Une soirée avec la baby-sitter

Récit érotique écrit par Cyp-Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
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Une soirée avec la baby-sitter
Suzy avait dix-huit ans et demi, et ce soir-là, elle n’était pas simplement belle. Elle était incandescente. Le genre de beauté qui n’implore rien, mais qui trouble tout. Elle gardait Marie, la fille de Sophie, dans cet appartement discret où chaque détail sentait la maîtrise et le parfum bien dosé.
Sophie était partie avec légèreté, confiant les clés à Suzy avec ce mélange subtil de distance polie et de confiance implicite. Daniel, le compagnon, était censé être au stade. Officiellement. En réalité, Suzy savait déjà que quelque chose allait se jouer ici. Et ce ne serait pas un match de foot. Car Daniel ne viendrait pour bavarder, ni pour surveiller la baby-sitter. Et elle, elle ne l’attendait pas innocemment.
Le salon était parfait : lumière tamisée, coussins moelleux, drap glissé sur le canapé, bouteille ouverte, climatisation douce, chaleur intérieure qui montait. Marie dormait. Tout pouvait arriver. Tout allait arriver.
Quand il frappa à la vitre, elle sentit son ventre se tendre d’un coup. Elle alla lui ouvrir. Il entra. Il avait ce regard qu’elle avait deviné mille fois dans d’autres lieux, mais jamais ici. Jamais dans cet espace protégé, où elle décidait du tempo. Daniel avait peur, il savait que si Sophie savait ce qu’il allait faire, elle le quitterait.
Ils s’installèrent. Elle lui servit un verre, s’approcha lentement. Leurs corps se frôlèrent, s’apprivoisèrent. Puis leurs bouches s’unirent. Sans détour. Suzy l’alluma comme on allume un feu long : par des gestes mesurés, précis, une lente montée. Sa chemise glissa, ses hanches s’arquèrent. Il tremblait. Elle chevauchait, douce et brûlante, reine d’un territoire qu’elle dessinait sous ses ondulations.
Il frissonna quand elle le caressa, mais elle, elle n’attendit pas qu’il comprenne. Elle le poussa doucement contre les coussins, puis s’installa sur lui avec une lenteur de prédatrice. Son bassin effleurait déjà le sien, ses cuisses l’enserraient, et son regard… ce regard, brûlant, fixait le sien comme un ordre silencieux. Il hésita à poser les mains. Elle les saisit, les plaqua sur sa poitrine découverte.
— T'inquiète pas… laisse-toi faire.
Elle n'attendait rien de lui. Ce soir, c'était elle qui menait. Elle qui décidait. Et elle voulait tout. Maintenant. Elle se hissa sur ses genoux, attrapa sa ceinture, la fit sauter d’un geste rapide. Il écarquilla les yeux. Elle lui retira le pantalon comme on arrache un doute. Puis, d’une main sûre, elle écarta l’élastique, libéra son sexe. Il était là, offert, tendu, frémissant.
Elle sourit, se lécha les lèvres, se pencha… mais pas pour l’embrasser. Pour l’enfouir contre sa poitrine, pour qu’il sente le poids, la chaleur, le battement affolé de son cœur juste là.
Puis, dans un souffle, elle s’abaissa sur lui. elle le guida et son corps l’engloutit avec une lenteur cruelle, volontaire. Chaque centimètre enfoncé en elle était accueilli comme une conquête. Il gémit, faillit reculer. Elle planta ses ongles dans ses épaules.
— Non. Tu bouges pas. C’est moi qui décide.
Et elle commença à onduler.
Pas une danse. Pas une caresse. Une chevauchée. Une tempête.
Elle roulait contre lui, s’arquait, se cambrait. Ses seins rebondissaient contre sa poitrine, son ventre claquait contre le sien, son sexe le serrait, l’avalait, le relâchait, puis le reprenait encore. Il ne savait plus où poser ses mains. Il ne savait même plus respirer.
Elle, elle grognait. Un feu bas dans la gorge. Un cri contenu. Elle se pencha, le mordit dans le cou, le fit gémir. Il enroula ses bras autour d’elle. Il croyait la retenir.
Mais elle accéléra. Sauvage. Fiévreuse. Brûlante. Il sentit que ça montait. En elle. En lui aussi. Elle le regarda droit dans les yeux quand elle prit son plaisir. Long. Serré. Un tremblement d’elle toute entière. Il le sentit passer de son corps au sien, comme une vague. Et là seulement, elle le laissa venir. Lâcher. Râler. S’effondrer contre sa peau moite.
Il crut mener. Elle le laissa croire. Jusqu’au moment exact où il perdit pied — et elle jouit avec lui, dans un cri silencieux, gorge nouée, corps ruisselant.
Mais ce n’était pas fini. Quand il voulut reprendre le dessus, elle rit, féline.
— Marie dort, mon cœur. Apprends à crier sans bruit.
Et elle le fit taire, de toutes les façons qu’il ignorait encore.
Suzy ne l’avait pas quitté des yeux. Il reprenait son souffle, couché sur le dos, les muscles relâchés, le torse encore humide de leur première étreinte. Elle, elle était déjà redressée, nue, les jambes repliées sous elle, les seins encore fiévreux, la peau moite et vibrante.
Elle s’approcha lentement, à quatre pattes, comme une chatte prête à bondir. Ses cheveux tombaient en cascade devant son visage, son regard brillait d’une lueur mauvaise et tendre à la fois.
— Tu crois que t’as fini ? murmura-t-elle en venant s’agenouiller entre ses jambes.
Il sourit, fatigué. Elle n’attendait pas de réponse.
Ses mains s’emparèrent de lui. Il était encore tiède, assoupi. Elle le prit doucement, d’abord, comme une caresse qui rassure, qui ranime. Puis elle approcha sa bouche, ses lèvres entrouvertes, sa langue déjà impatiente. Elle l’embrassa là. Juste un baiser. Puis un second, plus humide. Sa langue traça une ligne, lente, chaude, experte.
Il frissonna, gémit doucement. Et elle, elle s’appliquait. Elle l’avalait lentement, le goûtait, le sculptait entre ses lèvres comme un fruit trop mûr. Elle savait exactement où appuyer, quand resserrer, comment aspirer. Et chaque fois qu’il reprenait un peu de vigueur, elle ralentissait, le regard levé vers lui, provocante, silencieuse.
Il se redressait déjà, le souffle court, la main dans ses cheveux.
— Suzy… je…
Elle le fit taire en le prenant encore plus profond. Jusqu’à la gorge. Jusqu’à l’oubli. Puis elle se redressa, monta sur lui, frotta son bassin contre le sien, sentant sa rigidité revenue. Mais elle ne l’accueillit pas en elle. Pas encore. Elle se frotta, se cambra, le caressa entre ses seins, sur son ventre, et quand il gémit à nouveau, Elle monta sur lui, chevaucha lentement, s’ouvrit comme une page interdite. Il entra en elle dans un souffle étouffé. Elle ondula, douce et sauvage, souveraine et offerte.
Il gémissait. Elle mordait. Le canapé craquait doucement sous leurs mouvements rythmés. quand elle sentit qu’il allait venir, elle redescendit, plus vite cette fois, plus goulue, plus affamée. Il n’avait plus aucune chance.
Ses mains sur ses cuisses, sa bouche en feu, elle le conduisait vers une chute certaine. Et quand elle le sentit prêt à tout lâcher, elle le regarda, souffla un simple :
— Viens. Là. Sur moi.
Elle se redressa, pressa ses seins l’un contre l’autre, se pencha légèrement et il explosa dans un râle, les mains agrippées aux draps, les yeux clos. Son plaisir jaillit sur sa poitrine tendue, éclaboussa sa gorge, perla sur sa peau encore brûlante.
Elle sourit, fière, rayonnante.
— Voilà. Maintenant t’as tout donné.
Et elle se pencha pour lécher une goutte au creux de son sein, comme un trophée.
C’est à cet instant que Sophie revint, plus tôt que prévu.
Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).
Sophie était partie avec légèreté, confiant les clés à Suzy avec ce mélange subtil de distance polie et de confiance implicite. Daniel, le compagnon, était censé être au stade. Officiellement. En réalité, Suzy savait déjà que quelque chose allait se jouer ici. Et ce ne serait pas un match de foot. Car Daniel ne viendrait pour bavarder, ni pour surveiller la baby-sitter. Et elle, elle ne l’attendait pas innocemment.
Le salon était parfait : lumière tamisée, coussins moelleux, drap glissé sur le canapé, bouteille ouverte, climatisation douce, chaleur intérieure qui montait. Marie dormait. Tout pouvait arriver. Tout allait arriver.
Quand il frappa à la vitre, elle sentit son ventre se tendre d’un coup. Elle alla lui ouvrir. Il entra. Il avait ce regard qu’elle avait deviné mille fois dans d’autres lieux, mais jamais ici. Jamais dans cet espace protégé, où elle décidait du tempo. Daniel avait peur, il savait que si Sophie savait ce qu’il allait faire, elle le quitterait.
Ils s’installèrent. Elle lui servit un verre, s’approcha lentement. Leurs corps se frôlèrent, s’apprivoisèrent. Puis leurs bouches s’unirent. Sans détour. Suzy l’alluma comme on allume un feu long : par des gestes mesurés, précis, une lente montée. Sa chemise glissa, ses hanches s’arquèrent. Il tremblait. Elle chevauchait, douce et brûlante, reine d’un territoire qu’elle dessinait sous ses ondulations.
Il frissonna quand elle le caressa, mais elle, elle n’attendit pas qu’il comprenne. Elle le poussa doucement contre les coussins, puis s’installa sur lui avec une lenteur de prédatrice. Son bassin effleurait déjà le sien, ses cuisses l’enserraient, et son regard… ce regard, brûlant, fixait le sien comme un ordre silencieux. Il hésita à poser les mains. Elle les saisit, les plaqua sur sa poitrine découverte.
— T'inquiète pas… laisse-toi faire.
Elle n'attendait rien de lui. Ce soir, c'était elle qui menait. Elle qui décidait. Et elle voulait tout. Maintenant. Elle se hissa sur ses genoux, attrapa sa ceinture, la fit sauter d’un geste rapide. Il écarquilla les yeux. Elle lui retira le pantalon comme on arrache un doute. Puis, d’une main sûre, elle écarta l’élastique, libéra son sexe. Il était là, offert, tendu, frémissant.
Elle sourit, se lécha les lèvres, se pencha… mais pas pour l’embrasser. Pour l’enfouir contre sa poitrine, pour qu’il sente le poids, la chaleur, le battement affolé de son cœur juste là.
Puis, dans un souffle, elle s’abaissa sur lui. elle le guida et son corps l’engloutit avec une lenteur cruelle, volontaire. Chaque centimètre enfoncé en elle était accueilli comme une conquête. Il gémit, faillit reculer. Elle planta ses ongles dans ses épaules.
— Non. Tu bouges pas. C’est moi qui décide.
Et elle commença à onduler.
Pas une danse. Pas une caresse. Une chevauchée. Une tempête.
Elle roulait contre lui, s’arquait, se cambrait. Ses seins rebondissaient contre sa poitrine, son ventre claquait contre le sien, son sexe le serrait, l’avalait, le relâchait, puis le reprenait encore. Il ne savait plus où poser ses mains. Il ne savait même plus respirer.
Elle, elle grognait. Un feu bas dans la gorge. Un cri contenu. Elle se pencha, le mordit dans le cou, le fit gémir. Il enroula ses bras autour d’elle. Il croyait la retenir.
Mais elle accéléra. Sauvage. Fiévreuse. Brûlante. Il sentit que ça montait. En elle. En lui aussi. Elle le regarda droit dans les yeux quand elle prit son plaisir. Long. Serré. Un tremblement d’elle toute entière. Il le sentit passer de son corps au sien, comme une vague. Et là seulement, elle le laissa venir. Lâcher. Râler. S’effondrer contre sa peau moite.
Il crut mener. Elle le laissa croire. Jusqu’au moment exact où il perdit pied — et elle jouit avec lui, dans un cri silencieux, gorge nouée, corps ruisselant.
Mais ce n’était pas fini. Quand il voulut reprendre le dessus, elle rit, féline.
— Marie dort, mon cœur. Apprends à crier sans bruit.
Et elle le fit taire, de toutes les façons qu’il ignorait encore.
Suzy ne l’avait pas quitté des yeux. Il reprenait son souffle, couché sur le dos, les muscles relâchés, le torse encore humide de leur première étreinte. Elle, elle était déjà redressée, nue, les jambes repliées sous elle, les seins encore fiévreux, la peau moite et vibrante.
Elle s’approcha lentement, à quatre pattes, comme une chatte prête à bondir. Ses cheveux tombaient en cascade devant son visage, son regard brillait d’une lueur mauvaise et tendre à la fois.
— Tu crois que t’as fini ? murmura-t-elle en venant s’agenouiller entre ses jambes.
Il sourit, fatigué. Elle n’attendait pas de réponse.
Ses mains s’emparèrent de lui. Il était encore tiède, assoupi. Elle le prit doucement, d’abord, comme une caresse qui rassure, qui ranime. Puis elle approcha sa bouche, ses lèvres entrouvertes, sa langue déjà impatiente. Elle l’embrassa là. Juste un baiser. Puis un second, plus humide. Sa langue traça une ligne, lente, chaude, experte.
Il frissonna, gémit doucement. Et elle, elle s’appliquait. Elle l’avalait lentement, le goûtait, le sculptait entre ses lèvres comme un fruit trop mûr. Elle savait exactement où appuyer, quand resserrer, comment aspirer. Et chaque fois qu’il reprenait un peu de vigueur, elle ralentissait, le regard levé vers lui, provocante, silencieuse.
Il se redressait déjà, le souffle court, la main dans ses cheveux.
— Suzy… je…
Elle le fit taire en le prenant encore plus profond. Jusqu’à la gorge. Jusqu’à l’oubli. Puis elle se redressa, monta sur lui, frotta son bassin contre le sien, sentant sa rigidité revenue. Mais elle ne l’accueillit pas en elle. Pas encore. Elle se frotta, se cambra, le caressa entre ses seins, sur son ventre, et quand il gémit à nouveau, Elle monta sur lui, chevaucha lentement, s’ouvrit comme une page interdite. Il entra en elle dans un souffle étouffé. Elle ondula, douce et sauvage, souveraine et offerte.
Il gémissait. Elle mordait. Le canapé craquait doucement sous leurs mouvements rythmés. quand elle sentit qu’il allait venir, elle redescendit, plus vite cette fois, plus goulue, plus affamée. Il n’avait plus aucune chance.
Ses mains sur ses cuisses, sa bouche en feu, elle le conduisait vers une chute certaine. Et quand elle le sentit prêt à tout lâcher, elle le regarda, souffla un simple :
— Viens. Là. Sur moi.
Elle se redressa, pressa ses seins l’un contre l’autre, se pencha légèrement et il explosa dans un râle, les mains agrippées aux draps, les yeux clos. Son plaisir jaillit sur sa poitrine tendue, éclaboussa sa gorge, perla sur sa peau encore brûlante.
Elle sourit, fière, rayonnante.
— Voilà. Maintenant t’as tout donné.
Et elle se pencha pour lécher une goutte au creux de son sein, comme un trophée.
C’est à cet instant que Sophie revint, plus tôt que prévu.
Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).
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Délicieuse histoire 🔥🔥🔥
Cyrille
Cyrille

