une vraie malade du cul!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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une vraie malade du cul!
Je suis de permanence ce soir-là dans la salle, en compagnie de mon collègue Philippe quand le téléphone se fait entendre dans un coin de mon bureau. Je pense tout de suite que ce doit être ma femme. Qu’elle veuille vérifier que je suis bien au boulot.
Mais je suis tout de suite surpris en décrochant, de reconnaître la voix de Sylvie, la femme de mon fameux collègue.
-Il est là ? Me fait-elle.
-Oui, dans la salle, tu veux que j’aille le chercher ?
-Non… c’est pour toi que j’appelle.
Depuis quelques temps, nous avons elle et moi une relation extraconjugale.
Au téléphone, elle me dit que je lui manque. Qu’elle est en train de se caresser. Elle me décrit ses parfums de femme, acides, poissonneux, musqués.
-Tu te fais du bien, toi aussi en pensant à moi ? Me fait-elle.
J’aime quand elle emploie cette expression.
-Bien sûr que je me branle, moi aussi.
-Je veux te voir.
-Là tout de suite ?
-Viens… je t’attends…
-Mais je travaille !
-Il y a mon mari, à ce que je sache.
-Tu me vois lui dire que je m’absente un moment pour baiser sa femme…
-Tu n’es pas obligé de préciser sa femme.
-Tu sais quelle heure il est ?
-Oui, Vingt et une heures passées.
-Qu’est-ce que tu veux que je trouve comme excuse pour m’absenter ?
-Que tu vas rendre une petite visite à une garce, une salope…
-Oui c’est ça !
-Tout le monde te connaît étant un chaud lapin. Alors cela ne l’étonnera pas !
La fièvre du désir me submerge, alors. Poussé par je ne sais quel démon, je suis bien tenté de répondre à cette invitation. Surtout qu’elle connaît mon désir irrépressible qui s’empare de moi pour les jeux de cul. Qui me conduit à faire n’importe quoi. Elle en joue avec aisance pour arriver à ses fins.
-Bon…bon, je m’entends lui dire… j’arrive !
C’est en prenant le maximum de précautions que j’arrive jusqu’à son appartement. À peine la porte franchie, je lis dans ses yeux un besoin sexuel. Je l’embrasse, elle est brûlante. Je l’immobilise contre le mur, me plaquant contre elle, ventre contre ventre.
-Merci d’être venue !
Je lui bloque le visage à deux mains et l’embrasse grossièrement, comme elle aime être prise. Je fais pénétrer ma langue dans sa bouche. La fouille au plus profond. Je frotte ma queue contre son sexe. Cherchant à m’ajuster sur l’emplacement de sa chatte. Je sens le relief des grandes lèvres à travers les étoffes. Sylvie a le souffle court.
Elle accentue le lent mouvement de son bassin qui s’adapte au mien. Je retrousse sa jupe. J’arrime mes deux mains à son fessier. Ma queue s’abandonne de façon parfaite au fossé de sa chatte. Je sens les chairs mollir et s’humidifier à travers le nylon de la culotte. Elle gémit, j’appuie la pression de mon membre dessus.
Je m’écarte d’elle. Elle me prend la main et m’attire dans sa chambre. Elle s’assoit sur son lit conjugal. J’ai une pensée pour mon collègue. Je me saisis de sa cheville droite pour la ramener tout près des fesses. De l’autre main, je la force à agrandir le compas de ses cuisses. Sa majestueuse poitrine s’étale sur la dentelle noire. Les bouts granuleux ont la taille d’une petite prune. Sous la peau, les veines s’étoilent autour des aréoles.
Ses poils, très drus, s’échappent en mèches folles de sa culotte en nylon noire, d’une taille inférieure à ce qu’elle doit porter habituellement. Une tache humide s’étale au centre du tissu.
Je m’amuse à lui agacer la chatte à travers le nylon avec deux doigts. Elle me surveille du coin de l’œil. Je l’allège de son sous-vêtement tout poisseux. J’entrebâille l’instant suivant les petites lèvres. Je vois l’intérieur du vagin. Mes doigts parcourent les poils drus. Sylvie tressaille sans bouger. Je sais que la cochonne aime se faire toucher. Mon index agace doucement une petite lèvre. Je la sens s’ouvrir plus encore. Des effluves montent jusqu’à mes narines. Epicée, poivrée, elle est entêtante. Du coin de l’œil, je surveille sa réaction.
-Je pense que tu veux que je te lèche ?
-Ce n'est pas pour ça que tu es là ?
Pour toute réponse, je tends ma langue et goûte l’entrée de son vagin. Un délice, très acidulé. Je me mets à laper. Elle est, comme je le souhaitais, trempée. D’une main ferme, elle m’appuie sur la nuque.
-Fais-moi jouir… Alain… je suis vraiment en manque ! Ce con ne me touche plus…
Plus par plaisir que pour compassion, je me jette sur elle comme un mort de faim. Je l’entends ronronner. Sans continence, elle s’abandonne, les cuisses grandes ouvertes. Je saisis son cul à deux mains. Lui palpe les fesses, une fois encore. Je me contente de les malaxer, de les tripoter.
Je sais qu’elle aime ça, la cochonne. Comme la première fois, suite à la réception. Elle se donne de plus en plus à ma dépravation. Ma langue la fouille plus encore, aspirant son jus. Je m’en désaltère jusqu’à plus soif. Tirant sur les petites lèvres. Je les gobe.
Appuyant toujours sur ma tête, elle commence à couiner. Encouragé, je réussis à m’infiltrer plus encore. Son orgasme vient.
-A mon tour ! Me fait-elle, alors.
Elle commence par flatter mon sexe. Sylvie me branle. Je sens ma queue grandir. De plus en plus long... de plus en plus gros. Elle embrasse ma queue. Puis, la dirige à l'entrée de sa chatte. Je m’avance. Mon sexe entre, et disparaît, centimètre après centimètre. J’avance encore pour la faire disparaître. Je l’entends gémir. Elle me flatte par en dessous. Ça m'excite encore plus.
Elle gesticule alors. Elle me fait aller et venir dans ses entrailles. Elle délire. Elle se déchaîne avec ma queue dans la chatte. Littéralement, elle se défonce. Se soulevant, tendant le bassin. S’arc boute pour mieux se faire visiter. Il ne faut pas longtemps à Sylvie pour parvenir de nouveau à la jouissance, mais pas moi. D’ailleurs, ma queue est complètement noyée dans sa chatte, tant elle mouille. Je n’ai aucune difficulté pour la sodomiser. Sylvie a besoin de quelques minutes pour surmonter sa surprise.
Mais mes va-et-vient ont vite fait de réveiller son excitation et elle recommence à gémir, tandis que je la brutalise et la pénètre de plus en plus profondément. Ses yeux dans les miens, elle se laisse sodomiser sauvagement tout en s’astiquant le bouton. Il ne m’en faut pas plus pour que je jouisse. Elle émet un cri.
Il me faut quelques minutes pour reprendre les esprits et une respiration régulière. D’un geste délicat, elle écarte les mèches qui tombent sur son visage, se relève, tend vers moi sa culotte en nylon posée sur un coin du lit.
- Embrasse-la ! Ordonne-t-elle.
Elle attend que j’ai déposé un baiser sur le triangle mouillé, pour laisser tomber.
- Tu es vraiment, mais vraiment un cochon. Et moi, les cochons j’aime ça!
C’est avec le goût de la chatte de sa femme que j’ai rejoint Philippe.
-Alors ? Me fait-il.
-Je ne te dis pas, une vraie malade du cul, celle-là !
Mais je suis tout de suite surpris en décrochant, de reconnaître la voix de Sylvie, la femme de mon fameux collègue.
-Il est là ? Me fait-elle.
-Oui, dans la salle, tu veux que j’aille le chercher ?
-Non… c’est pour toi que j’appelle.
Depuis quelques temps, nous avons elle et moi une relation extraconjugale.
Au téléphone, elle me dit que je lui manque. Qu’elle est en train de se caresser. Elle me décrit ses parfums de femme, acides, poissonneux, musqués.
-Tu te fais du bien, toi aussi en pensant à moi ? Me fait-elle.
J’aime quand elle emploie cette expression.
-Bien sûr que je me branle, moi aussi.
-Je veux te voir.
-Là tout de suite ?
-Viens… je t’attends…
-Mais je travaille !
-Il y a mon mari, à ce que je sache.
-Tu me vois lui dire que je m’absente un moment pour baiser sa femme…
-Tu n’es pas obligé de préciser sa femme.
-Tu sais quelle heure il est ?
-Oui, Vingt et une heures passées.
-Qu’est-ce que tu veux que je trouve comme excuse pour m’absenter ?
-Que tu vas rendre une petite visite à une garce, une salope…
-Oui c’est ça !
-Tout le monde te connaît étant un chaud lapin. Alors cela ne l’étonnera pas !
La fièvre du désir me submerge, alors. Poussé par je ne sais quel démon, je suis bien tenté de répondre à cette invitation. Surtout qu’elle connaît mon désir irrépressible qui s’empare de moi pour les jeux de cul. Qui me conduit à faire n’importe quoi. Elle en joue avec aisance pour arriver à ses fins.
-Bon…bon, je m’entends lui dire… j’arrive !
C’est en prenant le maximum de précautions que j’arrive jusqu’à son appartement. À peine la porte franchie, je lis dans ses yeux un besoin sexuel. Je l’embrasse, elle est brûlante. Je l’immobilise contre le mur, me plaquant contre elle, ventre contre ventre.
-Merci d’être venue !
Je lui bloque le visage à deux mains et l’embrasse grossièrement, comme elle aime être prise. Je fais pénétrer ma langue dans sa bouche. La fouille au plus profond. Je frotte ma queue contre son sexe. Cherchant à m’ajuster sur l’emplacement de sa chatte. Je sens le relief des grandes lèvres à travers les étoffes. Sylvie a le souffle court.
Elle accentue le lent mouvement de son bassin qui s’adapte au mien. Je retrousse sa jupe. J’arrime mes deux mains à son fessier. Ma queue s’abandonne de façon parfaite au fossé de sa chatte. Je sens les chairs mollir et s’humidifier à travers le nylon de la culotte. Elle gémit, j’appuie la pression de mon membre dessus.
Je m’écarte d’elle. Elle me prend la main et m’attire dans sa chambre. Elle s’assoit sur son lit conjugal. J’ai une pensée pour mon collègue. Je me saisis de sa cheville droite pour la ramener tout près des fesses. De l’autre main, je la force à agrandir le compas de ses cuisses. Sa majestueuse poitrine s’étale sur la dentelle noire. Les bouts granuleux ont la taille d’une petite prune. Sous la peau, les veines s’étoilent autour des aréoles.
Ses poils, très drus, s’échappent en mèches folles de sa culotte en nylon noire, d’une taille inférieure à ce qu’elle doit porter habituellement. Une tache humide s’étale au centre du tissu.
Je m’amuse à lui agacer la chatte à travers le nylon avec deux doigts. Elle me surveille du coin de l’œil. Je l’allège de son sous-vêtement tout poisseux. J’entrebâille l’instant suivant les petites lèvres. Je vois l’intérieur du vagin. Mes doigts parcourent les poils drus. Sylvie tressaille sans bouger. Je sais que la cochonne aime se faire toucher. Mon index agace doucement une petite lèvre. Je la sens s’ouvrir plus encore. Des effluves montent jusqu’à mes narines. Epicée, poivrée, elle est entêtante. Du coin de l’œil, je surveille sa réaction.
-Je pense que tu veux que je te lèche ?
-Ce n'est pas pour ça que tu es là ?
Pour toute réponse, je tends ma langue et goûte l’entrée de son vagin. Un délice, très acidulé. Je me mets à laper. Elle est, comme je le souhaitais, trempée. D’une main ferme, elle m’appuie sur la nuque.
-Fais-moi jouir… Alain… je suis vraiment en manque ! Ce con ne me touche plus…
Plus par plaisir que pour compassion, je me jette sur elle comme un mort de faim. Je l’entends ronronner. Sans continence, elle s’abandonne, les cuisses grandes ouvertes. Je saisis son cul à deux mains. Lui palpe les fesses, une fois encore. Je me contente de les malaxer, de les tripoter.
Je sais qu’elle aime ça, la cochonne. Comme la première fois, suite à la réception. Elle se donne de plus en plus à ma dépravation. Ma langue la fouille plus encore, aspirant son jus. Je m’en désaltère jusqu’à plus soif. Tirant sur les petites lèvres. Je les gobe.
Appuyant toujours sur ma tête, elle commence à couiner. Encouragé, je réussis à m’infiltrer plus encore. Son orgasme vient.
-A mon tour ! Me fait-elle, alors.
Elle commence par flatter mon sexe. Sylvie me branle. Je sens ma queue grandir. De plus en plus long... de plus en plus gros. Elle embrasse ma queue. Puis, la dirige à l'entrée de sa chatte. Je m’avance. Mon sexe entre, et disparaît, centimètre après centimètre. J’avance encore pour la faire disparaître. Je l’entends gémir. Elle me flatte par en dessous. Ça m'excite encore plus.
Elle gesticule alors. Elle me fait aller et venir dans ses entrailles. Elle délire. Elle se déchaîne avec ma queue dans la chatte. Littéralement, elle se défonce. Se soulevant, tendant le bassin. S’arc boute pour mieux se faire visiter. Il ne faut pas longtemps à Sylvie pour parvenir de nouveau à la jouissance, mais pas moi. D’ailleurs, ma queue est complètement noyée dans sa chatte, tant elle mouille. Je n’ai aucune difficulté pour la sodomiser. Sylvie a besoin de quelques minutes pour surmonter sa surprise.
Mais mes va-et-vient ont vite fait de réveiller son excitation et elle recommence à gémir, tandis que je la brutalise et la pénètre de plus en plus profondément. Ses yeux dans les miens, elle se laisse sodomiser sauvagement tout en s’astiquant le bouton. Il ne m’en faut pas plus pour que je jouisse. Elle émet un cri.
Il me faut quelques minutes pour reprendre les esprits et une respiration régulière. D’un geste délicat, elle écarte les mèches qui tombent sur son visage, se relève, tend vers moi sa culotte en nylon posée sur un coin du lit.
- Embrasse-la ! Ordonne-t-elle.
Elle attend que j’ai déposé un baiser sur le triangle mouillé, pour laisser tomber.
- Tu es vraiment, mais vraiment un cochon. Et moi, les cochons j’aime ça!
C’est avec le goût de la chatte de sa femme que j’ai rejoint Philippe.
-Alors ? Me fait-il.
-Je ne te dis pas, une vraie malade du cul, celle-là !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai aimé,
J'ai aimé,
Banale.
une salope aussi salope que celles que je rencontre dans certaines de mes histoires...
Merci ça m'inspire une histoire du même genre cher Renifleur...
Merci ça m'inspire une histoire du même genre cher Renifleur...

