Une vraie libertine - histoire érotique

18 h : il est temps de se préparer pour Chrystèle. Douche, shampoing et surtout un sexe glabre comme un abricot. Elle sera prête vers 20 h. Même programme pour Léopold. 20 h 30 : laçage du corset qui lui fait un corps de déesse. Ventre plat. Seins portés comme sur un plateau, bas. Il lui lèche un peu les seins et admire son 95C. Touche ses fesses et apprécie son mètre 75. Goute sa peau si douce. . Lui introduit un doigt dans le sexe. Elle l'empêche de trop s'exciter de peur qu'il n'ait plus envie de sortir après...

Ce soir direction une soirée privée à une quarantaine de kilomètres de Paris. Il y a maintenant six mois que Léopold et Chrystèle goutent aux joies du libertinage et visitent un peu toutes les banlieues de Paris à la recherche des soirées les plus sympas. Sur un site bien connu ils se sont faits tout un réseau d'amis qu'ils retrouvent de soirées en soirées. Ce soir il savent qu'ils retrouveront un couple très sexy. Lui est médecin, elle infirmière et ils adorent leurs jeux à quatre. Mais sortir c'est surtout faire de nouvelles rencontres et ils espèrent surtout être surpris. Ce sera le cas !

La maison est un eu perdue dans la campagne mais à deux pas d'une autoroute. C'est une grande soirée. Des dizaines de voitures sont garées tout au long de la route. A l'entrée de la maison un maître chien veille à que seulement des invités entrent. Petit droit d'entrée. Bouteille de champagne de rigueur donnée. Chrystèle entre sous les regards lubriques des mâles. Leurs femmes font la gueule Chrystèle présente elles ont peu de chance d'être les vedettes. On parle de male alpha. Il y aussi la femelle alpha. Celle autour duquel tous les mâles se pressent. Un phénomène bien connu par les libertins: sept ou huit entourent la plus belle de la soirée, avec peu de chances d'arriver à leurs fins pour la plupart, quand autant de belles femmes rongent leurs freins. Belles mais pas la plus belle !
La plus belle ce soir là ce n'est pas Chrystèle. Déçue elle aperçoit Sabin, une Danoise qui a été mannequin. Immense. Blonde. Extrêmement mince. Elles fascine les mâles. Son mari est également très beau mais souffre d'un handicap certes peu visible en société mais rédhibitoire au lit : son sexe est très petit. Sabin l'aie mais il lui faut des mâles et il lui fournit. Enfin il l'amène en soirées et Sabin n'a plus qu'à attendre. Chrystèle est donc déçue de se rendre compte que, même si elle est belle, même si elle est nettement mieux faite que Sabin, Sabin sera la vedette car elle fascine littéralement les hommes.

Ce n'est pas tout ça mais il faut profiter de la soirée. La maison fait bien 400 m2 sur deux étages et la musique est à fond dans le grnad salon du rez-de-chaussée. Elle ne semble pas déranger un couple de perroquet dans une immense cage. Qui voient dans doute copuler de nombreux couples chaque week-end. Léopold rigole : "Tu crois qu'ils répètent les cris d'amour, les orgasmes qu'ils entendent". Chrystèle rit. Mais s'en fiche un peu. Elle a repéré un mec qui lui plait. Pas très beau. Grand. Viril. Le nez un peu cassé. Il lui a flatté les fesses et glissé un "beau cul" en la croisant dans le couloir. Maintenant il l'a regarde. Lui propose de danser. Alexandrie, Alexandra. De quoi se rapprocher sous l'oeil un peu jaloux de Léopold qui a l'habitude de voir Chrystèle lui demander son assentiment avant de choisir son partenaire. Là il ne leur faut que quelques mminutes pour décider de monter à l'étage. Dans les chambres. Elle demande à peine à Lépold si elle veut le suivre. Son amant d'un soir - qu'elle reverra - Christian, l'a déjà bien excitée en lui flattant les fesses, puis en la doigtant. Le champagne fait le reste. Elle goute cette douce euphorie sexuelle qui la prend et préfère oublier le sentiment qu'elle aura demain de s'être conduite comme une vraie libertine.
Une vraie libertine aime sucer le mâle. Chrystèle s'applique à exciter Christian, promène sa langue sur son pénis, lui lèche les couilles. Il lui malaxe les seins. Pas trop fort elle les a sensibles, elle sait combien ils fascinent les hommes mais elle aimerait qu'ils les traitent plus doucement. Dans ses moments là elle regrette la douceur des femmes. L'envie de sexe lesbien lui vient de plus en plus d'ailleurs. Même là en suçant Christian tout en se touchant elle y pense soudain. Mais ce sera pour plus tard. Très dominant Christian la pose sur un lit - curieusement très haut - et la pénètre après s'être muni du préservatif réglementaire. Fasciné comme toujours Léopold ne peut qu'assister au spectacle. Vu le nombre élevé d'hommes très beaux et très jeunes, il y a peu de chances qu'une femme s'adresse à lui. Et le couple qu'ils pensaient trouver a disparu. Et voilà comment une soirée "on se retrouve à quatre et on baise à quatre" devient "Chrystèle fait son choix et se fait baiser devant Léopold qui regarde". Oh il pourrait descendre. Il pourrait l'engueuler. Mais il regarde. Il bande comme un fou de voir comment il lui a écarté les cuisses. Comment il la prend. Comment il lui a mis les jambes au niveau des oreilles pour assurer une pénétration maximale. D'autant qu'il est plutôt bien pourvu.
Dans quelques instants il sait qu'elle va demander à être prise en levrette. Ce que ne manque pas de faire Christian. Il l'a baise. Elle gémit. Elle hurle. Lépoold a contourné le lit pour la voir en face de lui. Apercevoir se seins qui ballotent sous ses coups de boutoir. Mais ce qui le fascine le plus ce sont ses cheveux qui sont tombés sur son visage. Elle ne doit pas voir grand chose. Il ne le sait pas mais elle ferme ses yeux dans ces moments là pour encore mieux profiter du sexe de son partenaire. Elle se touche et espère un orgasme qu'elle n'a pas facile. Mais là elle sent qu'il arrive la prend. C'est tellement bon qu'elle s'écroule sur le lit. Ce qui n'arrête pas son partenaire. Qui en profite pour remonter plus haut. Demande du gel à l'assistance. Ca y est. Il commence à la sodomiser. Ce n'est pas une première mais elle le refuse d'habitude. Là la jouissance, la reconnaissance d'un orgasme comme elle en rarement eu, la surprise, la soumission, tant d'éléments ont joué pour qu'elle accepte. A moitié groggy après son orgasme elle se réveille? Léopold voit comment sa main reprend possession de son sexe et comment elle reprend le chemin de la jouissance. La saillie dure encore longtemps. Il l'a traite de "salope, pute, chienne en chaleur". Il la retourne, vire son préservatif. Il jouit sur ses seins. La caresse. L'embrasse. Reprend ses habits. Lui dit "merci".
Léopold n'en peut plus de bander mais sait que son tour n'est pas venu en voyant que Chrystèle tient à peine debout. D'autres hommes la sollicitent mais elle les repousse d'un gentil "je suis trop crevée".

Dix minutes plus tard elle est rhabillée et ils partagent une coupe dans la cuisine. Sur la table une femme se fait fouetter à quatre pattes par un hommes très séduisant qui séduira beaucoup Eve dans une autre soirée. Mais là nous sommes au moment de la soirée où les couples reprennent leurs forces, les hommes se demandent s'ils seront de nouveau excités plus tard, les femmes qui ont déjà joui si cela vaut la peine de rester, les autres si elles trouveront enfin l'amant du soir ou si elles devront se contenter de leurs maris. Enfin s'ils arrivent encore à bander. Il est bientôt une heure du matin et ils retrouvent enfin leur couple d'amis. Il est d'une taille normale, les cheveux un peu frisés. Elle est assez petite, une peu boulotte, les cheveux un peu frisés aussi. Si Chrystèle a peu entendre qu'elle avait les "plus beaux seins du circuit", il a sans doute le plus beau sexe. Pas immense mais parfaitement équilibré, toujours très dur, et il sait s'en servir ! La première fois qu'ils se sont rencontrés il était seul. C'était dans un club un dimanche soir pour une soirée couples et hommes seuls. Il avait su séduire Chrystèle et lui apporter une jouissance très appréciable sans atteindre l'orgasme qu'elle venait de vivre. Quant à elle elle appréciait la douceur de Léopold. D'autant qu'elle venait de subir les assauts assez incroyables d'un grand Antillais qui l'avait baisée debout contre le mur. "Vous auriez vu àa. J'avais l'impression d'être coupée en deux. Et sa bite je la sentais au fond." Une description qui semblait un peu contrarier son mari.
Quelques minutes après ils n'en faisaient pas moins tous les quatre l'amour dans une chambre où ils avaient fini par trouver une place sur le lit au départ d'un couple d'obèses très étonnants. Madame avait tellement mouillé le lit qu'il avait fallu place une grande serviette pour éponger. Bref Léopold n'en pouvait plus d'attendre quand il avait enfin pu s'enfoncer dans la chatte toujours très accueillante de leur ami. A quelques centimètres de là Chrystèle et David avaient pris de l'avance. Plus tard elle dire à Léopold : "C'est un amant sur. Pas incroyable. Très pro. C'est toujours bon avec lui. Et toi?
- Même chose. Je me demande combien ils peuvent avoir eu d'amants et de maitresses. Des centaines, des milliers?"
Cette nuit là, Chrystèle eu cinq amants. Les deux susnommés puis un Arabe très dominant mais peu adroit, un black moins dominant mais qui l'a déçue un peu. Puis le retour de Christian. Avec un ami il approche de Chrystèle : "Je te présente Chrystèle." L'homme lui sourit. C'est un beau black. Pas très grand. Très baraqué. Il doit faire du culturisme. Chrystèle fond littéralement. Christian s'écarte: "Je vous laisse". Il s'approche. La prend dans ses bras. Avec ses talons il est beaucoup plus petit qu'elle. Il descend sa robe. Place son visage entre ses seins. Lui mordille les pointes. Léopold s'apprête à être une nouvelle fois spectateur d'une Chrystèle déchainée comme jamais. Quelques minutes plus tard il la prend directement en levrette. Après lui avoir demandé de baisser un peu ses fesses. Cette fois-ci nous sommes dans une petite pièce au-dessus de ce qui se révèle un garage. L'endroit n'est pas super confortable et Chrystèle doit mettre un bras devant elle pour éviter que sa tête touche le mur. Son amant est décidé à la bourrer comme une brute. Elle préfère arrêter. Après avoir embrassé différents amis. Après avoir sucé son dernier amant pour le faire jouir. Ils s'en vont.
"Ca t'a plu?
- Oui et non.
- Oui et non?
- Oui c'était incroyable avec Christian. Après moins bien. Je ne sais pas pourquoi. J'étais peut-être repue. Tu sais ce qui me plairait maintenant?

- Non ?
- Avoir cinq hommes rien que pour moi.
- Un gangbang ?
- Appelle ça comme tu veux..."