Une première fois et les jours d’après

Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Une première fois et les jours d’après
Ils s’étaient éloignés sans trop parler, juste après la sieste, un peu engourdis par la chaleur sèche de ce cœur d’été cévenol.
La maison disparaissait derrière eux, noyée dans le vert dense des châtaigniers. Cinquante mètres à peine, et déjà le monde semblait avoir changé. Une clairière simple dans la forêt. L’ombre oscillait doucement sur l’herbe brûlée, et tout bruissait autour d’eux : les feuilles, les cigales, le silence.
Ils s’étaient allongés côte à côte, d’abord sans se toucher. Deux mois qu’ils se tournaient autour, qu’ils s’étaient frôlés sans jamais se mêler.
Ses doigts avaient glissé vers sa cuisse, timidement. Elle s’était tournée vers lui, l’avait laissé faire. À travers le tissu de sa robe, il sentait la chaleur de son sexe. Elle, de son côté, posait la paume sur sa verge, encore prise dans le coton de son short. C’était hésitant, un peu maladroit. Ils ne savaient pas trop comment se mouvoir dans cette nudité à peine entamée. Mais leurs gestes persistaient.
Ils s’étaient déshabillés lentement en tirant sur les tissus devenus soudain trop présents. Il avait rougi un peu, elle avait tremblé. Il y avait chez elle une toison noire, dense, qu’il n’avait jamais déjà effleuré.
Quand il s’était placé au-dessus d’elle, il n’y avait rien de sûr, rien d’instinctif. Elle avait écarté les jambes un peu pressée, le bassin offert mais tendu. Il avait guidé sa verge avec maladresse, frotté un peu trop haut, trop bas, hésité.
Elle avait murmuré : « Doucement… », et il avait hoché la tête, le front penché sur elle. La pénétration s’était faite lente. Elle avait serré les dents, lui aussi.
Il bougeait en elle avec retenue. Elle l’accueillait, mais parfois fronçait les sourcils. Ce n’était ni douloureux, ni parfait. Ses seins s’écrasaient contre sa poitrine, glissaient sous ses gestes maladroits. Il osait les embrasser, les effleurer. Elle avait mis ses mains autour de lui, comme pour l’encourager, le guider sans le brusquer.
Ils n’avaient pas parlé, ou presque pas. Juste des souffles, des regards, des petits signes. Et puis, à un moment, il l’avait sentie se détendre, accueillir le mouvement plus pleinement. Le plaisir n’était pas une vague, plutôt une vibration discrète, en sourdine, un accord ténu entre deux corps pas encore accordés.
Il avait joui en elle, sans éclat, presque surpris. Elle l’avait gardé en elle un instant, l’avait serré dans ses bras, son front contre son cou.
Et ils étaient restés là. Nus dans la lumière de la fin d’après-midi, au milieu des herbes sèches. Ni fiers, ni gênés. Juste là. Deux corps un peu maladroits, un peu émus, qui venaient d’inventer leur propre façon de s’unir
Le matin s’était levé lentement sur la maison, la lumière filtrant à travers les volets entrebâillés. Les bruits familiers accompagnaient le réveil : une cafetière sur le feu, des pas sur le carrelage, des voix encore endormies. La famille partait au marché du village, à peine vingt minutes en voiture, un aller-retour prévu dans les deux heures. Il faisait déjà chaud.
Elle était restée. Elle les avait salués depuis le seuil, en robe légère, les pieds nus dans la poussière du matin.
Quand la voiture eut disparu au bout du chemin, elle remonta à l’étage et s’allongea sur le lit défait sans culotte. Elle écarta un peu les jambes. Pas pour s’offrir, pas pour provoquer, juste parce que son corps en avait envie. Elle était nue sous la robe ouverte, la chaleur remontait le long de ses cuisses, et elle sentait sa toison se hérisser sous l’air tiede.
Elle ne savait pas s’il viendrait. Peut-être qu’il dormait encore, ou qu’il hésitait. Mais elle l’attendait, ses doigts perdus entre son clitoris et ses lèvres.
Quand il entra dans la chambre, il s’arrêta net et la vit allongée, jambes ouvertes, le regard posé sur lui sans défi. Un silence s’installa, puis sans un mot, il referma la porte et s’approcha.
Il ne la toucha pas tout de suite. Il se tint au bord du lit, la regarda. Se masturba lentement, sans gêne, comme une réponse muette à sa présence. Elle reprit à son tour ses mouvements un peu plus frénétiques sur sa vulve. Elle l’observait le souffle court, les tétons durcis par la tension, le bas-ventre vibrant déjà. Il l’observait aussi, ses poils légèrement dressés, cette façon qu’avait sa vulve de battre presque à vue, vivante, offerte.
Il se pencha sur elle. Elle ouvrit les jambes un peu plus, sans détour. Il la pénétra d’un seul mouvement, précis, sûr. Ils soupirèrent en même temps, comme s’ils retrouvaient un espace qu’ils connaissaient déjà.
Les corps se cherchaient encore, mais quelque chose était plus fluide, plus ancré. Il bougeait en elle avec régularité, elle le tenait contre elle, les cuisses fermement refermées autour de ses hanches. Il accéléra, sentit venir l’orgasme. Se retira au dernier moment, éjacula sur son ventre. Le liquide épais s’étala sur sa peau tendue, luisante de chaleur.
Elle sourit, un peu coupable, un peu fière. Il se laissa tomber à côté d’elle, haletant, le sexe encore vibrant. Ils restèrent là, quelques minutes, à écouter le silence de la maison vide.
— Tu crois qu’ils en ont encore pour longtemps ?
Elle haussa les épaules, le regard brillant.
— Assez pour une douche… ou pour recommencer.
Il rit doucement.
Le lendemain, c’était le jour du départ. Dans la chambre encore sombre, l’air était déjà tiède, chargé de cette poussière d’été qui flotte même au matin. Il était réveillé depuis un moment, allongé sur le dos, les mains croisées derrière la tête. Il la regardait dormir. Ou plutôt, il la regardait faire semblant de dormir — il sentait à sa respiration, à la tension de ses paupières, qu’elle était déjà là, avec lui, pleinement éveillée.
Elle ouvrit enfin les yeux. Leurs regards se croisèrent, longtemps, sans mots. Il n’y avait plus rien à cacher. Plus rien à prouver non plus. Juste ce fil tendu entre eux, devenu solide à force de frôlements, de tâtonnements, de gestes un peu trop vrais.
Elle ne dit rien. Se redressa lentement, écarta un peu le drap, se dévêtit en silence. Il la regardait faire, le souffle un peu court. Elle se glissa sous le drap, nue, souple, la joue effleurant son ventre, sa main caressant l’intérieur de sa cuisse. Puis elle prit sa verge dans sa bouche avec lenteur, douceur, comme si elle voulait y goûter une dernière fois.
Il gémit à peine, tendu, figé de plaisir. Elle le suçait avec ferveur, presque tendresse, lents va-et-vient ponctués de pauses où elle le regardait, bouche entrouverte, lèvres humides. Puis elle remonta le long de son torse, chevaucha son bassin, et dans un mouvement sûr, le fit entrer en elle.
Elle était chaude, brûlante même. Il la sentit se refermer sur lui, le pénétrer presque autant qu’il la pénétrait. Elle bougeait lentement d’abord, puis de plus en plus fort, le regard planté dans le sien. Elle ondulait de tout son corps, de ses hanches, de son ventre, de ses épaules. Il la tenait par les cuisses, l’aidait à descendre plus profond. Elle gémissait, les cheveux collés à son front, les seins qui rebondissaient au rythme de ses mouvements. Ils n’étaient plus timides.
L’orgasme les prit presque ensemble. Elle s’était tendue, s’était cambrée, le cri retenu dans sa gorge. Lui n’avait pas pu se retenir, tout son corps contracté dans une secousse presque douloureuse.
Puis elle s’effondra sur lui, haletante, moite, le front contre son cou. Ils restèrent là une minute, deux peut-être, enveloppés par l’odeur du sexe, du coton chaud, de l’été.
Puis elle se releva d’un bond.
— Il faut qu’on se dépêche, dit-elle en enfilant une culotte.
Il sourit, se redressa lentement. Le lit gardait encore la trace de leurs gestes. Il n’y aurait pas de mots pour ce matin-là. Juste cette hâte douce de se rhabiller, de remettre les sacs dans le coffre, de sourire aux autres comme si de rien n’était.
Ils reprirent la route dans le vacarme du gravier sous les pneus, les paupières un peu lourdes, les corps encore tendus.
Et derrière eux, dans cette maison de bois et de pierre, dans ces draps encore froissés, ils laissaient quelque chose. Des gestes neufs. Une peau reconnue. Des souvenirs de premiers fois — imparfaits, ardents, inoubliables.
La maison disparaissait derrière eux, noyée dans le vert dense des châtaigniers. Cinquante mètres à peine, et déjà le monde semblait avoir changé. Une clairière simple dans la forêt. L’ombre oscillait doucement sur l’herbe brûlée, et tout bruissait autour d’eux : les feuilles, les cigales, le silence.
Ils s’étaient allongés côte à côte, d’abord sans se toucher. Deux mois qu’ils se tournaient autour, qu’ils s’étaient frôlés sans jamais se mêler.
Ses doigts avaient glissé vers sa cuisse, timidement. Elle s’était tournée vers lui, l’avait laissé faire. À travers le tissu de sa robe, il sentait la chaleur de son sexe. Elle, de son côté, posait la paume sur sa verge, encore prise dans le coton de son short. C’était hésitant, un peu maladroit. Ils ne savaient pas trop comment se mouvoir dans cette nudité à peine entamée. Mais leurs gestes persistaient.
Ils s’étaient déshabillés lentement en tirant sur les tissus devenus soudain trop présents. Il avait rougi un peu, elle avait tremblé. Il y avait chez elle une toison noire, dense, qu’il n’avait jamais déjà effleuré.
Quand il s’était placé au-dessus d’elle, il n’y avait rien de sûr, rien d’instinctif. Elle avait écarté les jambes un peu pressée, le bassin offert mais tendu. Il avait guidé sa verge avec maladresse, frotté un peu trop haut, trop bas, hésité.
Elle avait murmuré : « Doucement… », et il avait hoché la tête, le front penché sur elle. La pénétration s’était faite lente. Elle avait serré les dents, lui aussi.
Il bougeait en elle avec retenue. Elle l’accueillait, mais parfois fronçait les sourcils. Ce n’était ni douloureux, ni parfait. Ses seins s’écrasaient contre sa poitrine, glissaient sous ses gestes maladroits. Il osait les embrasser, les effleurer. Elle avait mis ses mains autour de lui, comme pour l’encourager, le guider sans le brusquer.
Ils n’avaient pas parlé, ou presque pas. Juste des souffles, des regards, des petits signes. Et puis, à un moment, il l’avait sentie se détendre, accueillir le mouvement plus pleinement. Le plaisir n’était pas une vague, plutôt une vibration discrète, en sourdine, un accord ténu entre deux corps pas encore accordés.
Il avait joui en elle, sans éclat, presque surpris. Elle l’avait gardé en elle un instant, l’avait serré dans ses bras, son front contre son cou.
Et ils étaient restés là. Nus dans la lumière de la fin d’après-midi, au milieu des herbes sèches. Ni fiers, ni gênés. Juste là. Deux corps un peu maladroits, un peu émus, qui venaient d’inventer leur propre façon de s’unir
Le matin s’était levé lentement sur la maison, la lumière filtrant à travers les volets entrebâillés. Les bruits familiers accompagnaient le réveil : une cafetière sur le feu, des pas sur le carrelage, des voix encore endormies. La famille partait au marché du village, à peine vingt minutes en voiture, un aller-retour prévu dans les deux heures. Il faisait déjà chaud.
Elle était restée. Elle les avait salués depuis le seuil, en robe légère, les pieds nus dans la poussière du matin.
Quand la voiture eut disparu au bout du chemin, elle remonta à l’étage et s’allongea sur le lit défait sans culotte. Elle écarta un peu les jambes. Pas pour s’offrir, pas pour provoquer, juste parce que son corps en avait envie. Elle était nue sous la robe ouverte, la chaleur remontait le long de ses cuisses, et elle sentait sa toison se hérisser sous l’air tiede.
Elle ne savait pas s’il viendrait. Peut-être qu’il dormait encore, ou qu’il hésitait. Mais elle l’attendait, ses doigts perdus entre son clitoris et ses lèvres.
Quand il entra dans la chambre, il s’arrêta net et la vit allongée, jambes ouvertes, le regard posé sur lui sans défi. Un silence s’installa, puis sans un mot, il referma la porte et s’approcha.
Il ne la toucha pas tout de suite. Il se tint au bord du lit, la regarda. Se masturba lentement, sans gêne, comme une réponse muette à sa présence. Elle reprit à son tour ses mouvements un peu plus frénétiques sur sa vulve. Elle l’observait le souffle court, les tétons durcis par la tension, le bas-ventre vibrant déjà. Il l’observait aussi, ses poils légèrement dressés, cette façon qu’avait sa vulve de battre presque à vue, vivante, offerte.
Il se pencha sur elle. Elle ouvrit les jambes un peu plus, sans détour. Il la pénétra d’un seul mouvement, précis, sûr. Ils soupirèrent en même temps, comme s’ils retrouvaient un espace qu’ils connaissaient déjà.
Les corps se cherchaient encore, mais quelque chose était plus fluide, plus ancré. Il bougeait en elle avec régularité, elle le tenait contre elle, les cuisses fermement refermées autour de ses hanches. Il accéléra, sentit venir l’orgasme. Se retira au dernier moment, éjacula sur son ventre. Le liquide épais s’étala sur sa peau tendue, luisante de chaleur.
Elle sourit, un peu coupable, un peu fière. Il se laissa tomber à côté d’elle, haletant, le sexe encore vibrant. Ils restèrent là, quelques minutes, à écouter le silence de la maison vide.
— Tu crois qu’ils en ont encore pour longtemps ?
Elle haussa les épaules, le regard brillant.
— Assez pour une douche… ou pour recommencer.
Il rit doucement.
Le lendemain, c’était le jour du départ. Dans la chambre encore sombre, l’air était déjà tiède, chargé de cette poussière d’été qui flotte même au matin. Il était réveillé depuis un moment, allongé sur le dos, les mains croisées derrière la tête. Il la regardait dormir. Ou plutôt, il la regardait faire semblant de dormir — il sentait à sa respiration, à la tension de ses paupières, qu’elle était déjà là, avec lui, pleinement éveillée.
Elle ouvrit enfin les yeux. Leurs regards se croisèrent, longtemps, sans mots. Il n’y avait plus rien à cacher. Plus rien à prouver non plus. Juste ce fil tendu entre eux, devenu solide à force de frôlements, de tâtonnements, de gestes un peu trop vrais.
Elle ne dit rien. Se redressa lentement, écarta un peu le drap, se dévêtit en silence. Il la regardait faire, le souffle un peu court. Elle se glissa sous le drap, nue, souple, la joue effleurant son ventre, sa main caressant l’intérieur de sa cuisse. Puis elle prit sa verge dans sa bouche avec lenteur, douceur, comme si elle voulait y goûter une dernière fois.
Il gémit à peine, tendu, figé de plaisir. Elle le suçait avec ferveur, presque tendresse, lents va-et-vient ponctués de pauses où elle le regardait, bouche entrouverte, lèvres humides. Puis elle remonta le long de son torse, chevaucha son bassin, et dans un mouvement sûr, le fit entrer en elle.
Elle était chaude, brûlante même. Il la sentit se refermer sur lui, le pénétrer presque autant qu’il la pénétrait. Elle bougeait lentement d’abord, puis de plus en plus fort, le regard planté dans le sien. Elle ondulait de tout son corps, de ses hanches, de son ventre, de ses épaules. Il la tenait par les cuisses, l’aidait à descendre plus profond. Elle gémissait, les cheveux collés à son front, les seins qui rebondissaient au rythme de ses mouvements. Ils n’étaient plus timides.
L’orgasme les prit presque ensemble. Elle s’était tendue, s’était cambrée, le cri retenu dans sa gorge. Lui n’avait pas pu se retenir, tout son corps contracté dans une secousse presque douloureuse.
Puis elle s’effondra sur lui, haletante, moite, le front contre son cou. Ils restèrent là une minute, deux peut-être, enveloppés par l’odeur du sexe, du coton chaud, de l’été.
Puis elle se releva d’un bond.
— Il faut qu’on se dépêche, dit-elle en enfilant une culotte.
Il sourit, se redressa lentement. Le lit gardait encore la trace de leurs gestes. Il n’y aurait pas de mots pour ce matin-là. Juste cette hâte douce de se rhabiller, de remettre les sacs dans le coffre, de sourire aux autres comme si de rien n’était.
Ils reprirent la route dans le vacarme du gravier sous les pneus, les paupières un peu lourdes, les corps encore tendus.
Et derrière eux, dans cette maison de bois et de pierre, dans ces draps encore froissés, ils laissaient quelque chose. Des gestes neufs. Une peau reconnue. Des souvenirs de premiers fois — imparfaits, ardents, inoubliables.
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