Une cam complice
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Une cam complice
La connexion s’ouvrit au hasard, comme toujours sur cette plateforme où les visages apparaissent et disparaissent d’un clic. L’image se stabilisa sur un homme, torse nu, éclairé par une lampe basse qui dessinait des ombres sur ses épaules. Un drap froissé couvrait ses cuisses. Elle remarqua aussitôt la tension de son bras, le rythme contenu de sa respiration : il se caressait déjà.
Me : Tu caches quoi derrière ce drap ?
Stranger : Tu veux voir? H32, toi?
Me : F28. Montre.
Il n’hésita plus, et écarta le tissu. Sa main se figea, laissant voir son sexe dur, brillant de désir qu’il resserait à la base pour le maintenir dur. C’était une exhibition triomphante. Elle le regarda longuement, avec une curiosité tranquille, elle dévorait son gland énorme du regard.
Me : Action ou vérité ?
Stranger : Vérité.
Me : Qu’est-ce que tu ressens en me montrant ça ?
Stranger : Une liberté étrange.
Elle sourit. Sa franchise et ce sexe saillant éveillait chez elle une excitation qu’elle ne s’attendait pas à ressentir. Elle fit glisser les bretelles de sa robe, dévoilant ses épaules, puis sa poitrine, puis le galbe de son ventre. Elle resta assise, les jambes serrées, savourant l’effet de cette lenteur.
Stranger : Action.
Me : Passe ta main lentement. Je veux voir vraiment.
Il obéit, reprenant ses caresses avec une lenteur presque cérémonielle. Sa paume enveloppait son sexe gonflé, la peau se tendant, luisant au rythme de ses gestes. Elle ne quittait pas l’écran des yeux, fascinée par cette intimité crue qu’un inconnu lui confiait si facilement.
Pour équilibrer, elle fit glisser son boxer en Vichy bleu bordé de dentelle et écarta doucement les cuisses. Entre elles, la fine toison sombre laissait apparaître l’humidité déjà présente. Ses doigts hésitèrent sur l’intérieur de sa cuisse, puis glissèrent entre ses lèvres entrouvertes.
Stranger : Vérité. Pourquoi tu restes ?
Me : Parce que je veux voir jusqu’où je peux aller.
Elle disparut un instant hors champ, revint avec une brosse à cheveux. Elle la fit tourner dans ses mains, comme si elle-même testait la limite de ce qu’elle s’autorisait. Elle la posa d’abord sur son bras, puis sur son ventre, feignant l’innocence. Enfin, elle la descendit entre ses cuisses entrouvertes. Les poils souples frôlèrent ses lèvres gonflées, et un soupir lui échappa.
Stranger : Tu joues avec le feu.
Me : C’est l’idée.
Elle poursuivit, caressant en surface, traçant des cercles qui faisaient perler une humidité plus visible encore. Lui la suivait, hypnotisé, sa main serrant plus fort, accélérant imperceptiblement le rythme de sa masturbation.
Puis elle changea de posture. Elle replia ses jambes contre sa poitrine, offrant à la caméra un dévoilement total. La vulve luisante s’ouvrait, les lèvres gonflées s’écartant légèrement, et dans le pli de sa chair se révélait l’ombre discrète mais nette de son anus, exposé malgré elle, pulsant déjà au rythme de sa respiration. Elle savait qu’il voyait tout, et cette pensée la fit frissonner davantage.
Elle pressa alors le manche arrondi de la brosse contre son clitoris, d’abord en surface, puis en glissant lentement le long de sa fente humide. Elle laissa pénétrer à peine quelques centimètres, juste assez pour sentir son corps se contracter autour du manche. Ses hanches accompagnaient le mouvement, cherchant l’angle, la pression. Sa main libre vint frotter son bouton sensible avec des gestes de plus en plus nerveux, presque compulsif.
Lui haletait sans dissimuler. Sa main allait et venait sur son sexe, chaque veine saillante sous l’effort, chaque soupir plus fort. Ses yeux restaient rivés sur elle, incapable de détourner le regard de cette intimité offerte par hasard. Ses lèvres béantes laissaient imaginer la place du manche de la brosse qu’elle avait fini par poser à côté d’elle pour se concentrer plus encore sur son clitoris.
Le plaisir la submergea vite. Ses doigts prirent le relais pressant frénétiquement son clitoris gonflé et glissant, un, puis deux, puis trois dans son vagin. Son corps se cambra, ses jambes se contractèrent, et elle céda dans un cri étouffé. Sa vulve se contracta en saccades, ses lèvres frémirent, sa mouille jaillit doucement humiliant un peu plus la scène et son anus se serra puis se relâcha par vagues, comme s’il pulsait au rythme de l’orgasme.
Il la suivit presque immédiatement. Sa main se crispa, son sperme jaillit en saccades, éclaboussant son ventre et le drap abandonné. Leurs souffles courts se répondaient, emplissant le silence.
Ils restèrent ainsi, encore haletants, exposés à l’écran, chacun fasciné d’avoir partagé avec un inconnu ce qu’ils n’osaient jamais montrer ailleurs. Aucun mot n’était nécessaire. Ils savaient qu’ils pouvaient couper la connexion d’un instant à l’autre, les renvoyant à leur solitude. Mais le hasard, ce soir-là, leur avait donné une intimité plus nue que toutes les confidences et ils la maintinrent encore quelques minutes, s’observant s’essuyer et se rhabiller.
Me : Tu caches quoi derrière ce drap ?
Stranger : Tu veux voir? H32, toi?
Me : F28. Montre.
Il n’hésita plus, et écarta le tissu. Sa main se figea, laissant voir son sexe dur, brillant de désir qu’il resserait à la base pour le maintenir dur. C’était une exhibition triomphante. Elle le regarda longuement, avec une curiosité tranquille, elle dévorait son gland énorme du regard.
Me : Action ou vérité ?
Stranger : Vérité.
Me : Qu’est-ce que tu ressens en me montrant ça ?
Stranger : Une liberté étrange.
Elle sourit. Sa franchise et ce sexe saillant éveillait chez elle une excitation qu’elle ne s’attendait pas à ressentir. Elle fit glisser les bretelles de sa robe, dévoilant ses épaules, puis sa poitrine, puis le galbe de son ventre. Elle resta assise, les jambes serrées, savourant l’effet de cette lenteur.
Stranger : Action.
Me : Passe ta main lentement. Je veux voir vraiment.
Il obéit, reprenant ses caresses avec une lenteur presque cérémonielle. Sa paume enveloppait son sexe gonflé, la peau se tendant, luisant au rythme de ses gestes. Elle ne quittait pas l’écran des yeux, fascinée par cette intimité crue qu’un inconnu lui confiait si facilement.
Pour équilibrer, elle fit glisser son boxer en Vichy bleu bordé de dentelle et écarta doucement les cuisses. Entre elles, la fine toison sombre laissait apparaître l’humidité déjà présente. Ses doigts hésitèrent sur l’intérieur de sa cuisse, puis glissèrent entre ses lèvres entrouvertes.
Stranger : Vérité. Pourquoi tu restes ?
Me : Parce que je veux voir jusqu’où je peux aller.
Elle disparut un instant hors champ, revint avec une brosse à cheveux. Elle la fit tourner dans ses mains, comme si elle-même testait la limite de ce qu’elle s’autorisait. Elle la posa d’abord sur son bras, puis sur son ventre, feignant l’innocence. Enfin, elle la descendit entre ses cuisses entrouvertes. Les poils souples frôlèrent ses lèvres gonflées, et un soupir lui échappa.
Stranger : Tu joues avec le feu.
Me : C’est l’idée.
Elle poursuivit, caressant en surface, traçant des cercles qui faisaient perler une humidité plus visible encore. Lui la suivait, hypnotisé, sa main serrant plus fort, accélérant imperceptiblement le rythme de sa masturbation.
Puis elle changea de posture. Elle replia ses jambes contre sa poitrine, offrant à la caméra un dévoilement total. La vulve luisante s’ouvrait, les lèvres gonflées s’écartant légèrement, et dans le pli de sa chair se révélait l’ombre discrète mais nette de son anus, exposé malgré elle, pulsant déjà au rythme de sa respiration. Elle savait qu’il voyait tout, et cette pensée la fit frissonner davantage.
Elle pressa alors le manche arrondi de la brosse contre son clitoris, d’abord en surface, puis en glissant lentement le long de sa fente humide. Elle laissa pénétrer à peine quelques centimètres, juste assez pour sentir son corps se contracter autour du manche. Ses hanches accompagnaient le mouvement, cherchant l’angle, la pression. Sa main libre vint frotter son bouton sensible avec des gestes de plus en plus nerveux, presque compulsif.
Lui haletait sans dissimuler. Sa main allait et venait sur son sexe, chaque veine saillante sous l’effort, chaque soupir plus fort. Ses yeux restaient rivés sur elle, incapable de détourner le regard de cette intimité offerte par hasard. Ses lèvres béantes laissaient imaginer la place du manche de la brosse qu’elle avait fini par poser à côté d’elle pour se concentrer plus encore sur son clitoris.
Le plaisir la submergea vite. Ses doigts prirent le relais pressant frénétiquement son clitoris gonflé et glissant, un, puis deux, puis trois dans son vagin. Son corps se cambra, ses jambes se contractèrent, et elle céda dans un cri étouffé. Sa vulve se contracta en saccades, ses lèvres frémirent, sa mouille jaillit doucement humiliant un peu plus la scène et son anus se serra puis se relâcha par vagues, comme s’il pulsait au rythme de l’orgasme.
Il la suivit presque immédiatement. Sa main se crispa, son sperme jaillit en saccades, éclaboussant son ventre et le drap abandonné. Leurs souffles courts se répondaient, emplissant le silence.
Ils restèrent ainsi, encore haletants, exposés à l’écran, chacun fasciné d’avoir partagé avec un inconnu ce qu’ils n’osaient jamais montrer ailleurs. Aucun mot n’était nécessaire. Ils savaient qu’ils pouvaient couper la connexion d’un instant à l’autre, les renvoyant à leur solitude. Mais le hasard, ce soir-là, leur avait donné une intimité plus nue que toutes les confidences et ils la maintinrent encore quelques minutes, s’observant s’essuyer et se rhabiller.
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