Un amours de Ghislaine...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 176 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 1 207 379 visites.
Récit libertin : Un amours de Ghislaine... Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 087 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Un amours de Ghislaine...
Dès mon réveil, je comprends que je ne pourrais plus me défaire du plaisir insensé que j’éprouve pour ma sublime Ghislaine. Je m’abstiens cependant de porter remède à la puissante érection qui plaque mon sexe contre mon ventre. Putain que j’aime me sentir ainsi ! Je dédie mon érection du moment à Ghislaine.
Elle m’accompagne longtemps et si elle se relâche souvent, il suffit que mes pensées reviennent à ce qui s’était passé la veille pour qu’elle retrouve toute sa vigueur.
J’arrive devant la porte de son appartement. La porte n’est pas verrouillée, je me permets de passer le pas-de-porte. Je m’aperçois que Ghislaine pliée en deux devant le four. Je ne vois pas son visage. Une paire de fesses tendent le tissu de sa jupe remontée. Dévoilant deux cuisses à la peau laiteuse. La vision que m’offre Ghislaine ainsi troussée dégage un tel érotisme que mon désir se manifeste tout de suite. Déjà une bosse tend la braguette de mon pantalon.
Je m’avance sans bruit. Penché sur elle, je lui prends les seins à deux mains en frottant ma queue tendue contre son fessier.
Sachant très bien à qui appartiennent ses mains, Ghislaine se laisse faire.
- Tu ne dis rien ?
- Pourquoi le ferais-je ?
Je défais l’agrafe de la jupe, qui tombe sur le sol. Je lui caresse l’entrejambe. Elle se laisse explorer. Je m’agenouille. J’ai l’intense plaisir de pouvoir promener mes lèvres et ma langue sur ses jambes. En remontant à la hauteur de ses cuisses. Elle se retourne me faisant face. Sa toison, foncée, est bien visible à travers la petite culotte en dentelle blanche.
Dont les grandes lèvres débordent de chaque côté du tissu. Sa chatte suinte telle une source. Imprégnant de plus en plus le devant de sa culotte.
- Ma chatte est en feu, éteint l’incendie, Alain.
Elle me tourne alors le dos et entreprend de faire glisser l’ourlet de sa jupe au-dessus de sa croupe. Je redécouvre un cul splendide, paré d’une culotte blanche simple mais efficace. Je m’agenouille derrière elle et lui mord les fesses. Je fais glisser sa culotte et rapproche ma langue de son petit trou. Je l’entends gémir. Elle reste penchée, le buste sur plan de travail. Je glisse ma main entre ses cuisses, caresse sa fente qui est déjà bien mouillée. Mon doigt s’attarde un moment sur son clitoris. Elle s'entortille, sa respiration est plus que saccadée. Je la doigte alors, brutalement, lui arrachant un cri de plaisir. Mes doigts s’activent dans sa chatte trempée et je suis hypnotisé par son œillet. Que je me mets à le lécher avec convoitise. Elle n’en peut plus, elle me demande en bégayant d’y aller plus vigoureusement. Elle désire de la queue et elle fait tout pour l’avoir.
Je m’amuse encore un peu et arrête de la doigter pour glisser ma langue jusqu'à sa chatte. Je me caresse tout en la goûtant, ses gémissements me rendent fou. Toujours derrière elle, je me relève, pose une main sur ses fesses et commence à enfoncer un doigt dans son cul. Elle ne proteste pas, au contraire. Je l’embrasse violemment, elle a l’air d’aimer le goût du sexe. Je la pénètre de partout avec mes doigts. Le plaisir la rend de plus en plus salope.
J’aimerais faire durer le plaisir. Mais voilà ma queue est douloureuse à force d’être raide. Elle se retourne pour me faire face et recule jusqu’à la table en formica. Elle s’y assoit en équilibre malgré sa grossesse et m’attend, le souffle court, la chatte offerte. Je ne résiste pas plus longtemps. Je la pénètre d’un coup de reins. La sensation brûlante d’enserré ma queue m’arrache un cri. J’entame un va-et-vient lent et maîtrisé, savourant le plaisir que m’offre son sexe avide. Je sens ses jambes se serrer autour de moi, elle essaie de m’imposer son rythme. Je m’exécute. J’accélère le rythme, le bruit de ses fesses claquant sur mon ventre me rend fou. Elle grogne, s’accroche à la table. Elle parvient à gémir, ce qui fait sauter toutes les barrières que je m’imposais encore. Je perds le contrôle et obéis à son désir impérieux, ma main claque son cul tandis que je la ramone dans les règles de l’art.
Elle n’en peut plus, et moi non plus d’ailleurs. Nos cris se mêlent, nous en oublions le risque de voir ses parents venir frapper à ma porte.
Nos sexes sont trempés, sa mouille coule le long de ses jambes. C’est trop pour moi, je me retire et jouis sur ses fesses tendues vers moi. Elle s’effondre à moitié sur la table, je me laisse glisser par terre, dos au pied du meuble.
Elle court jusqu’au salon où elle se renverse sur le divan, et se sépare de son sous-vêtement. Je m’agenouille à l’intérieur du compas de ses jambes. Délicatement, je titille le pourtour de la vulve entourée de poils, sans jamais la toucher. Dès que mes lèvres, ma langue, s’approchent trop près, je les éloigne aussitôt.
Elle soupire, se crispe, son sexe avide, entrouvert, qui réclame. Je caresse du doigt la rondelle brune et plissée à demi cachée dans le sillon culier. Au premier attouchement, les fesses se resserrent. Mais elles finissent par se détendre et laisser le champ libre à ma caresse. Dans ses soubresauts, Ghislaine projette son ventre en avant. Ma bouche gourmande qui jusqu’alors la picorer s’en va répondre à son supplice. J’enfonce ma langue à l’intérieur de sa chatte humide. Explore chaque repli des petites lèvres. Je l’insinue sous le capuchon pour agacer le bouton nacré du clitoris. Je descends jusqu’au périnée. Le bout de ma langue atteint la rose brunâtre.
Ghislaine est au bord de l’explosion. J’humidifie mon doigt à l’entrée du vagin. Approche ma bouche du bourgeon pour l’aspirer, l’exacerber du bout de ma langue. Ghislaine halète de plus en plus. La succion, doublée de la pénétration digitale de son sphincter anal, provoque chez elle un orgasme d’une violence inouïe.
Les lèvres de son sexe dégoulinent de son jus mêlé à ma salive. Tous ses membres tremblent, se raidissent dans un état proche de la catalepsie. Heureux de ma performance, je m’écarte d’elle pour lui laisser reprendre ses esprits et son souffle.
Assis près d’elle, je lui prodigue de douces caresses pour tempérer la chamade de son cœur. Quand enfin les battements, dans sa poitrine, ont repris un rythme moins rapide, elle secoue la tête comme si elle sortait de sa sieste.
- Tu es, genre doué !
- Tu serais contre un second épisode ?
Sans attendre sa réponse, je tombe à genoux. Je caresse ses cuisses, puis, sans préavis, colle ma bouche sur son pubis à la toison souillée. Elle se plie en deux, mais déjà, ma langue s’insinue dans le vallon creux. Une fois encore ma langue inspecte chaque repli de sa vulve.
Peu à peu, ses suppliques deviennent incompréhensibles, incohérentes, entrecoupées de soupirs et de râles. D’une main, je maintiens écarté ses lèvres gonflées, de l’autre, j’explore lentement la plaine qui unit les vallées qui s’enfoncent de part et d’autre de son bassin. L’encerclement de son renflement sensible par ma langue conquérante lui fait mordre sa lèvre. Elle se rejette en arrière, le pubis propulsé en avant. Livré aux excès que ma fantaisie. Le doigt englué de sa liqueur qui s’avance dans son sillon culier. Elle se tortille, couine.
- Oui… Oui… Oui… Lâche-t-elle, sa venant se crisper dans mes cheveux, plaquant mon visage sur son sexe.
- Tu vas me rendre folle !
Nerveusement, j’écarte les revers de son chemisier, martyrise les bretelles de son soutien-gorge en coton et en fais jaillir les globes fermes de sa petite poitrine.
Ses soupirs évanescents font gonfler mon ardeur. Mes coups de langue passionnés entraînent Ghislaine dans un second orgasme. Je baisse mon pantalon. Les yeux de Ghislaine s’ouvrent dans une expression de surprise et d’inquiétude mêlées. Je lui présente ma queue bandée. Je lui appuie sur la tête. Elle ne résiste pas. Ouvrant les mâchoires, elle prend timidement ma queue dans sa bouche. Elle me suce. Je suis aux anges !
Alors que je suis sur le point d’éjaculer, Ghislaine me recrache, pour coller son sexe au mien. Il lui suffit de se laisser redescendre pour que ma queue se loge dans son vagin. Elle noue ses jambes autour de ma taille.
- Oui Alain ! Baise-moi !
Elle perd la tête sous l’effet de l’excitation, m’insultant et me suppliant tour à tour. Cette femme dégage une sexualité extraordinaire. Loin d’être inconsciente de son effet, elle semble jouer de ma faiblesse, sans même chercher à le cacher.
Elle tend les mains et touche mon torse. Elle me palpe, semble vouloir me situer, touche mon visage. Ses doigts courent sur mes lèvres, j’en saisis un et le glisse dans ma bouche, le caresse de ma langue et de mes lèvres. Après quelques instants, elle reprend ses esprits et glisse à tâtons vers moi. Elle se love contre moi, nos corps sont moites de sueurs et de sperme. Cette femme tient de la chatte en chaleur. J’en suis complètement fou d’elle.
Je suis condamné à la revoir chaque jour, à reconnaître sous les traits civilisés la salope. Gentleman, je l’aide doucement à reposer pied à terre. L’essuie tendrement. Non sans profiter de ces derniers instants pour goûter sa peau et ses lèvres.
Elle m’a ouvert la porte. Je suis rentré chez moi satisfait. Toute la nuit, j’ai pensé à ses pieds. Me promettant de m’en occuper le lendemain à peine que j’aurais franchi le pas de la porte de son appartement. Résultat, je mets ma main sur son pied et le caresse doucement. La réaction de Ghislaine est surprise. Elle est étonnée au début puis commence à prendre goût petit à petit. Je lui fais remarquer que ses pieds sont juste parfaits. Ma pulsion est tellement forte que je ne peux résister à l'envie de mettre ses orteils dans ma bouche.
- Tu es vraiment très spécial toi. Personne ne m'a encore léché mes pieds...
C'est à ce moment-là que ma pulsion sexuelle est au maximum. Je fais rouler son bas le long de sa jambe. Je prends son pied et je sors ma langue pour commencer à lécher son talon avant de remonter vigoureusement jusqu'aux orteils. Ghislaine observe.
Elle se saisit de ma queue par le bout de ses pieds et me masturbe longuement. Soit avec les deux pieds, soit entre les orteils de chaque pied. Je suis maintenant à sa merci. Au moment d'éjaculer, elle met ses deux pieds devant mon gland et quand ils étaient trempés de sperme elle suce très lentement ses orteils et allait même fourrer sa langue entre pour être sûre de ne pas manquer de semence.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Un amours de Ghislaine...
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Renifleur

Un amours de Ghislaine... - Récit érotique publié le 16-10-2025
Ghislaine la grosse cochonne! - Récit érotique publié le 15-10-2025
Esprit de famille - Récit érotique publié le 14-10-2025
Une affaire à suivre! - Récit érotique publié le 13-10-2025
De si jolies filles! - Récit érotique publié le 11-10-2025
GHISLAINE...suite. - Récit érotique publié le 10-10-2025
GHISLAINE! - Récit érotique publié le 08-10-2025
Ah fantasme, quand tu nous tiens! - Récit érotique publié le 15-09-2025
la poilue! - Récit érotique publié le 13-09-2025
Plus j'en es, plus j'en veux! - Récit érotique publié le 11-09-2025