis.
À l’ouverture, ils avaient réussi à contraindre deux autres filles à se prostituer pour eux.
Jeanne, ta belle-mère qui venait d’avoir un fils qu’ils avaient appelé Pierre tenait le bar et la caisse des passes.
Le premier soir de l’ouverture officielle, ils ont décidé que j’étais la première pute à être entré dans le club et que j’avais gagné le droit d’être celle qui serais attachée sur la roue, j’ai dégusté jusqu’à la fermeture comme Noémi l’a été.
Quand Pierre a repris l’affaire de son père, il l’a amélioré, par exemple c’est lui qui a eu l’idée des chronos.
Trois filles et une seule boîte dans toute la ville, tous les hommes cherchant des prostituées ont rappliqués.
À deux puisque la troisième subissait la cravache, il n’était pas rare de faire 35 à 40 passes par jour, nos chattes et nos anus finissaient par nous brûler malgré la crème qu’ils nous appliquaient.
Rapidement la roue a été l’attraction que tous les pervers de Belgique voulaient voir.
Antoine et Christian n’étaient pas là souvent, nous étions sous la coupe d’une brute, qu’ils avaient engagée et qui surveillait la bonne marche du club, dans la journée malgré notre fatigue, presque tous les jours, il en prenait une pour la nuit et se payait sur la bête.
Plusieurs filles sont tombées sous leurs pattes, le seul intérêt pour nous c’est que le nombre de pénétrations diminuait ce qui était plus supportable.
En cinq ans, ils ont ouvert un club à Anvers et un à Bruxelles, ils se faisaient un fric fou.
Un jour la police a débarqué, Antoine mon ex venait de se faire descendre dans une rue de Bruxelles, nous avons été interrogés, ils nous avaient prévenus que si nous parlions, ils contraindraient nos enfants et qu’ils en pâtiraient, la police a conclu à un règlement de comptes non élucidé, ils graissaient la patte à un grand nombre d’entre eux.
Christian est devenu le seul propriétaire avec ta belle-mère, elle ne disait rien, mais rapidement j’ai compris qu’elle était l’âme noire du couple, elle éduquait son fils avec la haine des femmes.
L’une d’elles avait certainement provoqué cette dérive.
Un jour Pierre qui allait avoir dix-neuf ans était tout fier de nous annoncer qu’il allait épouser une très jolie fille qu’il avait baisée et qu’il avait engrossée, c’était son père qui l’avait emmené près de la maison de cette fille, lui demandant de faire ses preuves.
Christian souhaitait se retirer avec ta belle-mère dans le sud de la France, c'est dans cette période qu’Hugo est apparu, il devait aider Pierre à tenir les filles, son père le trouvant encore tendre.
Nous ne l’avons pas vu longtemps, car il s’est retrouvé à l’ombre en France pour trafic de stupéfiants, il en avait pris pour dix ans, mais avec les remises de peine il en est sorti à mis parcours, il y avait encore la grâce présidentielle pour le 14 juillet.
C’est aussi à cette époque, qu’ils ont décidé de me sortir du circuit actif et de me confier la gestion des passes de leurs filles, il est vrai que j’étais fatigué de monter à l’étage et que pour eux mon cul comme pute n’était plus rentable.
Je pense que Christian n’est pas étranger à cette décision, chaque fois qu’il venait sans sa femme après sa retraite, il finissait la nuit dans mon lit. Plusieurs fois il m’a dit qu’il s’était trompé de femme et que s’il avait su c’était Jeanne qui tapinerait ici.
Revenons à notre histoire après ces parenthèses.
Pour devenir le caïd, Pierre t’a traqué pendant des jours prenant de toi des photos qu’il était très fier de nous montrer lorsqu’il venait, j’ai même vu des photos de toi nue dans ta chambre.
Avais-tu un arbre devant ta fenêtre ?
• Oui, c’était un gros chêne vieux de presque cent ans.
• Il avait dû grimper dedans.
J’étais abasourdi par ces révélations qui étaient toutes plausibles, mais le meilleur est à venir.
• Sur une tu sortais de ta salle de bains en essuyant ta chatte dont on apercevait tes poils blonds, ton lit était juste en face de ta fenêtre.
• Oui.
Il nous montrait toute une série ou nue sur le lit, les jambes écartées au maximum, tu te masturbais.
Il a même réussi un gros plan de toi sur ton visage au moment où tu jouissais.
Dans cette série, qu’il appréciait beaucoup, il en a pris des jours différents. Chaque fois il y avait des détails qui changeaient, tes draps ou le vernis sur tes ongles de pieds de couleurs différentes.
Il t’a épousé et à ton premier accouchement lorsqu’ils ont su à l’écographie que tu attendais certainement une fille, tu as failli te retrouver dans un de ces trois bordels.
Ta première chance, c’est qu’ils étaient sur un coup pour ferrer une fille qu’ils souhaitaient avoir, c’était la fille d’un riche industriel, ils ont réussi, elle tourne toujours avec une autre équipe qui travaille sur leurs boîtes.
La deuxième, c’était que leur groupe de filles était complet à cette époque, ils ont décidé de te garder en réserve et la grande chance que tu as eue c’est que tu t’es rapidement retrouvée enceinte et que tu as eu un fils.
Tu as échappé une nouvelle fois à ton destin lorsqu’ils se sont aperçus que tu t’étais fait des amies assez bandantes comme ils disaient qu’ils allaient alpaguer.
C’est grâce à toi, qu’ils ont attrapé Noémi, sur l’oreiller un homme aussi machiavélique que ton mari n’a pas eu de mal à savoir les habitudes des unes ou des autres.
Deux choses, qui peuvent paraître banals pour nous, représentent une mine d’or s’ils ont une fille en vue pour leurs intérêts.
Noémi avait une fille qu’y n’était pas loin de ses dix-huit ans et connaissait la piscine où elle avait pris l’habitude de se rendre tous les lundis.
Leur tactique, c’est de louer un logement soit près de chez la dame ou pour Noémi près de la piscine.
Une semaine, deux semaines voire trois et 10 fois sur 10 ils réussissent.
Pour toi, l’accélérateur de ta venue ici a été une autre de tes copines que Pierre a séduite, c’est elle, qu’il a choisi de garder en te faisant tomber dans les pattes d’Hugo.
Ta copine l’amusait, car contrairement à toi elle le suçait et se laissait sodomiser, il l’a même baisé dans ta cuisine un jour où tu étais là et où tu l’avais invité.
Je ne sais pas son prénom, c’est une mignonne blonde avec des yeux bleus.
• Avec les renseignements que vous venez de me donner, je suis sûr que c’est Alice, elle avait été ma plus proche amie, elle me jalousait d’avoir un mari qui avait une situation me permettant d’avoir une vie de rêve.
• Tu sais, la vie m’a appris que l’on est toujours trahi par un être proche, pour t’avoir, ils n’ont pas hésité à louer la villa près de la tienne et Pierre a fait semblant d’avoir oublié de fermer le portillon.
• Comment savez-vous tout cela ?
Qui se méfie d’une vieille dame qui ne fait pas de bruit, en plus, je dois assister à toutes les réunions qui concernent le club que je gère, ils s’obligent à parler de club, mais c’est bien un bordel que je gère.
Quand Pierre est là, il vient souvent ici s’asseoir dans ton fauteuil, il aime boire mon whisky avec Hugo et son Olga, les verres se succédant leur déliant souvent les langues, c’est comme cela que j’ai au fil du temps reconstitué tout ce que je t’ai dit.
D’un bond, je suis debout comme si une guêpe m’avait piqué…
Nous sommes encore endormies quand l’un des loufiats nous apporte le café.
Nous sommes choyées dans la maison, nous avons droit aux croissants chauds.
Lorsque j’ai fini, je mets un peignoir et sors pour me rendre à mon rendez-vous.
Sur la dernière porte un nom. « Madame Claude »
Je frappe et l’on me fait entrer.
La patronne est allongée sur un canapé en peignoir elle aussi, seul un foulard noir qu’elle semble toujours portée au tour du cou lui donne une touche personnelle.
• Viens t’asseoir.
Un fauteuil semble avoir été placé pour que je le rejoigne.
• Je voulais te remercier pour le geste que tu as fait pour Noémi hier, c’est la première fois que depuis que l’on m’a forcé à me prostituer qu’une fille a eu un mouvement humain.
• Êtes-vous ici depuis longtemps ?
• C’est une longue histoire, mais je vais te la raconter.
Je suis originaire de Denain, une petite ville près de Valenciennes, j’allais souvent avec des copains danser dans une boîte de cette ville.
J’ai fait la connaissance d’un jeune homme très séduisant qui s’appelait Antoine à qui j’ai cédé ma virginité, je me suis retrouvée enceinte.
Antoine avait un copain ton beau-père Christian, ma famille a bien essayé de me marier, mais il a refusé, j’ai vite compris qu’ils avaient un autre dessin pour moi.
Mon père m’a jeté dehors, Antoine a tout de même accepté que je vive chez lui, tout était calculé, quand j’ai accouché, j’étais encore sur la table d’accouchement lorsqu’il a lâché.
« Merde, c’est une piseuse »
• Je suis sortie quelques jours plus tard et quand je suis arrivé chez mon copain, plusieurs personnes étaient là, Antoine bien sûr, Christian et un couple que je ne connaissais pas.
Christian m’a pris ma fille dans mes bras, j’ai résisté autant que j’ai pu, mais il me l’a littéralement arraché et la mise dans les bras de la femme, je ne comprenais pas pourquoi on donnait mon bébé à cet homme filiforme et à cette petite femme très grosse.
« Prenez en soin, à dix-huit ans, elle pourra nous être utile. »
• Je ne comprenais pas ce qu’il venait de dire, la phrase que Christian venait de prononcer n’était rien comparée à celle qui a suivi et qui a été aussi énigmatique.
« Va ramasser tes affaires, nous partons pour Gand où tu vas travailler. »
• Nous avons pris la route et nous sommes arrivés ici, j’ai été la première fille à qui ils ont mis un collier.
En me disant cela, elle enlève son foulard et un collier jaune entièrement délavé me saute aux yeux.
• Vous ne pouvez pas l’enlever.
• Je pourrais, à part me faire disparaître, je ne crains plus grand-chose, mais depuis bientôt trente ans qu’ils me l’ont posé, j’y suis tellement habituée que je me sentirais nue si je l’enlevais.
Je le cache simplement et quand je le vois, il me rappelle la vie de misère qu’ils m’ont fait vivre.
J’ai un seul souhait qui me retient à la vie, connaître ma fille et peut-être mes petits-enfants, ce rêve est impossible, car je suis libre, mais enfermé depuis ce jour où ils m’ont brisé le corps et le cœur.
Lorsque nous sommes entrés dans le club, cela sentait encore la peinture, la roue venait d’être installée et j’ai été la première à la tester.
Pendant huit jours, Christian a essayé des situations différentes jusqu’à ce qu’il soit satisfait de celle qui est en service depuis.
À l’ouverture, ils avaient réussi à contraindre deux autres filles à se prostituer pour eux.
Jeanne, ta belle-mère qui venait d’avoir un fils qu’ils avaient appelé Pierre tenait le bar et la caisse des passes.
Le premier soir de l’ouverture officielle, ils ont décidé que j’étais la première pute à être entré dans le club et que j’avais gagné le droit d’être celle qui serais attachée sur la roue, j’ai dégusté jusqu’à la fermeture comme Noémi l’a été.
Quand Pierre a repris l’affaire de son père, il l’a amélioré, par exemple c’est lui qui a eu l’idée des chronos.
Trois filles et une seule boîte dans toute la ville, tous les hommes cherchant des prostituées ont rappliqués.
À deux puisque la troisième subissait la cravache, il n’était pas rare de faire 35 à 40 passes par jour, nos chattes et nos anus finissaient par nous brûler malgré la crème qu’ils nous appliquaient.
Rapidement la roue a été l’attraction que tous les pervers de Belgique voulaient voir.
Antoine et Christian n’étaient pas là souvent, nous étions sous la coupe d’une brute, qu’ils avaient engagée et qui surveillait la bonne marche du club, dans la journée malgré notre fatigue, presque tous les jours, il en prenait une pour la nuit et se payait sur la bête.
Plusieurs filles sont tombées sous leurs pattes, le seul intérêt pour nous c’est que le nombre de pénétrations diminuait ce qui était plus supportable.
En cinq ans, ils ont ouvert un club à Anvers et un à Bruxelles, ils se faisaient un fric fou.
Un jour la police a débarqué, Antoine mon ex venait de se faire descendre dans une rue de Bruxelles, nous avons été interrogés, ils nous avaient prévenus que si nous parlions, ils contraindraient nos enfants et qu’ils en pâtiraient, la police a conclu à un règlement de comptes non élucidé, ils graissaient la patte à un grand nombre d’entre eux.
Christian est devenu le seul propriétaire avec ta belle-mère, elle ne disait rien, mais rapidement j’ai compris qu’elle était l’âme noire du couple, elle éduquait son fils avec la haine des femmes.
L’une d’elles avait certainement provoqué cette dérive.
Un jour Pierre qui allait avoir dix-neuf ans était tout fier de nous annoncer qu’il allait épouser une très jolie fille qu’il avait baisée et qu’il avait engrossée, c’était son père qui l’avait emmené près de la maison de cette fille, lui demandant de faire ses preuves.
Christian souhaitait se retirer avec ta belle-mère dans le sud de la France, c'est dans cette période qu’Hugo est apparu, il devait aider Pierre à tenir les filles, son père le trouvant encore tendre.
Nous ne l’avons pas vu longtemps, car il s’est retrouvé à l’ombre en France pour trafic de stupéfiants, il en avait pris pour dix ans, mais avec les remises de peine il en est sorti à mis parcours, il y avait encore la grâce présidentielle pour le 14 juillet.
C’est aussi à cette époque, qu’ils ont décidé de me sortir du circuit actif et de me confier la gestion des passes de leurs filles, il est vrai que j’étais fatigué de monter à l’étage et que pour eux mon cul comme pute n’était plus rentable.
Je pense que Christian n’est pas étranger à cette décision, chaque fois qu’il venait sans sa femme après sa retraite, il finissait la nuit dans mon lit. Plusieurs fois il m’a dit qu’il s’était trompé de femme et que s’il avait su c’était Jeanne qui tapinerait ici.
Revenons à notre histoire après ces parenthèses.
Pour devenir le caïd, Pierre t’a traqué pendant des jours prenant de toi des photos qu’il était très fier de nous montrer lorsqu’il venait, j’ai même vu des photos de toi nue dans ta chambre.
Avais-tu un arbre devant ta fenêtre ?
• Oui, c’était un gros chêne vieux de presque cent ans.
• Il avait dû grimper dedans.
J’étais abasourdi par ces révélations qui étaient toutes plausibles, mais le meilleur est à venir.
• Sur une tu sortais de ta salle de bains en essuyant ta chatte dont on apercevait tes poils blonds, ton lit était juste en face de ta fenêtre.
• Oui.
Il nous montrait toute une série ou nue sur le lit, les jambes écartées au maximum, tu te masturbais.
Il a même réussi un gros plan de toi sur ton visage au moment où tu jouissais.
Dans cette série, qu’il appréciait beaucoup, il en a pris des jours différents. Chaque fois il y avait des détails qui changeaient, tes draps ou le vernis sur tes ongles de pieds de couleurs différentes.
Il t’a épousé et à ton premier accouchement lorsqu’ils ont su à l’écographie que tu attendais certainement une fille, tu as failli te retrouver dans un de ces trois bordels.
Ta première chance, c’est qu’ils étaient sur un coup pour ferrer une fille qu’ils souhaitaient avoir, c’était la fille d’un riche industriel, ils ont réussi, elle tourne toujours avec une autre équipe qui travaille sur leurs boîtes.
La deuxième, c’était que leur groupe de filles était complet à cette époque, ils ont décidé de te garder en réserve et la grande chance que tu as eue c’est que tu t’es rapidement retrouvée enceinte et que tu as eu un fils.
Tu as échappé une nouvelle fois à ton destin lorsqu’ils se sont aperçus que tu t’étais fait des amies assez bandantes comme ils disaient qu’ils allaient alpaguer.
C’est grâce à toi, qu’ils ont attrapé Noémi, sur l’oreiller un homme aussi machiavélique que ton mari n’a pas eu de mal à savoir les habitudes des unes ou des autres.
Deux choses, qui peuvent paraître banals pour nous, représentent une mine d’or s’ils ont une fille en vue pour leurs intérêts.
Noémi avait une fille qu’y n’était pas loin de ses dix-huit ans et connaissait la piscine où elle avait pris l’habitude de se rendre tous les lundis.
Leur tactique, c’est de louer un logement soit près de chez la dame ou pour Noémi près de la piscine.
Une semaine, deux semaines voire trois et 10 fois sur 10 ils réussissent.
Pour toi, l’accélérateur de ta venue ici a été une autre de tes copines que Pierre a séduite, c’est elle, qu’il a choisi de garder en te faisant tomber dans les pattes d’Hugo.
Ta copine l’amusait, car contrairement à toi elle le suçait et se laissait sodomiser, il l’a même baisé dans ta cuisine un jour où tu étais là et où tu l’avais invité.
Je ne sais pas son prénom, c’est une mignonne blonde avec des yeux bleus.
• Avec les renseignements que vous venez de me donner, je suis sûr que c’est Alice, elle avait été ma plus proche amie, elle me jalousait d’avoir un mari qui avait une situation me permettant d’avoir une vie de rêve.
• Tu sais, la vie m’a appris que l’on est toujours trahi par un être proche, pour t’avoir, ils n’ont pas hésité à louer la villa près de la tienne et Pierre a fait semblant d’avoir oublié de fermer le portillon.
• Comment savez-vous tout cela ?
Qui se méfie d’une vieille dame qui ne fait pas de bruit, en plus, je dois assister à toutes les réunions qui concernent le club que je gère, ils s’obligent à parler de club, mais c’est bien un bordel que je gère.
Quand Pierre est là, il vient souvent ici s’asseoir dans ton fauteuil, il aime boire mon whisky avec Hugo et son Olga, les verres se succédant leur déliant souvent les langues, c’est comme cela que j’ai au fil du temps reconstitué tout ce que je t’ai dit.
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