Une affaire à suivre!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 173 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 1 196 117 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 535 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Une affaire à suivre!
J’ai tant stocké dans ma mémoire des scènes de délire passée avec Catherine lors de nos relations sexuelles. Que cela m’a poussé à pendre contact avec elle. Des fois qu’elle aussi aurait les mêmes ressentit ?
Et comme deviné, voilà qu’au téléphone, la coquine me propose même de la rejoindre dans la journée. Que cela tombe bien elle est de repos.
Juste de savoir que je vais une fois encore, jouir en sa compagnie ma trique arrive au grand galop.
Sur la porte de l’entrée, une feuille de papier y est punaisée. Le message m’est adressé. Je lis dessus à l’intention d’Alain, elle me donne le droit de rentrée, sinon sonner et attendre qu’en vienne ouvrir.
Elle se trouve dans la véranda. Assise dans un fauteuil. Elle porte une robe à petit-pois, et ses jambes sont gainées de nylons blancs.
- Tu en as mi du temps, pour me contacter ? Me fait-elle.
- C’est que ces derniers temps, j’étais très occupé !
- Oui, je sais, c’est ce que m'a dit mon gendre. Qu’il avait même pris un verre avec toi.
J’espère pour moi qu’il ne sait pas nous attarder à raconter ce que nous n'avons fait pas la suite. Et plus est, le conseil que je lui avais préconisé de sauter sa belle-mère !
Je pense que c’est un sujet qu’il n’a pas exposé avec Catherine, car elle est passée à autre chose.
- Bon, je pense que tu n’es pas venu jusqu’à là pour faire la discussion ?
-Je te l’accorde !
- Alors jouant au jeu du plaisir. Pour cela, c’est moi qui donne la règle. Et la mienne est pour ‘instant que tu sois spectateur !
- C’est Madame qui voit !
Tout en me fixant, elle ouvre légèrement le compas de ses jambes. L’étoffe de la robe noire à petits-pois fait une voute de tissu au-dessus de ses jambes. Sa jambe droite, gainée est en vue jusqu’en haut de la cuisse. J’aperçois, à grand renfort de battements de cœur, le divin renflement d’une étoffe rebondie, sa culotte. Mon sexe palpite dans son nid.
Ses joues sont rouges et son regard est brillant. Elle fait sortir son pied de son chausson, doucement. Elle le pose à plat sur le carrelage blanc. Puis elle le contracte, faisant arquer ses orteils, et la vue de son peton ainsi tendue est terriblement érotique. Je ne perds pas un seul de ses mouvements. Elle retire son second chausson, et tend ses deux jambes. Elle saisit l’ourlet de sa robe, qui est déjà très relevée et, sans hésitation, ni brusquerie, d’un geste d’une féminité absolue, la fait remonter sur son ventre. Je suis à la limite de bondir sur elle pour la violer. Tant l’excitation me brûle le cerveau.
Je suis en extase devant son pubis rebondi qui tend l’étoffe blanche de la culotte. Elle fait glisser sa main à plat sur son ventre. J’aperçois distinctement ses doigts atteindre le bord de l’étoffe blanche, et puis glisser encore, plus doucement, en appuyant légèrement, sur le renflement de son sexe. Je vois l’empreinte de son sexe, à travers le tissu, que ses doigts dessinaient.
Puis elle écarte tout doucement sa jambe gauche. Je vois parfaitement la face interne de sa cuisse brillante due au nylon, jusqu’à la lisière de sa culotte, et ses doigts qui glissent sur cette culotte, s’insinuant plus loin entre les fesses. Elle a une respiration un peu saccadée, entrecoupée de brefs sursauts. Je suis fasciné, par le mouvement de ses doigts. C’est toujours pour moi aussi sensuel. Pour mon plus grand plaisir, le mouvement de sa main s’accroît encore un peu.
Sa main poursuit ses mouvements de va-et-vient sur son ventre, descendant parfois sur les cuisses, puis remontant en enfonçant le tissu de sa culotte collant entre des formes qui me font rêver. Sa main droite s’immobilise sur sa culotte. Catherine me scrute du regard. Je respire profondément, tant l’émotion est grand et palpable dans cette véranda.
Mon regard se gave de ses caresses. Je ne résiste pas à la tentation de lui exhiber ma queue. Elle passe de mes yeux à mon ventre. Je me caresse doucement, puis plus vite. Ses joues sont roses d’émotion. Elle était tout simplement irrésistible, divine. J’ai la queue douloureuse tant, le désir l’arque, la tension le brûle.
Elle retire sa main du fond de sa culotte pour venir se poser à plat sur ses flancs, sur ses hanches, ses doigts glisser sous l’élastique de sa culotte blanche, et commence à la faire glisser.
Mes yeux se posent sur les plis de la naissance de ses jambes. Son mouvement continu, je me gave la vue de son buisson de poils. C’est l’instant qu’elle choisit pour sortir de dessous, le coussin un gobe. Qu’elle s’enfile entièrement dans son vagin.
- Je l’ai choisi en pensant à toi.
- Tu auras pu choisir plus conséquent ?
- J’aime les grosses queues ! Lâche-t-elle en ondulant du bassin.
Elle écarte ses lèvres et entreprend de faire coulisser le silicone entre-elles. Le jugeant assez luisant de mouille, elle le présente à l’entrée de son trou du cul. Que je trouve déjà entrebâillé. Elle pousse sur la ventouse et le gland disparaît sans aucun problème. Ensorceler, j’enserre fortement ma queue. J’ai mon gland gorgé de sang. J’ai l’impression que ma queue n’a jamais été aussi gonflée. Je suis tout excité.
Surtout que Catherine, de son côté, s’est enfoui le gode aux trois-quarts dans son fondement. Que du plat des doigts, elle imprime une caresse tournante sur son intimité. Alors que trois doigts de son autre main sont comme mangés dans son vagin. Le tout additionné, semble la mettre dans un état de transe. Elle grimpe de plus en plus vers le bonheur. Sa stimulation clitoridienne s’accélérant de plus en plus. Les contractions de sa main dans son vagin sont maintenant très visibles. Je suis aux anges devant la scène érotique qui se joue sous mes yeux.
Catherine a la tête rejetée en arrière dans son fauteuil. Son bassin se soulève et, dans un dernier spasme, elle m’offre son plaisir, les doigts immobiles dans son vagin contracté. Le gode est éjecté avec force de son fondement et son doigt arrête toute manœuvre sur son clitoris. N’en pouvant plus j’éjacule avec puissance. Mon sperme allant s’écraser sur ses cuisses gainées de blancs.
- Eh bien mon salaud ! Soupira Catherine en faisant glisser sa main droite sur son ventre…
Je sens mon cœur battre la chamade. Son visage, son cou, son buste tout entier se penchent vers moi, au fur et à mesure que sa main remonte au contact de mon aine. Je ne respire plus, mon cœur s’affole, ma main cesse le mouvement sur mon sexe. Je suis comme foudroyé, tandis que des vagues de plaisir s’annoncent dans mes reins, dans tout mon être.
Je sens le bout de ses doigts glisser, et venir effleurer mes testicules. Une caresse d’une infinie douceur, comme Catherine s’est les donner !
Les doigts en conque, elle les enveloppe en les pressant doucement. Même si je suis aux anges à cet instant-là, cela ne m’empêche pas de m’agenouiller à ses pieds. Et d’appuyer la pointe de ma langue sur sa muqueuse anale. Immédiatement, elle gémit. J’entreprends de suivre ses plissements anaux. J’ai un goût très fort, ce qui n’est pas pour me déplaire. Elle réagit en se tordant sous ma caresse. Encouragé du résultat fourni, je prolonge la caresse. Son corps se tend. J’œuvre avec intensité, la pointe de ma langue accrochée à sa muqueuse comme si je ne devais en aucune façon pas lâcher son anus sous peine de la perdre.
Suite au passage du gode, je peux enfoncer ma langue en elle. J’ai immédiatement senti la délicatesse de son rectum, et au-delà un goût robuste. J’avance aussi loin que je le puisse.
Elle me fixe du regard et me sourit. Sans doute par reconnaissance de ce que je lui donne. D’ailleurs, c’est même elle qui sonne la fin de la récréation, en me suppliant de la prendre.
Elle va jusqu’à empoigner ma queue d’une main, et la dirige au plus intime d’elle-même. M’inclinant, je passe les deux avant-bras entre les jambes de Catherine, et je la soulève, obligeant les cuisses à s’écarter à angle droit. Elle noue ses bras autour de ma nuque, tandis que je la fais pivoter en l’air, jusqu’à ce qu’elle se trouve le dos contre la baie vitrée.
Je la maintiens ainsi une seconde, mon regard plongé dans le sien. Puis je la laisse tomber d’un seul coup. Elle s’empale jusqu’au fond de son ventre sur mon membre, elle ouvre des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, s’échappe un râle interminable, une sorte de feulement de tigresse.
La maintenant à mi-hauteur de la baie à la force des bras, je plonge au plus profond d’elle la soulevant avec des coups de reins. Je la transperce ainsi pendant de longues minutes. Elle n’a plus de regard. Ses yeux révulsés n’expriment plus qu’un plaisir fou.
Soudain, ses jambes, repliées sur mon avant-bras, se tendirent comme des ressorts. Toujours suspendue en l’air, elle fait le grand écart. Transformée en une poupée désarticulée emportée par les secousses de l’orgasme.
Agitée de soubresauts d’une violence inouïe, elle se met à rebondir contre mes hanches, comme si son corps, n’obéissant plus qu’à son plaisir, cherche dans un réflexe à s’empaler encore plus profondément.
Le résultat ne se fait pas attendre. Les secousses accélérèrent la venue du plaisir, chez moi, le résultat ne s’est pas fait entendre, et incapable de me retenir plus longtemps, j’éjacule avec violence. Elle ferme les yeux, laissant avec un grand sourire mon sperme frapper son ventre. La clouant d’un dernier coup de boutoir contre le mur.
Puis, sentant mes jambes, légèrement fléchissant, je la fais doucement glisser à terre, où elle reste un long moment. Avant qu’elle ne revienne à la charge pour mon plus grand plaisir. Je sens sa main effleurée ma verge. Puis l’emprisonner dans sa paume. Sensation incroyable de puissance. Elle me masturbe. Passant parfois son pouce autour de mon gland, en faisant le tour, en agaçant la peau décalottée. Elle serre doucement, puis plus fermement, et redescend doucement jusqu’à ce que son poignet vienne s’écraser sur mes testicules. J’ai mon sexe voûté et rougi tendu vers elle. De mon côté, mes doigts malaxent son sein. Taquinant régulièrement son téton incroyablement dur. Puis Catherine se redresse légèrement, le visage tourné vers le mien. Elle me masturbe plus vite, et ma respiration s’accélère, mon bassin commence à onduler.
- Tu aimes ça mon cochon !
- Quand c’est fait par une experte, oui… J’adore !
Elle entrouvre sa bouche s’entrouvrir, et se penche jusqu’à moi afin de poser ses lèvres sur les miennes. Je sens immédiatement sa langue envahir ma bouche. Je suis dans mon monde que seul le plaisir domine.
Je réponds avec ferveur à ce baiser interminable. Les doigts de Catherine ont encore accéléré leur mouvement de branle. Je gémis en l’embrassant. Nos gestes deviennent irréguliers, et mes caresses sur son sein ne sont plus que de brefs mouvements désordonnés.
- Viens… Alain, viens…
Mon corps s’arc-boute, et alors qu’elle tient fermement mon sexe dans ses doigts, je sens l’accouchement de mon plaisir arriver. Une puissance terrible, qui m’arrache un cri rauque qui interrompe notre baiser. Catherine ne cesse pas ses mouvements, et les jets de sperme, encore et encore, jaillissent. Catherine rit, tandis que ses doigts continuent à me rendre fou.
- Catherine, Catherine, arrête… Je ne peux plus…
Elle lâche tout doucement mon sexe, le quitte d’une dernière caresse, et puis se redresse doucement, tout doucement, en posant son doigt en biais sur ma bouche entrouverte. J’ai le souffle court.
- Merci… Je compte sur toi pour remettre cela dans les jours qu’ils viennent !
- Ce serait avec plaisir !
Et comme deviné, voilà qu’au téléphone, la coquine me propose même de la rejoindre dans la journée. Que cela tombe bien elle est de repos.
Juste de savoir que je vais une fois encore, jouir en sa compagnie ma trique arrive au grand galop.
Sur la porte de l’entrée, une feuille de papier y est punaisée. Le message m’est adressé. Je lis dessus à l’intention d’Alain, elle me donne le droit de rentrée, sinon sonner et attendre qu’en vienne ouvrir.
Elle se trouve dans la véranda. Assise dans un fauteuil. Elle porte une robe à petit-pois, et ses jambes sont gainées de nylons blancs.
- Tu en as mi du temps, pour me contacter ? Me fait-elle.
- C’est que ces derniers temps, j’étais très occupé !
- Oui, je sais, c’est ce que m'a dit mon gendre. Qu’il avait même pris un verre avec toi.
J’espère pour moi qu’il ne sait pas nous attarder à raconter ce que nous n'avons fait pas la suite. Et plus est, le conseil que je lui avais préconisé de sauter sa belle-mère !
Je pense que c’est un sujet qu’il n’a pas exposé avec Catherine, car elle est passée à autre chose.
- Bon, je pense que tu n’es pas venu jusqu’à là pour faire la discussion ?
-Je te l’accorde !
- Alors jouant au jeu du plaisir. Pour cela, c’est moi qui donne la règle. Et la mienne est pour ‘instant que tu sois spectateur !
- C’est Madame qui voit !
Tout en me fixant, elle ouvre légèrement le compas de ses jambes. L’étoffe de la robe noire à petits-pois fait une voute de tissu au-dessus de ses jambes. Sa jambe droite, gainée est en vue jusqu’en haut de la cuisse. J’aperçois, à grand renfort de battements de cœur, le divin renflement d’une étoffe rebondie, sa culotte. Mon sexe palpite dans son nid.
Ses joues sont rouges et son regard est brillant. Elle fait sortir son pied de son chausson, doucement. Elle le pose à plat sur le carrelage blanc. Puis elle le contracte, faisant arquer ses orteils, et la vue de son peton ainsi tendue est terriblement érotique. Je ne perds pas un seul de ses mouvements. Elle retire son second chausson, et tend ses deux jambes. Elle saisit l’ourlet de sa robe, qui est déjà très relevée et, sans hésitation, ni brusquerie, d’un geste d’une féminité absolue, la fait remonter sur son ventre. Je suis à la limite de bondir sur elle pour la violer. Tant l’excitation me brûle le cerveau.
Je suis en extase devant son pubis rebondi qui tend l’étoffe blanche de la culotte. Elle fait glisser sa main à plat sur son ventre. J’aperçois distinctement ses doigts atteindre le bord de l’étoffe blanche, et puis glisser encore, plus doucement, en appuyant légèrement, sur le renflement de son sexe. Je vois l’empreinte de son sexe, à travers le tissu, que ses doigts dessinaient.
Puis elle écarte tout doucement sa jambe gauche. Je vois parfaitement la face interne de sa cuisse brillante due au nylon, jusqu’à la lisière de sa culotte, et ses doigts qui glissent sur cette culotte, s’insinuant plus loin entre les fesses. Elle a une respiration un peu saccadée, entrecoupée de brefs sursauts. Je suis fasciné, par le mouvement de ses doigts. C’est toujours pour moi aussi sensuel. Pour mon plus grand plaisir, le mouvement de sa main s’accroît encore un peu.
Sa main poursuit ses mouvements de va-et-vient sur son ventre, descendant parfois sur les cuisses, puis remontant en enfonçant le tissu de sa culotte collant entre des formes qui me font rêver. Sa main droite s’immobilise sur sa culotte. Catherine me scrute du regard. Je respire profondément, tant l’émotion est grand et palpable dans cette véranda.
Mon regard se gave de ses caresses. Je ne résiste pas à la tentation de lui exhiber ma queue. Elle passe de mes yeux à mon ventre. Je me caresse doucement, puis plus vite. Ses joues sont roses d’émotion. Elle était tout simplement irrésistible, divine. J’ai la queue douloureuse tant, le désir l’arque, la tension le brûle.
Elle retire sa main du fond de sa culotte pour venir se poser à plat sur ses flancs, sur ses hanches, ses doigts glisser sous l’élastique de sa culotte blanche, et commence à la faire glisser.
Mes yeux se posent sur les plis de la naissance de ses jambes. Son mouvement continu, je me gave la vue de son buisson de poils. C’est l’instant qu’elle choisit pour sortir de dessous, le coussin un gobe. Qu’elle s’enfile entièrement dans son vagin.
- Je l’ai choisi en pensant à toi.
- Tu auras pu choisir plus conséquent ?
- J’aime les grosses queues ! Lâche-t-elle en ondulant du bassin.
Elle écarte ses lèvres et entreprend de faire coulisser le silicone entre-elles. Le jugeant assez luisant de mouille, elle le présente à l’entrée de son trou du cul. Que je trouve déjà entrebâillé. Elle pousse sur la ventouse et le gland disparaît sans aucun problème. Ensorceler, j’enserre fortement ma queue. J’ai mon gland gorgé de sang. J’ai l’impression que ma queue n’a jamais été aussi gonflée. Je suis tout excité.
Surtout que Catherine, de son côté, s’est enfoui le gode aux trois-quarts dans son fondement. Que du plat des doigts, elle imprime une caresse tournante sur son intimité. Alors que trois doigts de son autre main sont comme mangés dans son vagin. Le tout additionné, semble la mettre dans un état de transe. Elle grimpe de plus en plus vers le bonheur. Sa stimulation clitoridienne s’accélérant de plus en plus. Les contractions de sa main dans son vagin sont maintenant très visibles. Je suis aux anges devant la scène érotique qui se joue sous mes yeux.
Catherine a la tête rejetée en arrière dans son fauteuil. Son bassin se soulève et, dans un dernier spasme, elle m’offre son plaisir, les doigts immobiles dans son vagin contracté. Le gode est éjecté avec force de son fondement et son doigt arrête toute manœuvre sur son clitoris. N’en pouvant plus j’éjacule avec puissance. Mon sperme allant s’écraser sur ses cuisses gainées de blancs.
- Eh bien mon salaud ! Soupira Catherine en faisant glisser sa main droite sur son ventre…
Je sens mon cœur battre la chamade. Son visage, son cou, son buste tout entier se penchent vers moi, au fur et à mesure que sa main remonte au contact de mon aine. Je ne respire plus, mon cœur s’affole, ma main cesse le mouvement sur mon sexe. Je suis comme foudroyé, tandis que des vagues de plaisir s’annoncent dans mes reins, dans tout mon être.
Je sens le bout de ses doigts glisser, et venir effleurer mes testicules. Une caresse d’une infinie douceur, comme Catherine s’est les donner !
Les doigts en conque, elle les enveloppe en les pressant doucement. Même si je suis aux anges à cet instant-là, cela ne m’empêche pas de m’agenouiller à ses pieds. Et d’appuyer la pointe de ma langue sur sa muqueuse anale. Immédiatement, elle gémit. J’entreprends de suivre ses plissements anaux. J’ai un goût très fort, ce qui n’est pas pour me déplaire. Elle réagit en se tordant sous ma caresse. Encouragé du résultat fourni, je prolonge la caresse. Son corps se tend. J’œuvre avec intensité, la pointe de ma langue accrochée à sa muqueuse comme si je ne devais en aucune façon pas lâcher son anus sous peine de la perdre.
Suite au passage du gode, je peux enfoncer ma langue en elle. J’ai immédiatement senti la délicatesse de son rectum, et au-delà un goût robuste. J’avance aussi loin que je le puisse.
Elle me fixe du regard et me sourit. Sans doute par reconnaissance de ce que je lui donne. D’ailleurs, c’est même elle qui sonne la fin de la récréation, en me suppliant de la prendre.
Elle va jusqu’à empoigner ma queue d’une main, et la dirige au plus intime d’elle-même. M’inclinant, je passe les deux avant-bras entre les jambes de Catherine, et je la soulève, obligeant les cuisses à s’écarter à angle droit. Elle noue ses bras autour de ma nuque, tandis que je la fais pivoter en l’air, jusqu’à ce qu’elle se trouve le dos contre la baie vitrée.
Je la maintiens ainsi une seconde, mon regard plongé dans le sien. Puis je la laisse tomber d’un seul coup. Elle s’empale jusqu’au fond de son ventre sur mon membre, elle ouvre des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, s’échappe un râle interminable, une sorte de feulement de tigresse.
La maintenant à mi-hauteur de la baie à la force des bras, je plonge au plus profond d’elle la soulevant avec des coups de reins. Je la transperce ainsi pendant de longues minutes. Elle n’a plus de regard. Ses yeux révulsés n’expriment plus qu’un plaisir fou.
Soudain, ses jambes, repliées sur mon avant-bras, se tendirent comme des ressorts. Toujours suspendue en l’air, elle fait le grand écart. Transformée en une poupée désarticulée emportée par les secousses de l’orgasme.
Agitée de soubresauts d’une violence inouïe, elle se met à rebondir contre mes hanches, comme si son corps, n’obéissant plus qu’à son plaisir, cherche dans un réflexe à s’empaler encore plus profondément.
Le résultat ne se fait pas attendre. Les secousses accélérèrent la venue du plaisir, chez moi, le résultat ne s’est pas fait entendre, et incapable de me retenir plus longtemps, j’éjacule avec violence. Elle ferme les yeux, laissant avec un grand sourire mon sperme frapper son ventre. La clouant d’un dernier coup de boutoir contre le mur.
Puis, sentant mes jambes, légèrement fléchissant, je la fais doucement glisser à terre, où elle reste un long moment. Avant qu’elle ne revienne à la charge pour mon plus grand plaisir. Je sens sa main effleurée ma verge. Puis l’emprisonner dans sa paume. Sensation incroyable de puissance. Elle me masturbe. Passant parfois son pouce autour de mon gland, en faisant le tour, en agaçant la peau décalottée. Elle serre doucement, puis plus fermement, et redescend doucement jusqu’à ce que son poignet vienne s’écraser sur mes testicules. J’ai mon sexe voûté et rougi tendu vers elle. De mon côté, mes doigts malaxent son sein. Taquinant régulièrement son téton incroyablement dur. Puis Catherine se redresse légèrement, le visage tourné vers le mien. Elle me masturbe plus vite, et ma respiration s’accélère, mon bassin commence à onduler.
- Tu aimes ça mon cochon !
- Quand c’est fait par une experte, oui… J’adore !
Elle entrouvre sa bouche s’entrouvrir, et se penche jusqu’à moi afin de poser ses lèvres sur les miennes. Je sens immédiatement sa langue envahir ma bouche. Je suis dans mon monde que seul le plaisir domine.
Je réponds avec ferveur à ce baiser interminable. Les doigts de Catherine ont encore accéléré leur mouvement de branle. Je gémis en l’embrassant. Nos gestes deviennent irréguliers, et mes caresses sur son sein ne sont plus que de brefs mouvements désordonnés.
- Viens… Alain, viens…
Mon corps s’arc-boute, et alors qu’elle tient fermement mon sexe dans ses doigts, je sens l’accouchement de mon plaisir arriver. Une puissance terrible, qui m’arrache un cri rauque qui interrompe notre baiser. Catherine ne cesse pas ses mouvements, et les jets de sperme, encore et encore, jaillissent. Catherine rit, tandis que ses doigts continuent à me rendre fou.
- Catherine, Catherine, arrête… Je ne peux plus…
Elle lâche tout doucement mon sexe, le quitte d’une dernière caresse, et puis se redresse doucement, tout doucement, en posant son doigt en biais sur ma bouche entrouverte. J’ai le souffle court.
- Merci… Je compte sur toi pour remettre cela dans les jours qu’ils viennent !
- Ce serait avec plaisir !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

