Une étonnante rencontre.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une étonnante rencontre.
Le téléphone sonne, alors que je suis à mon bureau. Je décroche, je reconnais la voix de Valérie.
-Alain c’est toi ?
-Oui, c’est moi !
-Ça va !
-Ça pourrait aller mieux.
-Des problèmes ?
-Non un surplus de boulot, c’est tout !
-Et bien sache que j’ai une petite récréation à te proposer.
Les récréations chez Valérie, sont pas plus que moins que des partouzes. Qu’elle organise à l’aide de ses deux bonnes copines Bernadette et Viviane.
-Tu sais bien que j’aime ta présence, me fait Valérie.
-Dit plus tôt que t’aime te faire bouffer la chatte.
-Même mes partenaires femmes ne sucent pas aussi bien que toi.
-Je t’en remercie. Cela me touche. Mais je ne sais pas si je serais de la partie.
-Aller, j’ai envie que tu me suce le cul. Tu sais bien qu’il n’y a que toi pour me faire jouir.
-C’est que je ne suis pas en forme en ce moment.
-J’ai deux nouvelles, deux jeunes filles qui en promettent.
-Tu sais que j’aime que les vieilles !
-Aller, en manque d’étalon.
-Etalon ! Je suis loin d’être un étalon, avec mes seize centimètres.
-Peut-être, mais elle travaille bien et longtemps. Et il y a ta langue et tes doigts de fée qui font des merveilles. Alors je compte sur toi.
-Bien compte sur moi !
Annette est arrivé à l’heure dite. Elle a retiré son manteau qu’elle a posé sur une chaise. En dessous elle était habillée d’une mini jupe très courte à mon avis avec une chemise blanche qui ferait déborder ses seins avec des talons et des bas noirs.
- Alors ? Fit-elle. Je suis assez sexy ? Faisant un tour sur elle-même qui fit que sa jupe s’est soulevé assez pour que je distingue ses bas.
- Vous êtes Annette a ravir…
Elle ma remercier et même rougi un peu.
- Mais nous ne sommes pas là pour faire un défilée de mode, non Alain ? Je me trompe ?
- Tu ne te trompes pas…
- C’est bien ce que je pensais.
Sitôt arrivée dans son temple de débauche, Valérie en prit en main. Avec des gestes d’infirmière, elle met ma verge à l’air. Je trouve ça très excitant. Elle me caresse le ventre. Elle câline mon pubis, ma verge, mes couilles. Autour de nous des couples se sont formés.
Mollement elle joue avec mon gland, mon prépuce. J’ai cru que j'allais jouir d'un coup tellement cela m'excitait. Elle se penche au plus près de ma verge et embrasse le bout de mon gland doucement puis de façon plus affirmée.
Des gémissements se font entendre, par-ci par-là. Valérie continue son œuvre, continuant ses baisers le long de ma verge pour atteindre mes testicules. A ce moment-là, je n’en peux plus tellement c’est bon. Elle remonte sur mon gland et commence à le mettre en bouche. Au fur et à mesure de ses mouvements de tête, elle va de plus en plus loin jusqu’à avoir mon gland entièrement dans sa bouche. Elle continue son œuvre avec sa bouche, en allant de plus en plus vite. Je n’ai pas tenu longtemps et j’ai joui dans sa bouche.
-C’était un petit bonus pour t’être déplacer mon beau, me fait-elle.
-Tu as toujours eu le sens de l’hospitalisation.
Elle fait les quelques pas qui la sépare du fauteuil et y pose son cul dessus. Elle retrousse sa jupe assez haute sur ses jambes. Elle porte comme à son habitude des bas gris fumé qui soulignent la blancheur des cuisses.
Et comme toujours dans ses moments, elle s’est autorisée à ne pas se passer de culotte. Captivé, je contemple le pourquoi je suis là, l’épaisse touffe de poils sombres et bouclés du bas-ventre. Elle bouge sur son fauteuil. Son sexe s’entrouvre. Sourire aux lèvres, elle m’observe.
Alors je me lance. Pose une main sur les poils du pubis. Ma flammèche enflamme la poudrerie. Le simple effleurement de ma main me réveille un violent désir d’étreinte. Les yeux mi-clos, Valérie est agitée d’un long tressaillement.
-Je suis contente que tu sois venu !
-Et moi donc ! Je réponds en lui plaquant ma main sur sa chatte.
- Oui… je veux jouir
- C’est bien pour ça que tu m’as invité, non ?
Pour toute réponse, elle pousse un petit cri de triomphe radieux, et se lève. Une fois debout elle pose un pied sur le fauteuil. Reins creusés, cuisses ouvertes, brûlée d’un désir sauvage, elle m’attire sur son ventre, se haussant le plus possible pour frotter, contre ma figure, sa vulve affamé.
Le feu aux tempes, je sens comme toujours dans ses moments là, que je ne suis plus en mesure de maîtriser la situation. Souple comme une acrobate de cirque, merci à ses cours de danse, elle se déhanche contre ma bouche. Paupières closes et lèvres ouvertes. Impérieuse, Valérie commande :
- Oui… oui lèche mon beau ! Je vais jouir !
Malgré la langue devenue douloureuse par tant de coups de pinceau sur son tableau poilu, j’accentue mon rythme. Valérie, le visage déformé par la montée irrésistible du plaisir, laisse échapper un feulement continu. Brusquement elle crie. Donnant à son tour, sa contribution au brouhaha installé tout autour de nous.
Valérie se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés de bistre. Elle pose de nouveau son cul sur le fauteuil. Je prends place sur celui à côté d’elle.
-Tu sais Didier aimerait que tu l’encules. Et vois-tu je lui dois bien ça, non ? Pour service rendu.
- Service rendu ! Quel service…
- Celui d’avoir fait venir de nouvelle fille.
- Parce que c’est lui ?
- Lui. Parfaitement. Tu les as vus ?
-Non pas encore !
Après tout, le fameux Didier n’est pas désagréable à regarder.
- Et combien tu me donnes ?
Elle eut un rire de gorge.
- Combien veux-tu ?
- Trois cent francs !
- Mon Dieu, tu es un gourmand, toi ! Bon… bon, ça va. Mais je veux que tu le fasses bien jouir. Tu l’as déjà fait avec un mec ?
- Une première ! Prenant bien soin de lui mentir. Mais j’ajoute, un cul reste un cul.
-Il se trouve qu’il est là !
-Tu m’étonnes là ! Fais-je en me levant. Je vais dans l’instant m’occuper de son cul.
-Merci Alain !
Mais alors que je suis à la recherche, voilà que mon regard se porte sur la jeune fille. J’ai d’abord cru que c’était une forte ressemblance. Le même visage, le même regard, les mêmes cheveux. C’est le sosie parfait de ma nièce. C’est plus que troublant. Son visage, ses cheveux.
Elle suce une bite. Elle porte une brassière à petites bretelles de couleur miel, sans rien dessous. Son œuvre a l’air de donné beaucoup de plaisir au propriétaire de la queue. Puis la voilà qui exhibe ses seins. Ensuite, elle ôte sa brassière et caresse les tétons. Puis elle se lève. En bas, elle porte une culotte blanche, assez sobre, taille basse. Et elle se met à bougé, tout en continuant s’exhiber devant l’homme, que je ne connais pas. Elle se saisit de l’élastique de sa culotte, tout en tortillant son superbe postérieur, ma foie ! Elle baisse sa culotte, par petits à-coups patients, sans cesser de remuer son cul, et elle la fait voler dans la pièce. Elle se penche en avant pour bien montrer ses fesses et son anus à son partenaire, puis elle se redresse et se remet de face devant l’homme.
Tout en matant sa chatte imberbe, j’effleure mon gland avec le bout d’un doigt. Et dire que je l’ai vu bébé, puis faire ses premiers pas. Et grandir ensuite. Je me souviens aussi de cette journée, en été, où on s’est tous retrouvé dans le jardin autour d’un barbecue. Les tétons de Stacy commencés à pointer sous son maillot. Je ne sais plus l’âge qu’elle avait alors, mais entre temps, ils ont pris un certain volume.
D’ailleurs je me déplace pour en voir un peu plus. Ils ont la forme de gros melons, dotés de larges halos. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà le type, la fait s’installer sur le bord d’un fauteuil tout proche d’un couple en plein coït.
Moi, je suis au bord de l’apoplexie. Malgré ma détermination de rester sage, je profite que l’homme me fait barrage pour m’approcher. De soulever les jambes de ma nièce. Comme elle ne fait aucun signe de m’aider, je lui place les mains à la saignée des genoux. Je l’attire à moi, levant ses jambes en l’air. L’homme sentant ma présence, tourne sa tête, m’aperçois et me fait un clin d’œil, pas fâché de partager. Je lui fais signe de continuer, de ne pas s’occuper de moi. Un nouveau coup d’œil, et il se retourne, se désintéressant complètement de moi. Je prends le temps d’admirer le sexe de Stacy. Du clitoris à l’anus. Je constate que son trou du cul est protubérant. Plissé comme un œillet mauve. Une petite plage lisse en forme de médaille. Très excité, mais tout de même sur mes gardes, j’approche ma bouche sur son pubis et sans gêne, je passe ma langue sur sa fente.
Récupérant les quelques gouttes de mouille. Et j’y engouffre mon nez, respirant en profondes inspiration l’odeur entreprenante de ma nièce. D’un coup de langue, j’ouvre les lèvres mouillées, en même temps que je plaque mes lèvres avides. Je trouve à la source. Ma langue affolée, s’y engloutit comme si elle cherchait à la pourfendre en tous sens. Dans un combat fait de rage et de volupté. Elle se cabre, et je l’entends gémir sous le plaisir qui l’envahit.
Ma langue, exacerbée par le désir, s’agite en un va-et-vient presque rageur. Elle tourne autour d’un bouton rose qui durcit. Elle balance son ventre. Elle jouit. Jouit comme une malade dans ma bouche, alors que je bois son plaisir.
Je me suis éloigné avec le goût de la chatte de ma nièce en bouche. J’ai attendu que le type finisse son affaire pour revenir à la charge.
-Salut Stacy.
Elle a un temps de réflexion, très bref, puis elle lâche un :
- Hé tonton !
On se fait la bise, puis elle ajoute, enfin elle bafouille.
- Qu’est-ce que tu fais là ?
- Et toi.
Son sourire a disparu d’un coup, sans doute parce que j’ai dû prendre un air assez grave, tout du moins sérieux.
-Tu n’as pas d’autre endroit a fréquenté ?
Elle fronce les sourcils, d’un air très intrigué, puis elle colle une main sur sa bouche, brusquement, en ouvrant de grands yeux.
- Non ce n’est pas vrai.
-Mieux vaut qu’on se parle au calme.
- Oui.
C’est dans ma voiture que nous avons trouvé refuge. Je ne suis pas allé par quatre chemins.
- Tu fais souvent ?
Elle me fixe dans les yeux pendant quelques instants, puis elle dit :
- J’en es besoin ! Et merde… putain…
- Ce n’est pas si grave que ça, et d’ailleurs il n’y a pas de mal à prendre du plaisir où il se trouve !
Je pose une main sur sa cuisse en disant.
- N’est-ce pas ?
- Tonton, j’aimerai que cela reste entre nous, s’il te plaît ?
- Evidemment. Tu t’imagines quoi ?
Elle attend un moment avant d’ajouter.
-Je ne sais pourquoi mais j’adore montrer mon cul.
-Les hommes mûrs, dis-je, c’est une attirance que tu as ?
Elle m’adresse un bref regard, embarrassé.
- Je ne sais pas pourquoi !
-Je vois.
Je me suis abstenu de lui dévoiler, que moi aussi, j’ai un faible pour les femmes mûres.
-Alain c’est toi ?
-Oui, c’est moi !
-Ça va !
-Ça pourrait aller mieux.
-Des problèmes ?
-Non un surplus de boulot, c’est tout !
-Et bien sache que j’ai une petite récréation à te proposer.
Les récréations chez Valérie, sont pas plus que moins que des partouzes. Qu’elle organise à l’aide de ses deux bonnes copines Bernadette et Viviane.
-Tu sais bien que j’aime ta présence, me fait Valérie.
-Dit plus tôt que t’aime te faire bouffer la chatte.
-Même mes partenaires femmes ne sucent pas aussi bien que toi.
-Je t’en remercie. Cela me touche. Mais je ne sais pas si je serais de la partie.
-Aller, j’ai envie que tu me suce le cul. Tu sais bien qu’il n’y a que toi pour me faire jouir.
-C’est que je ne suis pas en forme en ce moment.
-J’ai deux nouvelles, deux jeunes filles qui en promettent.
-Tu sais que j’aime que les vieilles !
-Aller, en manque d’étalon.
-Etalon ! Je suis loin d’être un étalon, avec mes seize centimètres.
-Peut-être, mais elle travaille bien et longtemps. Et il y a ta langue et tes doigts de fée qui font des merveilles. Alors je compte sur toi.
-Bien compte sur moi !
Annette est arrivé à l’heure dite. Elle a retiré son manteau qu’elle a posé sur une chaise. En dessous elle était habillée d’une mini jupe très courte à mon avis avec une chemise blanche qui ferait déborder ses seins avec des talons et des bas noirs.
- Alors ? Fit-elle. Je suis assez sexy ? Faisant un tour sur elle-même qui fit que sa jupe s’est soulevé assez pour que je distingue ses bas.
- Vous êtes Annette a ravir…
Elle ma remercier et même rougi un peu.
- Mais nous ne sommes pas là pour faire un défilée de mode, non Alain ? Je me trompe ?
- Tu ne te trompes pas…
- C’est bien ce que je pensais.
Sitôt arrivée dans son temple de débauche, Valérie en prit en main. Avec des gestes d’infirmière, elle met ma verge à l’air. Je trouve ça très excitant. Elle me caresse le ventre. Elle câline mon pubis, ma verge, mes couilles. Autour de nous des couples se sont formés.
Mollement elle joue avec mon gland, mon prépuce. J’ai cru que j'allais jouir d'un coup tellement cela m'excitait. Elle se penche au plus près de ma verge et embrasse le bout de mon gland doucement puis de façon plus affirmée.
Des gémissements se font entendre, par-ci par-là. Valérie continue son œuvre, continuant ses baisers le long de ma verge pour atteindre mes testicules. A ce moment-là, je n’en peux plus tellement c’est bon. Elle remonte sur mon gland et commence à le mettre en bouche. Au fur et à mesure de ses mouvements de tête, elle va de plus en plus loin jusqu’à avoir mon gland entièrement dans sa bouche. Elle continue son œuvre avec sa bouche, en allant de plus en plus vite. Je n’ai pas tenu longtemps et j’ai joui dans sa bouche.
-C’était un petit bonus pour t’être déplacer mon beau, me fait-elle.
-Tu as toujours eu le sens de l’hospitalisation.
Elle fait les quelques pas qui la sépare du fauteuil et y pose son cul dessus. Elle retrousse sa jupe assez haute sur ses jambes. Elle porte comme à son habitude des bas gris fumé qui soulignent la blancheur des cuisses.
Et comme toujours dans ses moments, elle s’est autorisée à ne pas se passer de culotte. Captivé, je contemple le pourquoi je suis là, l’épaisse touffe de poils sombres et bouclés du bas-ventre. Elle bouge sur son fauteuil. Son sexe s’entrouvre. Sourire aux lèvres, elle m’observe.
Alors je me lance. Pose une main sur les poils du pubis. Ma flammèche enflamme la poudrerie. Le simple effleurement de ma main me réveille un violent désir d’étreinte. Les yeux mi-clos, Valérie est agitée d’un long tressaillement.
-Je suis contente que tu sois venu !
-Et moi donc ! Je réponds en lui plaquant ma main sur sa chatte.
- Oui… je veux jouir
- C’est bien pour ça que tu m’as invité, non ?
Pour toute réponse, elle pousse un petit cri de triomphe radieux, et se lève. Une fois debout elle pose un pied sur le fauteuil. Reins creusés, cuisses ouvertes, brûlée d’un désir sauvage, elle m’attire sur son ventre, se haussant le plus possible pour frotter, contre ma figure, sa vulve affamé.
Le feu aux tempes, je sens comme toujours dans ses moments là, que je ne suis plus en mesure de maîtriser la situation. Souple comme une acrobate de cirque, merci à ses cours de danse, elle se déhanche contre ma bouche. Paupières closes et lèvres ouvertes. Impérieuse, Valérie commande :
- Oui… oui lèche mon beau ! Je vais jouir !
Malgré la langue devenue douloureuse par tant de coups de pinceau sur son tableau poilu, j’accentue mon rythme. Valérie, le visage déformé par la montée irrésistible du plaisir, laisse échapper un feulement continu. Brusquement elle crie. Donnant à son tour, sa contribution au brouhaha installé tout autour de nous.
Valérie se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés de bistre. Elle pose de nouveau son cul sur le fauteuil. Je prends place sur celui à côté d’elle.
-Tu sais Didier aimerait que tu l’encules. Et vois-tu je lui dois bien ça, non ? Pour service rendu.
- Service rendu ! Quel service…
- Celui d’avoir fait venir de nouvelle fille.
- Parce que c’est lui ?
- Lui. Parfaitement. Tu les as vus ?
-Non pas encore !
Après tout, le fameux Didier n’est pas désagréable à regarder.
- Et combien tu me donnes ?
Elle eut un rire de gorge.
- Combien veux-tu ?
- Trois cent francs !
- Mon Dieu, tu es un gourmand, toi ! Bon… bon, ça va. Mais je veux que tu le fasses bien jouir. Tu l’as déjà fait avec un mec ?
- Une première ! Prenant bien soin de lui mentir. Mais j’ajoute, un cul reste un cul.
-Il se trouve qu’il est là !
-Tu m’étonnes là ! Fais-je en me levant. Je vais dans l’instant m’occuper de son cul.
-Merci Alain !
Mais alors que je suis à la recherche, voilà que mon regard se porte sur la jeune fille. J’ai d’abord cru que c’était une forte ressemblance. Le même visage, le même regard, les mêmes cheveux. C’est le sosie parfait de ma nièce. C’est plus que troublant. Son visage, ses cheveux.
Elle suce une bite. Elle porte une brassière à petites bretelles de couleur miel, sans rien dessous. Son œuvre a l’air de donné beaucoup de plaisir au propriétaire de la queue. Puis la voilà qui exhibe ses seins. Ensuite, elle ôte sa brassière et caresse les tétons. Puis elle se lève. En bas, elle porte une culotte blanche, assez sobre, taille basse. Et elle se met à bougé, tout en continuant s’exhiber devant l’homme, que je ne connais pas. Elle se saisit de l’élastique de sa culotte, tout en tortillant son superbe postérieur, ma foie ! Elle baisse sa culotte, par petits à-coups patients, sans cesser de remuer son cul, et elle la fait voler dans la pièce. Elle se penche en avant pour bien montrer ses fesses et son anus à son partenaire, puis elle se redresse et se remet de face devant l’homme.
Tout en matant sa chatte imberbe, j’effleure mon gland avec le bout d’un doigt. Et dire que je l’ai vu bébé, puis faire ses premiers pas. Et grandir ensuite. Je me souviens aussi de cette journée, en été, où on s’est tous retrouvé dans le jardin autour d’un barbecue. Les tétons de Stacy commencés à pointer sous son maillot. Je ne sais plus l’âge qu’elle avait alors, mais entre temps, ils ont pris un certain volume.
D’ailleurs je me déplace pour en voir un peu plus. Ils ont la forme de gros melons, dotés de larges halos. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà le type, la fait s’installer sur le bord d’un fauteuil tout proche d’un couple en plein coït.
Moi, je suis au bord de l’apoplexie. Malgré ma détermination de rester sage, je profite que l’homme me fait barrage pour m’approcher. De soulever les jambes de ma nièce. Comme elle ne fait aucun signe de m’aider, je lui place les mains à la saignée des genoux. Je l’attire à moi, levant ses jambes en l’air. L’homme sentant ma présence, tourne sa tête, m’aperçois et me fait un clin d’œil, pas fâché de partager. Je lui fais signe de continuer, de ne pas s’occuper de moi. Un nouveau coup d’œil, et il se retourne, se désintéressant complètement de moi. Je prends le temps d’admirer le sexe de Stacy. Du clitoris à l’anus. Je constate que son trou du cul est protubérant. Plissé comme un œillet mauve. Une petite plage lisse en forme de médaille. Très excité, mais tout de même sur mes gardes, j’approche ma bouche sur son pubis et sans gêne, je passe ma langue sur sa fente.
Récupérant les quelques gouttes de mouille. Et j’y engouffre mon nez, respirant en profondes inspiration l’odeur entreprenante de ma nièce. D’un coup de langue, j’ouvre les lèvres mouillées, en même temps que je plaque mes lèvres avides. Je trouve à la source. Ma langue affolée, s’y engloutit comme si elle cherchait à la pourfendre en tous sens. Dans un combat fait de rage et de volupté. Elle se cabre, et je l’entends gémir sous le plaisir qui l’envahit.
Ma langue, exacerbée par le désir, s’agite en un va-et-vient presque rageur. Elle tourne autour d’un bouton rose qui durcit. Elle balance son ventre. Elle jouit. Jouit comme une malade dans ma bouche, alors que je bois son plaisir.
Je me suis éloigné avec le goût de la chatte de ma nièce en bouche. J’ai attendu que le type finisse son affaire pour revenir à la charge.
-Salut Stacy.
Elle a un temps de réflexion, très bref, puis elle lâche un :
- Hé tonton !
On se fait la bise, puis elle ajoute, enfin elle bafouille.
- Qu’est-ce que tu fais là ?
- Et toi.
Son sourire a disparu d’un coup, sans doute parce que j’ai dû prendre un air assez grave, tout du moins sérieux.
-Tu n’as pas d’autre endroit a fréquenté ?
Elle fronce les sourcils, d’un air très intrigué, puis elle colle une main sur sa bouche, brusquement, en ouvrant de grands yeux.
- Non ce n’est pas vrai.
-Mieux vaut qu’on se parle au calme.
- Oui.
C’est dans ma voiture que nous avons trouvé refuge. Je ne suis pas allé par quatre chemins.
- Tu fais souvent ?
Elle me fixe dans les yeux pendant quelques instants, puis elle dit :
- J’en es besoin ! Et merde… putain…
- Ce n’est pas si grave que ça, et d’ailleurs il n’y a pas de mal à prendre du plaisir où il se trouve !
Je pose une main sur sa cuisse en disant.
- N’est-ce pas ?
- Tonton, j’aimerai que cela reste entre nous, s’il te plaît ?
- Evidemment. Tu t’imagines quoi ?
Elle attend un moment avant d’ajouter.
-Je ne sais pourquoi mais j’adore montrer mon cul.
-Les hommes mûrs, dis-je, c’est une attirance que tu as ?
Elle m’adresse un bref regard, embarrassé.
- Je ne sais pas pourquoi !
-Je vois.
Je me suis abstenu de lui dévoiler, que moi aussi, j’ai un faible pour les femmes mûres.
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