Une procréation dans la joie

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Une procréation dans la joie Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une procréation dans la joie
Elodie et Charles forment un couple a priori des plus classiques. Agés d'une trentaine d'année, parents d'un petit Oscar, bien intégrés dans la société, ils offrent l'image d'un duo épanoui et sans histoire, non marié mais pacsé. Ils se sont rencontrés il y a huit ans et vivent ensemble depuis six. Au début, c'était pour l'un et l'autre un simple histoire de cul. Charles avait "flashé" sur le corps pulpeux d'Elodie, pas le genre mannequin avec ses seins lourds, son fessier généreux, ses cuisses larges et son visage lunaire, toujours souriant. Sa gouaille, ses propos à la limite du vulgaire, ses tenues décontractées laissaient supposer une fille sans complication et agréable à vivre. De son côté, Elodie avait apprécié l'allure virile de Charles, son corps sec, son regard de braise qui la déshabillait, son intérêt pour elle qui ne pouvait passer pour un canon de beauté.

Passé le temps de la séduction réciproque vint celui du lit, assez rapidement et ce fut pour l'un comme pour l'autre une révélation tumultueuse. Charles comprit d'emblée que baiser Elodie ne serait pas de tout repos mais qu'elle lui procurerait un plaisir inédit. Elle remuait tellement, elle criait si fort, elle avait un tel appétit, elle avait le sexe si joyeux qu'il finissait ces accouplements pompé, lessivé et essoré. De son côté, Elodie vénérait littéralement la bite proéminente de Charles au point d'en faire un véritable totem et de réclamer inlassablement son hommage. Comme en plus, Charles savait parfaitement se servir de l'avantage que lui avait procuré sa naissance, les rapports sexuels du couple devinrent une seconde nature, comme le manger et le boire. Au point que certains voisins protestèrent devant une intimité aussi bruyante qu'indécente.

La vie en commun, planifiée et organisée, puis la naissance d'Oscar, auraient pu calmer les ardeur du jeune couple. Ce ne fut qu'en partie vrai. Charles avait pris conscience qu'Elodie avait un besoin constant de sa bite. Elle adorait être prise n'importe où et n'importe quand. Sous la douche, sur la table de la cuisine, dans la voiture, en pleine nature lors d'une randonnée. "Moi, je fais tout" lui avait-elle dit lors de leur premier accouplement. De fait, rien ne la rebutait dans l'acte sexuel. C'est elle qui fit découvrir à Charles l'annulingus, qu'elle pratiquait avec une volupté surprenante. La pénétration anale lui était également jubilatoire et comme Charles ne savourait rien tant qu'entrer entre ses fesses joufflues, il avait longtemps joui dans son rectum avant qu'elle ne se décide à porter un stérilet.

A ce propos, et c'est là l'objet de cette histoire, Elodie annonça un jour à son compagnon :- J'ai rendez-vous avec ma gynéco et je vais lui demander d'enlever mon stérilet, si tu en es d'accord. J'ai envie d'un petit frère ou d'une petite soeur pour Oscar. C'est le moment, non ?
- Ah bon, tu crois ?
- Oui, on pourrait le faire, ce bébé, et y prendre beaucoup de plaisir.
- Mais je prends toujours beaucoup de plaisir avec toi, chérie.
- Je sais et moi aussi. Mais là, on pourrait quelque chose de spécial, qui nous changerait de la routine.

Charles se montra un peu surpris. La routine, ce n'était pas, de son point de vue, ce qui caractérisait leurs rapports intimes. Lorsqu'il pénétrait Elodie, d'une manière ou d'une autre, il suscitait toujours autant d'enthousiasme de sa part. Elle s'était même révélée, au fil du temps, de plus en plus crue, de plus en plus fan de sa queue, de plus en plus inventive au point de le surprendre par ses initiatives. Qu'est-ce qu'elle mijotait encore ?
- Je me suis dis que la conception de ce bébé, on pourrait la scénariser. La filmer, si tu préfères.
- Tu veux dire... se filmer en train de faire l'amour ?
- C'est ça. Avec ta go pro et ton smartphone en même temps. Ce serait pour nos archives personnelles et on garderait ça toute notre vie.
- Mais qui te dis que ce serait ce jour là que ce bébé serait conçu ?
- Peu importe et d'ailleurs, on pourrait le faire plusieurs fois. Quand on regarde des vidéos pornos, je m'imagine parfois à la place des femmes, quand c'est bien fait, ce qui n'est pas toujours le cas, je le reconnais. J'aimerais bien voir moi aussi à quoi je ressemble quand je fais l'amour. A fortiori s'il y a une conception au bout.
Charles se montra d'abord circonspect. Serait-il à la hauteur de l'enjeu ? Et que vaudrait à la fin cette vidéo ? Elodie comprit sa réticence mais lui dit :- Ne t'inquiète pas, fais-moi confiance et j'aime trop ta bite pour ne pas la faire bander. Tiens, rien que d'en parler, je mouille déjà. Viens, j'ai envie de baiser maintenant, Oscar dort, profitons-en.
Et dans la foulée, le jeune couple se retrouva dans lit conjugal où, dès la pénétration initiale de Charles, Elodie se mit à gigoter, à ruer et à piailler, faisant trembler ses gros nichons pour le plaisir visuel de son conjoint, toujours subjugué par l'enthousiasme que provoquait chez sa compagne l'activité soutenue de son membre viril.

*******Le moment était arrivé car Elodie, selon ses calculs, devenait fertile. L'expérience fut programmée un samedi après-midi. Les grands-parents avaient été sollicités pour garder le petit Oscar et laisser les parents libres de leur journée. Ils commencèrent par visionner des vidéos pornos sur leur canapé, mettant en scène des couples de leur âge, amateurs et pas trop déjantés ni trop tatoués, ce qui nécessita une assez longue sélection. Ils étaient entièrement nus l'un et l'autre, la main caressante, l'excitation montante à la vue de ces sextapes. Ils commentaient les attitudes, les plans, les expressions, les corps bien sûr. Elodie n'était pas mécontente de constater que les jeunes femmes s'exhibant en train de faire l'amour n'étaient généralement pas plus belles qu'elle. Et Charles qu'il était souvent mieux membré que les hommes en action. D'ailleurs, il bandait après deux visionnages et Elodie mouillait. Ils décidèrent de rejoindre leur chambre.
Un bref débat eut lieu : fallait-il poser la caméra dans le prolongement du lit ou en travers ? Cette dernière option fut retenue, le couple considérant qu'elle serait plus favorable aux expressions du visage, en plan large. En outre, la situation de la caméra, face à l'armoire à glace de l'autre côté du lit, favorisait des angles intéressants. Le smartphone servirait aux gros plans.

Charles n'eut finalement pas d'inquiétude. L'objectif ne l'inhibait pas. La grande excitation d'Elodie agissait au contraire directement sur son pénis.
- N'oublie pas qu'on est censés concevoir un enfant, il faut de la joie, lui dit-elle.
De fait, elle ne cessait de sourire lorsqu'il entama un cunnilingus censé la préparer au mieux à l'intromission. Lorsqu'il levait les yeux pour observer son visage au-dessus de son petit ventre rond et entre ses seins plantureux étalés sur son torse, il la voyait rayonnante, toutes dents dehors, comme si elle voulait clairement signifier l'efficacité de sa langue à un spectateur fictif. Lorsqu'elle se mit à gémir, à onduler et à crisper sa main sur sa nuque, il comprit qu'elle allait atteindre un premier orgasme et qu'elle devenait archi mûre pour la deuxième et capitale phase : la pénétration.

Restait à savoir comment. C'est elle qui choisit de s'empaler sur lui, face à l'objectif. C'était le signe qu'elle voulait le faire durer car elle savait qu'il jouissait rarement couché. Elle lui offrit alors le spectacle qu'il connaissait bien et qui le ravissait : celui d'une femelle chaude, passionnée, fondue de sa queue dont elle usait à merveille en jouant avec ses mouvements de hanches, comme si elle cherchait à frotter ses parois vaginales. Elle se mit sur ses pieds pour rendre la pénétration encore plus efficiente, fixant alternativement son visage et la caméra, la bouche en banane. Charles pouvait voir les mouvements de sa croupe juteuse en fixant les yeux vers le miroir de l'autre côté du lit, tout en lui pétrissant les seins. Il ressentit une furieuse envie de la basculer sur le plumard pour l'assaisonner de coups de queue et assouvir son envie de gicler. Mais elle anticipa en se détachant pour faire baisser un peu son excitation :- Chéri, prends ton temps, on n'est pas pressés, je n'ai pas envie que ce bébé soit produit par un coup vite fait.
- Ok alors, montre-moi ton cul maintenant.

Elodie s'exécuta mais tira son compagnon légèrement en biais par rapport à la caméra et au miroir. Elle adorait se regarder baiser mais en même temps, voulait pouvoir fixer l'objectif. Quant à Charles, la vision de son cul plantureux piqueté de cellulite sous l'effet de son agitation le mettait toujours en transe. Il avait toujours été fan des chairs capiteuses, un peu adipeuses, qui vibrent et vivent dans l'amour. Il attrapa son smartphone et cadra la croupe mouvante, pour ne pas dire euphorique. Voilà qui ferait un bon complément de la go pro.
Cette position avait en outre l'avantage de lui permettre de durer. Elodie le savait et en profitait pour se gaver de sa bite. Elle tournait la tête tantôt vers le miroir, tantôt vers la caméra, s'observant dans le plaisir et se sachant observée ou plutôt enregistrée. Elle se bascula en avant pour rendre ses fesses encore plus agitées. La vision, via le miroir, du pénis coulissant dans sa chatte lui arracha un couinement d'extase. Elle s'immobilisa, en proie à un nouvel orgasme.
- Chéri, c'est super ce qu'on fait, ce bébé sera bien réussi mais attends encore un peu, j'ai toujours envie.

Elle se mit à quatre pattes face à l'objectif et Charles la prit en levrette, le smartphone dans la main. Elle fixait l'oeil noir de la go pro pendant qu'il filmait l'activité de son pénis avec son téléphone portable. Il s'immobilisa et elle vint le chercher à grands coups de cul. Il ressentit soudain un violent désir de la sodomiser. Ce n'était évidemment pas la meilleure manière de procréer et quand il l'informa de son intention, elle protesta :- Non, pas aujourd'hui, tu es fichu de jouir, je te connais.

Alors, il la bascula sur le dos et la prit en missionnaire. C'est son cul à lui que l'enregistrement de la go pro allait cette fois immortaliser. Son cul et ses couilles ballottantes, la chatte trempée de sa compagne, ses pieds écartés à 45° puis calés dans ses reins. Elodie bougeait beaucoup, à son habitude, elle piaillait et hululait, et il comprit que son endurance à lui arrivait à son terme. Prestement, il la déplaça de manière à ce qu'ils soient tous deux bien visibles, dans la longueur du lit. Il fallait à tout prix que la conception se lise sur leurs visages. Bras et jambes tendus, il livra toutes ses forces dans la bataille, extirpant presque complètement son pénis avant de l'enfoncer sèchement jusqu'à la garde. Elodie, les nichons en folie, tournait la tête à droite et à gauche, s'extasiant bruyamment à la vue via le miroir du pénis qui la fouillait sans concession, à un rythme de plus en plus soutenu, puis exposant sa joie à l'objectif que fixait aussi Charles. Leur orgasme réciproque et simultané ne pouvait pas échapper à l'oeil noir de la go pro. Charles s'immobilisa, totalement enfoncé, les reins verrouillés par les talons d'Elodie. Il eut l'impression qu'il vidait tout le réservoir de ses couilles dans le tréfonds de sa compagne. Ils restèrent ainsi rivés l'un dans l'autre quelques minutes avant qu'il ne se retire, flapi, tandis qu'Elodie se mettait les pieds en l'air, histoire d'assurer l'introduction du sperme. Cette fois, elle n'irait pas se laver l'intimité.

*******Charles procéda le lendemain au montage sur son ordinateur. Ce travail le fit bander dur. Elodie était vraiment géniale. Ils profitèrent de leur dernier après-midi de liberté pour se regarder baiser, nus sur leur canapé face à l'ordinateur.
- J'ai vraiment un gros cul sur cette vidéo, constata Elodie.
- C'est ton cul et je l'aime comme ça, répondit Charles.
- Mais alors toi, ta bite, ouf ! Je comprends pourquoi elle me donne tant de plaisir.
- Alors, ça te va, cette vidéo ou pas ?
- Oui parce qu'on est naturels. Et parce qu'on prend vraiment notre pied. Ce n'est pas la peine de la refaire, c'est très bien comme ça et de toute façon, j'aurai toujours un gros cul.
- Justement, si tu me donnais ce que je n'ai pas eu hier ?
- Tu as envie de m'enculer hein, gros cochon ?
Elle l'embrassa, constata son érection stimulée par leur sextape, lui accorda quelques coups de langue et se mit à genoux sur le canapé, les bras sur le dossier, en attente. Il lui lécha longuement l'anus avant de s'introduire sans grande difficulté. Elodie avait visiblement envie de ça. Et après plusieurs va et viens où la peau du ventre de Charles claqua sur les fesses d'Elodie, la faisant couiner de plaisir, il éjacula dans son rectum pour une simple satisfaction sexuelle réciproque et non procréative.

********Quelques semaines plus tard, Elodie constata qu'elle était enceinte. L'opération sextape privée avait donc parfaitement fonctionné. Elle était si heureuse qu'elle ne put s'empêcher de parler de l'accouplement filmé à sa jeune cousine Carla, âgée de 20 ans mais particulièrement délurée. Bien entendu, celle-ci demanda à voir. Elodie hésita un court instant mais elle était si fière de la réussite de cette mise en scène qu'elle finit par accéder à la demande de Carla "à condition que ça reste dans ton email, hein, ne fais pas l'idiote". Et elle envoya la vidéo en pièce jointe, sans en parler à Charles.
Carla en fut complètement retournée. Voir son oncle et sa tante faire l'amour avec autant d'ardeur lui fit considérer ses propres rapports sexuels (assez fréquents) comme des bluettes adolescentes. Elle se masturba dans son lit en pensant à la bite du tonton. Cette vidéo fut pour elle une telle révélation qu'elle ne put tenir sa langue. Au détour d'une conversation avec sa mère Corinne, tante d'Elodie, qui concernait justement l'arrivée prochaine d'un petit cousin dans la famille, elle lâcha le morceau :- Tu sais qu'ils se sont filmés en train de faire l'amour, lâcha-t-elle.
- Quoi ? Comment ça ?
- Oui, ils ont fait une vidéo pour enregistrer la conception de leur bébé.
- Tu blagues.
- Non, je t'assure, d'ailleurs je l'ai cette vidéo.
- Fais-moi voir ça tout de suite.

Carla ne pouvait pas reculer. Corinne découvrit la scène avec stupéfaction mais non sans intérêt. Cette blonde et élégante quinquagénaire n'était pas du genre bégueule. La vie sexuelle de son couple restait active. Au terme de la vision où l'humidité avait atteint sa culotte, elle somma sa fille de transmettre cette vidéo sur son propre mail. Carla crut à une mesure conservatoire. En fait, Corinne voulait la regarder avec son mari Christophe un soir de tranquillité. Et bientôt, tout aussi nus sur leur canapé, face à leur ordinateur, que leur neveu et nièce, Corinne et Christophe baisèrent un oeil sur l'écran, bien décidés à expérimenter eux aussi l'exercice de la vidéo même sans procréation au bout.

Christophe disposait justement d'une go pro et d'un smartphone, si bien qu'une vidéo très cochonne enregistra les deux quinquagénaires dans leurs ébats amoureux. Ils ne purent même plus s'en passer par la suite, tant et si bien que Corinne le confessa à son amie Mylène autour d'un thé. Bien entendu, Mylène et son mari Arnaud ne voulurent pas être en reste.
Bref, lorsque neuf mois plus tard, une petite Clotilde naquit dans le foyer d'Elodie et Charles, plusieurs couples d'âge divers, certains en procréation vidéoassistée, les avaient imités selon le classique procédé de la chaine, un couple avouant à l'autre son expérience et ainsi de suite. Clotilde ne le savait évidemment pas, mais sa naissance était née sous le signe de l'exhibition et du voyeurisme. L'histoire dira ce qui en restera.

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